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(14/02/2008 15:30:48)

Malgré un fléchissement, Google toujours n°1 de la pub en ligne aux US

Pour la première fois en deux ans, Google a perdu des parts de marché dans la publicité en ligne au quatrième trimestre 2007 aux Etats-Unis, affirme le cabinet d'analystes IDC. Un fléchissement de 0,5 point par rapport au trimestre précédent, attribué au ralentissement de la croissance des ventes de publicités sur la période. La part de Google sur le marché américain s'établit désormais à 23,7% sur le trimestre. Si les ventes de publicités en ligne de Google ont progressé de plus de 40% sur le quatrième trimestre en un an, celles relevées au troisième trimestre avaient, elles, atteint un taux de croissance de 50%. Un léger retrait du géant de l'Internet qui s'inscrit dans un contexte bouillonnant de la publicité en ligne, marqué par une éventuelle fusion entre Microsoft et Yahoo. Si le rachat avait lieu, explique alors IDC, la nouvelle entité issue de la fusion occuperait 17% du marché américain selon les données récupérées au quatrième trimestre 2007. Ce qui placerait encore ce « Microhoo » derrière Google. Toutefois, la société occuperait une meilleure position pour aller contrarier Google, déclare en substance le cabinet d'analyses. Dans un autre rapport, IDC évaluait la part de marché annuelle de Google aux Etats-Unis à 33,4%, contre 21,4% pour une hypothétique fusion Microsoft/Yahoo. Une fois réalisées les fusions des plateformes de recherche, de publicité et des équipes d'ingénieurs, il faudra encore quatre ou cinq ans pour contrer Google. (...)

(14/02/2008 15:21:13)

JBoss World : Red Hat expose de grandes ambitions dans le middleware

Pour son premier discours public depuis son investiture, après le remplacement de Matthew Szulik en décembre dernier, Jim Whitehurst a tenu à marquer les esprits. Le CEO de Red Hat a profité de JBoss World à Orlando, la conférence annuelle des utilisateurs de son offre middleware JBoss, pour exposer de grandes ambitions. D'ici sept ans, a indiqué Jim Whitehurst, 50% des déploiements de middleware dans le monde devront se faire avec du JBoss. Craig Muzilla, vice-président de Red Hat en charge de l'offre middleware, estime que le ratio est actuellement de 30%. JBoss, racheté en avril 2006, apparaît donc comme un levier important dans la stratégie de Jim Whitehurst, qui a annoncé la semaine dernière vouloir atteindre la barre du milliard de dollars d'ici trois ans. Le défi pour Red Hat est de doubler son chiffre d'affaires. Le CA annuel publié en mars dernier était de 401 M$, en hausse de 44%. Si l'on cumule les trois premiers trimestres de l'exercice 2008, Red Hat atteint déjà 382 M$, mais la croissance est moins importante.[[page]] Aucune offre produit ne vient enrichir en particulier l'offre JBoss. Craig Muzilla a expliqué qu'il s'agissait surtout pour Red Hat de mieux faire connaître l'étendue de son offre middleware : serveur d'applications, bien sûr, mais aussi BPM, ESB, portail ou encore intégration de données grâce au rachat de Metamatrix. Au lendemain de ce rachat, Red Hat avait d'ailleurs regroupé l'offre middleware JBoss sous une bannière SOA (architectures orientées services). Deuxième volet de la stratégie de Craig Muzilla : agir afin d'augmenter le degré de confiance que les clients et les partenaires peuvent avoir en JBoss, car lorsqu'il faut déployer une solution dans un grand compte, le côté Open Source peut encore paraître comme un handicap. Pour renforcer cette confiance, Red Hat annonce l'ouverture d'un « centre de ressources » dit « Enterprise Acceleration Center » qui sera ouvert aux clients et éditeurs partenaires désirant évaluer l'offre JBoss, tester l'interopérabilité avec leurs solutions, certifier leurs propres produits, etc. (...)

(14/02/2008 11:49:45)

L'opérateur Tata Communications voit le jour

L'Indien Tata a regroupé hier l'ensemble de ses activités de fournisseur d'infrastructures de télécommunication sous la même casquette. Baptisée Tata Communications, la nouvelle entité fédère VSNL (Videsh Sanchar Nigan Limited, opérateur et FAI pour particuliers et entreprises), dont Tata est devenu actionnaire majoritaire cette année, Tyco Global Networks (fournisseur de câbles sous-marins) racheté en 2004, le canadien Teleglobe (fournisseur de services internationaux de voix, de sans-fil et de données sur Internet) acquis en 2006 et Cipris. « Cette étape nous permet d'accroître notre visibilité sur le marché, et de bénéficier de la notoriété du groupe Tata dans le monde », souligne Claude Sassoulas, directeur général Europe pour les services de données. La société se positionne sur trois secteurs. Elle propose aux opérateurs et aux fournisseurs d'accès Internet (comme Free ou NeufCegetel) une infrastructure haut débit riche de 200 000 km de câbles sous-marins à travers le monde. Tata offre également aux entreprises multinationales des solutions de communication (Ethernet, MPLS, voix, réseau privé virtuel...), « une activité que nous souhaitons développer, car les entreprises se tournent de plus en plus vers l'externalisation dans les pays émergents, notamment l'Asie et l'Afrique du sud, des territoires dont nous assurons la couverture haut débit », précise encore Claude Sassoulas. Tata Communications possède également une activité destinée au grand public, mais uniquement en Inde. Tata Communications compte par ailleurs se développer à l'international, et y réaliser les deux tiers de son chiffre d'affaires (pour rappel, en 2004 l'intégralité de ses revenus provenait d'Inde). En Europe, la Grande-Bretagne reste sa priorité, mais la France est en deuxième position devant l'Allemagne. La société souhaite étendre son réseau de fibre optique passant par Lisbonne, Madrid, Francfort, Amsterdam et Paris jusqu'à Marseille. « De cette manière, la boucle est bouclée », commente Claude Sassoulas. Tata Communications emploie 5000 personnes dans le monde, dont 35 en France. Son siège européen se situe à Londres. Le groupe Tata a réalisé un chiffre d'affaires de 29 Md$ en 2007. (...)

