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(12/10/2011 10:42:13)

3ème génération d'appliances de sauvegarde chez Arkeia

Le marché de la sauvegarde fait toujours la part belle aux appliances qui réduisent en partie la complexité de configuration et d'administration d'une solution de back-up (la sauvegarde sur disque et l'archivage sur bande). Quelques semaines après Quantum (voir annonce de septembre dernier), l'éditeur franco-américain Arkeia Software lance sa troisième génération d'appliances - les R120, R120-LTO, R220, R220-LTO, R320, R620 en rack ou desktop - dédiés à la sauvegarde et reposant sur sa solution Network backup 9, un système de disques RAID-1 et 6 (de 1 à 20 To) et un lecteur de bandes optionnel. La première génération de ces équipements remonte à mi-2007.


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Comme nous le rappelle Frédéric Renard, directeur général EMEA chez Arkeia, « Il y a 15 ans l'adoption de Linux a relancé le marché de la sauvegarde, aujourd'hui c'est la virtualisation qui pousse les entreprises à réinvestir sur le back-up ». Avec la multiplication des machines virtuelles sur les serveurs, la sauvegarde est devenue plus complexe. Le mode  disaster recovery  de ces appliances  inclut ainsi le boot réseau pour reconstruire une machine cible. C'est donc le serveur dédié qui prend en charge la reprise d'activité après sinistre. Ces appliances de sauvegarde fonctionnent de manière transparente avec tous les composants d'Arkeia Network Backup, y compris les agents de sauvegarde, le module de Disaster Recovery, le serveur de réplication des sauvegardes et le serveur d'administration centralisée.

Sauvegarde optimisée pour VSphere

Arkeia Network Backup sécurise également les plateformes physiques et virtuelles, telles que VMware vSphere, Microsoft Hyper-V, Citrix XenServer, et Red Hat RHEV. Les librairies VDDK de VMware sont toutefois incluses au logiciel de l'appliance, ce qui permet une protection des environnements vSphere via les APIs vStorage  (VADP). Un agent de sauvegarde pour VSphere - pour le serveur -est inclus dans la solution, mais sa licence doit être activée chez VMware. Un autre agent est également proposé pour Hyper-V.

La déduplication progressive est bien sûr de la partie avec un travail effectué à la source et à destination. Rappelons que la déduplication réduit le volume des données et accélère les sauvegardes sur le réseau. De plus, avec la même capacité de stockage, elle permet d'étendre les périodes de conservation des sauvegardes. Frédéric Renard annonce un taux de dédup de 3 à 5%. Rappelons qu'Arkeia possède sa propre solution de dédup depuis le rachat de Kadena Systems en 2009. « Notre technologie de déduplication progressive nous permet de nous approcher de la déduplication de blocs fixes, mais avec un taux variable », précise le dirigeant.


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Ces équipements sont équipés de liens Ethernet 10 Gbit/s et FC 8 Gbit/s et se raccordent à des lecteurs et librairies à bandes via les interfaces eSATA, Fibre Channel, SAS et SCSI.

Commercialisées à partir de 2 500 euros HT, les appliances R120, R220, et R320 sont livrées avec un nombre d'agents de base allant jusqu'à 60 machines. Elles seront suivies, au quatrième trimestre, par la R620.

(...)

(11/10/2011 15:38:28)

Java toujours n°1 mais moins populaire parmi les développeurs, selon l'index Tiobe

En dépit de la récente mise à jour majeure de la plateforme Java, sa cote a faibli si l'on en croit l'enquête mensuelle de Tiobe Software qui évalue la popularité des langages de programmation. Livré ce dimanche 9 octobre, le Programming Community Index montre que Java a perdu un peu de terrain en septembre : environ 17,9% de développeurs l'utiliseraient contre 18,76%  selon l'index du mois précédent. Le langage créé au sein de Sun Microsystems, et désormais suivi par Oracle, conserve néanmoins sa première place. Mais si la tendance se poursuit, le langage C, qui se trouve juste derrière avec 17,7% d'utilisateurs, passera numéro un le mois prochain, estime Tiobe.

A quelques exceptions près (entre mi-2004 et mi-2005 et pendant quelques mois l'an dernier quand C a pris le dessus), Java a occupé la tête de l'index depuis 2001, rappelle Paul Jansen, directeur général de Tiobe. D'après ses observations sur le terrain, Java est pris dans un mouvement descendant. « Cette tendance est probablement dû au fait que Java évolue trop lentement comparé aux autres langages, tels que C# », explique-t-il.

