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(18/11/2008 15:43:49)
Citrix promet un client ICA sur iPhone d'ici à juin prochain
En réponse à une forte demande exprimée sur ses blogs, Citrix annonce le portage de son client ICA (Independent Computing Architecture) sur l'iPhone d'Apple d'ici à la fin du premier semestre 2009. Ce portage permettra d'intégrer l'iPhone dans les clients de XenDesktop et de XenApp. Le premier permet d'utiliser en local une application qui réside sur un serveur. Le second étend cette fonctionnalité à l'ensemble du poste, système d'exploitation compris. Un client ICA pour l'OS Symbian existe depuis 2001. Citrix commercialise aussi un client ICA pour Windows Mobile. (...)
(18/11/2008 14:55:06)Infosys, confiant sur ses commandes, table sur 25 000 embauches cette année
La SSII indienne Infosys joue la carte de l'optimisme, en dépit du contexte économique actuel. Selon le site Timesofindia, Kris Gopalkrishnan, l'un de ses fondateurs, a en effet déclaré dimanche dernier, à l'occasion d'un Forum économique mondial, que le groupe n'avait souffert d'aucune baisse de ses prix, en dépit de la crise financière. Même si le PDG de la SSII estime que le ralentissement touche tout le monde et pas uniquement le secteur de l'IT, cela ne l'empêche pas d'être confiant sur son carnet de commandes, ni sur ses perspectives de recrutement. Signature de nouveaux contrats au cours du deuxième trimestre «Nous continuons à embaucher. Nous allons recruter 25 000 collaborateurs sur l'année, a indiqué le PDG d'Infosys. Nous avons signé avec nombre de nouveaux clients au cours du deuxième trimestre et nous sommes donc confiants sur les opportunités du marché des services informatiques ». Le directeur d'Infosys estime que l'industrie des services informatiques va sortir renforcée après la crise « parce que le modèle de prestation global, et le secteur des services IT en particulier, ont atteint une envergure, une maturité et une force certaines ». Nilekani Nandan, co-fondateur d'Infosys, considère pour sa part que la croissance du secteur des technologies de l'information sera ralentie en Inde, conséquence d'une crise sans précédent à laquelle l'économie mondiale est confrontée, mais que la confiance sera bientôt de retour. En octobre dernier, Infosys avait toutefois revu à la baisse ses prévisions de ventes pour l'exercice 2008-2009, avec un chiffre d'affaires estimé à 4,8 Md$, soit une croissance inférieure à 15%. A la même époque, la société indienne décidait de se retirer définitivement de la course au rachat de la SSII britannique Axon, spécialiste du monde SAP. (...)
(18/11/2008 13:17:05)Pour son premier rapport développement durable, SAP affiche 406 000 T d'émissions de CO2
SAP a livré pour la première fois son rapport présentant sa démarche en matière de développement (concernant les domaines économique, social et environnemental). Le rapport synthétise les éléments concernant l'empreinte carbone de l'éditeur dans des domaines tels que la gestion des bâtiments, les déplacements, les dépenses en eau et la gestion des déchets. Puisqu'il est le premier en date, ce rapport ne permet pas encore de juger de l'évolution du comportement de l'éditeur en matière de développement durable. Il présente néanmoins l'intérêt d'un premier état des lieux. Ainsi, la consommation énergétique totale de SAP s'élève à 403,8 GW/h. SAP émet plus de 406 000 tonnes de CO2 parmi lesquelles plus de 70% (288 500 T) proviennent des déplacements. L'éditeur a généré 10 043 tonnes en 2007 chez SAP au niveau global. L'entreprise emploie 51 000 personnes dans 50 pays, parmi lesquelles 28,8% de femmes (un taux légèrement au-dessous de la moyenne du secteur IT qui avoisine plutôt les 30%). Côté social, le turnover de SAP est de 10,3% [[page]]Si SAP rassemble 53,93% de ses salariés dans la zone Europe, Afrique et Moyen-Orient (24,23% sur le continent américain et 21,84% en Asie/Pacifique), 80% des revenus de la société sont dérivés des marchés internationaux, raison invoquée par l'éditeur pour avoir réparti ses centres de développement (SAP Labs) entre neuf pays : la Bulgarie, le Canada, la Chine, la France, l'Allemagne, la Hongrie, l'Inde, Israël et les Etats-Unis. Le document indique un taux de turnover de 10,3% au niveau global en 2007 et de 3,1% en Allemagne (stable par rapport à 2006 mais en légère augmentation par rapport à 2005 : 8,9% au niveau global, 2,3% en Allemagne). Les investissements réalisés par l'éditeur dans les programmes d'éducation sont également présentés. SAP s'estime en position d'aider ses clients dans leur démarche de développement durable Parallèlement, le rapport aborde la façon dont les solutions informatiques que développe SAP peuvent aider ses propres clients (76 000 entreprises évoluant dans 25 secteurs industriels dans 120 pays) dans leur approche interne de développement durable. SAP s'estime en effet en bonne position pour les aider sur ce terrain. SAP dit s'appuyer sur les outils Web 2.0 pour favoriser les échanges sur un espace de collaboration spécifique avec tous les acteurs qui se sentent impliqués dans sa démarche de développement durable. L'éditeur mène parallèlement une enquête pour déterminer les cinq points jugés les plus importants par les organisations ou entreprises interagissant avec SAP. (...)
