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(19/09/2008 15:01:40)

Amazon prépare un service mondial de livraison de contenu

Amazon se prépare à lancer un service en ligne de mise à disposition de contenu. Ce projet de "Content Delivery Service" (CDS) vient s'ajouter à la douzaine d'autres AWS (Amazon Web Services) déjà existants. AWS CDS s'adosse d'ailleurs sur le service S3 (Simple Storage Service) de stockage en ligne. Le coeur de cible d'Amazon se compose de sociétés qui distribuent des contenus numériques (MP3, photos, vidéos) ou des logiciels téléchargeables. Mais ces services s'adressent à toutes les entreprises qui ont besoin de diffuser d'importantes quantités de fichiers de par le monde. Opérationnel d'ici la fin de l'année Comme tout service en ligne, AWS CDS présente l'avantage de décharger ses utilisateurs de la gestion de ressources de stockage physique et de proposer une facturation à l'usage. Amazon affirme que son CDS est facilement accessible par l'entremise d'un jeu d'API. L'offre devrait passer du stade de bêta privée à celui de service opérationnel d'ici la fin de l'année. Amazon devrait alors donner des détails sur son coût. Il est prévu qu'AWS CDS soit proposé sur les continents américain, européen et asiatique. (...)

(19/09/2008 14:44:18)

Pas de bonus-malus écologique en dehors de l'automobile, pour l'instant

Finalement, le bonus-malus écologique devrait se cantonner à l'automobile. Au fil des mois, Jean-Louis Borloo avait pourtant évoqué des extensions possibles à l'électroménager, aux écrans plats, et pourquoi pas à l'informatique et à l'électronique ? Résultat : tout comme Michèle Alliot-Marie pour cause d'Edvige, le ministre de l'Ecologie devait être reçu à l'Elysée en fin d'après-midi pour rendre des comptes. Il sera accompagné du ministre du Budget, Eric Woerth, et de la secrétaire d'Etat à l'Ecologie, Nathalie Kosciusko-Morizet. Hier, le premier ministre, François Fillon, s'était montré particulièrement hostile à toute nouvelle taxe verte. Selon l'AFP, de source gouvernementale, « la réunion est destinée à "mettre à plat toutes les mesures du Grenelle", alors que la question reste soumise à l'arbitrage du président de la République. » Un coup de poignard au Grenelle de l'environnement selon Noël Mamère, député-maire Verts de Bègles. Et d'expliquer chez nos confrères pourquoi le renoncement aux taxes écologiques est bel et bien une aberration économique : « aujourd'hui, nous payons très cher, au travers de la sécurité sociale, les polluants présents dans certains produits qui provoquent des maladies. Une fiscalité écologique entraînerait de vraies économies. » Une pollution dissimulée mais bien réelle Depuis l'an dernier, avec ce bonus-malus, les acheteurs de véhicules considérés comme peu polluants bénéficient d'une aide de l'état alors que les véhicules que l'on estime plus polluants doivent s'acquitter d'une taxe. Si les automobiles émettent de façon évidente des gaz à effets de serre, la pollution induite par les matériels électroniques et informatiques est davantage dissimulée, mais bien réelle. Substances chimiques toxiques, métaux lourds, produits non recyclables, la liste est longue. Il suffit de consulter régulièrement 'Guide to Greener Electronics' de Greenpeace pour s'en faire une idée. A noter par exemple qu'on ne sait toujours pas comment recycler la plupart des écrans plats du marché. Au mieux, les entreprises chargées de les démanteler conservent les dalles tout en travaillant en parallèle sur des processus de recyclage adaptés. (...)

(19/09/2008 12:34:49)

