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(27/02/2007 17:15:05)

Sopra rêve d'un chiffre d'affaires de 2 MdE pour 2010

Résultats exercice 2006 Chiffre d'affaires : 897,7 M€ (+8,5%) Résultat net : 44,2 M€ (+25,2%) Tout va pour le mieux chez Sopra, dont les résultats 2006 viennent d'être présentés par Pierre Pasquier, le fondateur de la SSII. Signe de cette bonne santé, « il y a croissance organique et croissance externe chaque année » sur les trois derniers exercices, explique Pierre Pasquier. Les revenus du groupe ont progressé de 18,6% au cours de l'année pour atteindre 897,7 M€. A périmètre constant, la hausse de l'activité reste conséquente, à +8,5%. L'intégration de systèmes en France continue de représenter la majorité du chiffre d'affaires (537 M€) et affiche une honorable croissance organique de 6,1% sur l'année. Après un bon premier trimestre, le dynamisme de la division s'est effrité pour mieux rebondir sur les trois derniers mois de l'exercice (+ 11% au T4). La même activité en Europe progresse de 12,8% en organique par rapport à 2005 et rapporte 204 M€ à Sopra. Axway, la filiale spécialisée dans l'intégration d'applications, se montre le meilleur élève avec une croissance organique de 16,2%, à 117 M€. Enfin, le conseil relève la tête et, s'il affiche un recul de 0,7% de son CA, « rétablit un léger niveau de croissance en fin d'année », souligne Pierre Pasquier. Le fondateur de la SSII met les difficultés de la division sur le compte du recrutement, expliquant que « c'est sur les effectifs [qu'il a] des problèmes. Sopra doit composer sur ce secteur d'activité avec un turn-over important, d'autant plus dommageable que les clients sont davantage liés à un consultant qu'à l'enseigne qui l'emploie. Aussi, il n'est guère surprenant de constater que les clients recrutent directement les salariés de Sopra et engendrent, de fait, « une large partie des départs », explique Pierre Pasquier. Avec une marge de 8,4%, le groupe voit sa rentabilité progresser d'un point au cours de l'exercice. Il profite notamment du résultat opérationnel courant d'Axway, qui s'élève à 11,8 M€, soit une marge de 10,1%. La division intégration de systèmes Europe bénéficie, quant à elle, des acquisitions effectuées en 2005 en Espagne et au Royaume-Uni et fait passer sa marge de 3,8% à 7% de ses revenus. En France, la branche d'intégration atteint une rentabilité de 8,4% du CA (contre 7,4% l'année précédente), et pourrait progresser d'ici à 2008 grâce à une demande qui reste soutenue. Au total, Sopra boucle 2006 sur un résultat net de 44,2 M€, soit 25,2% de plus qu'en 2005. Objectif 2 Md€ en 2010 L'exercice achevé a signifié, pour Sopra, la fin du Projet 2007 et la mise sur les rails du projet 2010. Le but de la SSII est d'atteindre, au crépuscule de la décennie, un chiffre d'affaires compris entre 1,5 et 2 Md€ et une marge opérationnelle supérieure à 10%. Des objectifs qui passeront par le renforcement de la part du conseil dans les revenus du groupe, « l'objectif est d'atteindre 10% du chiffre d'affaires », précise Pierre Pasquier. Autre méthode pour parvenir à ses fins : Sopra procèdera à des opérations de croissance externe. Si le président du directoire ne veut pas trop s'étendre sur le sujet, il concède néanmoins que « certaines acquisitions de 50 ou 60 M€ auraient du sens » et que les marchés cibles seront ceux « où [Sopra] est déjà positionné : la banque, les services financiers, en Espagne, en Angleterre...ou peut-être ailleurs ». Sopra poursuivrait ainsi la logique mise en place depuis plusieurs exercices, tous rythmés par des rachats dont le dernier en date concerne l'activité B2B d'Atos Origin en Allemagne, dont la signature définitive devrait intervenir demain, 28 février. La SSII poursuivra en outre la mise en place de son dispositif offshore, notamment en portant de 150 à 250 les effectifs en Espagne dès 2007, en dépassant très largement les 150 salariés que compte le groupe en Roumanie et en renforçant considérablement sa présence en Inde (300 employés en 2006, 500 prévus en 2007, puis poursuite de la croissance). En attendant 2010, Sopra table sur un exercice 2007 qui devrait voir la marge s'améliorer, notamment sur le conseil. La croissance des revenus du groupe devrait s'aligner sur celle du marché (entre 6 et 7%) avec « un premier trimestre forcément bas pour tout le monde en raison d'un jour travaillé en moins », selon Pierre Pasquier. Lequel ajoute : « pour la fin de l'année, nous avons pris les décisions qu'il faut pour surperformer »(sic). Si Sopra cherche des acquisitions pour confirmer sa taille critique, Pierre Pasquier rejette enfin mordicus toute idée de céder son entreprise : « Je n'ai pas du tout envie de vendre cette société, Sopra n'est pas à vendre ». (...)