Objective-C en hausse

En juillet, Oracle a livré Java SE (Standard Edition) dans sa version 7. C'était la première mise à jour majeure en plus de cinq ans. Elle s'est adaptée aux processeurs multi-coeurs et aux langages dynamiques. La version 8 de Java SE est attendue pour 2013. Elle doit apporter le moteur JavaScript préparé dans le cadre du projet Nashorn.

Au top 10 des langages de l'index Tiobe figurent par ailleurs C++, PHP, C#, Objective-C, Visual Basic, Python, Perl et JavaScript. Parmi ceux-ci, Objective-C et Transact-SQL affichent leurs meilleurs scores avec des taux d'utilisation respectifs de 6,24% et 0,9%. Assembly entre de nouveau au Top 20, à la 19e place. Visual Basic.Net saute de la 39e à la 25e place en un mois, mais ne représente que 0,48% des développeurs, tandis que F# chute de la 23e à la 46e place.

L'index Tiobe classant les langages de programmation les plus populaires
Index Tiobe d'octobre 2011 - Cliquer ici pour agrandir le tableau

Source illustrations : www.tiobe.com

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(11/10/2011 12:42:30)

Les Anonymous ont peut-être ralenti le site du New York Stock Exchange

À deux reprises, lundi après-midi, le site du New York Stock Exchange (NYSE) a été fortement ralenti. Or, selon une société de surveillance Internet et de services mobile dans le cloud, c'est le jour où les pirates d'Anonymous avaient programmé de lancer une attaque par déni de service distribué DDoS (distributed denial-of-service) contre le groupe mondial de places boursières. Cependant, l'attaque, un peu hésitante, n'a été suivie que par une partie des Anonymous, laissant apparaître une certaine confusion au sein de l'organisation qui revendique le fait de ne pas disposer de structure centralisée.

«Nous avons fait tester le site à partir de 10 villes américaines, et à 14h30, toutes nous ont orientés vers le sud », a déclaré Daniel C. Berkowitz, porte-parole de Keynote Systems, une entreprise de San Mateo, Californie. Selon lui, le site web du NYSE a été tellement ralenti entre 14h30 et 15h00 (fuseau horaire Pacifique) « qu'il était inutilisable pour les visiteurs». Keynote Systems a également observé un très sévère ralentissement d'une minute à 12h30, l'heure à laquelle les Anonymous avaient programmé leur attaque. « Cela n'a pas affecté les transactions. Seul l'accès à la page d'accueil du site du New York Stock Exchange était perturbé, » a-t-il ajouté. Mais il n'est pas sûr que ce ralentissement soit le résultat d'une attaque DDoS. AlertSite, qui appartient à SmartBear Software, a également signalé une panne sur le site web de la Bourse de New York. Mais pour l'instant, celle-ci n'a pas répondu à une demande de commentaire.

Les Anonymous démentent être à l'origine de l'opération

Une section des Anonymous a affirmé que l'annonce de l'opération « Envahir Wall Street », menaçant une attaque sur le site du NYSE, était bidon. « Cette opération a été montée par des autorités chargées de l'application du droit et d'organismes de lutte contre la cybercriminalité pour saper le mouvement « Envahir Wall Street », » a indiqué le groupe dans un message posté sur Pastebin le 4 octobre. Une autre section a affirmé lundi que ce battage à grande échelle, annonçant une attaque d'envergure, était destiné à faire peur aux médias et au gouvernement. Néanmoins, un autre groupe aurait décidé de mener cette attaque. « Même si la majorité n'est pas d'accord avec cette opération, des factions d'Anonymous sont partant, » selon un commentaire laissé sur YouTube, en rapport avec l'annonce de l'attaque. Le mouvement « Envahir Wall Street » soutenu par les Anonymous, proteste contre l'inégalité économique et la cupidité des entreprises et du secteur financier aux États-Unis.

Le NYSE n'a pour l'instant pas fait de commentaire, mais selon certains rapports, une porte-parole de NYSE Euronext, propriétaire de la place financière, a déclaré qu'il n'y avait pas eu de perturbations sur le site. Dimanche, un petit incendie s'était produit dans un datacenter du NYSE, à Mahwah, au New Jersey, affectant temporairement les communications de 58 sociétés de trading.

