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(28/09/2007 18:31:39)

La Banque de France s'émeut du manque de sécurisation des e-paiements

C'est à Londres que la Banque de France s'inquiète des risques inhérents aux paiements et aux transactions sur Internet. Lors de l'édition 2007 de Fraud World, Marc Andries, chef du service de surveillance des moyens de paiement scripturaux, a décerné un satisfecit sur la sécurité qui entoure désormais les paiements en face à face mais il s'inquiète des risques qui entourent les transactions en ligne. Selon lui, ces transactions, qui ne représentent que 5% du nombre total des transactions "scripturales", contribuent à hauteur de 32% à la fraude totale. En 2006, cette e-fraude a progressé de 41% à 33 M€ en France. D'après la Banque de France, les systèmes d'assurance en cas de fraude fonctionnent suffisamment bien pour que les spoliés ne s'en émeuvent pas. Du coup, c'est la collectivité qui supporte les pertes. Toutefois, la situation doit être améliorée étant donné l'augmentation rapide du nombre des transactions sur Internet. La Banque de France milite pour des transactions sécurisées sur un mode mutuel ( avec SSL, par exemple) et dynamique grâce à des solutions d'authentification utilisant, par exemple, des mots de passe à usage unique (One Time Pad, OTP). Mais la banque centrale s'inquiète des wobstacles à surmonter. La pléthore des techniques d'authentification sert d'excuse à l'immobilisme des acteurs qui doivent aussi surmonter des difficultés d'ordre ergonomique et qui s'inquiètent déjà du coût de la mise en place de ces techniques de sécurisation. (...)

(28/09/2007 18:11:31)

Coup d'envoi de la 3e nuit des chercheurs, en France et en Europe

Une plongée dans le corps humain, accompagnée d'animations sur l'ADN, à Puteaux. Un visage robotisé qui reproduit les émotions humaines, à la Cité Universitaire de Paris. Une rencontre avec des archéologues à l'Entrepôt (Paris). Et à Torcy, « Métaphysique et tire-toi »... Cette nuit (du 28 au 29 septembre) sera celle des chercheurs. Dans toute la France, à l'initiative de la Commission européenne, les scientifiques attendent le grand public de pied ferme dès 18 heures, avec l'ambition de « dépoussiérer leur image ». Et pour la troisième année, une vingtaine de pays proposent également au même moment, dans quelques dizaines de villes, débats, ateliers, lectures ou projections. C'est à l'Université d'Angers que les technologies de l'information et de la communication seront mises à l'honneur. Dans un cadre qualifié de « festif », les visiteurs découvriront comment les techniques de réalité virtuelle sont mises à profit dans la recherche. Avec des exemples dans le végétal, la conception de vêtements ou d'automobiles, ou encore la rééducation. En terre angevine, toujours, l'intérêt des outils de traitement de l'information géographique sera démontré dans le cadre de travaux sur les paysages de savane africaine aux prises avec les feux de brousse. Et, en liaison directe avec le télescope de l'observatoire de Haute-Provence, on observera les exoplanètes. A Bordeaux, Cap Sciences et l'Inserm s'installent sur la place de la victoire pour un zoom sur les neurosciences qui illustrera l'utilisation de l'image dans la recherche. Et un peu partout ailleurs sur l'Hexagone, dans le Grand-Ouest, le Nord-Est ou en Ile-de-France, de Brest à Besançon, on parlera de biodiversité antarctique, de rencontres astronomiques, de photo numérique ou d'archéologie. Cet événement est parrainé par le ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche. (...)