Trimestriels : Oracle traverse la crise avec une croissance de 18%

Malgré la crise financière qui ébranle actuellement la plupart des acteurs IT, Oracle parvient à maintenir la barre et à surprendre les attentes des analystes. L'éditeur californien poursuit sa lancée prometteuse de 2008 : le chiffre d'affaires grimpe de 18% par rapport à la même période de l'année dernière, à 5,3 Md$, et le bénéfice net s'envole à 1,1 Md$, soit une hausse de 28%. Dans le détail, ce sont les ventes de licences et les revenus récurrents qui sont le moteur essentiel de cette croissance. Ils ont en effet généré un chiffre d'affaires de 4,3 Md$ (+21%), surtout grâce aux revenus de la maintenance, qui représente à elle seule plus de la moitié du chiffre d'affaires d'Oracle sur le trimestre. La vente de nouvelles licences permet à Oracle d'engranger 1,2 Md$ supplémentaires, soit 14% de plus que l'an dernier. La mise à jour et le support des produits enregistrent également une belle croissance de 24%, à 3 Md$. La progression des services est plus modeste, mais toujours dans le vert (1,2 Md$, soit une hausse de 9%). Pas de commentaires sur l'impact des hausses de tarifs Les résultats d'Oracle ne semblent donc pas être affectés par l'augmentation importante des tarifs de certaines solutions annoncée en juin dernier (entre 15% et 20% pour les SGBD et les infrastructures, jusqu'à + 50% pour les produits BEA acquis en janvier 2008). L'éditeur a toutefois refusé de s'exprimer sur l'impact de cette inflation sur les décisions stratégiques de sa clientèle, estimant qu'il était trop tôt. Selon Gartner, Oracle détient 49% du marché des bases de données, devant IBM, Microsoft, Teradata et Sybase. Cette position permet à l'éditeur « d'investir dans l'amélioration de ses produits », a commenté Larry Ellison, CEO d'Oracle, lors d'une conférence téléphonique. (...)

(19/09/2008 12:11:49)

Nvidia va supprimer 6,5% de ses effectifs

Nvidia va supprimer plus de 6% de ses effectifs dans le monde. Mardi dernier, la direction du fabricant américain de cartes graphiques a en effet annoncé un plan de restructuration qui se soldera par 360 postes supprimés. Les premiers départs interviendront dès la fin du mois d'octobre. Les personnes concernées par ces réductions de postes pourront bénéficier d'importantes mesures d'accompagnement (conseil, outplacement), a indiqué le fournisseur californien, en précisant que le montant des charges de restructuration se situerait entre 7 M$ et 10 M$. Le fabricant a également ajouté, par voie de communiqué, que ces coupes lui permettraient de continuer à investir dans des domaines considérés comme stratégiques, tels que la technologie Nvdia Cuda (Computer Unified Device Architecture), développée en langage C, ou encore Tegra, puce tout en un pour mobile. Grâce à ce virage, Nvidia compte renforcer sa compétitivité et améliorer ses performances financières. Le remplacement des puces aura coûté 196 M$ Ce plan de suppression intervient alors qu'il y a à peine un mois, Nvidia annonçait que le remplacement de ses puces défectueuses sur des portables Dell et HPlui avait coûté la somme de 196 M$. Cette annonce s'ajoute à un contexte économique défavorable, aux réductions de prix destinées à résister à la concurrence et à certains retards dans le lancement de nouveaux produits. (...)

(19/09/2008 11:24:11)

Xeon 7400 : un six-coeurs pour la virtualisation et la consolidation de serveurs

Nehalem est peut être bientôt là, mais l'ancienne architecture de processeurs d'Intel n'est pas morte. Intel l'a utilisée pour sortir une nouvelle série de processeurs pour serveurs. Anciennement connue sous le nom de code Dunnington, cette série Xeon 7400 rassemble 1,9 milliard de transistors sur une seule galette de silicium. Elle est gravée en 45 nanomètres avec l'isolant 'high-k metal gate'. Six versions différentes du 7400 sont disponibles et les versions proposées montent jusqu'à 2,66 GHz en fréquence, tout en consommant a minima 55 watts (65 watts en moyenne pour les plus nombreuses). Le tout avec 16 Mo de cache de niveau 3 partagé par l'ensemble des coeurs et 3 Mo de cache pour chacun d'entre eux. Les prix de vente vont de 856 dollars à 2 729 dollars par lot de mille. Un socket commun, de nombreux serveurs déjà disponibles Partageant le même socket que l'ancienne génération de 7300, les Xeon 74000 peuvent s'installer sur des serveurs allant de 4 à 16 sockets. Ils disposent déjà d'une offre assez large de serveurs : Dell, IBM, Fujitsu-Siemens, Sun ont annoncé les leurs. Ces matériels seront principalement destinés à des applications transactionnelles et serviront à consolider les salles de serveurs en s'appuyant sur la virtualisation. [[page]] Sur les applications transactionnelles, Intel promet des performances de 14 (pour l'e-commerce) à 48 fois (pour les bases de données) supérieures à celles de l'ancienne génération. Côté virtualisation, le 7400 intègre les technologies VT (VT-x au coeur du processeur, VT-d pour la gestion des entrées/sorties et VT-c pour les connexions réseau). Le tout favorisant une migration fluide des machines virtuelles d'un serveur à l'autre en cas de besoin. Et permettant ainsi de réelles économies. Une économie de 430 000 euros sur la facture d'électricité Pour illustrer les capacités de consolidation de serveurs, Intel cite le cas de Turtle Entertainment, une société allemande spécialisée dans l'organisation de compétitions « d'e-sports » (jeux vidéos à un niveau professionnel ou semi-pro), hors ligne et en ligne. Jusqu'ici les 150 jeux (sur PC et consoles) accessibles en compétition à partir de leur site étaient installés sur un serveur dédié. En utilisant des serveurs dotés de Xeon 7400 et en utilisant des machines virtuelles pour chaque jeu, Turtle Entertainment a consolidé sa salle de serveurs avec un ratio de 18 pour 1. Soit une économie totale de 430 000 euros rien qu'en réduisant la facture d'électricité. (...)

