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(13/11/2008 16:50:53)
L'April recrute des adhérents pour asseoir son influence
Objectif : doubler le nombre d'adhérents d'ici à la fin de l'année. L'April vient de lancer une campagne visant à attirer dans ses rangs un maximum de partisans du Libre. De 2 600 membres aujourd'hui, l'Association pour la promotion et la recherche en informatique Libre entend dépasser la barre des 5 000 adhérents avant 2009. Particuliers, entreprises de toutes tailles et de tous secteurs, collectivités sont donc invités à rejoindre l'April. Cette volonté d'augmenter le nombre des membres vise deux objectifs, explique Benoît Sibaud, le président de l'association : « D'une part, nous ne sommes ni perçus ni écoutés de la même façon avec 200 adhérents qu'avec dix fois plus. On a vu quels contacts nous pouvions avoir lorsque nous n'étions que 400, on constate la différence aujourd'hui. Il est maintenant beaucoup plus facile de décrocher des rendez-vous dans les cabinets ministériels, par exemple. Et ce sera encore plus simple avec davantage de membres. D'autre part, l'augmentation du nombre d'adhérents nous permet d'accroître le revenu issu des cotisations et donc de financer l'équipe de permanents. C'est le seul moyen dont nous disposons pour suivre dans la durée un grand nombre de dossiers. » L'April emploie aujourd'hui trois permanents et repose sur un budget d'environ 150 000 €. Un montant « issu pour plus de la moitié des cotisations, précise Benoît Sibaud, et qui est en augmentation. » Si le reste du financement provient de conventions passées avec des structures publiques ou privées, le président de l'association insiste sur l'importance des cotisations pour l'indépendance de l'association : « Quand on veut, par exemple, critiquer un projet de loi, il est difficile de reposer sur un financement public. » Tristan Nitot après Richard Stallman En 2007, la précédente campagne d'adhésion, alors parrainée par le gourou du Libre Richard Stallman, avait permis à l'April de quadrupler le nombre de ses membres. Celle qui vient d'être lancée bénéficie du soutien de Tristan Nitot, le président de Mozilla Europe qui, sur son blog, souligne que le Libre « permet à l'utilisateur de rester maître de son destin numérique ». Les grands chantiers auxquels s'attèlera l'association en 2009 mettront le cap sur l'Europe. « Nous allons relancer Candidats.fr [un site mis en place pendant la campagne présidentielle de 2007 pour recueillir les positions des candidats sur la question du Libre, ndlr] pour les élections européennes, détaille le président de l'April ; nous comptons également aider le Parlement européen à migrer vers les logiciels libres. » A côté de ces grands dossiers, les chevaux de bataille habituels de l'association ne seront pas délaissés : « nous continuerons à nous battre contre les brevets logiciels, la vente liée, etc. » (...)
(13/11/2008 16:37:36)Microsoft lifte sa plateforme Windows Live à la sauce Facebook
Microsoft veut donner un coup de jeune à sa plateforme Windows Live, dont la version bêta a été lancée il y a un an. A partir du mois de décembre, elle intégrera une quinzaine de nouveaux services sur une même page, comme la messagerie instantanée, les courriels, un diaporama, un agenda partagé, la possibilité de publier des photos ou des vidéos, ou encore de télécharger des applications. Microsoft a également revu l'interface graphique de sa plateforme. Moins encombrée, elle se présente sous la forme de blocs de contenu personnalisables. Ces services comprennent également la mise à jour d'Hotmail (qui offre depuis peu de temps un espace de stockage illimité et un filtre anti-spam amélioré) et de SkyDrive, son service de stockage en ligne, dont la capacité passe de 5 Go à 25 Go. Microsoft a par ailleurs noué des partenariats avec une cinquantaine de sites comme Digg, FlickR, Pandora, Twitter ou encore Wordpress afin de créer le « Quoi de neuf », un service qui permet aux utilisateurs de Windows Live de partager des documents avec des groupes d'amis. Dès qu'une modification est publiée sur l'un des sites partenaires, la mise à jour se fait automatiquement sur Windows Live sans que l'internaute soit obligé d'intervenir manuellement. Google, AOL, Facebook et MySpace ne font pas partie des sites partenaires de Microsoft - qui a pourtant investi 240 M$ dans Facebook en octobre 2007. Seul le partage de contacts est possible avec Facebook. Les nouveaux services comprennent Windows Live Profile (qui devrait être la page d'accueil du site), Windows Live Photo, Windows Live People (contacts et carnet d'adresses), Windows Live Groupe et Windows Live FrameIT (affichage des flux RSS). Ces améliorations propulsent Microsoft en concurrence directe avec des sites communautaires comme MySpace ou Facebook (120 millions de membres). (...)
