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(27/03/2007 18:19:20)

Six suites Adobe renouvelées pour les créateurs de contenus graphiques, vidéos et Web

En annonçant dans le même mouvement les mises à jour ou la sortie de douze applications de création multimédia, vendues à la fois de façon indépendante et réunies en trois grandes suites, les Creative Suite 3 (CS3), visant trois types d'utilisation, Adobe considère faire l'un des plus grands lancements de son histoire. Il est vrai que les produits en question (Photoshop, InDesign, Illustrator, Dreamweaver, Flash, After Effects, Premiere...) génèrent environ la moitié de son chiffre d'affaires actuel et que l'éditeur entend bien tirer parti de l'envolée des nouveaux médias et modes de communication (notamment la téléphonie mobile) pour continuer à faire fructifier solidement cette activité. Cette étape constitue aussi l'illustration concrète de l'absorption des technologies Macromedia, rachetées en 2005. L'intégration fonctionnelle entre les logiciels constitue par ailleurs l'un des piliers de cette annonce puisque, Suite après Suite, Adobe se fait fort de décliner les interactions possibles entre ses différents produits, selon que la Creative Suite considérée s'adresse aux professionnels du graphisme (CS3 Design), à des développeurs de sites Web (CS3 Web) ou au monde de la vidéo (CS3 Production). Sachant que les deux premières suites sont déclinées en versions Standard et Premium, que la suite Video n'existe qu'en Premium et qu'une suite dite Master Collection s'adresse à la création « pluri-media », ce sont donc six packages différents qu'Adobe commercialisera en France d'ici cet été. Parmi les nouveautés remarquables communes à ces suites, le composant Adobe Device Central permet de prévisualiser l'affichage d'une création sur l'écran d'un téléphone mobile, en émulant le fonctionnement du terminal grâce à la bibliothèque de profils de téléphones constituée par Adobe et qui sera régulièrement mise à jour. L'interaction entre les logiciels prend appui sur les flux de production « Pour concevoir ses suites, nous avons voulu repartir d'une page blanche en interrogeant nos utilisateurs sur la façon dont ils utilisaient nos produits, explique Robert Raiola, directeur marketing Europe d'Adobe. Nous avons cherché à identifier les points de frustrations, notamment au niveau de l'intégration entre les logiciels, afin de déterminer quels étaient les flux de production à optimiser. » Pour lui, la gamme lancée aujourd'hui est le fruit de sept années d'évolution de produits désormais arrivés à un très fort niveau de maturité et enfin intégrés entre eux. Pour exemple, la Creative Suite 3 Design pour les professionnels du graphisme permet, depuis l'application de mise en page InDesign, des exports au format XHTML vers le logiciel de création de site Dreamweaver, pour une publication sur le Web. Outre ces deux logiciels, CS3 Design rassemble dans sa version Premium (2 100 euros), les produits Photoshop CS3 Extended (retouche photographique), Illustrator CS3 (dessin), Flash CS3 Professional (développement et intégration vidéo) et Acrobat 8.0 Professional (gestion de documents). Précisons que ces suites sont bien entendu en phase avec les environnements Mac Intel et Windows Vista. (...)

(27/03/2007 17:48:43)

Le PDG de Mandriva critique le choix d'Ubuntu pour les PC de l'Assemblée nationale

C'est très amer que le 23 mars, François Bancilhon, PDG de l'éditeur Linux français Mandriva, a publié sur le blog de la société une lettre ouverte aux députés, suite à la décision d'adopter Ubuntu pour les PC de l'Assemblée nationale. François Bancilhon, qui a vu alors l'offre de sa société rejetée au profit d'un montage Ubuntu / Linagora / Unilog , demande explication. "Je ne comprends pas ce choix et je ne comprends pas qu'une entreprise française, qui peut assurer un support local de son produit, grâce à des ingénieurs basés en France, n'ait pas été retenue." Il pointe également du doigt le modèle d'Ubuntu "un Linux concurrent de celui de Mandriva, financé à 100% par un milliardaire sud-africain - et donc dans un modèle économique face auquel aucune entreprise ne peut concourir - qui inonde le marché". Et la nature même de l'offre qui a été retenue "- semble-t-il uniquement sur la base du prix - a été proposée par une société de service, sans référence de déploiement de bureau Linux, et qui prétend supporter seule ce Linux sans s'associer à l'éditeur d'Ubuntu". (...)

