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(02/12/2011 10:00:15)
Revevol, spécialiste des Google Apps, étoffe son réseau de partenaires et de compétences
Revevol poursuit son développement, toujours autour des deux axes initiaux de développement : consolider la couverture géographique et augmenter le nombre de produits distribués. « Le développement international est au centre de notre développement, nous voulons couvrir tous les pays du G20 » souligne Laurent Gasser, son CEO.
Certains partenaires deviennent des pôles de compétences transnationaux, celui de Milan devenant le spécialiste BPM, en France une compétence CRM se développe à Strasbourg. Chaque entité du groupe dans le monde pourra s'appuyer sur leurs développements. Revevol se veut le 1er network et plus seulement le 1er intégrateur Google Apps au monde. Le groupe travaille également sur des développements verticaux, par métiers.
En région, où Revevol cherche également à s'implanter avec des partenaires intégrateurs, il a 7 partenaires sur Lyon, Marseille, Lille, Nantes, Strasbourg.
Thibaut Ceyrolle prend la direction de BMC Software France
Promotion chez BMC Software. La filiale française de l'éditeur de logiciels de gestion d'infrastructure se dote d'un nouveau dirigeant avec la nomination de Thibaut Ceyrolle au poste d'Area Director France. Depuis juin 2010, ces fonctions étaient assurées par l'américain Brian Marvin qui reste dans les rangs de l'entreprise mais aux Etats-Unis désormais. Agé de 35 ans seulement, son successeur, devrait pouvoir compter d'ici quelques temps sur une équipe commerciale renforcée dans l'Hexagone.
Déjà collaborateur de BMC Software France depuis 2006, Thibaut Ceyrolle en était jusqu'ici le responsable des secteurs opérateurs télécoms et bancaires. Présent sur le marché de l'IT dans des fonctions liées à la vente depuis douze ans, il a notamment occupé des postes de management et de responsable commercial dans la SSII Devoteam.
Logiciels espions pour mobiles : une tentation grandissante
« Je me souviens, il y a huit ans, je buvais un verre avec des amis et je leur ai parlé de ma situation personnelle. Il s'agissait d'une histoire d'infidélité avec une ancienne petite amie », a expliqué Atir Raihan. N'aurait-il pas été intéressant, poursuit-il, qu'une technologie puisse permettre d'aller au fond des choses ?
En voyant là l'occasion de développer une opportunité commerciale, ainsi qu'un moyen de régler son dilemme personnel, et Atir Raihan a installé en Thaïlande son entreprise baptisée Flexispy pour développer un produit du même nom capable de traquer secrètement les appels et les messages texte envoyés à partir d'un téléphone mobile. Flexispy ne peut pas être installé à distance, de sorte que l'utilisateur doit mettre la main sur le téléphone et télécharger le logiciel sur l'appareil. Une fois installé, le programme enregistre tous les messages texte et les appels sur l'appareil. Il peut aussi permettre d'écouter une conversation à distance et d'utiliser le circuit GPS pour suivre en temps réel la localisation d'une personne.
Des produits de plus en plus nombreux
Depuis sa sortie en 2004, des produits similaires ont surgi comme Mobile Spy, qui est présenté comme un moyen d'espionner ses enfants et ses employés, et MobiStealth, destiné aux parents, aux dirigeants et aux forces de police. Alors que ces produits sont utilisés dans le monde entier, ils semblent tout particulièrement avoir ciblés la Chine. 10 000 utilisateurs environ sont «infectés» chaque mois par Flexispy, estime Zou Shihong, vice-président de NetQin, une société spécialisée dans la sécurité mobile.
Dans un petit échantillon mensuel des clients chinois de la compagnie, 1 000 utilisateurs se sont retrouvés piégés par Flexispy sur leurs téléphones, précise M.Zou. En revanche, l'entreprise n'a trouvé que 300 cas sur un même échantillon de clients, mais aux États-Unis, selon l'entreprise.
