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(04/12/2006 17:37:29)

L'interactivité au sein des entreprises en retard sur les pratiques des jeunes générations

Alors que sept cadres sur dix sont amenés à travailler hors du bureau de manière occasionnelle voire régulière, à peine une entreprise sur dix aménage pour eux l'accès à l'e-mail nomade. Signe, parmi d'autres, du retard pris par les entreprises européennes dans l'analyse et la prise en compte des nouveaux comportements et modalités de travail induits par l'usage intensif des technologies de l'information. D'où le signal d'alerte tiré conjointement par Xerox et le cabinet Forrester Research, comme suite à l'étude menée auprès de 1600 entreprises de 16 pays européens: il est grand temps pour les employeurs de miser sur de meilleures conditions d'accueil des jeunes générations de cadres, déjà rompues aux conséquences de l'accès à l'information instantanée. Faute de quoi, les entreprises s'exposent au risque de perdre rapidement la face, y compris vis-à-vis de leurs clients, fournisseurs et partenaires. En effet, selon l'étude Xerox-Forrester, au delà de l'accès à un portail d'entreprise et de l'impression sur papier sans limitation dont font mention 61% des entreprises, rares sont les sociétés qui ont d'ores et déjà intégré dans leur fonctionnement les moyens de tirer partie de cette flexibilité accrue. La collaboration via le web, avec les fournisseurs et partenaires pour le développement de produits et services, n'est le fait que de 39% des entreprises. Et si 59% des firmes disent avoir un site Web pour assister leurs clients, 15% seulement d'entre elles proposent un contenu à valeur ajoutée destiné à renforcer les contacts en ligne. Et ce, même si un début de prise de conscience fait que 91% des cadres interrogés reconnaissent les différences dans le style de collaboration des nouvelles générations. Multitâches, habitués à recevoir et à traiter des informations de sources diverses, avec une prédilection pour le travail collaboratif sans hiérarchie, les générations montantes de cadres devraient inciter les entreprises à rompre avec leur "dyslexie numérique". Certains secteurs d'activité (le secteur financier, par exemple) et certains pays (Portugal) semblent plus avancés que d'autres dans cette prise de conscience. Pour autant, le constat d'ensemble est sévère. "Les méthodes de travail, les relations clients, les processus métiers ne correspondent pas aux attentes des jeunes professionnels", résume Richard Peynot, senior analyste de Forrester. Miser sur l'informatique sociale L'informatique sociale ("social computing") que les analystes de Forrester définissent comme "une structure sociale dans laquelle la technologie place le pouvoir entre les mains de communautés" et qui souligne l'importance prise par la médiatisation de la relation entre l'entreprise et son écosystème (clients, fournisseurs, partenaires, concurrents) mais aussi de l'interaction entre salariés, n'est pas encore une réalité admise par les employeurs. Loin s'en faut. "La majorité des décideurs actuels n'a pas grandi avec les blogs, PDA, webcasts, et autres outils totalement nouveau pour eux. Il leur faudra du temps pour s'adapter", reconnaît Jacques Guers, pdg de Xerox France. En revanche, préparer le terrain pour et par les jeunes générations peut se faire dès à présent. Le tandem Forrester-Xerox recommande notamment trois pistes possibles: 1) miser sur la possibilité de "jouer" avec les nouvelles technologies, à ceux qui, déjà habitués à aborder par eux-mêmes les usages des nouvelles technologies, peuvent suggérer comment ceux-ci pourraient être utiles à l'entreprise; 2) lancer des expériences de collaboration, d'acquisition et de partage des connaissances (communautés axées sur la pratique, jeux de groupe, forums); 3) introduire rapidement de nouvelles technologies dans certains processus métiers. La DRH étant, à cet égard, une fonction-cobaye toute désignée. Au delà des modalités de recrutement, déjà largement transformées par le web, pour Xavier Farret, DRH de Xerox France, à la tête d'un service supervisant la gestion d'une population de commerciaux et technico-commerciaux, cela passe notamment par un suivi beaucoup plus interactif, au fil de l'eau, des salariés, en relation directe avec leurs équipes. (...)

