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(30/04/2007 14:08:18)
La France, 13e taux mondial de pénétration du haut débit, selon l'OCDE
Dans un rapport consacré à l'Internet haut débit (512 kbit/s ou plus), l'OCDE note qu'en 2006 les Etats-Unis ont régressé de la 12e à la 15e place en ce qui concerne le taux de pénétration, confirmant ainsi la chute amorcée depuis 2001. A cette époque, les Etats-Unis occupaient en effet la 4e place. Le haut du classement est détenu par le Danemark, les Pays-Bas et l'Islande, la France se situant, quant à elle, au 13e rang. Pire encore, les Américains seraient à la 20e place en terme de croissance du haut débit en 2006. Ces mauvais résultats s'expliqueraient en partie par le coût élevé des connexions. Un autre rapport de l'OCDE, qui sera publié en juin, nous apprend en effet que le mégabit est facturé en moyenne 10 $ Outre-Atlantique, ce qui est 10 fois plus cher que dans la plupart des pays européens. Et les choses ne devraient pas s'arranger pour les Américains avec la croissance de la fibre en Europe. Aux Etats-Unis, on en est encore à s'interroger sur le financement des infrastructures. Mardi dernier le Sénat a auditionné le Comité pour le Commerce, la Science et le Transport sur l'accès à l'Internet haut débit et l'impact sur l'innovation et la compétitivité aux Etats-Unis. Selon ses membres, l'amélioration de l'accès au haut débit créerait plus d'un million d'emplois et rapporterait plus de 500 Md$ à l'économie. Signalons tout de même qu'avec 58 136 577 abonnés, les Etats-Unis restent en tête du classement pour ce qui concerne le nombre de connexions supérieures à 256 kbit/s. (...)
(30/04/2007 11:43:06)MIX07 : Microsoft pourrait libérer une partie de Silverlight
Alors que démarre ce lundi 30 avril l'édition américaine de MIX07, la conférence ouverte aux créatifs et développeurs Web à la sauce Microsoft, des sources proches de l'éditeur auraient laissé échapper quelques indiscrétions quant à une éventuelle mise en Open Source d'une partie de Silverlight. Silverlight (ex-WPF/E) est un plug-in pour navigateur permettant d'exploiter la couche de présentation WPF de Vista sur le Web. Rebaptisé le 16 avril dernier, l'outil se positionne, selon les experts, comme un concurrent direct de Flash - propriété d'Adobe -, notamment de par sa capacité à créer et exploiter du contenu riche et interactif, comme la vidéo. Et ainsi, à développer des interfaces riches (RIA, Rich Internet application). Ces mêmes sources auraient également confié à nos confrères d'IDG News Service que l'éditeur projetterait de dévoiler une version bêta de Silverlight à l'occasion de sa conférence. Rappelons que la semaine dernière Adobe a annoncé l'ouverture en Open Source du kit de développement (SDK) de Flex, plateforme de l'éditeur dédiée aux interfaces riches reposant sur Flash. Confiant ainsi l'évolution de son outil à une communauté, et espérant par la même occasion voir son utilisation augmenter. Dans le domaine, l'éditeur de Photoshop possède une longueur d'avance sur Microsoft, qui doit, de son côté, convaincre le segment des créatifs. L'éditeur de Redmond, pour rivaliser, devra également peaufiner sa suite Expression, un ensemble d'outils qui tire profit des technologies de l'éditeur. Mais surtout indissociable de Silverlight. Reste à connaître, si l'ouverture de Silverlight était avérée, la nature de la licence. Adobe, de son côté, a choisi, pour encadrer le SDK de Flex, la licence Mozilla MPL. (...)
