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(02/04/2007 18:25:08)

Un village Open Source sur le salon Géo-événement 2007

La démarche Open Source s'étend aux systèmes d'information géographique (SIG), très utilisés, notamment, dans les collectivités territoriales. Pour la première fois, le salon Géo-événement, qui ouvre ses portes demain à Paris Expo (Porte de Versailles,Hall5.1), a consacré un village de 220 m2 aux solutions s'appuyant sur ce modèle ; une douzaine d'acteurs s'y retrouvent, sociétés de services classiques ou SSLL (sociétés de services en logiciels libres). L'Open Source Geospatial Foundation (osgeo.org), qui oeuvre au développement collaboratif des données et des technologies géospatiales ouvertes, sera sur ce village, ainsi que l'ASS2L (association des SSLL), accueillie sur le stand de Camptocamp. Certains exposants ont spécifiquement développé des applications pour le compte de clients. Camptocamp, par exemple, est à l'origine d'un module de génération de cartes thématiques exploitant les technologies Ajax, réalisé pour l'Ifremer. Atol CD a ouvert des portails cartographiques pour Coop de France et le Val de Saône. Geosignal, encore, a mis au point la plate-forme PPIGE qui propose, sur la région Nord Pas de Calais, des services de consultation et de téléchargement de données cartographiques. D'autres intervenants du Village ont conçu leurs propres outils à partir de briques en Open Source. Geolabs propose ainsi Geolive, une solution embarquée basée sur la distribution Gentoo Linux. Géomatika, de son côté, met en place des serveurs cartographiques (IsiGéo collectivités par exemple) basés sur le noyau Mapserver. Waynasoft a une approche un peu différente. Il identifie les composants d'information cartographique en Open Source qu'il juge les plus intéressants, les teste, les met à disposition sur son site Web et en gère le suivi (notamment les mises à jour, évitant par exemple les upgrades intermédiaires non stabilisées). Une entreprise peut, si elle le souhaite, les télécharger et les mettre en oeuvre seule si elle dispose des compétences internes pour le faire. Waynasoft propose ainsi, sous licence GPL, WepMapper qui permet de diffuser des cartes dynamiques à partir de serveurs WMS (Web Mapping Services) et WFS (Web Feature Services). Mais pour bénéficier de la maintenance et du support pendant un an (appels en nombre illimité pour une personne), ainsi que de cinq à six jours de service pour la mise en oeuvre du logiciel et l'assistance au démarrage, le service revient à environ 15 000 euros. La SSLL peut également développer des solutions spécifiques. (...)

(02/04/2007 18:18:27)

Adobe propose une version bêta d'Acrobat 3D v.8

Adobe propose de télécharger une version préliminaire en français d'Acrobat 3D v.8, une application conçue pour faciliter la révision de fichiers 3D dans le cadre d'un processus de collaboration entre équipes, dans les secteurs de l'industrie (automobile, aérospatiale...), de l'architecture ou de l'ingénierie de construction. Le logiciel permet de créer des documents PDF fortement compressés en assemblant des fichiers 3D volumineux. Une quarantaine de formats différents sont reconnus, parmi lesquels ceux d'Autodesk Inventor, de Catia de Dassault Systèmes, de Pro/Engineer (PTC), d'UGS NX et I-deas ou encore de Solidworks. Les destinataires des fichiers peuvent consulter le document PDF à partir du lecteur gratuit Adobe Reader. Pour l'annoter à l'aide d'outils de commentaires, de mesure et de coupe transversale d'objets 3D, il faut disposer de l'Adobe Reader 7.0.7 et que l'accès à ces fonctions ait été préalablement activé dans Acrobat 3D v.8. (...)

(02/04/2007 18:16:47)

"Innovative Teachers Forum 2007": à l'Unesco et au Louvre, les TIC se mettent au service de la pédagogie

