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(30/11/2006 12:52:58)
Novell ZENworks gère désormais les environnements virtualisés
Novell a dévoilé mardi 28 novembre trois nouveaux outils d'administration dans sa gamme ZenWorks, dont un spécifiquement conçu pour la gestion d'environnements virtuels. ZENworks Virtual Machine Management permet aux clients de la marque de déployer et d'administrer des machines virtuelles en environnement hétérogène. Le logiciel supporte à la fois les environnements de virtualisation de VMware et Microsoft, ainsi que l'hyperviseur Xen, que Novell embarque dans la dernière mouture de sa distribution Linux pour serveurs. Virtual Machine Management permet aussi de gérer les environnements virtualisés dans Novell Open Enterprise Server, son serveur hybride Linux/Netware. Le logiciel fonctionne sous Windows, Unix et Linux et permet de gérer les ressources virtualisées et de les affecter en fonction de règles prédéterminées. Opsware, IBM et CA ont présenté des outils similaires au cours des semaines écoulées. Parallèlement à l'annonce de ZENworks VMM, Novell a aussi lancé ZENworks Orchestrator qui permet d'automatiser l'affectation de ressources dans le SI en fonction de règles pré-établies. Le logiciel est notamment capable d'affecter des ressources en fonction de la performance mesurée des systèmes. Il peut aussi attribuer des ressources en fonction de la demande applicative. Enfin, Novell a aussi annoncé la disponibilité de ZENworks HPC (High Performance Computing) Management, un outil qui simplifie la gestion des applications Java dans un environnement de grille ainsi que la distribution des applications dans les environnements parallèles. Il est à noter que l'éditeur a également mis à jour ZENworks Asset Management en version 7.5. Cette mouture apporte notamment le support de Windows Vista et de SuSE Linux Enterprise Desktop 10. ZENworks Asset Management 7.5 est désormais facturé 33$ par poste administré. Le logiciel est disponible immédiatement, tandis que les trois nouveaux produits seront disponibles dans le courant du mois de décembre. (...)
(30/11/2006 12:47:14)Intalio justifie son appellation de vendeur de BPM Open Source
Intalio vient coup sur coup de rendre deux de ses développements disponibles en Open Source, sous licence Eclipse (EPL, Eclipse public license). L'éditeur de solutions de gestion des processus métier (BPM, Business process management), qui se qualifie lui-même comme « the Open Source BPMS Company », a fait don à la Fondation Eclipse de son outil de modélisation de processus utilisant la notation BPMN (Business process modeling notation). Ce BPMN Modeler fait désormais partie du projet SOA Tools Platform d'Eclipse (STP). Consultant expert du sujet, Bruce Silver écrit sur son blog BPMS Watch qu'il s'agit d'une étape importante, dans la mesure où il s'agirait du premier outil de ce genre en Open Source, ce qui permettra à des contributeurs de l'améliorer. Cela pourrait aussi augurer d'un début de généralisation de l'emploi de BPMN pour décrire les processus métier d'une entreprise. Intalio a également ouvert son projet de framework implémentant BPEL4People, une déclinaison du langage d'exécution de processus BPEL prenant en compte les interactions humaines, telle qu'elle a été définie par IBM et SAP, indique Intalio. L'éditeur avait auparavant fait don à Apache de son moteur d'exécution de processus, ainsi qu'il s'était engagé à le faire en rachetant FiveSight fin 2005. (...)
(30/11/2006 12:40:59)Google Answers ne répond plus
C'est un fait suffisamment rare pour être souligné : Google met un terme à l'une de ses activités. Le frénétique moteur de recherche vient en effet d'annoncer que Google Answers ne répondrait plus à partir de la fin de l'année. Le service, imaginé par Larry Page, l'un des cofondateurs de Google, en 2002, offrait la possibilité aux internautes d'obtenir une réponse circonstanciée et détaillée à n'importe quelle question. Answers a ainsi permis de connaître le nombre de tyrannosaures que peut contenir un gallon d'essence, de savoir si Robespierre a bien été guillotiné en regardant en l'air, ou de découvrir comment vérifier la validité d'une adresse email sans avoir à envoyer de message. A la différence de Yahoo Answers, le service proposé par Google n'est pas gratuit. Il en coûte ainsi entre 5$ et 200$ par question aux internautes, selon la complexité et le niveau de détail de la réponse. C'est probablement cet aspect pécuniaire qui a précipité Answers vers la sortie. Sur le blog officiel de Google, le post "Adieu to Google Answers" indique que "Google est une société conduite par l'innovation, ce qui équivaut à essayer beaucoup de nouvelles choses tout le temps et parfois, cela implique qu'il faut reconsidérer nos buts pour un produit". Les réponses données aux questions déjà posées restent pour l'heure consultables, mais les inscriptions seront définitivement closes à la fin de la semaine. (...)
