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(25/04/2007 17:36:51)
Google détrône Microsoft au top des marques
Les consommateurs aiment Google. Selon le dernier classement Brandz opéré par le cabinet américain Millward Brown, Google devient la marque la plus puissante en terme de valeur, détrônant Microsoft, n°1 du précédent classement en 2006. Le classement Brandz Top 100 most powerful Brands repose sur une analyse combinant des facteurs financiers de la société à sa cote de popularité parmi les clients et les consommateurs. Les résultats livrent, en tant que référence, une valorisation financière de la marque. Outre les nouvelles technologies, le classement étudie les entreprises de tous les secteurs d'activités confondus, de l'agroalimentaire à la finance et l'automobile. Avec un marque évaluée à 66 Md$, Google se hisse à la première place, alors que la société était référencée 7e dans le classement 2006. Microsoft tombe en 2007 à la troisième place avec une marque évaluée à presque 55 Mds, perdant au passage 11%. En 2006, le nom Microsoft plafonnait à plus de 62 Md$. La deuxième place reste inchangée, toujours occupée par General Electric, à presque 62 Md$. La quatrième est détenue par Coca-Cola valorisée à plus de 44 Md$, devant China Mobile (5e à plus de 41 Md$) et Marlboro (6e à presque 40 Md$). L'industrie des technologies est également représentée par IBM (9e, valorisé à 34 Md$), suivent Nokia (12e, 32 Md$), HP (15e, 25 Md$) Apple (16e) dans un mouchoir de poche, puis Cisco et Intel (24e et 25e), SAP (27e), Oracle (30e), Dell (37ee) et Yahoo (42e). Outre Google qui bondit de 77%, Apple enregistre une progression fulgurante de 55% dans le classement. Signe que la marque suit la tendance à la convergence du marché, note Millward dans un communiqué, notamment avec l'iPhone. Intel réalise, quant à lui, la plus belle chute dans le palmarès, passant de la 15e à la 25e position (-26% valorisé à 19 Md$). Il est à noter que la première société française, Louis Vuitton (industrie du luxe), est classée 20e (à presque 23 Md$). L'Oréal et Carrefour occupent les 46e et 49e place. (...)
(25/04/2007 17:35:57)Sapphire : SAP pré-installe Duet dans une appliance HP
A l'occasion de l'édition américaine de la convention clients Sapphire, SAP et HP ont décidé d'unir leur force pour proposer une version autonome de Duet, module développé en collaboration avec Microsoft permettant de connecter Office à certains processus du PGI de l'Allemand. C'est HP qui fournira l'appliance. Duet, ex-Mendocino, sera livré pré-installé sur les serveurs ProLiant du constructeur. L'objectif pour SAP est de faciliter le déploiement de son offre auprès des utilisateurs en fournissant une solution chargée avec une multitude de scripts et de scénarii d'exploitation. En clair, prêt à l'emploi, et surtout prêt à l'intégration dans les systèmes d'informations. La solution pourra, explique HP, s'adapter aux ressources et aux besoins des entreprises en supportant l'ajout d'autres serveurs ProLiant ou Integrity. Notons que SAP propose déjà des appliances dans le décisionnel et dans le développement SOA, respectivement BI accelerator et ESA Discovery Server. Cette stratégie concrétise peu à peu l'objectif que se sont fixés Microsoft et SAP lors du développement de Duet : étendre la base d'utilisateurs des outils de l'Allemand en profitant des interfaces et fonctionnalités de la gamme Office, des archipopulaires auprès des entreprises et surtout de ses employés. Duet va se rapprocher de SharePoint Pour l'heure, l'interaction entre Office et SAP reste limitée. Mais aurait toutefois séduit quelque 250 clients depuis son lancement en version 1.0, en juin 2006, a rappelé SAP. Puis de rebondir en précisant que la version 1.5 de Duet est prévue pour cette année, suivie d'une version 2.0, une mise à jour majeure d'ici à la fin 2008. Cette dernière devrait par ailleurs autoriser davantage de manipulations de processus SAP depuis l'outil Microsoft. L'Allemand parle notamment d'ouvrir à Office le module de GRC (Gestion relation client) ainsi que l'accès aux données contenues dans MySAP. Les futures versions devraient également améliorer les possibilités de personnalisation des scenarii, pour notamment optimiser l'intégration. Enfin, avec la version 2.0, Duet s'ouvrira au portail SharePoint, qui agira, comme l'a indiqué Jeff Raikes, président de la division Business de Microsoft, comme une extension des scenarii de Duet. Duet 3.0 concrétisera cette idée en faisant de SharePoint un élément de base de Duet. Duet 3.0 est prévu pour 2009, avec la sortie du prochain Office. (...)