(18/11/2008 13:15:36)Le Green Grid s'ouvre aux utilisateurs
Le Green Grid a décidé de donner davantage la parole aux utilisateurs finals. Pour ce faire, il constitue un conseil consultatif qui leur sera consacré et reportera directement au conseil d'administration du consortium. Le Green Grid regroupe des fournisseurs informatiques et des entreprises utilisatrices autour de la question de l'efficacité énergétique des datacenters. Le conseil consultatif devrait donner la possibilité aux utilisateurs finals d'influencer la création des standards, des méthodes de mesures, des processus et des technologies à laquelle s'attèle le Green Grid. Il conseille déjà neuf membres (Contributor Members) recrutés pour un an. Si l'on excepte Walt Disney ou Tokyo Electric Power, par exemple, la plupart de ces membres sont, certes, utilisateurs d'infrastructure, mais également acteurs des mondes informatique, télécoms ou Internet. On trouve ainsi dans ce conseil, AT&T, BT, eBay ou Verizon Business. Il ne s'agit par ailleurs que de très grands comptes internationaux. Le Green Grid qui réunit désormais 200 membres en profite pour annoncer un nouveau type d'inscription réservé aux administrations et aux universités. Le consortium a déjà mis au point une mesure de l'efficacité énergétique de l'infrastructure informatique dans un bâtiment, le PUE. Il travaillerait également à des mesures du même ordre pour les différents serveurs et équipements de stockage et réseau du marché. (...)
(18/11/2008 12:49:11)Adobe Max : Flash optimisé pour les processeurs ARM
Le jour de l'ouverture d'Adobe Max, sa conférence utilisateurs consacrée à ses solutions d'applications Internet riches (RIA), Adobe a annoncé un accord avec ARM pour permettre et optimiser le support de Flash sur les appareils équipés de processeurs ARM. Bien entendu, cette annonce rappelle à tout le monde qu'Adobe essaie vainement de faire accepter à Apple la présence d'un lecteur Flash sur l'iPhone (une fonction demandée par nombre d'utilisateurs, frustrés de ne pouvoir accéder au contenu Flash, notamment les vidéos). Le téléphone d'Apple est en effet motorisé par des composants ARM. Apple a expliqué son refus en répondant que Flash Lite, la version de Flash pour mobiles, n'était pas satisfaisante. Adobe travaille depuis à une version spécifique de son Player pour l'iPhone, et attend impatiemment le feu vert de Steve Jobs. L'accord avec ARM s'inscrit dans la stratégie de séduction entreprise par Adobe vis à vis des opérateurs de téléphonie et des fabricants de terminaux. L'éditeur a lancé le projet Open Screen Project pour se rapprocher d'eux, abolissant le système de royalties afin de diffuser le plus largement possible sa technologie. Toutefois, la collaboration prévue entre ARM et Adobe va au-delà du marché des mobiles, il comprend notamment les télévisions, vues par beaucoup d'acteurs du secteur comme le futur terminal domestique d'accès aux contenus numériques. Or Apple est lui aussi présent sur ce marché, et n'est pas pressé de voir Flash s'y imposer. (...)