Le programme Innovative Teachers Forum est né en 2002 et pour la quatrième édition, la France a été choisie pour cette rencontre de deux jours (29 et 30 mars) qui vise à relier entre eux des enseignants d'horizons et de pays différents, afin de former une sorte de communauté de réflexion pédagogique grâce aux Tice (Technologies de l'information et de la communication dans l'éducation). A l'initiative de cette opération, Microsoft. Mais l'éditeur s'est volontairement mis en retrait pour promouvoir l'aspect éducatif de ce rendez-vous international et évoquer d'autres partenaires comme l'Unesco, les ministères français de l'Education nationale, de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, le Louvre, France5, le Café Pédagogique, Projetice et les Clionautes (ces associations du monde enseignant réfléchissent de manière complémentaire à l'usage des Tice) ainsi que Samsung (prêt des tablets PC). Les enseignants se sont retrouvés autour de l'exposition des « Virtual Classroom Tour » (VCT) destinée à présenter les projets conçus dans leurs établissements. Les meilleurs ont été récompensés à l'issue de cette rencontre. Autre moment fort : sur un thème donné (le Louvre), des équipes ont concocté des sujets filmés, à but pédagogique et exploitant toutes les palettes qu'offre l'interactivité. Ces sujets ont ensuite été montés par des élèves de l'Eisti (Ecole internationale des sciences du traitement de l'information) avant d'être présentés. Des Tice pour faire évoluer le partage et l'érudition Thierry de Vulpillières est directeur des partenariats éducation chez Microsoft. Il a en charge le développement des partenariats avec l'ensemble des acteurs du monde de l'éducation (enseignants, établissements scolaires, associations, syndicats, encadrements, éditeurs) dans le but de faciliter le développement des usages des Tice : « Microsoft est l'initiateur de cette opération, l'an dernier nous étions à Tallin. Tous les ans, des partenaires se rajoutent ou se substituent. Cette année, avec le Louvre, nous avons monté un projet très intéressant. Des coachs accompagnaient les enseignants présents et le montage a été fait avec des ingénieurs. Il est très important de mettre les Tice au service de l'éducation et des communautés enseignantes, mais il ne faut pas se tromper : Innovative Teachers Forum n'a pas pour ambition de transformer les professeurs en informaticiens, c'est pourquoi des ingénieurs avaient pour mission de monter les travaux réalisés pendant les ateliers. » Des éléments des travaux multimédias à vocation pédagogique ont été projetés avant la remise des prix des Virtual Classroom Tour : ils sont consultables sur le site de France 5. C'est un véritable laboratoire d'idées qui devrait inspirer d'autres enseignants et faire évoluer l'usage des Tice, de la maternelle au supérieur. (...)

(02/04/2007 18:15:04)

Le PDG de Red Hat s'affiche confiant face à Oracle et Microsoft/Novell

L'année 2006 s'est peut être terminée sur un dernier trimestre décevant, avec un bénéfice de 20,5 M$ contre 27,3 M$ à la même période en 2006. Mais pour Matthew Szulik, PDG de Red Hat, l'heure est à la confiance. Malgré les récentes annonces d'Oracle et le rapprochement de Microsoft et de Novell, les ventes de sa société ont crû de 41 % passant de 78,7 M$ à 111,1 M$ en un an. Red Hat aurait même conquis 44 000 nouveaux clients, dont 10 000 uniquement lors du dernier trimestre. Sur l'exercice fiscal 2007, Red Hat affiche un chiffre d'affaires en hausse de 44% par rapport à 2006, à 400,6 M$. Dont 341,2 M$ (+48%) provenant des ventes d'abonnements aux services. Face aux attaques répétées de ses compétiteurs, comme l'annonce récente d'Oracle qui affirme avoir séduit Yahoo et 25 autres grosses entreprises avec son offre de support de Red Hat Linux à prix cassé, Matthew Szulik explique que « depuis 1998, la société a dû se battre contre les plus grands éditeurs de systèmes d'exploitation du monde. Sa culture a donc toujours été d'être compétitif et de vendre de la valeur. [Red Hat], en tant qu'acteur purement Open Source, avec la combinaison de son modèle de développement, de ses capacités de services et de son modèle économique, continuera de produire de meilleurs résultats pour nos clients. » Il ne se prive pas d'envoyer ses propres piques au passage soulignant, à propos des accords d'intéropérabilité de Microsoft et de Novell : « Depuis aussi longtemps que je suis sur ce secteur, c'est à dire près de trente ans, j'ai entendu que Microsoft essayait d'améliorer sa productivité. Je me demande quelle espèce de poudre magique sera versée sur cette relation pour améliorer la satisfaction du client dans un environnement hétérogène. » Pour lui, la seule solution est de s'appuyer sur des standards indépendants de tout revendeur. (...)

(02/04/2007 18:09:45)

Hummingbird France : le PSE est validé en appel

Vendredi 30 mars, la décision de l'appel est tombée : elle infirme l'ordonnance des référés (janvier 2007) et valide le PSE (Plan de sauvegarde de l'emploi) proposé par la direction de Hummingbird France à la fin de l'année 2006. Il s'agissait de supprimer 49 emplois sur 81, suite au rachat par OpenText. Ce jugement constitue une victoire pour la direction et le Comité d'entreprise, un échec pour la CFDT. « Cette décision est fort satisfaisante du point de vue du Comité d'entreprise que je représente », commente maître Christine Lussault. Selon l'avocat du CE, « la décision relève que le CE a, de manière éclairée, pris sa décision. Il n'appartient pas au juge d'apprécier le mérite de la décision du CE. » Pour mémoire, le CE avait soutenu la direction de Hummigbird et s'était opposé au syndicat CFDT qui avait demandé (et obtenu) l'annulation du PSE au juge des référés. Aujourd'hui donc, les demandes de la CFDT sont rejetées, le syndicat ayant en outre à payer 1 000E au CE et 1 000E à la direction de Hummingbird (article 700). La décision de l'Appel le condamne aux dépens. Selon la CFDT, « le juge n'était pas un spécialiste des plans sociaux, et a juste considéré le fait que la majorité des salariés souhaitait partir dans les conditions actuelles. Nous n'avons pas encore décidé de la suite à donner. » Le syndicat pourrait se pourvoir en cassation ? Mais même si c'était le cas, le PSE est exécutoire, ce qui signifie que la direction peut l'appliquer immédiatement. (...)

