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(26/02/2008 17:14:06)
VMworld 2008 : VMware peaufine la virtualisation du poste de travail
« Le bureau virtuel est le futur de la virtualisation. » Diane Greene, PDG de VMware, à l'occasion de VMworld 2008 à Cannes, annonce clairement la couleur. La virtualisation du poste de travail est bien un créneau sur lequel la société avance. Et elle compte bien développer ses offres existantes, Virtual Desktop infrastructure (VDI) et ACE sur ce marché très prometteur. IDC estime que le marché de la virtualisation du desktop devrait dépasser le milliard de dollars d'ici à 2011. Si Diane Greene juge cette analyse « agressive », la société poursuit ses expérimentations sur le segment. VMworld 2008 a ainsi été témoin de la démonstration en avant-première de deux technologies sur lesquelles VMware travaille. Côté utilisateur d'abord, Offline VDI permet de travailler sur son environnement de travail virtualisé depuis un serveur distant, en mode déconnecté. Une fois reconnecté, la machine virtuelle est copiée sur le serveur, assurant la synchronisation de l'ensemble. Côté administrateur, Scalable Virtual Image permet la configuration et le déploiement de plusieurs images de machines virtuelles à partir d'un master central. « Cela permet de gérer tout les desktops virtualisés à partir d'une unique image. De plus, il réduit les besoins en stockage », ajoute Jerry Chen, directeur d'Enterprise Desktop chez VMware. Dans la foulée, VMware a annoncé intégrer les technologies de Thinstall, société rachetée en début d'année et qui permet d'exécuter en toute sécurité une application sans installation, technologie devenue pour l'occasion Application Virtualization Technology. « La combinaison de toutes ces offres desktop constitue le futur du VDI, explique Jerry Chen. Les pays émergents peuvent par exemple être une cible ». (...)
(26/02/2008 16:59:17)Un hexa-coeur chez Intel avant la fin de l'année
Intel devrait lancer un Xeon à six coeurs avant la fin de l'année. C'est ce qui ressort d'un document présenté par le fondeur à Sun, et malencontreusement laissé en ligne par ce dernier. Certes peu de temps, mais suffisamment pour que nous vous présentions les grandes étapes de la feuilles de route d'Intel en matière de plateformes serveurs. Dans un premier temps, au cours de la seconde moitié de l'année, les processeurs Dunnington et leurs six coeurs devraient voir le jour. Derniers nés de la famille Penryn, ils succèderont aux Tigerton, qui réunissaient deux bi-coeurs gravés en 65 nm. Avec Dunnigton, Intel passe à l'étape supérieure en casant trois paires de coeurs sur une même puce. Penryn oblige, ils bénéficieront d'une gravure en 45 nm, ce qui limitera leur consommation, Intel tablant sur une dissipation thermique de 130 W. Les six coeurs se partageront 16 Mo de cache de troisième niveau et chaque paire héritera de 3 Mo de cache L2. Les utilisateurs actuels de Xeon récents pourront lâcher un soupir de soulagement en apprenant que Dunnington reposera sur le même socket que la gamme Tigerton. La feuille de route d'Intel réserve une surprise plus grande que Dunnington, qui n'est finalement qu'une déclinaison logique des bi- et quadri-coeurs du fondeur. La génération de CPU Nehalem, qui sortira après les hexa-coeurs, devrait en effet trancher avec la tendance suivie depuis plusieurs années par Intel en ce qu'elle reposera sur une architecture modulaire, permettant de greffer trois ou quatre paires de coeurs - voire davantage. Le fondeur y inclura également un bus de transport interne et un contrôleur mémoire, comme l'indiquait Kirk Skaugen, vice-président en charge des plateformes serveurs, au MondeInformatique.fr en novembre 2007. (...)