(04/12/2006 17:55:12)

Du fuel pour le rôle moteur de la recherche coopérative en région parisienne

La conception et le développement de systèmes complexes, tant en amont et au coeur de la production industrielle que dans les services (les télécoms notamment) est le thème du pôle de compétitivité System@tic qui mobilise en région parisienne plus de 102 000 salariés. Parmi eux, 42 000 chercheurs et ingénieurs en R&D et 8 000 dans la recherche publique. Les 21 projets labellisés à la suite de trois appels à projets (décembre 2005, février 2006, mai 2006), sans compter la dernière sélection prévue pour décembre 2006, représentent un budget de plus de 235 millions d'euros (dont un apport de 62 millions de l'Etat et des collectivités). Ce vendredi 8 décembre, les délégués des 200 établissements concernés (60 grandes entreprises, 60 PME, 60 instituts, labos, écoles et universités, 15 collectivités territoriales) tiennent forum au grand amphithéâtre de la Sorbonne. Histoire d'esquisser -au travers d'un exercice de bilan et prospective- la feuille de route du pôle System@tic pour l'année à venir, avec notamment une ouverture sur les partenariats européens, voire une ambition internationale, plus marquée. Déjà en 2006, deux accords de coopération ont été signés avec un pôle allemand (SafeTrans) et un pôle néerlandais (Point-One), tous deux axés sur les percées de la R&D en matière de systèmes embarqués. Au programme de cette journée de forum: la recherche coopérative en tant que moteur d'un écosystème performant, le rôle actif des réseaux européens de recherche, la dynamique territoriale générée autour des pôles, les défis industriels liés à l'innovation. (...)

(04/12/2006 17:32:39)

Antitrust : AMD et Nvidia dans le collimateur de la justice américaine

Les constructeurs AMD et Nvidia sont cités à comparaître par le ministère américain de la Justice dans le cadre d'une enquête pour violation de la législation antitrust dans le marché des processeurs et des cartes graphiques. AMD est récemment entré dans le segment des puces vidéos en rachetant ATI, une acquisition finalisée le mois dernier. Si les fabricants convoqués par la justice ne voient, pour le moment, aucune charge retenue à leur encontre, ils se déclarent tout disposés à collaborer avec le DoJ. En l'absence de davantage de détails sur les motifs des citations à comparaître, les analystes estiment que la fixation des prix pourrait être au coeur du problème, comme il l'avait été pour les tarifs des DRAM. Une pratique qui avait conduit le ministère de la Justice à poursuivre plusieurs fabricants de mémoires. "Si le DoJ le désirait, il pourrait se pencher sur toutes les facettes de l'industrie des semi-conducteurs et y trouver le même genre de problème", estime Richard Gordon, analyste au Gartner. Une remarque qui se justifie au regard du faible nombre de fabricants oeuvrant dans cette industrie. Selon l'analyste, les enquêtes en cours ne devraient pas profiter aux consommateurs. Il explique en effet que les prix des puces ont historiquement connu des hausses et des baisses directement liés à la demande. De fait, il doute que les investigations conduisent à des tarifs moindres. (...)

(04/12/2006 17:31:10)

Disques durs : un laser pour atteindre 5 To

Fujitsu annonce être en mesure de doubler la capacité actuelle de stockage des disques durs et de placer ainsi 1 To de données par pouce carré, ouvrant la voie aux disques de 5 To. Pour y parvenir, le groupe s'appuie sur la technologie HARM (heat-assisted recording method), basée sur l'usage d'un laser - dont le diamètre n'excède pas 100 nm - chargé de chauffer la zone du disque sur le point de recevoir des données. L'action de chauffer la surface du disque dur avec le laser permet de diminuer considérablement la taille minimale des zones magnétiques réceptrices des données en modifiant temporairement leurs propriétés physiques et, partant, d'accroître la densité du support de stockage. Dans le même temps, le reste du support bénéficie d'une climatisation pour l'isoler de la zone en cours d'écriture. Le laser chargé de chauffer la surface du disque dur est incorporé à la tête de lecture/écriture et doit, pour une efficacité maximale, être le plus fin possible. Fujitsu vise ainsi un diamètre de 50 nm. Le groupe est d'ores et déjà parvenu à mettre au point un faisceau de 88 X 60 nm et prétend être la première entreprise au monde à descendre sous la barre des 100 nm avec une telle lentille. Alors qu'avec les technologies classiques, un disque ne pouvait guère contenir plus de 421 Go de données par pouce carré, le stockage thermo-assisté devrait plus que doubler cette valeur. Après le stockage perpendiculaire, l'industrie du disque dur voit dans cette technologie la façon la plus prometteuse de combiner hautes capacités et faible encombrement. Seagate développe un procédé comparable qu'il a baptisé HAMR (haet-assisted magnetic recording). La technologie thermo-assisté ne devrait pas être commercialisée avant trois à cinq ans. D'ici là, le stockage perpendiculaire permettra aux disques durs d'atteindre une capacité d'1 To dès l'an prochain. (...)