(30/04/2007 11:18:46)Sun travaille à un procédé de communication entre composants ultra-rapide
Sun Microsystems a organisé jeudi 26 avril une journée portes ouvertes dans ses laboratoires de Menlo Park en Californie pour dévoiler ses projets en cours, lesquels vont des interconnexions puce à puce à la sécurisation du Web 2.0. Une des salles était même occupée par un circuit de véhicules miniatures équipées de senseurs utilisant la technologie Java. Le constructeur souhaitait ainsi favoriser le contact entre les ingénieurs travaillant dans ses différents centres de recherche tout en présentant au grand public ses projets. « Le transfert de technologie permettant aux personnes étrangères à Sun de comprendre ce que nous faisons fait partie de nos efforts constants », a déclaré à cette occasion Robert Sproll, vice-président de Sun Microsystems Laboratories. Parmi les grands projets de Sun figure déjà depuis quelques années Proximity Communication, qui vise à dépasser les limites de la loi de Moore. Il ne s'agit ni plus ni moins que de placer des morceaux de silicium l'un près de l'autre, puis de transmettre des signaux entre eux en se passant de toute connexion. S'ils aboutissent, ces travaux « permettront notamment d'augmenter la bande passante, de pouvoir remplacer les puces d'un système ou de réaliser des composants plus petits », expliquait Robert Drost, directeur de recherche chez Sun. Il s'agit toutefois de lever l'obstacle de la dissipation de chaleur. « Ce projet comporte beaucoup de risques mais promet de belles récompenses », a commenté l'ingénieur. Les responsables de Sun divergent toutefois sur la date d'arrivée probable sur le marché des premiers produits issus de ces recherches. Certains d'entre eux pourraient être annoncés l'année prochaine. Cependant Robert Drost ne prévoit pas d'application concrète de Proximity Communication avant une ou plusieurs années. Cette technologie pourrait alors être utilisée pour une future plateforme SPARC. Egalement sous les projecteurs, le Web 2.0 security project, consiste, quant à lui, à authentifier aussi bien le serveur que l'utilisateur, contrairement à SSL qui ne permet que l'identification de l'utilisateur. (...)
(30/04/2007 10:56:37)L'effet «pôles de compétitivité» va privilégier les régions déjà riches en emploi cadres
C'est un enjeu courant sur au moins deux mandats présidentiels que représentent, pour l'emploi, le lancement et le fonctionnement des pôles de compétitivité. Avant 2010, il ne faut guère s'attendre à mieux, en termes de création d'emplois de cadres, qu'à l'impact déjà perçu avec les besoins de la gouvernance et du rôle d'interface des pôles, et le support technique nécessité par les projets lancés et labellisés. Mais à l'horizon 2015, selon l'étude prospective publiée le 20 avril par l'Apec, le solde d'emplois créés pourrait atteindre 500 000 emplois cadres. Dont 140 000 dus aux projets des pôles. L'étude étend aux 66 pôles l'observation pilote menée en 2006 dans la région Paca à la suite de la labellisation de huit pôles. Partant du constat de la concentration de 53% des emplois cadres sur les trois régions Ile-de-France (35%), Rhône-Alpes (11%) et Paca (7%), force est de remarquer que la répartition des pôles - avec 8 des 16 pôles mondiaux ou à vocation mondiale dans ces mêmes régions - se cale sur cet existant. Parmi les 19 autres régions qui se partagent 47% des emplois cadres, certains effets de rattrapage, indépendamment des pôles, sont d'ores et déjà décelés. C'est notamment le cas de Poitou-Charentes, avec une croissance annuelle moyenne de 2,7% d'emplois cadres, qui n'est devancée que par l'Ile-de-France pour cette performance. Et cette dynamique, selon le scénario optimiste développé par l'étude Apec, pourrait bien être stimulée par la forte présence de pôles dans certains bassins d'emploi. Cela concerne, en l'occurrence, les régions Pays de la Loire (avec ses 5 pôles), Poitou-Charente et Midi-Pyrénées pour lesquelles l'estimation de taux de croissance moyen annuel de l'emploi cadre, entre 2010 et 2015, dépasserait les 4%. Les premiers restent les premiers Pour autant, les « stocks » de cadres pré-existants jouent un rôle déterminant dans ce scénario. Les premiers resteraient les premiers. L'Ile-de-France y gagnerait - à l'horizon 2015 - plus de 180 000 emplois, dont 12 000 dus au seul impact des pôles, et dont une bonne part dans le secteur TIC avec les retombées des pôles Systematic (150 000 salariés actuellement) et Cap Digital (20 000 salariés). Rhône-Alpes y gagnerait plus de 70 000 emplois, dont la moitié attribuée aux pôles (Minalogic et Loisirs Numériques, pour le secteur TIC). A l'Ouest, le pôle Image et Réseaux (22 000 emplois, avec les quatre autres pôles bretons, devrait contribuer à la création de 5500 emplois cadres. Même chose en Paca, avec le pôle SCS (Solutions communicantes sécurisées) contribuant (avec les sept autres pôles) à la création de plus de 10 000 emplois cadres. Du même coup, les régions les moins pourvues en cadres, Auvergne et Limousin, garderaient leur place en queue de peloton. L'étude note cependant que certaines régions tireront profit de leur proximité ou de leur capacité à mutualiser ressources et idées autour des pôles. C'est le cas notamment de Poitou-Charente et Bretagne, de l'Aquitaine et Languedoc-Roussillon, de l'Alsace et Lorraine. (...)