(27/03/2007 17:17:22)

SFR décline son offre fixe+mobile pour les entreprises

En parallèle à l'extension de son offre Happy Zone pour les particuliers (un forfait unique pour ADSL, fixe et mobile), SFR lance une offre entreprise, Office Zone. Le principe est simple : le nombre d'appels émis par les collaborateurs, depuis les téléphones mobiles et sur les sites de l'entreprise (mono ou multi-sites) est illimité, sous certaines conditions. L'offre est un forfait d'appels illimités, vers tous les fixes et les mobiles SFR de l'entreprise 24h/24 et 7j/7, vers les fixes nationaux en semaine, de 8h à 20h et vers l'international Zone 0 en semaine de 8h à 20h (Europe des 27, Suisse, Norvège, Taiwan, Singapour, Australie, USA, Chine et Canada). Le service est facturé 30E HT par mois et par ligne. Au delà des sites de l'entreprise, SFR propose des pack allant de 50 minutes pour 6E à 800 minutes pour 72E. Ce crédit temps est mutualisé entre tous les collaborateurs. Enfin, l'opérateur inclut nativement l'option PABX Mobile à l'offre Office Zone. Elle permet de retrouver les fonctionnalités du poste fixe sur le terminal mobile : transfert d'appel, gestion des appels entrants, mise en conférence, renvoi d'appel ou encore gestion de groupes d'appels. (...)

(27/03/2007 16:54:03)

L'ANPE veut structurer les sites de recherche d'emplois avec la Charte réseau Net-emploi 2007

Aussi étrange que cela puisse paraître, l'ANPE (Agence nationale pour l'emploi), en dépit de sa mission de service public, ne s'était pas encore prononcée pour donner son appréciation sur la multitude de sites d'emplois qui essaiment sur la toile, même si l'idée est présente depuis 2002. L'oubli est désormais réparé avec la validation de la Charte du réseau net-emploi version 2007, proposée à tous les acteurs de l'emploi en ligne qui existent depuis au moins un an et qui respectent un certain nombre de conditions. Un label pour valoriser les sites qui respectent des règles communes Les sites en règle auront la possibilité d'apposer le logo attestant de leur engagement à tout mettre en oeuvre pour le respect de la légalité et des principes de non discrimination, dans une recherche permanente et collective des meilleures pratiques. Certaines règles sont strictes : respect des principes légaux et déontologiques ; accès gratuit à la consultation des offres et à la mise en ligne des CV pour les candidats ; assurance de la protection des données personnelles des candidats ; diffusions des offres d'emploi effectives, authentiques, précises, actualisées, sous contrôle et sans mention discriminatoire ou critère interdit ; gestion des CV qui respecte le choix des candidats (anonymat ou diffusion des coordonnées personnelles) et qui indique la durée de vie dans la base de données. Par ailleurs, un baromètre de la qualité des offres d'emploi en regard du contenu et sur le principe de non-discrimination a été mis au point. C'est une sorte d'étalon pour mesurer les efforts déployés par les adhérents dans leurs actions de vérification et d'auto-contrôle. C'est aussi un moyen d'auto-évaluation pour les sites candidats. C'est enfin une façon de jouer la transparence sur la question de l'amélioration nécessaire des offres d'emploi au regard de la discrimination par le sexe et par l'âge, deux critères qui, selon les conclusions de l'ANPE, « restent les points faibles de la diffusion Internet ou presse ». (...)

(27/03/2007 16:44:30)

Le PDG de SAP réfute les accusations d'Oracle

Henning Kagermann, PDG de SAP, a déclaré à l'occasion d'une conférence à Munich qu'il niait en bloc les accusations d'Oracle, nous apprend Reuters. Et que sa société n'avait pas volé des codes d'accès d'utilisateurs pour pénétrer le système Oracle. "Nous respectons la propriété intellectuelle des autres", a-t-il déclaré ce lundi. Vendredi 23 mars, Oracle a déposé une plainte contre SAP et sa filiale TomorrowNow pour vol à grande échelle, l'accusant de s'être introduit illégalement dans le système de support informatisé destiné aux clients Oracle. Ce même jour, SAP, tout en réservant sa réponse à Oracle, affirmait qu'il allait mener une véritable contre-offensive, et se "défendre agressivement" contre les accusations d'Oracle. (...)