(14/02/2008 11:46:27)

Google squatte certaines « erreurs 404 »

Les erreurs 404 continuent d'attiser la convoitise. Ces pages qui s'affichent lorsque l'adresse Web est erronée ou quand la page Web a été effacée ont été détournées, pour certaines d'entre elles, par la version bêta de la dernière Google Toolbar. Selon TechCrunch.com qui cite comme source les forums de DigitalPoints, certains internautes auraient remarqué des pages habituellement étiquetées « erreur 404 » habillées du logo et des couleurs de Google ainsi que du champ de recherche bien connu de la marque. Réponse officielle de Google, qui confirme incidemment l'information : cette procédure aide les internautes, et intervient uniquement lorsque le poids de la page 404 est inférieur à 512 octets. En clair, cela concerne toutes les pages qui n'ont pas été personnalisées par les webmestres et qui affichent dès lors le classique message d'erreur. Et Google n'est pas le premier à s'intéresser au Web qui n'existe pas. Verisign s'y est brûlé les ailes avec SiteFinder alors qu'Amazon a, de son côté, obtenu un brevet d'exploitation. Il faut dire qu'elles représentent un espace vierge prêt à recevoir un contenu « monétisable ». (...)

(13/02/2008 17:33:14)

TechDays : l'ENS, l'Inria, l'INA et MS Research ensemble sur la vision artificielle

La recherche fondamentale doit moins intéresser le public des TechDays (les trois jours de conférences de Microsoft France qui s'achèvent aujourd'hui) que les sessions dites techniques. Pourtant, la session de présentation faite par Jean Ponce ce matin dans une salle à moitié vide, intitulée « Le défi de la vision artificielle », ne manquait pas de technicité. Professeur à l'Ecole normale supérieure et responsable de l'équipe et du projet Willow, commun à l'ENS et à l'Inria, Jean Ponce a présenté l'état de l'art de la recherche dans la reconnaissance des formes, des visages et des actions, aussi bien dans les photos que dans les vidéos, à l'aide d'algorithmes de modélisation. « La plupart des gens qui s'intéressent au sujet aujourd'hui voient ça comme un problème de reconnaissance statistique des formes », a expliqué Jean Ponce. L'Inria a d'ailleurs déjà eu des résultats probants ; on se souvient qu'un de ses chercheurs, Chahab Nastar, avait breveté son invention et fondé ce qui est devenu aujourd'hui LTU Technologies. Ce type de technologie est notamment utilisé par la Gendarmerie pour retrouver des similitudes dans des milliers de photos pédophiles. L'intérêt de la méthode préconisée par Jean Ponce est la capacité de pouvoir associer à un même concept sémantique - une voiture, par exemple - des images qui ne présentent aucune similitude : une calandre, l'arrière d'une voiture, des voitures vues de côté mais de formes très différentes... [[page]] La modélisation permet aussi d'évoluer sur une représentation 3D des objets à l'aide d'un nombre relativement restreint de prises de vue. Une vingtaine de photographies avec un bon appareil photo numérique suffit ainsi pour reconstituer une figurine. La technique doit encore être affinée, mais il est clair qu'il n'y aura bientôt plus besoin d'appareillage extrêmement dispendieux. L'équipe Willow travaille également sur l'ajout d'informations sémantiques aux vidéos. Elle tire d'ailleurs son nom du personnage d'une série pour adolescents, 'Buffy contre les vampires', utilisée comme champ d'expérimentation privilégié - « un peu geeky », a confessé Jean Ponce, devant un public rigolard. Qui a donc eu droit à des extraits de la série, afin de montrer la capacité du programme mis au point par Willow à reconnaître les personnages. « On peut aller plus loin, a indiqué Jean Ponce, en récupérant les sous-titres, et en utilisant une technique de détection du locuteur (en mesurant les mouvements de la bouche). » Le but est d'enrichir le contenu sémantique lié à la vidéo. Willow travaille d'ailleurs avec l'INA (Institut national de l'audiovisuel) sur ce sujet. Et des liens ont aussi été tissés avec Microsoft Research, sur « la fouille d'images et de vidéos pour les sciences naturelles et humaines », qui vont concerner l'archéologie, l'environnement et la sociologie. (...)

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