(26/02/2008 16:51:18)HP lance une baie de stockage milieu de gamme pour les PME
Avec l'EVA 4400, HP renouvelle sa gamme de baies de stockage milieu de gamme et s'attaque au marché des entreprises de taille moyenne voulant une solution de stockage simple à installer et à maintenir. Cette baie peut contenir de 8 à 96 disques de stockage de 1 To avec une double connexion Fibre Channel. En mélangeant au coeur de la baie des connexion Fibre Channel et Fata, il est possible d'obtenir un ensemble de sauvegarde complet avec une partie stockage de production et une partie archivage, modulable suivant les besoins de la société ou du service. Compatible avec Windows, Linux et la plupart des Unix professionnels, l'EVA 4400 supporte également la virtualisation à la sauce VMWare. Elle est commercialisée immédiatement à partir de 15 000 euros. Dans le courant de l'été, HP proposera des solutions tout-en-un comme une baie EVA 4400 utilisée en mode NAS avec Polyserve ou avec une base de données Oracle. (...)
(26/02/2008 16:47:51)Yahoo ouvre son moteur de recherche à la personnalisation
Yahoo lancera bientôt SearchMonkey, une boîte à outils qui autorisera des parties tierces (les éditeurs de sites mais aussi tous les internautes possédant un site ou un blog) à enrichir leur fiche de renseignements référencée sur Yahoo. Techniquement parlant, les tierces parties auront à leur disposition une série d'API (interface de programmation d'applications) leur permettant d'enrichir leur « fiche type » sur Yahoo, et d'offrir aux internautes un accès direct à des informations normalement enfouies dans leur site. Au lieu de voir apparaître un simple titre, un bref résumé et un lien URL, l'utilisateur visionnera par exemple des images, des contacts mail, des commentaires d'autres internautes, des liens internes, des résultats financiers, des prix, des délais de livraison... Yahoo précise par ailleurs que les utilisateurs pourront choisir de ne pas afficher ces informations supplémentaires. Le classement des sites proposés par Yahoo restera inchangé. Yahoo a déjà noué des partenariats avec le New York Times et Yelp, un site d'avis de consommateurs. Même si Yahoo parle sur son blog officiel d'enrichir le Web par du contenu sémantique, le but de cette initiative est évidemment de générer plus de trafic et d'inciter l'internaute à cliquer sur l'un des nombreux liens mis à sa disposition. Mais l'effet pourrait être à double tranchant : l'utilisateur ayant directement trouvé ce qu'il cherchait sur Yahoo (un numéro de téléphone par exemple), il n'est pas certain qu'il aille plus loin. [[page]] Si le lancement de SearchMonkey s'avère un succès, les webmestres seront toutefois obligés de jouer le jeu s'ils ne veulent pas perdre de leur visibilité sur Yahoo. « C'est un pari un peu pervers pour Yahoo, qui a décidé à travers cette plateforme de privilégier une démarche proche du commercial, afin de gagner des parts de marché, au détriment de la recherche 'pure', commente Teodor Dachev, responsable du pôle acquisition de trafic chez Adthink Media (actionnaire majoritaire d'IT News Info). Les webmestres seront amenés à revoir l'optimisation de leur site, et à se pencher sérieusement sur les informations qu'ils souhaitent voir apparaître dans leurs fiches ou pas, afin d'inciter l'internaute à cliquer. » Pour lui, seul le temps dira si cette stratégie se révèle être efficace, les internautes étant « de moins en moins dupes ». D'autres moteurs de recherche ont déjà tenté de personnaliser leur outil, mais la performance reste bien en dessous de ce que promet Yahoo avec SearchMonkey. Google propose par exemple de modifier la page d'accueil afin de l'égayer... ce qui reste bien maigre en termes de services. (...)