(04/12/2006 17:55:35)

Microsoft inaugure le premier jet d'Expression

C'est officiel: Microsoft pénètre le marché des créatifs Web. Dans la foulée de Vista et d'Office 2007 sortis jeudi dernier, l'éditeur de Redmond annonce aujourd'hui lundi 4 décembre la version finale d'Expression Web (ex-Expression Web Designer), premier volet du vaste projet de suite graphique Expression Studio annoncée au PDC (Professional Developer Conference) en 2005. L'éditeur inaugure également la version de test de WPF/E (Windows Presentation Foundation/ EveryWhere), portage pour navigateur de la couche de présentation de Vista (WPF). "Le studio Expression marque l'engagement de Microsoft dans le monde du design", commente David Talaga, chef de produit Expression. Un marché que l'éditeur a cherché par ailleurs à convaincre en inaugurant, en 2006, sa première conférence pour les créatifs, le MIX 06. Cette suite en test depuis mai 2006 concurrence en direct des outils proposés notamment par Adobe, et "doit couvrir les besoins de l'ensemble de la chaîne graphique". A l'origine composée de trois applications, Microsoft a profité du lancement d'Expression Web pour intégrer un quatrième module, un gestionnaire d'actifs numériques, Expression Media (issu du rachat de la société iview Multimedia en novembre dernier). Et pour rebaptiser les deux autres: le très attendu Interactive Designer (outil de création XAML, le langage XML d'interface de Microsoft) devient Blend. Le module de création graphique, Graphic Designer devient Expression Designer. Ces derniers, proposés en test, devraient voir le jour au deuxième trimestre 2007. Commercialisée 345€, "Expression Web doit notamment tirer profit des technologies ASP.Net", explique David Talaga. Ce qui positionne Expression Web d'emblée comme un élément quasi-indissociable des environnements Microsoft. Moins transversal que Dreamweaver par exemple. Mais en cela, "il ne doit pas être considéré uniquement comme un standalone, mais comme un élément de la plateforme". Comprendre le pendant créatif de la chaîne Atlas (framework Ajax de la marque) et Visual Studio. WPF/E passe en CTP Toujours tourné vers le développement Web, Microsoft inaugure également la version CTP (Community technical preview) de WPF/E. Disponible pour Windows et MacOS X, le runtime WPF/E doit permettre d'exécuter du XAML dans le navigateur. Une façon de "prolonger le framework .Net" déclare Jean-Christophe Cimetière, chef de produit plateforme. Et de pouvoir écouter des applications au design conçu pour Vista sur d'autres plateformes. (...)

(04/12/2006 17:25:07)

Qualcomm rachète deux technologies sans-fil

Qualcomm se renforce dans le sans-fil. La société vient de racheter la société Airgo Networks qui développe des technologies WLAN, et s'est également payé la division Bluetooth de RF Micro Devices. Qualcomm entend intégrer les deux technologies dans les puces qu'il revend aux fabricants de téléphones mobiles. Son objectif : faciliter le déploiement de services sans-fil à partir de ses puces. Ces deux rachats positionnent ainsi Qualcomm en frontal à Intel et Broadcom. Et devrait également l'abreuver en brevets, alors que la société est actuellement aux prises avec nombre de procès pour violation de brevets, notamment un contre Broadcom portant sur un litige autour de technologies bluetooth. Les technologies WLAN d'Airgo devraient intégrer les puces Mobile Station Modem et SnapDragon de Qualcomm. La rachat de RF Micro a été évalué à 39 M$. Celui d'Airgo n'a pas été communiqué. Les deux acquisitions devraient être finalisées fin décembre. (...)