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(11/10/2011 12:43:53)

Google lance son langage Dart qui s'attaque à JavaScript

Google a lancé une pré-version d'un langage de programmation web appelé Dart avec lequel les ingénieurs de la société espèrent remédier à certains points faibles du très utilisé JavaScript. L'objectif est de créer « un langage structuré mais flexible pour la programmation web », explique le billet publié hier par Lars Bak, développeur de l'équipe de Dart, pour annoncer officiellement le langage.

Les capacités de Dart ressemblent à celles de JavaScript, même si Lars Bak ne mentionne pas spécifiquement ce dernier. Elles s'attellent ainsi à certains problèmes d'évolutivité et de type organisationnel qui ont été associés à JavaScript. Des fuites, provenant de mémos internes ayant circulé, ont révélé que des ingénieurs de Google avaient exprimé leurs frustrations à propos « de défauts fondamentaux qui ne peuvent pas être amendés par une simple évolution de JavaScript ».

Dart est un langage orienté objet, conçu à la fois pour bâtir rapidement de petits projets et pour développer des applications web de plus grande ampleur. Il permet aux programmeurs d'ajouter des variables sans définir leur type de données (typage dynamique), ou bien en les définissant (typage statique). La première option est mieux adaptée aux petits projets qui ont besoin d'être mis en service sans délai, tandis que le typage statique aidera à réaliser et à accélérer les programmes web plus importants.

Machine virtuelle et compilateur

La pré-version inclut un compilateur et une machine virtuelle, ainsi qu'un ensemble de bibliothèques de base. Pour que les programmes réalisés avec Dart fonctionnent sur les navigateurs, les développeurs peuvent les compiler en JavaScript en utilisant un outil fourni dans le package. A terme, Google aimerait que chaque navigateur comporte une machine virtuelle Dart, sur laquelle fonctionneraient les programmes Dart. A ce stade, même le propre navigateur de Google, Chrome, ne supportera Dart. « Nous comptons explorer cette option », a indiqué Lars Bak dans son billet.

Google devra mener une campagne persuasive s'il veut vraiment que Dart remplace JavaScript à travers le Web. Dans son dernier sondage estimant la popularité des langages de programmation, Tiobe Software classe JavaScript à la dixième place des plus utilisés, tous langages confondus. Initialement développé par Netscape en 1995, JavaScript a été conçu comme un langage de script destiné à ajouter des fonctionnalités de programmation aux navigateurs web. L'année suivante, Netscape l'a soumis à l'ECMA International pour le hisser au rang de standard, ce qui a débouché sur la version standardisée appelée ECMAScript. Adobe utilise aussi une version d'ECMAScript, nommée ActionScript, pour les développeurs qui écrivent pour son lecteur Flash.

Dart n'est pas la première tentative de Google pour créer un langage de programmation susceptible de combler les faiblesses de ceux qui sont disponibles. En 2009, la société avait démarré Go, que ses ingénieurs avaient créé comme alternative aux complexités C++, Java et d'autres langages traditionnels.

La conférence GoTo Software, au cours de laquelle Lars Bak a présenté Dart (hier), se tient à Aarhus, au Danemark, jusqu'au 12 octobre.

Illustration : montage LMI - en photo Lars Bak, ingénieur chez Google (crédit : D.R.)

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(11/10/2011 11:58:39)

Les BlackBerry affectés par une gigantesque panne

Rideau noir sur les mails, le service de messagerie instantanée et l'accès web pendant une bonne partie de la journée d'hier pour les utilisateurs de BlackBerry. Ces derniers ont relayé leur mécontentement sur les réseaux sociaux comme Facebook et Twitter. En Angleterre, le service client de Vodafone a expliqué à nos confrères de Computerworld que 80% des abonnés étaient touchés, quel que soit le réseau opérateur utilisé. RIM a mis un peu de temps à réagir mais à publier un communiqué indiquant : « Hier, certains clients BlackBerry dans la région EMEA (Europe, Moyen-Orient et Afrique, NDLR) ont été confrontés à des perturbations des services. Le problème est résolu et les services fonctionnent normalement » et d'ajouter « nous présentons nos excuses aux clients qui ont été affectés. »

Le constructeur n'a par contre rien dit sur les raisons de cette panne en disant simplement « nous enquêtons ». Pour le Financial Times, la panne trouverait son explication dans un problème d'alimentation électrique au sein d'un datacenter. D'autres médias parlent de problèmes sur les applications. Il faudra attendre un peu pour connaître les véritables raisons, mais cette panne tombe mal pour RIM à l'heure où les résultats sont en baisse et la concurrence avec l'iPhone est de plus en plus forte. (...)

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