(25/04/2007 17:32:08)Avec Neoview, HP veut conquérir les datawarehouses
C'est officiel : HP lance Neoview, une plateforme à destination des datawarehouses (entrepôts de données). Et plus particulièrement ceux devant fonctionner 24 heures sur 24 et sept jours sur sept. En gestation depuis octobre dernier et testée chez certains clients privilégiés, la gamme comprendra des serveurs Proliant et Integrity ainsi que les systèmes de stockage associés StorageWorks. Comme système d'exploitation et base de donnée, HP a choisi NonStop, l'OS fondé quelques décennies plus tôt par Tandem. Plus généralement utilisée pour le traitement de grands volumes de transaction, la base de données NonStop a été modifiée pour s'adapter à la recherche d'information. Tout en conservant sa stabilité pour garantir une continuité de service optimale. Pour Ben Barnes, directeur général Business Intelligence chez HP, ce n'est pas une base de données classiques, comme celles d'IBM ou d'Oracle. « Bien qu'une base de données généraliste peut merveilleusement gérer des transactions, elle perd pied lorsqu'elle doit affronter de large quantités de donnée et des requêtes complexes. Ce produit est conçu pour les requêtes urgentes et les scans, sans nécessiter de nombreux paramètrages. » Le premier prix pour Neoview est un ensemble à 645 000 $ pour un serveur Integrity à 16 processeurs , 4 teraoctets de stockage, les logiciels NonStop associés et des services de consultants HP. Le costructeur ne devrait pas étoffer sa gamme Neoview avec des outils de décisionnel. A la place, la société a déjà signé des accords de partenariat avec Business Objects, Cognos ou Hyperion. (...)
(25/04/2007 17:13:36)Présidentielle : les machines à voter victimes de l'affluence, d'après leurs promoteurs
Il serait vain de vouloir établir un lien entre les longues files d'attente qui s'étiraient ce 22 avril devant de nombreux bureaux électoraux et les machines à voter installées dans ces mêmes lieux. C'est du moins l'avis d'ES&S, le fournisseur d'un des trois modèles d'ordinateurs de vote agréés en France. On aurait été surpris du contraire : le fabricant tire « un bilan positif » de l'utilisation de ses appareils qui ont « démontré leur capacité à saisir les votes efficacement et en tout confidentialité. Il faut en moyenne moins de dix secondes à un électeur pour voter », explique ES&S. Et le constructeur de mettre les files d'attente sur le compte du peu d'abstention : « les délais constatés dans les bureaux de vote, équipés ou non de machines à voter, étaient liés au processus d'identification et d'émargement. En effet, la participation exceptionnelle de 83,78% [...] a pu entraîner des ralentissements pendant ces deux étapes ». La ville d'Issy-Les-Moulineaux fait le même constat : « contrairement aux inquiétudes, la ville [...] n'a enregistré aucun dysfonctionnement technique du fait de la mise en oeuvre de machines à voter sur l'ensemble de ses bureaux. » La municipalité conduite par André Santini proclame, par conséquent, qu'elle « aura à nouveau recours au vote électronique lors du second tour. » A l'inverse, au Perreux-sur-Marne (94), les électeurs retrouveront les traditionnelles urnes le 6 mai prochain. La mairie ne remet pas en cause la sincérité du scrutin ni la fiabilité des ordinateurs, mais regrette les difficultés d'organisation liées à l'affluence des électeurs conjuguée à l'utilisation des machines. Le code électoral prévoit qu'une seule urne doit être installé dans chaque bureau de vote. Or une machine à voter est considérée comme une urne. Le plus grand bureau de Perreux comptant près de 2000 inscrits, les électeurs ont dû patienter jusqu'à près de 22 heures pour pouvoir donner leur voix à leur candidat. (...)