(27/02/2007 16:10:57)

L'Insee propose aux internautes de calculer leur propre indice des prix

Prendre en compte les particularités des budgets de chaque ménage français. C'est pour répondre à cette problématique que l'Insee (Institut national de la statistique et des études économiques) publie une version personnalisable de son indice des prix à la consommation. Ce dernier calcule "l'évolution des prix d'un ensemble de biens et services représentant la consommation de l'ensemble des ménages " en se basant sur une structure de consommation moyenne. "Mais le consommateur moyen n'existe pas", déplore l'Insee. Le simulateur d'indice, de son côté, permettra de calculer son indice des prix en fonction de sa propre structure de dépenses. Pour en fin de compte déterminer un taux d'inflation davantage proche de son propre mode de vie. Par exemple, explique l'Insee, "le loyer absorbe une part plus importante du budget des ménages locataires, les dépenses de santé pèsent en général plus lourd dans celui des personnes âgées et les dépenses de tabac dépendent de la présence de fumeurs dans le ménage". Le nouveau service en ligne permet de paramétrer sa structure de consommation en ajustant la part des dépenses liées notamment au tabac, aux carburants, au transport, mais également aux biens durables de loisir, à l'alimentation ainsi qu'à l'habillement. Et ce en faisant varier l'indice de base, alors proposé par défaut. Au total, douze critères peuvent être configurés, par simple manipulation de curseurs. (...)

(27/02/2007 15:47:03)

Microsoft veut faire de Vista un client des applications de BPM

D'ici à la fin de l'année, les applications de BPM (Business process management, gestion de processus métier) pourront s'exécuter directement sur Windows Vista. La couche workflow de Vista, WWF (Windows Workflow Foundation) bénéficiera dès le mois de mars d'une mise à jour lui offrant le support de BPEL (Business process execution language), le langage d'exécution des processus métier. La version supportée sera la 1.1, mais Microsoft pense pouvoir implémenter la 2.0 (encore au cours de finalisation au sein de l'organisme de normalisation Oasis) avant fin 2007. Le but de WWF est de servir de support à des applications de workflow. De l'enchaînement des tâches à celui des processus, il n'y avait qu'un pas, que Microsoft entend favoriser également en créant une alliance avec divers partenaires : les membres de la Business Process Alliance s'engagent à aider leurs clients à bâtir des applications de BPM sur la plate-forme Microsoft. Ont déjà adhéré à la BPA : Amberpoint, Ascentn, IDS Scheer, Fair Isaac, Global360, InRule Technology, Metastorm, PNMsoft, RuleBurst et SourceCode Technology Holdings. (...)