(26/02/2008 16:08:57)VMworld 2008 : ouverture sur un air d'administration et d'embarqué
C'est dans le mythique auditorium Louis Lumière du palais des Festivals de Cannes, le Saint des Saints du cinéma français, que Diane Greene, PDG de VMware, a inauguré sa première conférence utilisateur sur le sol européen. Devant un parterre de plus de 4500 personnes, la PDG du n°1 de la virtualisation, qui a le vent en poupe, a accueilli à bras ouverts la centaine de partenaires stratégiques et technologiques qui occupent les stands, un peu plus bas dans l'enceinte. Il faut dire que l'éditeur au milliard de dollars a vu les choses en grand. En témoigne la Croisette qui pendant les trois jours de la manifestation s'habille aux couleurs de VMWorld 2008, fanions au vent. C'est ainsi tout un écosystème, ici européen, qu'a tenu à remercier Diane Greene au premier jour de la conférence, sans toutefois multiplier les annonces tonitruantes, qui avaient rythmé l'édition américaine, en septembre dernier. Au programme, l'annonce évidente, mais très attendue, de solutions de gestion automatisée et d'administration qui contrôleront l'ensemble du cycle de vie de la virtualisation. Quatre produits sont prévus : Site Recovery Manager, Lifecycle Manager, Lab Manager et enfin Stage Manager. Ainsi « nous couvrons l'intégralité du spectre du cycle de vie, du développement à la mise en production », a confié ensuite aux journalistes Karthik Rau, directeur marketing de VMware. Lab Manager couvrira la gestion des phases de tests et de développement jusqu'à la phase de mise en production en provisionnant des environnements de test. Stage Manager assure les phases entre la pré-production et la production pour faciliter le déploiement. LifeCycle Manager supervise le cycle de vie des machines virtuelles - et éviter leur multiplication et leur éparpillement. Enfin, Site Recovery Manager doit faciliter la récupération de système. [[page]] Après avoir rappelé que la jeune société, après dix ans d'existence, rime actuellement avec croissance fulgurante - « la longue route pour devenir un acteur majeur » nuance-t-elle toutefois -, Diane Green a sollicité l'aide de ses partenaires pour aborder la question, parfois cinglante, des performances et de la stabilité d'ESX Server. « Trois labs sont ouverts pour l'occasion à VMworld 2008 », indique-t-elle, histoire de rassurer. Et preuve à l'appui. Après l'exposé de BT sur le concept du datacenter virtuel pour démontrer la fiabilité du produit, c'est IBM, un des partenaires platinum de l'éditeur, qui est venu présenter « un record de performance » et pousser dans ses retranchements le concept de virtualisation d'applications : faire tourner un serveur Exchange sur huit machines virtuelles dédiées chacune à 2000 utilisateurs. Une prouesse selon le constructeur. L'hyperviseur embarqué en point d'orgue Au coeur du discours d'inauguration, trois annonces OEM autour de ESX Server 3i, l'hyperviseur embarqué, sont apparues. IBM, HP, puis Dell ont séparément décidé d'intégrer 3i par défaut dans certaines gammes de leur serveurs. Big Blue inaugure BlaceCenter Vmware ESX 3i, une lame optimisée pour la virtualisation, et présente le concept d'Instant virtualisation. Grosso modo, « on crée un marchine virtuelle, on configure et on déploie ». HP lance de son côté 3i for HP ProLiant. Le directeur marketing de Dell, en forme, est venu présenter l'intégration de l'hyperviseur embarqué à toute la gamme PowerEdge. « VMware everywhere », scande le slogan du Texan. Couplé à l'intégration en natif sur ses serveurs, Dell lance un service en ligne de téléchargement de VMware (VMwareNow) qui porte, selon lui, la virtualisation à un clic. « On télécharge, on installe et ça marche. » Une facilité d'accès couplée à une simplicité de configuration - du moins sur le papier -, qui pourrait pousser la virtualisation entre les mains des PME. Le thème de la sécurité devrait être abordé au deuxième jour de la conférence. (...)