(27/03/2007 16:42:55)

Citizendium inaugure son alternative à Wikipedia

:"Le monde a besoin d'une meilleure encyclopédie gratuite". Le décor est planté. Citizendium vient officiellement de faire son apparition dans le circuit fermé des encyclopédies en ligne. Et prend bien pour cible Wikipedia, icône du secteur. Son fondateur, Larry Sanger, également un des fondateurs de Wikipedia, s'est fixé pour objectif d'améliorer la fiabilité du concept et des contenus. Et de regagner la confiance des internautes, effritée depuis quelques mois. Un premier projet pilote a été inauguré en novembre et a permis de fédérer quelque 180 experts éditeurs et quelque 800 auteurs qui travaillent sur 1 100 articles (chiffre publié le 25 mars par Citizendium). Citizendium, à l'image de Wikipedia, fonctionne sur un système de Wiki, qui autorise les internautes à écrire ou modifier les articles, avec toutefois des niveaux de validation pour la publication finale. "Le modeste succès de notre projet pilote démontre qu'il reste de l'espoir quant à corriger les formes d'abus que nombre de personne associent au Web 2.0", déclare Larry Sanger. Des demissions dans la fondation Wikimedia A l'image d'un fork (ou dérivé) dans le modèle Open Source, Citizendium doit en gros reprendre les travaux réalisés par un autre et en améliorer le code et le concept. Citizendium, de son côté, prend davantage à bras le corps l'organisation et la hiérarchisation de ses contributeurs pour ainsi mettre en avant la fiabilité de ses contenus. Et à l'inverse de Wikipedia, les contributeurs de Citizendium utiliseront leur vrai nom, explique l'organisation sur son site. La fiabilité et l'exactitude des contenus de Wikipedia avaient en effet été mises à mal, récemment, lorsqu'un des contributeurs phares de l'encyclopédie s'était fait passer pour un professeur de religion, mais n'était qu'un simple étudiant de 24 ans, ayant falsifié son identité. Ce qui avait eu pour conséquence de créer un malaise auprès de la communauté des membres. En parallèle, la semaine dernière les démissions de deux responsables de la Wikimedia Foundation, hébergeur de Wikipedia, étaient également venu noircir le tableau. D'abord le n°2 Danny Wool et ensuite Brad Patrick, directeur exécutif, qui annoncèrent sur la liste de diffusion de la fondation leur départ, sans donner véritablement de raisons officielles. (...)

(27/03/2007 16:34:55)

Plus de 20 millions d'unités vendues en un mois pour Vista

Pari en passe d'être tenu pour Microsoft qui se targue d'avoir dépassé les 20 millions d'unités commercialisées en un mois pour Vista. Lancé en fanfare le 30 janvier dernier, le système d'exploitation a pu profiter tout à la fois du support massif des constructeurs, d'un marché des ordinateurs en croissance régulière, et également du système de coupons qui permet à un acheteur récent d'un PC sous Windows XP de le transformer dans la foulée en une version sous Vista. De quoi en tout cas rassurer Microsoft qui avait vu ses résultats financiers pour le compte de son 2e trimestre fiscal 2007 (clos le 31 décembre 2006) chuter de 28%. Les incertitudes sur la sortie - et les nombreux reports - et l'attentisme des consommateurs avaient alors lourdement pesé. (...)

(27/03/2007 16:32:12)

HP s'apprête à lancer son datawarehouse

Jusqu'ici pour avoir un datawarehouse (entrepôt de données), les clients avaient le choix entre acheter un ensemble matériel et logiciel propriétaire auprès de revendeurs comme IBM ou Teradata, ou acheter le matériel d'une part et y ajouter un logiciel dédié comme celui de Netazza. Cette deuxième solution est plus rapide que la première, mais ne convient qu'au traitement d'un seul type de données, comme l'analyse d'appels téléphoniques. Avec son datawarehouse Neoview, HP veut réunir les avantages des deux méthodes. Pour cela, HP se base sur deux éléments. Le premier, matériel, est constitué de noeuds de 16, 32, 64, 128 ou 256 processeurs Itanium 2 d'Intel. Physiquement, ils sont rassemblés dans des serveurs Integrity n2620 d'HP, chacun doté de 32 Go de RAM et de trois disques durs pouvant stocker jusqu'à 300 Go. Ces serveurs sont réunis dans des châssis Neoview de 42 U : un système à 16 noeuds utilisera 2 châssis, un à 256 noeuds utilisera 23 châssis. Le deuxième élément, logiciel, utilisera le système d'exploitation à micro-noyau NonStop de Tamdem et sa base de données associée. Neoview extrait les informations des bases de données de l'entreprise, les retraduit et les stocke dans son espace dédié. Pour les outils d'analyse externes, l'ensemble est totalement transparent. En interne, HP aurait utilisé Neoview pour consolider 750 bases de données en une seule à l'échelle de l'entreprise, selon Russ Daniels, directeur technique opérationnel d'HP Software. Pour l'instant, le prix de Neoview n'a été communiqué. (...)

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