(27/02/2007 15:03:06)

HP se renforce dans le stockage avec PolyServe

HP vient d'acheter PolyServe, un éditeur spécialisé dans les logiciels de stockage, sans que les termes exacts de la transaction n'aient été publiés. Fondé en 1999, PolyServe emploie 117 personnes. Ses solutions améliorent la façon dont les logiciels de stockage s'installent sur des grappes de serveurs x86. Selon le communiqué d'HP, « Avec ce logiciel, l'information d'un fichier ou d'une base de données peut être consolidée dans un seul et même support hautement disponibles et extensible pour s'adapter aux besoins du client. » Depuis deux ans, PolyServe était l'un des partenaires privilégiés de HP, mais aussi d'IBM ou de Dell. Ses logiciels sont déjà compatibles avec les baies de stockage et les serveurs ProLiant sous Linux et Windows. Lorsque, d'ici quelques mois, cette acquisition devrait être finalisée, PolyServe intégrera la division StorageWorks d'HP, et ses logiciels seront alors compatibles avec les serveurs lames d'HP. Un enrichissement logiciel qui permettra à HP de se distinguer des offres de ses concurrents directs, IBM et Dell. (...)

(27/02/2007 14:47:10)

Google Maps pour superviser les performances de son SI

Comment exploiter les services de géolocalisation fournis par Google Maps dans une offre commerciale ? La start-up californienne FireScope, spécialiste de la sécurité et de la surveillance, vient de développer une technologie de tableau de bord qui répertorie en temps réel et localise sur une carte l'état de fonctionnement des différents centres ou agences d'une entreprise. L'idée est de fournir, dans un boîtier autonome, une technologie de portail entièrement personnalisable (de type mash-up), qui lie des outils de maintenance, de contrôle de performance et de disponibilité d'Internet et même d'antivirus, à un service de cartographie fourni par Google Maps. Rappelons que Google livre les interfaces de programmation de son service de géolocalisation. Le système envoie alors des alertes lorsqu'un des repères, qui ont été configurés au préalable, est signalé comme défectueux. La technologie FireScope peut notamment cibler l'espace de stockage, la bande passante ou la montée en charge des processeurs. Le tableau de bord délivre en temps réel des diagrammes de contrôle géolocalisés. L'un des gros intérêts de la solution, explique l'éditeur sur son site, est sa capacité à s'intégrer avec des outils de gestion tiers, notamment HP Openview ou IBM Tivoli. FireScope commercialise son appliance à partir de 10 000$, une année de maintenance incluse. (...)

(27/02/2007 12:30:17)

Pour l'IEEE, le WiMax mobile sera la future 4G

L'IEEE (Institute of electrical and electronics engineers) a mis sur pied un groupe de travail qui planchera sur le 802.16m, la version mobile du WiMax. Il s'agit d'offrir un débit de 1 Gbps en tirant parti de la technologie MIMO (multiple input multiple output : de multiples entrées/sorties pour accroître le débit). La feuille de route prévoit un déploiement de la technologie en 2010, ce qui collerait avec le calendrier de la future 4G. La nouvelle norme devrait également être compatible avec le 802.16e, en cours de déploiement aux Etats-Unis par Sprint, et en Grèce par l'opérateur canadien Craig Wireless, associé pour l'occasion à son compatriote Nortel (par ailleurs fervent supporter du WiMax MIMO). Les jeux sont toutefois loin d'être faits, l'interopérabilité entre la 802.16e et la 802.16d ayant déjà soulevé pas mal de problèmes en son temps. Il se dit également que les militaires s'intéressent de près au 802.16m. Enfin, les lobbyistes auprès de l'UIT (Union internationale des télécommunications), passage obligé pour toute nouvelle norme, ne sont pas tous des fervents supporters du WiMax mobile. On attend donc avec intérêt la prochaine réunion de l'IEEE qui se tiendra à Paris au mois de mai. (...)