(25/04/2007 16:36:35)Près de deux grandes entreprises sur trois recueillent les candidatures sur leur site
Depuis 2002, la proportion de grandes entreprises ayant doté leur site Internet non seulement d'une rubrique RH, mais aussi de moyens de recueillir directement les candidatures aux postes ouverts à l'embauche, est passée de 33% à 57%. A ce jour, selon Keljob, le nombre d'offres d'emploi repérées sur les sites institutionnels est voisin de 30 000, soit 200% de plus qu'il y a deux ans. Ceci découlant de cela. « Pour ces entreprises, il suffit quasiment d'appuyer sur un bouton pour relancer le dispositif d'embauche. D'où l'effet quasiment mécanique. Le nombre d'offres en ligne gonfle fortement dès que le marché de l'emploi repart», observe Olivier Fécherolle, directeur délégué d'AdenClassifieds, société éditrice de Keljob.com. Cet effet d'accélération est, d'ailleurs, particulièrement net pour la fonction informatique. Selon les relevés mensuel de Keljob, celle-ci accapare près de 18% de l'offre d'emploi en ligne, tous sites confondus (sites de recrutement, rubrique RH des sites entreprises), en tête de la hausse de l'offre enregistrée en mars (+27% par rapport à mars 2006) tous métiers confondus. Selon l'étude Keljob passant au crible depuis six ans les pratiques de recrutement en ligne des 1000 plus grandes entreprises françaises, la forte réactivité - en volume - que confèrent leur propre équipement (saisie de CV directe ou en pièce jointe) s'accompagne de plus d'une évolution des comportements réciproques, entre chargés de recrutement et candidats. Quantitativement, si le taux d'entreprises ayant une rubrique RH sur leur site gagne encore trois points (76% en 2007, et 69% ayant une rubrique offre d'emploi), « il est probable qu'il ne progressera plus guère avec les firmes qui ont leurs raisons pour n'avoir pas cru bon le faire jusqu'ici », note Olivier Fécherolle. Néanmoins, le potentiel d'information accessible aux candidats est déjà considérable, susceptible d'enrichir l'argumentation de part (politique RH de l'employeur) et d'autre (positionnement du candidat). Internet pour pister et alerter les candidats L'usage de l'Internet mobile pour pister et alerter les candidats en est encore aux balbutiements. « Un usage potentiellement mieux accepté des personnes concernées que ne semblent le penser les employeurs », remarque Olivier Fécherolle. « En quelques mois, 130 000 personnes ont opté pour le nouveau service push SMS, qui n'est qu'une modalité parmi celles envisageables avec l'Internet mobile». Le milieu de l'intérim, réactivité oblige, étant l'un des plus avancés dans cette pratique. Le vecteur Internet est clairement entré dans les moeurs des deux parties comme outil de veille permanente. Du côté du vivier des candidats potentiels, 60% des internautes consultant les sites d'emploi sont en poste (étude de l'Appei, association professionnelle des sites spécialisés). Selon l'étude de Keljob, les recruteurs des grandes entreprises ont nettement développé leur tactique pour pister les candidats sur les blogs et autres sources d'informations personnelles. A tel point qu'il est recommandé aux candidats de vérifier par eux-mêmes les traces laissées sur Internet les concernant, ne serait-ce que pour éviter d'être surpris ou déstabilisé au moment du contact avec l'employeur. (...)