(13/11/2008 13:50:09)L'action de Google passe sous la barre des 300 $
Pour la première fois depuis trois ans, le prix de l'action de Google est inférieur à 300 $. Il est passé de 311 $ à 288 $ en l'espace d'une journée, perdant ainsi 6,6% de sa valeur. Le titre Google n'a jamais été aussi bas depuis octobre 2005, lorsqu'il est tombé à 294 $. En novembre 2007, l'action de Google effleurait les 750 $, après une hausse de 30% en un mois. Comme d'autres acteurs IT, Google souffre de la révision du plan Paulson. L'actuel secrétaire d'Etat au Trésor américain Henry Paulson a en effet annoncé que les 700 Md$ d'aides financières votées par le Congrès américain seraient distribués au compte-gouttes. Ils serviront essentiellement à recapitaliser les institutions financières, le gouvernement n'entendant pas injecter de sommes pharaoniques dans des secteurs financiers à haut risque. La sanction de Wall Street ne s'est pas fait attendre : Yahoo a perdu 9,8% de sa valeur et flirte désormais avec les 10 $ (alors que Jerry Yang réclamait 37 $ par action à Microsoft), Sun chute de 10 % à 3,6 $, Microsoft perd 4,25%... A la veille de Noël, les investisseurs sont inquiets pour le marché de la publicité en ligne Ce sont également les estimations de grands groupes bancaires qui ont fait chuter l'action de Google. Malgré de bons résultats trimestriels (chiffre d'affaires en hausse de 31%, bénéfice net de 1,35 Md$, soit une progression de 20,7% par rapport au troisième trimestre 2007), Citigroup estime par exemple que le ralentissement économique finira par avoir un impact sur Google et sur le marché de la publicité en ligne, et ce malgré l'approche des fêtes de fin d'année. Il y a quelques mois IDC tablait pourtant sur un doublement de la publicité en ligne sur Internet d'ici à 2012. Mark Mahaney, analyste chez Citigroup, a déclaré « nous avons effectué plus d'une vingtaine de contrôles avec des acteurs du SEM (Search engine marketing, processus d'optimisation des liens sponsorisés sur Internet), avec des agences de publicité en ligne et des sites de vente en ligne. Nous sommes parvenus à la conclusion qu'au quatrième trimestre la croissance du marché de la publicité en ligne serait la plus faible jamais observée. » Toujours d'après Citigroup, la tendance ne devrait pas s'inverser avant 2010. Même son de cloche chez Best Buy, une chaîne de produits informatiques. Pour eux, le climat économique ambiant est « le pire jamais rencontré depuis 42 ans ». (...)
(13/11/2008 12:45:42)Partenariat Sun/Microsoft : la barre d'outils MSN associée à JRE
Microsoft plus gros client de Sun, qui l'eut cru ? Microsoft vient en effet de bouter la barre d'outils de Google du package distribué avec la machine virtuelle Java de Sun Microsystems. Les internautes qui téléchargeront JRE (Java Runtine Environment) pourront donc désormais installer, en remplacement, la barre d'outils MSN de Microsoft, intégrant notamment dans Internet Explorer un champ de recherche Live Search. Cette information est la conclusion du partenariat qu'ont dévoilé Microsoft et Sun en début de semaine. Jonathan Schwartz, le CEO de Sun, explique sur son blog avoir voulu remettre en jeu l'accord passé en 2005 avec Google. Un appel d'offres a donc été lancé, et « Microsoft a travaillé dur pour présenter l'offre la plus attractive ». Le groupe de Redmond, outre le chèque (le montant n'a pas été précisé) qu'il signera à Sun, s'engagerait d'après le patron de Sun à promouvoir MySQL, l'outil de gestion de bases de données de Sun pourtant concurrent de son propre SQL Server (Sam Ramji, patron de l'Open Source chez Microsoft, interrogé par LeMondeInformatique.fr, a démenti cette dernière information). Objectif de Microsoft : grignoter des parts de marché dans la recherche en ligne Le jeu en vaut la chandelle pour Microsoft, qui garde en ligne de mire les 91% de PC connectés à Internet sur lesquels est installé le moteur d'exécution Java. De quoi doper l'adoption de la barre d'outils et, surtout, du moteur de recherche de Redmond. « Avec la grande quantité d'applications Web basées sur Java qui sont téléchargées chaque mois, cet accord permettra à Live Search de toucher des millions d'internautes et d'attirer davantage d'annonceurs », explique Angus Norton, à la tête de Live Search, qui précise que les annonceurs réclament une fréquentation en hausse. L'éditeur de Windows montre, à travers ce partenariat, son impérieux besoin de relever la tête sur le terrain de la recherche en ligne, où il se fait tailler des croupières par Google. En août, selon Hitwise, 70% des recherches en ligne étaient réalisées sur Google, contre seulement 5% sur les sites Microsoft. En janvier 2007, Microsoft parvenait encore à s'arroger 10% du marché de la recherche en ligne. (...)