(28/09/2007 17:40:05)

Un consortium se crée autour de Kerberos

Kerberos va se relancer. Une kyrielle de développeurs et des grands noms de l'industrie comme Google et Sun ont décidé de promouvoir le système d'authentification inventé il y a vingt ans par le MIT, dans le cadre du consortium MIT Kerberos Consortium. Leur mission : dépoussiérer la technologie, la préparer à la mobilité et le multi-plateforme, et enfin la promouvoir. Selon Sam Hartman, un des principaux développeurs de Kerberos, interrogé par nos confrères d'Infoworld, le premier travail du consortium sera de faire revivre la technologie. « Kerberos a poursuivi son évolution jusqu'aujourd'hui, mais c'est une technologie qu'on utilise sans le savoir. » Kerberos est notamment intégré aux applications d'Apple, de Red Hat et de Microsoft et serait, selon le consortium, utilisé par 100 millions de personnes. Le consortium entend également pousser Kerberos vers les solutions mobiles et étendre ses possibilités d'authentification notamment aux transactions à distance. Enfin, il prévoit de l'aligner sur les standards de l'authentification actuels, comme SAML (Security Assertion Markup Language). (...)

(28/09/2007 16:07:50)

Google investit dans le réseau social pour mobiles

Google s'offre une technologie de réseau social pour mobiles. La société de Mountain View se paie la jeune start-up Zingku, dont le métier est de faciliter le partage de photos, l'envoi d'invitations ou la mise en place de sondages, sur un téléphone portable. Un esprit très Web 2.0 décloisonné qui pourra également fournir à Google un moyen de proposer aux annonceurs l'envoi de publicités (de type « mobile flyers ») vers les mobiles. Le service gratuit proposé par Zingku repose sur un portail Web où les utilisateurs (de l'adolescent au jeune adulte de 20 ans) doivent d'abord s'enregistrer et créer un réseau d'amis. Comme c'est la coutume dans les réseaux sociaux. Ce rachat, qui porterait sur « une partie des actifs et de la technologie de Zingku » selon Google, alimente la rumeur d'un hypothétique développement par le groupe d'un téléphone mobile baptisé Gphone. Pour autant, il ne s'agit pas de la première acquisition de Google dans les services pour le mobile. En 2005, la société se payait Dodgeball.com, l'éditeur d'une solution de géolocalisation par portable. Sur le même sujet Google se paie Dodgball.com (...)

(28/09/2007 15:37:26)

Alcatel Lucent : Patricia Russo sommée de présenter un plan d'urgence

Il y a dix mois, Serge Tchuruk, PDG d'Alcatel, vantait les bienfaits de la fusion avec Lucent. Depuis, le géant des télécommunications semble rencontrer certaines difficultés, en raison de ses mauvais résultats financiers. Selon l'édition des Echos publiée aujourd'hui, le conseil d'administration de l'équipementier aurait demandé à la directrice générale, Patricia Russo, de lui remettre le 30 octobre - veille de la publication des résultats trimestriels - un plan d'urgence. Plan qui pourrait se traduire par de nouvelles réductions d'effectifs, après les 12.500 suppressions de postes déjà annoncées dans le monde en février dernier, dont près de 1470 en France. Le groupe avait déjà lancé trois avertissements sur résultats depuis le début de l'année. « Encore un avertissement et l'on ne pourra plus la soutenir », déclare un administrateur d'Alcatel-Lucent, cité par les Echos, à propos de Patricia Russo. Du côté des organisations syndicales, on n'ose pas imaginer que des suppressions d'emplois puissent à nouveau concerner la France, alors que des accords avec la direction viennent tout juste d'être signés. Dans un tract, la CFDT indique qu'un tel retour serait interprété « comme une déclaration de guerre ». (...)