(04/12/2006 15:27:23)

Alcatel-Lucent rachète les activités UMTS de Nortel

Le nouveau géant Alcatel-Lucent vient de conclure l'accord définitif de rachat des activités de Nortel dans les équipements radio d'accès pour réseaux UMTS. Cet accord vient confirmer l'accord préalable annoncé au début du mois de septembre denier, notamment en ce qui concerne le montant de la transaction fixé à 320 M$. Le rachat devrait permettre à Alcatel de devenir le numéro trois du secteur, derrière Ericsson et Nokia, et de renforcer sa position sur le marché européen, notamment en France, en Espagne et au Royaume-Uni. Nortel est, par exemple, le fournisseur quasi exclusif de Bouygues Télécom et c'est aussi l'un des grands fournisseurs d'Orange et de Vodafone. Au total, ce sont pas moins de 16 grands clients qui devraient rejoindre le portefeuille d'Alcatel, qui comptera ainsi près du quart des opérateurs UMTS mondiaux parmi ses clients. Dans un communiqué, Alcatel-Lucent estime à 1 700 les effectifs de Lucent qui vont venir grossir ses rangs, dont 1 100 ingénieurs de recherche et développement. Dans un tract diffusé fin novembre, la CFDT Alcatel s'est inquiétée des conséquences de ce rachat en marge de la fusion avec Lucent. A juste titre : la finalisation du mariage entre Alcatel et Lucent ce vendredi 1er décembre a été l'occasion de confirmer un plan de restructuration prévoyant la suppression d'environ 9 000 personnes d'ici 24 mois. (...)

(04/12/2006 15:26:17)

Dell revendique une nette baisse de consommation électrique avec ses serveurs Energy Smart

Un quart de consommation électrique en moins, c'est ce que revendiquent les nouveaux serveurs Dell PowerEdge 1950 et 2950 « Energy Smart » par rapport à leurs équivalents non labelisés. Conçus aux formatx rack 1U et 2U respectivement, les nouveaux PowerEdge 1950 et 2950 « Energy Smart » sont animés par le processeur Xeon 5148 basse consommation d'Intel : cadencé à 2,33 GHz avec un bus frontal de 1,33 GHz et 4 Mo de cache de second niveau, ce processeur double-coeur se contente d'une consommation électrique de 40 W pour un tension d'alimentation de 1,25 V, contre 65 W pour son équivalent alimenté en 1,5 V, le Xeon 5140. Pour réduire encore la consommation électrique, Dell a équipé ces deux nouveaux serveurs PowerEdge de disques durs à interface Serial-Attached SCSI tournant à 10 000 t/min, au format 2,5 pouces. Selon le constructeur, l'économie pourrait atteindre 7 W par disque dur par rapport à des modèles 3,5 pouces. En outre, Dell assure avoir doté ces nouveaux serveurs « Energy Smart » d'alimentation à « haut rendement » - sans donner plus de précision - ainsi que d'outils logiciels d'économie d'énergie. Le PowerEdge 1950 Energy Smart est proposé à partir de 3 100 $ outre Atlantique, contre 3 200 $ pour le PowerEdge 2950 Energy Smart. En pleine course à l'efficacité énergétique, ces nouveaux serveurs viennent notamment concurrencer le ProLiant DL380 G5, qui peut également être livré avec un Xeon 5148, et des disques durs SAS 2,5 pouces. (...)

(04/12/2006 12:53:10)

Business Objects rachète Nsite pour renforcer son offre "on-demand"

Business Objects a annoncé l'acquisition de Nsite Software, un fournisseur de services logiciels à la demande basé à Sunnyvale en Californie. L'éditeur franco-américain d'outils de décisionnel prévoit d'utiliser la plate-forme de services de Nsite pour fournir des services hébergés d'analyse de données et de reporting. Ces services viendront enrichir l'offre à la demande de Crystal Reports, lancée en avril et qui compterait près de 7000 clients . Nsite fournit aujourd'hui des applications de gestion de devis, d'appel d'offres et de gestion de canaux de vente à près de 27 000 entreprises. Ces applications sont interfacées avec les services "on-demand" de Salesforce.com et Siebel. La technologie de Nsite fait un usage massif de technologies Web 2.0, et notamment d'Ajax, pour fournir une interface riche sur le poste client. BO entend réutiliser ce savoir-faire pour offrir des services de Business Intelligence à la demande via le web. BO indique également qu'il va continuer à supporter les applications actuelles de Nsite et les enrichir de services de décisonnel. Le prix de l'acquisition de la start-up n'a pas été communiqué par BO. Nsite avait déjà levé près de 12 M$ de fonds et compte une cinquantaine de salariés. BO figurait déjà parmi ses partenaires. (...)

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