(13/11/2008 11:23:24)L'Afdel laisse entrer le logiciel libre et le SaaS
En clôture de son assemblée générale annuelle, l'Afdel (Association française des éditeurs de logiciels) a confirmé la création de deux nouvelles commissions. Mais pas n'importe lesquelles. Signe des temps, la première sera consacrée au SaaS et la seconde au logiciel libre. « La création de ce groupe Open Source, sujet qui n'a pas toujours été abordé sereinement dans notre pays, est conforme aux principes fondateurs de l'Afdel, insiste Patrick Bertrand, président de l'association. Il s'agit de développer la R&D, l'innovation et la création de logiciels en France, quel que soit le modèle économique ou technologique retenu. » L'Afdel semble avoir décidé de se défaire de l'image qui lui colle à la peau, celle d'une association d'éditeurs de logiciels propriétaires défendant corps et âme les brevets logiciels. La situation du logiciel en France, véritable puzzle de petites entreprises qui n'arrivent pas à croître (à l'exception des seuls Cegid et Dassault Systèmes), est sans nul doute une des raisons qui la pousse à une telle ouverture. La commission logiciel libre sera présidée par Bertrand Diard, CEO de Talend. La start up est devenue le premier membre Open Source de l'Afdel. Le SaaS pour faciliter l'accès des PME au logiciel Comme le Libre, le Saas remet en question le monde du logiciel traditionnel, techniquement mais surtout économiquement. « Pour les entreprises, cela transformera l'investissement en charge et fera baisser le coût d'accès logiciel », a rappelé Eric Besson, le secrétaire d'État chargé de la prospective, de l'évaluation des politiques publiques et du développement de l'économie numérique, venu clôturer la réunion. Le ministre rappelle que pour rattraper le retard numérique de la France, il sera essentiel d'améliorer « l'accès des petites entreprises au logiciel, et le SaaS peut être un moyen d'y arriver. » Pour présider la commission, l'Afdel a nommé Olivier Novasque, PDG de Sidetrade, éditeur de solutions d'optimisation de la relation financière clients en mode SaaS. L'Afdel se fend d'une charte du green IT [[page]]Décidément, l'Afdel bouge. Au Saas et à l'Open Source, l'association ajoute le green IT. Elle ne crée pas encore de groupe de travail sur le sujet, mais a rédigé une charte signée par tous les membres. Ce texte compte quatre points : la prise de mesures proactives pour augmenter l'efficacité carbone ; l'amélioration des produits des éditeurs pour que leurs clients participent mieux à la réduction des émissions carbone ; la participation en tant que profession au débat du green IT autour des normes et standards ; le développement de la prise de conscience par l'industrie des questions du développement durable. Eric Besson a profité de son allocution pour rappeler les mesures de son plan France Numérique 2012 consacrées au logiciel. « Lors de la préparation du plan, nous nous sommes penchés sur l'écosystème éditeurs, et nous avons identifié trois points à améliorer qui l'empêchent de se développer : la formation, l'accompagnement international et le financement du risque. » Une université du logiciel pour pallier le déficit de compétences informatiques [[page]]Ainsi, pour pallier le déficit de compétences auquel se heurtent les éditeurs, l'Afdel accompagne la création dans le plan France Numérique 2012 d'une 'Université du Logiciel'. Ce dispositif n'est pas un nouvel établissement d'enseignement mais prévoit une formation professionnalisante à l'issue des filières initiales de formation (licence et mastère dans un premier temps) dans un cadre d'alternance formation et entreprise. Des enseignements complémentaires aux seules technologies seront dispensés, tels que le marketing, le commerce et le droit associés à l'informatique et aux télécoms. Pour ce qui est de l'accompagnement international, via l'agence Ubifrance, dans dix villes clés du marché mondial du logiciel, le plan crée des postes de correspondants pour aider les entreprises dans leur développement. Enfin, le financement du risque sera étudié au travers du programme France Investissement lancé en 2006 pour accompagner les PME et qui va dresser un premier tableau de son action en faveur des jeunes pousses. L'Afdel évolue au coeur d'un écosystème toujours aussi fragile L'Afdel compte aujourd'hui 160 membres et devrait en réunir 200 dans les prochains mois, selon Patrick Bertrand. Elle évolue dans un marché français qui compte 2 500 sociétés employant 69 000 personnes pour un CA total de 7,5 Md€. Mais après les récents rachats de Business Objects par SAP et d'Ilog par IBM, elle ne compte plus que deux 'grands', Cegid et Dassault Systèmes. Moins de 20 sociétés ont un CA qui dépasse 50 M€. Pis encore, moins d'une centaine franchissent les 10 M€. Pourtant, véritable creuset d'innovation, ces éditeurs consacrent entre 20 et 30% de leur CA à la R&D. (...)