Des question éthiques et juridiques se posent quant à l'usage
Des produits comme Flexispy suscitent bien évidemment des questions d'ordre éthique et juridique. Et comme, il n'est pas illégal dans la plupart des pays d'acheter un tel logiciel, certaines personnes peuvent être tentées de l'utiliser en toute illégalité cette fois. Sans une ordonnance du tribunal, les écoutes téléphoniques sont en effet illégales dans la plupart des pays. L'altération du téléphone d'une personne est également un délit. « Ces produits violent la vie privée », a déclaré Zhang Qiyi, un avocat chinois, où le gouvernement a tenté d'interdire Flexispy avec un succès mitigé.
Une fois le programme installé sur un terminal mobile, les données sont secrètement acheminées vers un serveur exploité par Flexispy. L'utilisateur peut se connecter au serveur pour lire les messages texte et consulter le journal des appels. Le logiciel peut également activer le micro du téléphone, de sorte qu'il peut être utilisé comme un moyen d'écouter les conversations à proximité.
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Moyennant des frais d'abonnement annuel compris en 149 et 349 dollars aux États-Unis, selon les fonctionnalités, il est possible d'utiliser ce sur la plupart des terminaux mobiles : l'iOS d'Apple, l'Android de Google, le Windows Phone de Microsoft ou encore le Symbian de Nokia.
En 2007, un an après sa mise en vente en Chine, les autorités ont décidé d'interdire sa vente. Le mot « Flexispy » a même été bloqué sur les moteurs de recherche et les réseaux sociaux chinois, le site de microblogging Sina Weibo par exemple .
Mais Flexispy a encore de nombreux fans en Chine et on le trouve sur de nombreux sites web. Des imitations du logiciel circulent également. « Dans un cas le plus étonnant, nous avons trouvé un clone chinois parfait de notre site web, proposant à la vente une version craquée de notre produit », a expliqué Marc Harris, un porte-parole de Flexispy. Le produit est encore légalement en vente en Thailande et accessible sur le web.
Des petites préventions
Un produit similaire, Spyera, se porte également très bien en Chine indique le propriétaire de l'entreprise Mihat Oger. « Nos ventes ont augmenté de 17% de 2009 à 2010 et augmenté de 32 % de 2010 à 2011 », ajoute M.Oger, précisant qu'une part importante de cette croissance a été stimulée par l'augmentation des ventes de smartphones.
Les sociétés Flexispy et Spyera indiquent avoir pris des mesures pour garder leurs produits licites. Ils les ont conçus de tels sorte qu'ils ne peuvent pas être installés à distance. Flexispy avertit également ses clients que l'utilisation de son produit sans le consentement de la personne ciblée pourrait être illégal. «Notre marketing est axé sur la découverte des tromperies d'un partenaire ou la protection des activités d'un enfant sur un mobile », a déclaré M. Harris. « Cependant, il est un fait avéré que dans la vie que pratiquement tout peut être utilisé illégalement. ... La responsabilité repose sur l'utilisateur, et non sur le produit. »
Pas encore d'espionnage industriel
Le fournisseur de solutions de sécurité F-Secure a étiqueté Flexispy que dans la liste des logiciels malveillants dans le passé. Pourtant, alors que ces programmes ont un très gros potentiel en matière d'abus, dans la plupart des cas qui ont été étudiés Flexispy a été utilisé pour espionner un conjoint plutôt que quelque chose comme l'espionnage industriel, a déclaré Mikko Hypponen, chercheur chez F-Secure.
Tyler Shields, un chercheur de la firme de sécurité VeraCode, a noté que parce que les données collectées sur des téléphones sont renvoyées à un serveur exploité par Flexispy, son utilité pour une entreprise criminelle est limitée. «Si j'étais un pirate, je ne voudrais pas que toutes les données volées puissent être renvoyées sur un serveur Flexispy. Pour un criminel, il ne s'agit pas d'un outil très utile. »
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En Chine, Flexispy et ses variantes sont mieux connus que «XWodi», qui se peut ses traduit par « sous-couverture ». Les recherches en ligne révèlent une longue liste de sites qui prétendent vendre des produits similaires à Flexispy. La plupart de ces sites, cependant, ne sont que des escroqueries, et ne proposent à la vente que de faux logiciels espions, a déclaré Li Tiejun, un ingénieur travaillant chez le fournisseur d'anti-virus chinois Kingsoft. «Certains sont réels», précise-t-il pourtant. Le danger que Flexispy soit secrètement installé sur le téléphone d'un utilisateur est cependant minime par rapport à des logiciels espions malveillants capables de toucher un plus grand nombre de combinés en Chine, a-t-il dit.