(27/04/2007 17:24:47)Microsoft lance son offre de gestion et de protection des PC
C'est au mois de mai que Microsoft va lancer son offre de sécurité pour les PC professionnels : Forefront Client Security. Un logiciel de la famille Forefront, qui regroupe tous les outils de sécurité de l'éditeur, dont Microsoft orchestre le lancement de façon simultanée avec celui de System Center, sa famille d'outils d'administration. Lancer ces deux familles de produits en même temps est « naturel », explique Bernard Ourghanlian, responsable technologie et sécurité chez Microsoft France : « Les deux partagent à la fois des technologies et des méthodologies. Les intérêts de la gestion et de la sécurité se rejoignent. Forefront assure la sécurité du poste de travail, des serveurs applicatifs, du périmètre réseau, des accès distants ; System Center assure la surveillance des services et des systèmes, la gestion des changements et des configurations, la sauvegarde et la récupération, la gestion des machines virtuelles... » Le but, à terme, sera d'offrir le même outil, « un progiciel pour les services informatiques », utilisable par des administrateurs remplissant des rôles différents. Le tout soutenu par différents recueils de bonnes pratiques et autres référentiels de processus (Itil, Cobit...). Forefront Client Security regroupe les outils de lutte contre les spywares et les virus pour postes clients déjà sortis par Microsoft (Defender et OneCare), mais dans une version entreprise, puisque la politique de sécurité est établie à un niveau centralisé. Pour les mises à jour, l'outil est programmé pour recourir au service de télédistribution WSUS (Windows Software Update Services) ou bien, si le poste est hors les murs de l'entreprise et que le serveur WSUS n'est pas accessible depuis l'extérieur, le logiciel peut utiliser le service Windows Update sur Internet. Pour le déploiement, cela peut s'effectuer en relation avec l'annuaire de Microsoft, Active Directory, ou bien manuellement, en installant une clé de registre générée par la console. La même technologie que Windows Live OneCare Le moteur anti-virus est dérivé de OneCare, qui n'a guère brillé dans les tests jusqu'à présent. Tout en se disant humble sur le sujet, Bernard Ourghanlian rappelle que « c'est avec les vieux virus que nous avons eu des soucis », dans la mesure où OneCare est un produit jeune, qui ne dispose pas d'une base de signatures de virus aussi imposante que ses concurrents. En revanche, Microsoft se donne les moyens de ses ambitions : en plus du laboratoire de surveillance des virus américain, l'éditeur a annoncé mercredi dernier à la conférence RSA au Japon l'ouverture de deux autres centres, l'un à Dublin et l'autre à Tokyo. Et Microsoft peaufine un argument massue. Les prix ne sont pas encore définitifs mais, « à la grosse louche », Chrystèle Dumont, chef de produit sécurité pour Microsoft France, pense que l'abonnement pourrait se situer entre 5 et 10 dollars par an et par utilisateur. Toujours dans la famille Forefront, on pourra retrouver les produits issus du rachat de Sybari (l'ex-gamme Antigen) pour les serveurs applicatifs (Exchange, Sharepoint), et deux autres produits pour la sécurité de la périphérie du réseau, pas encore renommés, l'offre rachetée à Whale Communications (Intelligent Application Gateway), et le logiciel maison ISA Server. Microsoft revendique sa compatibilité avec les partenaires Côté System Center (SC), l'offre comprend aussi de nouvelles versions d'anciens produits : SC Configuration Manager succédera à SMS (Systems Management Center), SC Operations Manager 2007 succédera à MOM (Microsoft Operation Manager), tandis qu'apparaissent deux outils spécialisés dans la virtualisation, SC Virtual Machine Manager, pour virtualiser des serveurs et les surveiller, et SC Data Protection Manager qui permettra de réaliser des copies des machines virtuelles. A noter que les virtualisations à chaud ne seront possibles que dans une prochaine version, qui sortira « au maximum 6 mois après le lancement de Windows Longhorn Server », précise Geneviève Koehler, chef de produit SC pour Microsoft France. L'ensemble de ces produits est destiné à administrer des postes sous Windows. Mais Microsoft insiste sur sa compatibilité avec les outils tiers. Pour la virtualisation, par exemple, « le format de fichier VHD est documenté, libre de droit, supporté par Xen ». Pour l'administration de systèmes, « on s'intègre dans les frameworks [de type OpenView ou Tivoli, NDLR] et on gère des éléments non-Microsoft au travers de solutions partenaires [tels Amberpoint ou Quest, NDLR]. Nous le faisons par exemple pour les serveurs Citrix ». (...)
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