(27/02/2007 12:22:23)

Les éditeurs sont encore à des années d'une solution MDM complète, prévient Forrester

Il faudra attendre plusieurs années encore avant de voir un « vrai hub MDM fourni par un seul éditeur », prévient Forrester dans sa dernière étude sur le « Master data management », ou gestion des données de référence. Contrairement, dénonce le cabinet d'analystes, à ce qu'affirment les éditeurs à chaque acquisition ou nouvelle version de leur produit. Par « hub MDM », les auteurs de l'étude entendent un outil unique capable de supporter les différentes approches relevant aujourd'hui du MDM, telles que le CDI (Customer data integration, intégration des données clients) ou le PIM (Product information management, gestion des données produits). Ainsi, indique l'étude, les clients de SAP partent plutôt sur l'approche PIM, tandis que ceux d'Oracle entrent sur ce marché au travers des solutions de CDI. Pour Forrester, une véritable solution de MDM doit permettre d'identifier et de maintenir les données de référence dans tous les domaines, et servir tant aux processus métiers qu'aux applications décisionnelles. IBM serait le plus proche de cette définition, « à 18 ou 24 mois » d'une telle offre, estiment les auteurs de l'étude. L'étude, « Trends 2007 : Master Data Management », fournit un graphe positionnant les différents acteurs du marché en fonction de leur background respectif. Hormis IBM, les plus proches de parvenir à une solution globale sont Siperian, Initiate Systems, Oracle, Purisma, Dun&Bradstreet et Trillium. Le cabinet s'attend à nombre d'acquisitions dans ce domaine, pour accélérer le mouvement, mais s'étonne surtout de l'absence de Microsoft de ce marché, qui crée « un trou significatif dans l'écosystème .Net ». Un projet global doit commencer petit A condition de ne pas prendre pour argent comptant les « déclarations exubérantes » des éditeurs sur la complétude de leurs offres de MDM, cette technologie reste un élément essentiel des futurs systèmes d'information, complète Forrester. Simplement, dit l'étude, il vaut mieux commencer maintenant mais petit à petit, par entité métier ou par silo de données, de façon à pouvoir définir des métriques adaptées et prouver le retour sur investissement aux responsables métier, qui doivent être les sponsors de ce type de projet. Ce n'est qu'à terme que les projets se rejoindront - quand les solutions complètes seront vraiment prêtes. Cela laisse le temps également de former des compétences en interne. Forrester souligne en effet le manque de compétences en architectes de données et en experts de la gouvernance de données. Un bon créneau à prendre dans l'immédiat pour les cabinets de conseil. (...)

(27/02/2007 11:10:33)

Open Text et Hummingbird évoluent vers les services Web

Open Text veut faire évoluer tranquillement ses clients vers une architecture orientée services. La version 10 de sa plateforme de gestion de contenus, Livelink ECM 10, lancée en novembre dernier, inclut déjà des fonctions d'archivage et de gestion du cycle de conservation des données (records management) exposables sous forme de services Web pour les environnements SAP et Microsoft Sharepoint. D'autres fonctions accessibles sous forme de services Web sont annoncées pour septembre prochain, notamment un workflow distinct du noyau de l'application, ou encore une fonction de recherche, elle aussi distincte, destinée à retrouver des informations dans des contenus Livelink et des contenus externes pour des applications de recherche de preuves, par exemple.
« Ce n'est pas une révolution, mais une évolution douce que nous proposons vers un modèle orienté services », décrit François Pichon, directeur du marketing d'Open Text pour l'Europe du Sud.

Les solutions de Hummingbird évoluent aussi

Aux clients hérités du rachat de Hummingbird en août dernier, Open Text veut aussi proposer un changement sans bouleversement en leur permettant d'adopter progressivement les nouveaux outils de Livelink sans abandonner leurs référentiels de contenus. Pour le premier semestre 2008, il leur prépare, sous le nom de code DMX une solution de convergence entre la technologie Open Text et le produit qu'ils utilisent aujourd'hui, Livelink ECM eDocs 2004 (DM5), Livelink ECM eDocs 2005 (DM6), Docs Open ou encore LegalKey (une offre également rachetée).
Dans l'intervalle, l'éditeur continue de faire évoluer l'offre actuelle de Hummingbird en apportant principalement le support de Windows Vista et de la suite bureautique Microsoft Office 2007 sur l'interface cliente de DM5 (qui représente l'essentiel de la base installée française).