Chaque mois, Kingsoft trouve des spywares de plus en plus sophistiqués. En août, la société a découvert un programme qui vient s'enterrer dans une application Android apparemment anodine, et qui enregistrait tous les appels téléphoniques et les messages texte de l'utilisateur. On ne sait pas pourquoi le programme a été élaboré. Les créateurs auraient pu l'utiliser pour recueillir des informations pour marketing, qu'ils auraient pu revendre aux parties intéressées, a dit M. Li.
Une efficacité redoutable
Plusieurs fournisseurs d'XWodi en Chine ont été contactés par notre correspondant, mais elles ont toutes refusées d'être interviewées. Flexispy et Spyera n'ont pas voulu révéler leurs chiffres exacts de ventes. Mais à côté des problèmes d'infidélité, les entreprises affirment que leurs logiciels espions sont généralement utilisés pour surveiller les employés ou suivre les activités des jeunes enfants, des adolescents et des personnes âgées incapables de s'occuper d'eux-mêmes.
Atir Raihan a maintenu qu'il n'a jamais voulu que son produit soit utilisé à des fins illégales. «Il y a assez d'affaires sur le marché légitime. Il n'est pas nécessaire pour nous qu'il soit utilisé dans d'autres situations», a-t-il dit. Atir Raihan a depuis revendu son entreprise Flexispy à une autre société. Quels que soient ses mérites, il est la preuve que le logiciel peut atteindre son objectif. Après avoir aidé à construire Flexispy, il a donné à sa petite amie à l'époque un téléphone portable avec le logiciel installé. « Elle me trompait », a-t-il dit. « Je l'ai utilisé et il m'a vraiment ouvert les yeux. »
Lenovo pourrait rattraper HP sur le marché des PC
Avec la montée de Lenovo sur le marché des PC, HP est confronté à un sérieux défi pour conserver la place de numéro un qu'il occupe sur ce segment depuis un certain temps. Poussé par la forte augmentation de ses livraisons de PC, Lenovo s'est classé devant Dell au cours du troisième trimestre et a commencé à monter en force pour ravir la première place à HP, selon une étude publiée par le cabinet iSuppli. C'est une avancée impressionnante pour ce groupe qui était placé au quatrième rang au cours du premier trimestre 2011.
Même si le marché mondial des PC n'a progressé que de 5,5% au 3ème trimestre, le constructeur chinois a réalisé de bonnes performances, avec une croissance de 14,5% et 12,5 millions d'unités livrées sur cette période, contre 10,9 millions de machines vendues au cours du trimestre précédent. La firme, qui représente à elle seule 13,9% des ventes mondiales de PC, ne possède plus que 4,2 points d'écarts avec le numéro un HP. Selon iSuppli, Lenovo est le concurrent qui s'est le plus rapproché de HP depuis le 2ème trimestre 2008, lorsque Dell était à 2,7 points du numéro un.
Les ventes progressent sur le marché chinois
« Lenovo continue de capitaliser sur la forte demande pour les PC sur son marché local, en Chine », relève Matthew Wilkins, analyste chez iSuppli. Alors que les ventes de PC aux Etats-Unis, en Europe et dans beaucoup d'autres régions souffrent à cause de mauvaises conditions économiques et de la concurrence croissante des tablettes, les ventes de PC de bureau et de portables demeurent au contraire très fortes en Chine. Cela a permis à Lenovo de dépasser ses concurrents américains, et d'être en mesure de disputer la première place du marché à HP. »
Le rapport publié par iSuppli fait écho aux analyses du cabinet Gartner réalisées en octobre dernier. Ce dernier avait noté que Lenovo avait bondi en cours du troisième trimestre pour reprendre la deuxième place à Dell, créditant la firme de faire du "marketing agressif" à la fois sur les marchés professionnels et grand public.