(18/11/2008 12:36:29)Après une gestion désastreuse de Yahoo, Jerry Yang quitte son poste de PDG
Jerry Yang a décidé de tirer sa révérence en tant que PDG de Yahoo, poste qu'il occupait depuis juin 2007. Il avait alors pris la place occupée par Terry Semel. Le cofondateur de Yahoo garde toutefois son siège au sein du conseil d'administration ainsi que son poste de directeur. Officiellement, Yahoo se déclare « profondément reconnaissant à Jerry Yang pour ses nombreuses contributions en tant que PDG au cours des 18 derniers mois » et « heureux qu'il envisage de continuer à participer activement [au destin] de la société ». Dans les faits, Jerry Yang traîne derrière lui pas mal de casseroles, à commencer par un fiasco retentissant, celui de l'offre de rachat de Yahoo par Microsoft pour un montant de 44,6 Md$. Son obstination à refuser une proposition en or lui a valu la colère de certains actionnaires, le milliardaire Carl Icahn en tête . Aujourd'hui, l'action n'atteint même plus 11$ alors qu'à l'époque Microsoft en proposait 33$. Il y a deux semaines, Jerry Yang était finalement revenu vers Microsoftpour lancer un véritable appel au secours. Peine perdue, Steve Ballmer a immédiatement fait savoir qu'il n'était pas intéressé. Le désormais ex-PDG de Yahoo a également vu lui échapper un accord prometteur avec Google dans le marché de la publicité en ligne . Ce partenariat, qui se voulait un pied de nez à Microsoft, devait permettre à Yahoo d'accroître ses revenus de 250 à 450 M$ la première année puis de générer 800 M$ par an. Google a fini par abandonner l'accord, découragé à la fois par l'enquête du DoJ (ministère de la Justice américain), décidé à imposer des contraintes dissuasives aux deux acteurs et les résultats trimestriels désastreux de Yahoo. Le chiffre d'affaires n'a gagné qu'un tout petit point et le bénéfice net est en chute libre à -64% (54 M$). Yang hors circuit, Microsoft reviendra-t-il à la charge ? [[page]] Enfin Jerry Yang est aussi à l'origine de deux imposantes vagues de suppressions de postes : 1000 postes en janvier 2008 puis entre 1000 et 3000 postes supplémentaires annoncés en octobre dernier. Aussitôt annoncé, le départ de Jerry Yang a été salué par la bourse. Le titre de Yahoo a gagné 4% hier à Wall Street. Mais ce départ suffira-t-il à faire revenir Microsoft ? Rien n'est sûr. D'après Charlène Li, analyste et fondatrice du groupe Altimètre « le conseil d'administration de Yahoo a toujours été derrière Jerry Yang, et d'ailleurs il est toujours présent au sein de la société. Je ne pense pas qu'une entente avec Microsoft soit imminente. » Yahoo a chargé le chasseur de têtes Heidrick & Struggles de dénicher la perle rare qui succédera à Jerry Yang pour redresser la barre. Des noms circulent déjà, en interne comme en externe : Sue Decker, actuelle présidente de la société, Dan Rosensweig, ancien DG adjoint ou encore Meg Whitman, ancienne présidente d'eBay. (...)
(18/11/2008 12:15:14)Adobe Max : CoCoMo rappelle la stratégie S+S de Microsoft
Adobe a entamé hier sa série de conférences utilisateurs Adobe Max à San Francisco en lançant une bêta publique de CoCoMo, une offre de services applicatifs en ligne apportant des fonctionnalités de collaboration à ajouter aux applications développées avec Flex. La technologie avait déjà été évoquée lors d'Adobe Max 2007, comme une extension de la plateforme Connect. Flex est la technologie proposée par Adobe pour bâtir des applications métier en ligne dont l'interface tourne sur le Player Flash. CoCoMo propose de son côté des services collaboratifs, de type voix sur IP, visioconférence, partage de fichiers, tableau blanc, etc. Directeur technique d'Adobe, Kevin Lynch a expliqué que cette offre entrait dans la stratégie d'Adobe visant à mêler les développements sur les postes clients et les offres applicatives en ligne, disponibles dans les nuages ('cloud computing'). « Pour nous, il devrait y avoir un équilibre entre les deux, a-t-il dit. Pas totalement sur le client, et pas totalement dans le cloud. » Un discours tenu également par le grand adversaire d'Adobe, Microsoft, qui tente d'imposer sa propre technologie de client riche Silverlight. Microsoft appelle cela le S+S, pour software plus services. Un premier cas d'utilisation Kevin Lynch a présenté un cas d'application de CoCoMo : la startup Acesis, qui a eu accès à une bêta privée, a réalisé une application permettant à des médecins répartis sur plusieurs sites distants de discuter du cas d'un patient, en partageant son dossier médical et en recourant à de la VoIP et de la visioconférence. Adobe n'a pas voulu donner de précisions sur la date de sortie ou la tarification de CoCoMo. « Je pense que vous verrez cela en 2009, a indiqué Kevin Lynch lors d'une conférence de presse à l'issue de son intervention sur scène. Nous verrons quel modèle de tarification utiliser, y compris la souscription ou le paiement à l'acte, en fonction des retours que nous aurons. » Le 'cloud computing' et les applications sociales en ligne de mire Selon Kevin Lynch, CoCoMo répond déjà à deux des trois objectifs de développement fixés par Adobe : le 'cloud computing' et les applications sociales. Le troisième concerne la prolifération des smartphones et autres appareils mobiles d'accès à Internet (MID, mobile Internet devices) pour lesquels Adobe a supprimé les versements de royalties. « Nous souhaitons offrir une expérience identique quelle que soit la taille de l'écran, du téléphone portable au PC », a expliqué Kevin Lynch. Pour l'heure, les smartphones doivent se contenter de Flash Lite - qui n'offre pas toutes les fonctionnalités du Player Flash - voire refusent tout simplement d'afficher le Flash, comme l'iPhone (malgré l'insistance d'Adobe auprès d'Apple). L'édition européenne d'Adobe Max aura lieu à Milan, début décembre. (...)
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