(19/09/2008 11:16:30)

Microsoft voit la virtualisation en produit d'appel pour son offre d'administration

A ceux qui se demandaient comment Microsoft va faire de l'argent en proposant gratuitement son hyperviseur, Hyper-V, l'éditeur répond par la voix de Bob Visse, directeur marketing de la division serveur. « Tout l'argent dans la virtualisation se fera par le biais d'outils d'administration. L'hyperviseur est juste un utilitaire qui doit être gratuit. » Alors que Hyper-V était présenté comme une option payante de Windows Server 2008, il servira en fait de produit d'appel pour les différents outils d'administration de Microsoft concernant les serveurs, les postes de travail, les images disques ou simplement les applications. Le tout fonctionnant aussi bien pour les serveurs physiques que les machines virtuelles. Ce qui élimine le besoin de développer des logiciels comme Vmotion pour faciliter la migration des machines virtuelles. « L'ensemble de nos outils aide les systèmes à s'autoréparer et à faire des migrations automatiques. » Allant même jusqu'à la gestion de la consommation électrique. Compatible avec l'Enhanced Intel Speedstep Technology d'Intel, Hyper-V peut travailler à affiner la consommation électrique liée à la charge de travail de chaque machine virtuelle installée sur un serveur. Et pour tirer parti des six coeurs du processeur Xeon 7400, l'Hyper-V peut maintenant gérer jusqu'à 4 sockets et 24 coeurs en même temps. (...)

(19/09/2008 08:57:44)

IBM étend son programme de migration de serveurs à ses System z

IBM a décidé d'étendre à ses grands systèmes son programme de migration depuis des serveurs concurrents vers sa propre gamme. Il ouvre ainsi au System z le Migration Factory Program, jusque là réservé à ses autres serveurs, les Power Systems. « Réduire la complexité de l'administration, rationnaliser les actifs et ... déployer une informatique plus verte ! » Les arguments de Big Blue reprennent les qualités connues de ses mastodontes, en repeignant certaines d'entre elles d'une indispensable petite couche de vert. Ainsi, comme le rappelle le géant, un System z10 EC équivaut en puissance à quelque 1500 serveurs x86 mais occupe 85% d'espace en moins et réduit d'autant les coûts énergétiques. De l'évaluation de la consolidation à la validation de la migration Le programme Migration Factory pour System z comprend des évaluations gratuites pour une démarche de consolidation de serveurs ou le support à une migration SAP. Il intègre des services de migration logicielle (portage, migration du code, contrôle des risques associés à une migration applicative) et l'intégration du middleware. Bien sûr, IBM y ajoute des mises à jour systèmes et applicatives vers de nouvelles plateformes, l'assistance technique aux clients et aux partenaires, et enfin les tests et la validation de la migration. Rien qu'en 2008, IBM aura consacré 200 M$ et 800 employés dans le monde à ses programmes de migration de serveurs. Il aurait tort de ne pas en investir une partie sur les mainframes. On ne cesse depuis le début du millénaire de répéter que le mainframe n'est pas mort. Pour le prouver, IBM rappelle que son C.A. dans le domaine a plus que doublé depuis 2000. (...)

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