(25/04/2007 16:29:51)Intel s'oriente vers les processeurs tout en un
Intel va révolutionner l'architecture de ses composants. Jusqu'à présent, les processeurs étaient connectés au chipset qui comprenait le contrôleur mémoire et le contrôleur entrée/sortie. Bientôt, le jeu d'instructions (Intel Architecture ou IA), le contrôleur mémoire, le contrôleur d'entrée/sortie et l'accélérateur Intel QuickAssist seront regroupés à l'intérieur du processeur. « Vous aurez des difficultés à comprendre où s'arrête le processeur et où commence le system on chip (ndlr, ou système sur puce) », a déclaré Pat Gelsinger, vice-président et directeur général de l'Intel Digital Enterprise Group, à l'occasion de l'Intel Developer Forum qui s'est tenu à Pékin la semaine dernière. Le fabricant espère commercialiser le premier processeur de cette nouvelle génération l'année prochaine. Il s'agira du Nehalem, un processeur multithread qui sera gravé en 45 nanomètres (technologie Hi-K). L'intégration du contrôleur mémoire évitera l'usage d'un bus interne. Toujours en 2008, on verra apparaître le Tolapai, un SoC gravé en 65 nm qui comprendra un processeur x86, un chipset et un coprocesseur de chiffrage pour les serveurs appliances. Ce dernier permettrait d'économiser 20 % de consommation électrique. Une puce du même type avec graphisme intégré et destinée au marché grand public suivra dans la foulée. Pat Gelsinger a d'ailleurs annoncé pour le futur toute une gamme de SoC, destinés entre autre aux usages mobiles. Mieux encore, le Larrabee, actuellement en cours de développement, permettra de rassembler jusqu'à plusieurs douzaines de processeurs x86 sur un seul chip. Un chiffre qu'il faut toutefois manier avec prudence puisque l'on parlait jusqu'à présent de 16 processeurs, ce qui n'est déjà pas si mal. Destiné à concurrencer les processeurs graphiques actuels, ce chip programmable conviendra notamment pour la modélisation des flux (cache Web) ou le ray tracing (technologie de synthèse d'image). (...)
(25/04/2007 13:26:42)Trimestriels Bull : les revenus de la maintenance progressent pour la première fois
:Résultats premier trimestre 2007 Chiffre d'affaires : 247,1 M€ Evolution : +2,4% (à périmètre constant) Bull commence plutôt bien son exercice 2007 : le groupe publie un chiffre d'affaires en progression et voit les revenus de sa division maintenance progresser « pour la première fois », explique Bull. Le chiffre d'affaires atteint 247,1 M€ et recule, sur un an, de 3,9%. Une évolution qu'il convient cependant de nuancer : Bull a vendu, en décembre 2006, sa filiale italienne à Eunics SpA. Ce « foyer historique de pertes », selon les mots de Didier Lamouche, le patron du groupe, a longtemps nui aux performances de Bull. Ainsi, pour le trimestre considéré, le chiffre d'affaires est en progression de 2,4% si l'on exclut les activités transalpines de la base de comparaison. Les produits représentent la principale source de revenus de Bull, à 105,1 M€, mais ils sont également la seule activité dont le chiffre d'affaires recule (sans tenir compte de la filiale italienne). En un an, l'activité produits a ainsi diminué de 7,9%. Bull fait du redressement de cette division sa priorité pour l'exercice en cours. A l'inverse, la maintenance voit pour la première fois son chiffre d'affaires évoluer favorablement, à +3,8%. Une croissance déjà entrevue à la fin de l'exercice 2006 avec une baisse du CA qui s'était montrée deux fois moindre au dernier trimestre qu'au début de l'année. Enfin, les services restent l'activité montrant la plus forte croissance. A +17,7%, la division progresse pour le huitième trimestre consécutif, bien aidée par des prises de commandes en hausse de 28,5%. C'est sur cette dernière activité que Bull va particulièrement miser à l'avenir en faisant en sorte d'augmenter sa part dans le chiffre d'affaires total. Le groupe entend, par ailleurs, s'appuyer sur un ralentissement du rythme de décroissance de la maintenance et d'une progression des ventes de serveurs pour atteindre l'objectif qu'il s'est fixé en fin d'exercice 2006 : atteindre un profit opérationnel compris entre 20 et 24 M€ à l'issue du quatrième trimestre. (...)