L'offre décisionnelle du catalogue Hummingbird (50 clients en France) est également maintenue et va s'enrichir du support d'Unicode. Quant à Genio, l'outil d'ETL (extraction et transformation de données pour constituer une nouvelle base) désormais appelé Livelink ECM-Data Integration, il sera utilisé pour les projets de migration vers les nouvelles plates-formes ou pour les chantiers d'intégration de données en temps réel entre applications. Cet outil d'origine française, racheté en 1999 par Hummingbird, compte 300 clients sur l'Hexagone et 500 au total (les autres utilisateurs sont principalement européens).
De la même façon, l'éditeur fait évoluer les offres métiers de Hummingbird, en particulier celles développées dans le domaine juridique à destination des cabinets d'avocats (gestion du cycle de vie des contrats). Open Text développe aussi ses solutions de gestion des dossiers des clients ou, dans le domaine des ressources humaines, des dossiers des collaborateurs, ainsi que la dématérialisation des factures fournisseurs et le suivi des contrôles internes.

Enfin, sur l'offre de gestion de contenu Web acquise récemment, RedDot, Open Text a des ambitions particulières. L'éditeur a décidé de l'exploiter aussi comme une solution autonome qui lui permettra de lutter contre les offres en Open Source, bien implantées en France.

Une interface riche

Open Text prépare également une nouvelle interface riche, basée sur la technologie de Hummingbird, plus avancé que lui dans ce domaine, notamment dans l'intégration avec l'environnement Microsoft. A partir de cette interface unifiée, on pourra accéder aux services exposés pour explorer plusieurs référentiels de contenus. John Shakleton, PDG d'Open Text, souligne les partenariats renforcés noués par sa société avec des acteurs comme Microsoft, SAP et Oracle afin de permettre aux entreprises d'effectuer indifféremment des recherches dans les sources de données structurées (bases de gestion) et non structurées (courriels, documents bureautiques, enregistrement des messageries instantanées, pages Web...), ces dernières poursuivant leur croissance exponentielle. Open Text a indiqué qu'il allait effectuer une annonce importante avec SAP dans un mois environ.

John Shakleton cite aussi, pour illustrer la complémentarité de son offre avec celle de Microsoft, l'exemple de nombreux clients d'Open Text qui utilisent le portail MS Sharepoint dans différents départements de leur entreprise et veulent regrouper en un seul point l'accès à l'ensemble des informations ainsi gérées.
Sur un marché de la gestion de contenu qui s'est fortement consolidé, il ne reste plus désormais face à Open Text que deux grands acteurs : IBM, armé de son acquisition Filenet, et EMC qui a lui-même racheté Documentum (*). Si Microsoft a incontestablement une carte à jouer sur ce terrain, John Shakleton le voit davantage comme une porte d'entrée pour son offre : « L'usage de MS Sharepoint chez nos clients nous aide à déployer nos solutions », considère-t-il.
En France, Open Text compte 220 clients auxquels s'ajoutent les 50 clients de l'offre Ixos adaptée aux contenus SAP. Hummingbird en dénombre 150.

Sur le plan social, les salariés français de Hummingbird sont toujours dans l'attente. La direction a fait appel de l'annulation du plan de sauvegarde de l'emploi. L'audience doit avoir lieu le 1er mars.

(*) Selon Gartner, IBM détient 28 % du marché mondial de la gestion des contenus d'entreprise (ECM), suivi d'Open Text 22 % et d'EMC (13 %). (...)

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