(26/02/2008 15:45:18)Les dépenses en SOA augmentent, les risques aussi, note AMR Research
Bonne nouvelle pour les architectures orientées services : le nombre d'entreprises ayant investi en SOA a doublé en un an, d'après AMR Research. Le cabinet souligne qu'à fin 2007, 53% des grandes entreprises (comptant plus de 500 personnes) étaient engagées dans des projets SOA, pour une dépense moyenne de 1,4 M$ par an. La mauvaise nouvelle, c'est qu'une grande part de cet argent sera dépensée en vain, juge AMR Research. L'étude, intitulée "The SOA Spending Report 2007-2008", a été réalisée auprès de 405 entreprises, aux Etats-Unis, en Allemagne et en Chine. Elle montre une adoption relativement large des SOA dans plusieurs secteurs d'activité. Les acteurs du commerce de détail auraient à 59% adopté les SOA pour au moins un projet, ceux des télécoms à 54% et ceux de la finance à 42%, ces derniers dépensant toutefois plus. Alors que 45% des entreprises ayant un projet de SOA auraient dépensé plus de 500 000 dollars en logiciels et services pour ce projet en 2007, 63% des acteurs de la finance ont eux dépensé plus d'un million de dollars pour leur projet SOA. Le problème, souligne Ian Findley, directeur de recherches chez AMR, est que cet argent risque d'être gâché. Interrogées sur les critères décisifs pour adopter les architectures orientées services, les entreprises ont fourni de multiples raisons, comme si chaque porteur de projet se servait des SOA comme d'une ombrelle pour justifier des dépenses supplémentaires. Auquel cas, il faudrait prendre ce ralliement autour du concept des SOA avec des pincettes, avertit Ian Findley. [[page]] En effet, d'après l'étude d'AMR Research, 16% des entreprises adoptent les SOA afin de développer une nouvelle compétence technologique, 18% parce que ce serait le meilleur moyen pour répondre aux besoins d'un projet en particulier, 17% dans le but de diminuer les coûts grâce à la réutilisation, 22% pour gagner en agilité et 14% pour moderniser leur architecture. Pour Ian Findley, cela signifie que les bénéfices liés aux architectures orientées services ne sont pas clairs et, partant, que les SOA pourraient ne pas dépasser le cadre des 'early adopters', les entreprises pionnières. « D'autres suivraient si on pouvait cristalliser les bénéfices clés », estime-t-il. Conscient que ces bénéfices pourraient être très différents selon le point de vue (du DSI, du directeur financier, du développeur, etc.), il explique : « il ne faut pas nécessairement un bénéfice commun, mais il faut que les avantages individuels soient reliés entre eux. » Autre risque de désillusion, l'enquête montre que le principal bénéfice vendu par les fournisseurs, la réutilisabilité des services applicatifs, n'est pas celui que les pionniers ont obtenu, le code écrit pour un projet n'étant pas forcément pertinent pour un autre. Du coup, les métriques utilisées pour mesurer le retour sur investissement ne seraient pas les bonnes. Le bénéfice clé, beaucoup plus délicat à mesurer, poursuit Ian Findley, est lié à l'agilité, à la capacité de répondre plus rapidement aux exigences du métier. Mais, conclut-il, la plupart constatent un gain certain, et « très peu estiment que cela n'en valait pas la peine ». (...)
(26/02/2008 15:37:34)Microsoft mesure l'impact de la publicité en ligne avec Engagement ROI
Brian McAndrews, ancien d'aQuantive désormais vice-président de la division APS (Advertiser & Publisher Solutions) de Microsoft, a annoncé hier le lancement d'un nouvel outil de mesure de l'impact de la publicité en ligne. Cette présentation a eu lieu à Phoenix, à l'occasion de la rencontre annuelle de l'IAB (Interactive advertising bureau, un organisme chargé de promouvoir et d'optimiser la publicité en ligne). Cet outil, baptisé Engagement ROI (retour sur investissement) est intégré dans Atlas Media Console, un logiciel de gestion des campagnes publicitaires. Il a été développé par Atlas, une société de régie publicitaire appartenant à aQuantive, elle-même rachetée en mai 2007 par Microsoft, afin de contrer le rapprochement de Google et DoubleClick sur le marché de la publicité en ligne. Selon l'éditeur de Redmond, ce logiciel est censé offrir aux annonceurs et aux éditeurs une vision plus complète du comportement de l'internaute, et définir quels sont les éléments qui le poussent à passer à l'action de commander. [[page]]Cet outil de reporting ne se contente pas de mesurer le succès d'une campagne publicitaire au nombre de clics. Il s'appuie sur une « corrélation des interactions » comme le définit Microsoft : il mesure en temps réel la navigation de l'internaute, tout en prenant en compte d'autres paramètres, comme le caractère plus ou moins récent de cette navigation, la fréquence des visites, le format de la publicité sur laquelle l'internaute a cliqué... En fait, rien de très nouveau, Google et Facebook ayant eux-mêmes déjà développé des outils de mesure dans le secteur de la publicité comportementale. Engagement ROI sera disponible en version bêta le 1er mars prochain. Il fera l'objet de tests auprès de diverses agences de publicité comme McKinney, Mindshare Interaction, World Vision et Neo @ Ogilvy. Les résultats de ses premiers pas seront connus au mois de juin. (...)