(25/04/2007 13:25:38)Mouvements sociaux franco-allemands chez les opérateurs télécom
Après la vive réaction des salariés de Deutsche Telekom à la proposition de leur direction, le 16 avril, d'une baisse de salaires en échange d'une garantie de l'emploi, c'est l'inquiétude des salariés de France Telecom qui justifie, à l'unanimité des syndicats, l'organisation d'une grève annoncée pour le 31 mai. Outre-Rhin, le puissant syndicat Ver.di s'oppose au plan de réduction de la masse salariale annoncé par l'opérateur (une économie évaluée entre 600 à 900 millions par an par la direction). Ce plan visant plus particulièrement les 50 000 salariés qui seraient transférés vers une structure T-Services, filialisée, avec allongement de la durée du travail pour certaines catégories de personnel et baisse de salaires (de 12% en trente mois) en contrepartie d'un engagement à maintenir l'emploi jusqu'en 2010. Une solution qu'a, par ailleurs, déjà avancé le constructeur Fujitsu-Siemens en Allemagne, avec une augmentation de 10% du temps de travail (à compter du 1er avril 2007), sans hausse de salaires, mais en échange d'une garantie de maintien des effectifs à 4 750 salariés sur les trois années à venir. Pour Deutsche Telekom, le syndicat Ver.di estime que cette combinaison des mesures d'économie pourrait se traduire pour certains par une réduction de salaire allant jusqu'à 40%. Les débrayages qu'ont suscité cette annonce (touchant une dizaine de milliers de salariés dès le 17 avril) pourraient, en cas d'échec des négociations, déboucher sur l'organisation d'une grève générale. Au delà d'une démonstration de solidarité à l'égard de leurs collègues allemands, l'ensemble des syndicats de France Télécom (CFDT, CFTC, CFE-CGC, CGT, FO, SUD), réunis le 16 avril, a décidé d'appeler les salariés à une grève pour le 31 mai prochain. A l'ombre du plan Next annoncé en février 2006 par le PDG Didier Lombard, qui inclut une réduction d'effectif de 17 000 postes dans le monde (16 000 en France, avec 22 000 départs naturels et 6 000 embauches) en deux ans, ce sont aussi et surtout les négociations sur les salaires et sur les conditions de travail qui achoppent. Selon les syndicats, en 2006, c'est avec 10 300 départs pour 2 400 recrutements que France Télécom a réalisé 7 900 suppressions d'emplois en France dès 2006. Le pourcentage de la masse salariale sur le chiffre d'affaires est passé de 20% en 2003, à 17,3% en 2006. A la clé, une baisse de pouvoir d'achat tant pour les cadres (2,1% pour l'enveloppe des augmentations individualisées) que pour les non-cadres (1,1% d'augmentation générale, l'inflation étant de 2,5% en 2006). Un constat, certes, non limité aux personnels des opérateurs historiques si l'on en croit les échos des négociations salariales lus sur les blogs des représentations syndicales d'autres opérateurs (Neuf Cegetel notamment). (...)
(25/04/2007 13:21:19)Trips, le superordinateur qui tient sur une puce
IBM et l'université du Texas présenteront la semaine prochaine leur prototype Trips (Tera-op reliabilty intelligently adaptative processing system), une nouvelle architecture de processeur capable de condenser la puissance de calcul d'un superordinateur sur une seule puce. Trips utilise une nouvelle architecture Edge (Explicit data graph execution) qui, à la différence des architectures classiques, n'exécute pas une instruction à la fois, mais traite au contraire de grandes quantités d'informations d'un seul coup. Selon Stephen Kechler, l'un des professeurs en charge de ce projet, « la technologique Edge propose une approche alternative quand la course aux processeurs multicoeurs s'essoufflera. » Le processeur Trips contient deux coeurs actifs, capables, chacun, d'exécuter 16 instructions par cycle, tout en assurant le suivi de 1024 instructions en même temps. (...)
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