(13/11/2008 11:04:24)AMD respire, son Shanghai est en avance et plus performant que prévu
Plus jamais Barcelona. AMD se l'était promis. Et il ne cesse de se le rappeler et de le rappeler au monde. Alors pour l'arrivée de Shanghai, le fondeur insiste. La puce est en avance, plus performante que prévu et déjà portée aux nues par les OEM, les distributeurs et quelques clients qui le testent depuis près d'un mois. Shanghai devrait particulièrement apprécier la gestion de services Web ou de bases de données, et la virtualisation. Selon le fondeur, elle est « 30 à 35% plus performante que Barcelona mais 30 à 35% moins gourmande en énergie. » Shanghai devrait néanmoins coûter un peu moins cher que son prédécesseur. La puce est conçue en 45 nm et équipée de quatre coeurs, mais on le savait déjà. En revanche, alors qu'elle devait d'abord être disponible avec une fréquence de 2,5 GHz, elle atteint 2,7 GHz. Ce différentiel est dû à la technologie de fabrication de lithographie par immersion. Si elle n'est pas requise pour le 45nm, celle-ci le sera avec le 32 nm. L'utilisation de mémoire de type DDR-2 800 avec une bande passante plus grande et un système d'anticipation (prefetch) amélioré augmente les performances de Shanghai. Sans oublier les 8 Mo de cache total (interne et externe). Shanghai s'installe pour l'instant dans le même socket que Barcelona en attendant un nouveau modèle mi-2009 qu'il partagera avec l'hexa-coeur Istanbul. Un arrêt du coeur pour économiser l'énergie [[page]]AMD met l'accent sur deux technologies innovantes qui distinguent son nouveau bébé. Un peu de green IT, pour commencer. La fonction Smartfetch vise l'économie d'énergie lorsqu'un des quatre coeurs est sous-utilisé. Les coeurs ont chacun des mémoires cache de niveau 1 et 2, et partagent un cache externe de niveau 3 de 6 Mo. Le dispositif s'appuie sur ce dernier. Si un coeur reste inactif durant plusieurs cycles d'horloge, les données qu'il traite migrent vers ce cache de niveau 3. Et le coeur hérite tout simplement de la tension la plus basse possible. A noter que le temps de latence éventuel au « réveil » du coeur n'aurait pas d'incidence sur les performances. Lors du test SPECjbb2005 en environnement Java, Shanghai aurait réduit sa consommation énergétique de 21% grâce à cette fonction. Du côté de la très prisée virtualisation, Shanghai adopte RVI (Rapid Virtualisation Indexing), une gestion matérielle de la mémoire virtuelle et Tagged TLB qui réduit les délais de translation et de mapping des adresses pour accélérer la bascule d'une machine virtuelle à une autre. Mi-2009, AMD compte ajouter à cette liste la virtualisation des entrées/sorties. Au premier trimestre, il proposera aussi la version 3 de la connexion inter-processeurs Hypertransport dont le débit montera jusqu'à 17,6 Go/s. (...)
(13/11/2008 16:08:05)Cisco virtualise l'interface entre son offre SAN et l'environnement VMware
Cisco va collaborer avec VMware pour optimiser l'intégration de ses MDS (Multilayer DataCenter Switch) pour SAN (Storage area network) dans l'environnement virtuel du second baptisé VDC-OS (Virtual Datacenter OS). Pratiquement, les administrateurs pourront déplacer leurs serveurs physiques ou virtuels en préservant leur configuration vis-à-vis des commutateurs et des baies de stockage. Cette annonce s'inscrit dans le partenariat technologique entre les deux sociétés annoncé lors de la manifestation VMworld de septembre dernier. Ce partenariat pêche toutefois par un manque de précision sur la façon dont VD-OS, du côté de VMware, et Datacenter 3.0, du côté de Cisco, cohabiteront à terme. En effet, les deux projets visent tous deux à une supervision globale de l'infrastructure des systèmes d'information. (...)
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