(28/09/2007 15:11:28)

Le secteur de la santé aura bien du mal à se passer d'Internet

Sous pression depuis quelques années déjà, le secteur de la santé doit passer de l'âge de pierre à l'ère des nouvelles technologies en vitesse accélérée. Après l'informatisation des médecins, une mise en place laborieuse du dossier médical partagé (DMP) et autres initiatives gouvernementales pour favoriser la coordination des soins, c'est au tour des portails de s'intéresser à ce secteur. Suite à une enquête IPSOS commanditée par Orange, l'opérateur français annonce en effet la création d'un nouveau service, Orange Healthcare, et rejoint ainsi les nombreuses autres initiatives qu'on voit apparaitre à travers le monde (Revolution, portail américain dédié à la santé, moteur spécifique pour les informations de santé dans la prochaine mouture du moteur de recherche de Microsoft, etc.). Les services d'Orange Healthcare n'ont pas encore été détaillés mais nul ne doute qu'ils répondront aux besoins de communication apparus dans l'enquête IPSOS. Selon l'enquête, Internet pourrait en effet devenir un média privilégié pour nombre d'opérations entre patients et médecins. Les patients interrogés estiment qu'il devrait leur permettre de prendre de rendez-vous avec leur médecin (41%), de localiser un professionnel de santé (39%), de consulter des renseignements sur leurs droits (39%), de suivre et de transmettre des données sur leur santé (37%), de communiquer par e-mail avec leur médecin (36%) ou de gérer l'état de leur remboursement (34%). Coté médecins, Internet permettrait d'enrichir leur diagnostic par la recherche d'informations (70%), d'échanger avec d'autres médecins ou de partager des données (71%), d'alléger leurs tâches administratives (65%), d'obtenir des informations sur leurs patients (54%) ou encore de communiquer avec eux (53%). Bref, autant de besoins qu'Orange Healthcare ne manquera pas d'adresser. La croissance annuelle du secteur de la santé étant estimée entre 15% et 20% pour les cinq années à venir (source : Orange European Survey), ce nouveau service devrait représenter un potentiel de croissance très significatif pour l'opérateur français. (...)

(28/09/2007 13:42:20)

L'Elysée s'intéresse aux travaux NTIC menés par l'Epi

L'Epi, association pour l'Enseignement public et informatique, continue de promouvoir l'apprentissage des nouvelles technologies dans les établissements scolaires. Le 25 septembre dernier, les représentants du groupe de réflexion ITIC, récemment mis sur pied par l'association pour renforcer les contenus d'enseignement du collège à l'université, ont été reçus à l'Elysée par Jean-Baptiste de Froment, le conseiller technique du président de la République pour l'éducation. L'association a manifesté sa volonté de renforcer la partie informatique et TIC au sein des programmes de technologies au collège, avec des horaires en conséquence, et de créer un enseignement spécifique « informatique et TIC » au lycée. Une initiative qui a suscité l'intérêt du conseiller, celui-ci ayant émis le souhait d'être tenu informé des travaux menés par l'association. (...)

(28/09/2007 13:14:59)

L'IT verte n'est pas une priorité dans les DSI

Alors que les projets autour d'une industrie IT verte se multiplient, la réduction de la consommation d'énergie - et de la facture associée - n'est pas une des premières priorités des DSI, révèle une étude (*) de l'Economist Intelligence Unit (EIU). Un paradoxe, quand on connaît l'engouement des constructeurs de serveurs, comme Sun, Intel ou HP, à contrôler la consommation de leurs machines de plus en plus finement. Alors que 45% des entreprises ont effectivement un programme pour réduire les émissions de carbone, la majorité (52%) d'entre elles n'a aucun projet sur ce créneau. Un faible 9% prétend avoir programmé des mesures pour 2012. Même constat sur les réductions de facture. Un tiers des répondants (42%) affirment que leur société n'a aucune politique de contrôle des dépenses énergétiques et 9% déclarent purement ne pas savoir si leur entreprise a de telles pratiques. Et cela serait d'ordre plus général. 54% des DSI admettent que leur société ne mesure pas l'impact d'un éventuel contrôle de l'énergie, en dépit de vastes campagnes politiques. Alors qu'un tiers déclare en avoir conscience. Enfin, 64% d'entre eux estiment qu'une standardisation des méthodes de réduction d'énergie au sein des équipements impliquerait un bouleversement des politiques en place. (*) IT and the environment : a new item on the CIO's agenda (...)

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