(26/02/2008 14:29:30)Un z10 d'IBM délivrerait la puissance de 1500 serveurs x86
Les mainframes continuent d'évoluer et de battre des records. IBM présente son grand système z10 Enterprise Class, accompagné de la version 1.10 du z/OS, qui succède au z9, lancé en 2005. Crédité d'une puissance de 27 000 Mips, contre 18 000 pour le z9, ses 64 moteurs (processeurs) disponibles pour les applications clients délivreraient 50% de puissance supplémentaire par rapport aux 54 moteurs du z9. Lui aussi promis pour septembre, z/OS v1.10 gèrera les 64 moteurs du z10 et permettra d'adresser 1 To de mémoire physique par partition logique. IBM compare la puissance de traitement de cette machine à celle de 1500 serveurs x86 mais souligne qu'un z10 occupe une surface 85% moindre et consomme moins d'électricité dans les mêmes proportions. De ces caractéristiques hors normes découlent des prix de même envergure : le ticket d'entrée s'établit au dessus de la barre du million de dollars. Néanmoins, IBM semble être en passe de réussir à maintenir la compétitivité des grands systèmes, considérés il y a peu comme obsolètes. Chez IBM, l'écosystème des grands systèmes représenterait 25% du CA et près de la moitié des profits. (...)
(26/02/2008 14:19:42)La Ceram ouvre un Master en management des SI avec SAP et Ernst & Young
La Ceram Business School, école de commerce internationale située à Sophia Antipolis, annonce l'ouverture d'un nouveau Master pour sa rentrée 2008 : il s'agit d'un Master of Science in Information Systems Management, créé en partenariat avec SAP, Ernst & Young, PMI France Sud (Project management institute) et le Cigref, le Club informatique des grandes entreprises françaises. Un cursus d'un an sera bientôt proposé aux étudiants, à raison de douze cours sur vingt semaines : cinq semaines de cours seront assurées par SAP (dans les locaux du SAP Labs France à Sophia Antipolis), et deux semaines dispensées respectivement par les équipes d'Ernst & Young et du PMI. Ces cours permettront de préparer deux certifications SAP (EtoE 100 et EtoE200) et une certification PMI (CAPM ou PMP en fonction de l'expérience de chaque participant). Il seront assortis d'une période de stage obligatoire de cinq à six mois. Ce programme, limité à vingt-quatre places, est délivré totalement en anglais. Il s'adresse aux étudiants diplômés de niveau Bac+4/+5 (écoles de commerce, 2ème cycle sciences de gestion ou systèmes d'information (MIAGE), écoles d'ingénieurs...). Il vise également des jeunes possédant deux à cinq ans d'expérience professionnelle (consultants juniors DSI, chefs de projets...). (...)
(26/02/2008 12:02:46)Novell entre dans la gestion de la virtualisation en rachetant PlateSpin
L'administration de systèmes hétérogènes est un axe stratégique pour Novell, surtout à l'heure où la tendance est à la virtualisation. Si on en doutait encore, l'éditeur de la suite d'administration ZENworks vient d'en donner la preuve, en rachetant PlateSpin pour 205 M$, alors que cet éditeur n'a réalisé qu'une vingtaine de millions de dollars de chiffre d'affaires en 2007. L'offre de PlateSpin repose sur deux produits, PowerRecon, qui établit une sorte d'inventaire des applications et des serveurs d'un datacenter, et mesure la consommation des ressources ; et PowerConvert, qui permet de distribuer les charges applicatives sur des serveurs physiques ou virtuels. Ces fonctions d'administration de serveurs virtualisés visent à rendre les datacenters plus dynamiques : il s'agit d'optimiser les ressources matérielles dévolues à des charges applicatives en fonction de l'évolution de ces dernières, au cours de la journée, de la semaine, du mois... Citrix a théorisé la chose avec son concept de 'delivery center', mais il est clair que l'administration est désormais le cheval de bataille des autres acteurs de la virtualisation et du grid, comme VMWare, Microsoft ou Platform Computing. En s'offrant un acteur agnostique (la transaction devrait être finalisée fin avril), Novell gagne une place stratégique dans cette arène. (...)
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