HP a l'air prêt à relever le défi après les turbulences rencontrées cet automne. En août, le Californien avait annoncé qu'il envisageait de céder son activité PC. Tandis que la firme reconsidérait la question et décidait finalement de maintenir sa division PC, cette possibilité avait créé un certain émoi dans l'industrie IT. Michael Dell, patron de Dell avait déclaré plus tard que cette confusion avait créé des opportunités chez les autres fabricants de PC. «Toute incertitude ou toute confusion qui existe génère des opportunités » avait-il déclaré, en octobre dernier lors du Web 2.0 Summit de San Francisco. « Les clients pensent à ce qui se passera dans un an ou deux et cela érode leur confiance. »
(...)
Stec annonce un SSD alliant performance et longévité
Grâce à un contrôleur flash de quatrième génération et un nouveau code de correction d'erreurs de bit, le disque SSD ZeusIOPS XE (Extreme Endurance) à base de mémoire flash MLC de Stec peut réaliser au moins 30 cycles d'écritures complets à capacité maximale par jour, pendant cinq ans, selon le constructeur. Proposés en version 300 Go et 600 Go, les SSD de Stec peuvent atteindre 500 Mbt/s en vitesse de lecture et de 275 Mbt/s en écriture. Par ailleurs, ils supportent jusqu'à 115 000 I/O par seconde (IOPS) en lecture et jusqu'à 70 000 en écriture. Les disques ZeusIOPS XE offre un temps de latence pouvant aller jusqu'à 50 microsecondes. Ils disposent aussi d'une interface Serial-Attached SCSI (SAS) de 6Gbps. Pour l'instant, Stec n'a pas fourni d'indication sur le prix de ses disques.
La longévité du XE ZeusIOPS SSD est due à l'utilisation par le fabricant de ses propres contrôleurs SSD quatrième génération à base ASIC et de son logiciel CellCare. Ce dernier gère la correction d'erreurs de bit, mais aussi calcule l'usure du disque en utilisant des algorithmes adaptatifs de gestion de la mémoire flash et des techniques avancées de traitement du signal. La mémoire flash MLC s'use plus rapidement au fil du temps, si elle n'est pas correctement surveillée et adaptée. La technologie CellCare contrôle de manière proactive la santé de la mémoire flash pendant toute la durée de vie du lecteur.Corrections d'erreurs renforcées et pertes de données évitées
L'utilisation des techniques de correction d'erreur ECC (Error Correction Code) permet une meilleure protection contre les erreurs au niveau du média et améliore l'endurance du SSD en situation de travail intensif, sans limiter les performances du disque. Selon le constructeur, les SSD ZeusIOPS XE sont parfaitement adaptés à des applications d'écriture intensives et garantissent la résistance nécessaire pour soutenir la mise en cache côté serveur, l'auto-tiering (hiérarchisation automatique des données), la gestion des métadonnées et l'enregistrement séquentiel des évènements, et les applications analytiques. En se basant sur la valeur de 30 cycles d'écritures par jour pendant 5 ans à pleine capacité, Stec affirme que le SSD 600 Go peut supporter jusqu'à 33 pétaoctets de données en écriture pendant son cycle de vie.