(02/04/2007 17:27:06)

Le Conseil constitutionnel rappelle la conformité des machines à voter

Alors que les machines à voter électroniques rencontrent nombre d'opposants, le Conseil constitutionnel a tenu, lui, à en rappeler la conformité. Selon un très bref communiqué, l'organe étatique, lors de sa séance du 29 mars 2007, a mentionné que "l'utilisation des machines à voter pour les élections, notamment présidentielles, est autorisée par le législateur depuis 1969. Ce recours aux machines à voter dans les conditions fixées par l'article L.57-1 du Code électoral a été déclaré conforme à la Constitution par le Conseil constitutionnel". Selon le site de l'institution, trois modèles de machines sont pour l'heure agréées par le Ministère de l'intérieur: le modèle Datamatique de ES&S, le modèle Indra et le modèle Nedap - France élections. En février dernier, la ville d'Issy-les-Moulineaux a annoncé qu'elle mettrait en place des machines à voter dès le premier tour de l'élection présidentielle, le 22 avril. Une initiative critiquée par Pierre Muller, animateur du site ordinateur-de-vote.org. (...)

(02/04/2007 12:48:38)

La SSII française SRMI nominée pour les trophées partenaires d'IBM

SRMI, petite SSII rhônalpine, vient de gagner son ticket pour Saint-Louis à la fin du mois : elle a été retenue par IBM pour ses trophées « PartnerWorld Beacon Awards », qui récompensent des partenaires proposant des offres innovantes aux PME. Déjà distinguée par Le Monde Informatique l'année dernière pour ses Trophées entreprise et société de l'information, avec une nomination dans la catégorie PME, SRMI a été sélectionnée parmi 650 candidats. Cette fois pour son offre de messagerie unifiée et collaborative en marque blanche Xi-lite, développée conjointement avec sa filiale Aliadis. Son principe est de permettre aux utilisateurs nomades d'accéder à leurs documents et emails de façon quasi-transparente. Xi-lite repose sur la technologie Direct Push de Microsoft et fonctionne donc sur tous les terminaux mobiles équipés du système d'exploitation Windows Mobile (mais aussi sur Symbian à condition d'y installer un client). Au contraire du Blackberry, il ne nécessite pas de serveur intermédiaire. Et il est possible d'effacer à distance les données personnelles en cas de vol ou de perte. Les résultats seront annoncés le 30 avril au soir. (...)

(02/04/2007 12:19:52)

L'Europe devance les Etats-Unis pour l'équipement informatique

Selon le dernier rapport du World Economical Forum sur les nouvelles technologies, les Etats-Unis ne sont plus le pays le plus informatiquement avancé. Ils dégringolent à la septième place et laisse la pole position au Danemark, suivi de la Suède, Singapour, la Finlande, la Suisse et les Pays-Bas. La France, malgré le fort développement du haut-débit, reste loin derrière, en 23e position. Les Etats-Unis occupait la première place depuis 6 ans. Le Global Information Technology Report mesure chaque année l'impact des technologies de l'information sur l'économie du pays en se basant sur le NRI (Network Readiness Index), une combinaison de trois éléments : l'état économique général, l'environnement réglementaire et les infrastructures nécessaires pour les technologies de l'information, et enfin la façon dont la population (administration, entreprise et grand public) les utilisent. Pour Irène Mia, co-rédactrice du rapport : « Les pays nordiques ont démontré comment un effort sur l'éducation, l'innovation et la promotion des technologies de l'information sont une stratégie gagnante pour accroître la compétitivité. » (...)

(02/04/2007 12:17:25)

L'Icann vote contre le .xxx

L'Icann (Internet corporation for assigned names and numbers) a rejeté ce week-end, et pour la troisième fois, le .xxx, suffixe de premier niveau censé référencer les sites Web à contenu pour adultes. Réuni à Lisbonne, le Conseil d'administration de l'organisme a voté contre (9 voix) la proposition d'une énième classification. Cinq membres avaient voté en sa faveur et un s'est abstenu, selon un porte-parole de l'Icann. Officiellement, l'argument des "anti" reposait sur le fait que la création d'un tel suffixe transforme l'Icann en un régulateur de contenu, "une tâche qui n'est pas dans son mandat". Cet rejet n'est toutefois pas une surprise. Car cette extension ne contentait pas les principaux intéressés. D'un côté, les éditeurs de sites pornographiques qui estimaient que ce suffixe pouvait créer un ghetto virtuel. D'un autre, les instances religieuses qui y voyaient là un moyen de faciliter l'accès à ce type de sites. Ce troisième vote contre intervient sept ans après que ICM Registry a fait la première proposition de la création d'un .xxx. Cette société devait avoir la charge de la gestion du suffixe, comme Verisign celle du .com et du .net. Interviewé par l'Associated Press, Stuart Lawley, PDG de la société, s'est déclaré très déçu par la décision de l'Icann. (...)

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