(30/11/2006 12:31:53)Microsoft lance en fanfare Windows Vista
"Welcome to a New Day". C'est par cette laconique formule que Nick White, chef de produit chez Microsoft, annonce le lancement de Vista sur le blog consacré à l'OS. Si cette sortie ne concerne, pour l'heure, que les revendeurs et les entreprises détentrice d'une licence en volume - les particuliers et les entreprises dépourvues d'une licence en volume devront attendre le 30 janvier 2007 -, elle marque une étape d'une importance capitale pour l'éditeur de Redmond, cinq ans après le lancement de Windows XP. En même temps que Vista, débarquent également le gestionnaire de courriels Exchange Server et la suite bureautique Office, toutes deux également frappée du sceau 2007. De fait, Microsoft réalise là, en combinant ces trois produits, le plus important lancement de son histoire. D'autant que le géant du logiciel tire l'extrême majorité de ses revenus des seuls Windows et Office. Pour l'heure, Vista est d'ores et déjà disponible en Asie et en Océanie et Microsoft célèbrera en fanfare l'arrivée de ses produits phares en Europe et en Amérique du Nord tout au long de la journée. Des événements sont ainsi prévus à Munich, Londres, Paris, Toronto et New York. Un long fleuve pas tranquille La feuille de route du lancement de Vista n'a toutefois pas été un long fleuve tranquille et fut émaillée de plusieurs obstacles. A commencer par le décalage, annoncé en mars, de la date de commercialisation. Initialement, en effet, les versions destinées aux particuliers devaient leur parvenir avant 2007. Un retard qui avait conduit IDC à rectifier à la baisse ses prévisions de ventes de PC. En mai, c'était au tour de Gartner d'évoquer la quasi-impossibilité pour Microsoft de tenir les délais et prédisait un lancement entre avril et juin 2007. Les prophéties du cabinet se sont donc révélées fausses. Les inextricables différends opposant Microsoft et la Commission européenne ont également perturbé les préparatifs de la sortie de Vista. En septembre, Bruxelles soulevait le risque de muselage de la concurrence que faisaient courir les nombreuses fonctions de sécurité incluses dans l'OS. Microsoft réagissait aussitôt en accusant l'exécutif européen de s'acharner contre lui et de concourir à retarder le lancement de Vista. Dans la foulée de la Commission, certains éditeurs - Symantec et Adobe en tête - ont également accusé Microsoft de profiter de sa position dominante pour écraser encore un peu plus un marché qu'il domine outrageusement. Soucieux de rassurer - et surtout de sortir so produit dans les temps - l'éditeur de Redmond consentait, en octobre, à en modifier le code pour contenter à la fois les éditeurs de solutions de sécurité et Adobe. Un accueil incertain Reste une question de taille. Quel accueil sera réservé à Vista ? Si Microsoft se montre bien évidemment optimiste - il envisage une adoption deux fois plus rapide que pour les précédentes versions de Windows - les positions varient du tout au tout d'un cabinet d'analystes à l'autre. Forrester prévoit ainsi une adoption lente de l'OS, alors qu'Ovum prédit "la migration la plus rapide à ce jour". Gartner table sur un rythme poussif conduisant à ce que 10% des PC soient équipés de Vista d'ici à la fin 2007 et IDC estime que 90% des machines vendues aux particuliers l'an prochain seront fournies avec une des éditions familiales de Vista. Selon ce dernier institut, l'adoption par le milieu professionnel sera plus lente en revanche : à peine plus d'un tiers des PC vendus aux entreprises en 2007 seront équipés de Vista. Au-delà des divinations des analystes, des éléments objectifs existent et contribuent à entretenir quelques doutes sur le succès de Vista et d'Office. Là où Microsoft dominait sans partage il y a cinq ans, l'écosystème a changé et l'éditeur doit composer avec ces bouleversements. Le monde de l'Open Source est, par exemple, plus présent. Google a fait son apparition et est devenu l'un des concurrents pantagruéliques de Microsoft. Reste que le principal obstacle à l'adoption de Vista pourrait être Microsoft lui-même, les utilisateurs de Windows XP ou 2000 étant susceptibles de ne pas voir l'intérêt de changer un système d'exploitation qui fonctionne plutôt bien (du moins largement mieux que 98). (...)
(29/11/2006 17:46:32)La PKI connaît un regain d'intérêt
Les technologies d'infrastructure à clés publiques (PKI ou Public key infrastructure) devraient connaître un retour en grâce de fait de l'intérêt des entreprises et des gouvernements pour la gestion d'identité. C'est en tout cas ce qui ressort d'une conférence sur le sujet organisé par l'OASIS (Organization for the Advancement of Structured Information Standards) ce mardi à Londres. Parmi les technologies les plus en vogue lors de la bulle Internet, la PKI n'a pas connu le décollage espéré notamment du fait des coûts élevés des solutions de l'époque, mais aussi de la complexité des projets. Les questions de gestion, de révocation et de renouvellement de certificats ainsi que la question de leur stockage (dongle USB, carte à puce, certificat logiciel...) ont notamment été de vrais obstacle au déploiement des projets en entreprise. Nombre de ces difficultés sont aujourd'hui résolues ou en passe de l'être. Tout d'abord le coût d'une infrastructure PKI pour les entreprises s'est effondré, notamment du fait de l'intégration de "certificate servers" et d'outils de gestion d'identité dans les grands systèmes d'exploitation comme Windows ou Solaris. Du côté des postes clients, la nouvelle version de Windows, Vista, promet aussi de faciliter la gestion sécurisée des identités grâce à l'incorporation de la technologie CardSpace. Une autre raison du renouveau de la PKI est son attractivité pour les gouvernements, mais aussi pour les opérateurs télécoms (grâce à l'intégration de certificats dans les SIM) ou les banques (les banques norvégiennes, par exemple, appuient leur système de transactions sécurisées BankID sur la PKI de Cybertrust). La technologie est aussi massivement utilisée pour les projets de e-gouvernement (le système de télé-déclaration des impôts sur le revenu français est l'un des grands exemples de déploiement à grande échelle de la PKI), mais aussi en conjonction avec les projets d'émission de cartes d'identité et de passeports numériques. En Angleterre, par exemple, le système de passeports et de cartes d'identité s'appuiera sur la technologie PKI de Cryptomathic. La future carte d'identité électronique française devrait enfin embarquer un certificat permettant aux citoyens de s'authentifier de façon sécurisée sur les sites étatiques, mais aussi de crypter leurs échanges. Une façon pour l'Etat de réaffirmer ses prérogatives régaliennes de délivrance d'identité. (...)
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