Afin d'améliorer encore plus la fiabilité du SSD à base de MLC, les disques ZeusIOPS XE intègrent la technologie Secure Array of Flash Elements (S.A.F.E) du constructeur qui empêche les pertes de données susceptibles d'affecter la mémoire flash MLC. Elle offre la possibilité de récupérer des erreurs de la mémoire NAND flash à plusieurs niveaux, bloc, unité de traitement et puce. Selon STEC, le logiciel S.A.F.E. présent dans le contrôleur est utilisé pour organiser les données en bandes, lesquelles sont ensuite réparties sur différents blocs de la mémoire flash. Pour conclure, Scott Stetzer, vice-président Technical Marketing, chez Stec déclare « notre solution SSD ZeusIOPS XE est une réponse directe aux demandes croissantes des clients pour des solutions très résistantes pour des activités d'écriture extrêmes, associées à une mise en cache et une journalisation des applications
(...)(01/12/2011 16:31:44)
Oracle fait coexister Fusion Applications avec l'existant
Quelques semaines après l'ouverture de son cloud public annoncé sur OpenWorld 2011, Oracle a dépêché à Paris son vice-président Chris Leone, responsable de la stratégie sur les applications pour le groupe. Sa mission : présenter l'offre Fusion Applications aux clients français. Annoncée en disponibilité générale sur OpenWorld 2011, cette offre modulaire résulte de six années de réécriture et rassemble une centaine de modules qui peuvent être installés sur site, en cloud privé ou s'utiliser dans un cloud public. Les modules de gestion de la relation client (Fusion CRM) et de gestion des ressources humaines (Fusion HCM) sont disponibles sur le cloud public d'Oracle.
Ce matin, Chris Leone a rappelé la complémentarité de Fusion Applications avec les solutions d'Oracle que les entreprises ont déjà installées, notamment ses ERP (E-Business Suite, JD Edwards et PeopleSoft), mais aussi le CRM Siebel. Sur ce point, Chris Leone a été très clair. Fusion Applications ne vient pas déloger l'existant. « Nous continuons à investir dans toutes nos suites applicatives et à les faire évoluer. Continuez à les mettre à jour. Regardez ensuite dans notre offre middleware s'il n'y aurait pas une ou plusieurs briques qui pourraient vous intéresser et envisagez des opportunités de coexistence avec Fusion Applications. »
Lui-même a présenté plusieurs scénarios de coexistence, en insistant sur Fusion CRM et sur les modules de gestion des talents utilisés en mode SaaS (software as a service). Il a également évoqué l'intégration de Fusion Applications avec les solutions de gestion non Oracle, notamment via un module intermédiaire (Accounting hub). Sans oublier la dimension mobile et l'utilisation des logiciels sur tablettes.
Chris Leone a rappelé que les outils entourant Fusion Applications permettaient de configurer différents rôles d'utilisateurs dans l'entreprise. Il a également souligné la mise à disposition de modèles de processus métiers et d'une série d'outils pour personnaliser les applications à différents niveaux (données, processus, reporting, pages).
Réseau social et BI au sein des processus métiers
A l'heure de Facebook et Chatter, Oracle n'a pas oublié d'insérer la dimension « réseau social » dans Fusion Applications. « Nous savions dès le début qu'il nous faudrait le faire », a affirmé ce matin Chris Leone. « Je peux créer des groupes et des équipes de personnes qui interagissent, avec des flux d'activité mis à jour en temps réel. Ce que nous avons voulu faire, c'est intégrer les fonctionnalités de réseau social dans les processus métiers ». De la même façon, Oracle a intégré la Business Intelligence au sein de Fusion Application, sous différentes formes : tableaux de bord, BI mobile, support à la décision, optimisation en temps réel. Dans ce domaine, Chris Leone a expliqué comment Oracle avait répliqué, dans l'offre gestion des talents, certaines fonctions BI qui avaient montré leur efficacité dans le CRM. En l'occurrence, afin de repérer les collaborateurs qui risquaient de quitter l'entreprise, l'éditeur applique aux données RH des modèles utilisés pour lutter contre l'attrition des clients.
Le vice-président d'Oracle explique que de nombreux entreprises s'intéressent à des déploiements hybrides combinant des applications existantes installées sur site et en cloud privé, tandis que d'autres seront exploitées en cloud public. Il cite plusieurs clients (Principal Financial Group, Green Mountain Coffee, Alcoa), déjà présentés sur OpenWorld 2011, représentatifs des multiples possibilités de déploiement. Au passage, Chris Leone souligne que l'outil de réseau social d'Oracle est proposé en mode SaaS, comme un produit indépendant, et qu'il peut aussi être installé par les entreprises à l'intérieur de leur pare-feu.
Illustration : Chris Leone, VP d'Oracle, responsable de la stratégie pour les applications, sur OpenWorld 2011 (Photo Courtesy of Hartmann Studios)
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