Flux RSS

Si vous souhaitez recevoir toute l'information "Mot Clé" de notre feed RSS,Inscrivez-vous

108538 documents trouvés, affichage des résultats 23031 à 23040.

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >


(27/09/2006 18:02:51)

Cisco adapte la diffusion vidéo communautaire aux entreprises

Mettre en place un portail vidéo à la YouTube dans son entreprise. C'est ce que Cisco propose depuis hier avec le lancement de son Digital Media System. Cette solution "clé en main" rassemble tous les composants nécessaires pour permettre à une entreprise de diffuser de la vidéo sur un intranet et la mettre à disposition de ses salariés, de ses partenaires ou de ses clients. La solution se compose de trois éléments. Tout d'abord Cisco propose sa propre solution d'encodage vidéo avec le Cisco Digital Media Encoder 2000 et le Cisco Digital Media Encoder 1000, deux appliances destinées respectivement à encoder en temps réel des flux en studio et en déplacement. Ensuite, le constructeur propose sa solution de bibliothèque multimédia, le Cisco Digital Media Manager. Ce composant permet de publier les séquences numérisées et de leur attacher des mots clés et autres métadonnées. Il peut aussi être utilisé pour gérer le workflow de production. Enfin, Cisco propose son propre portail vidéo, destiné à permettre une consultation simple des ressources multimédias disponibles par les salariés ou clients. Le portail comprend par exemple un guide des programmes et des fonctions de recherche. Il permet aussi à un utilisateur de se constituer sa propre liste de diffusion. Intégré avec le Cisco Digital Media Manager, il supporte pour l'instant les formats Windows Media, RealPlayer et Flash. Curieusement, les formats QuickTime et MPEG-4 sur lesquels Cisco a beaucoup travaillé au sein de l'ISMA (Internet Streaming Media Alliance) ne seront supportés que vers la fin de l'année. Le Digital Media System est disponible immédiatement à partir de 133 000 $ pour une configuration de base. La solution s'accompagne d'une offre de service d'aide au déploiement. (...)

(27/09/2006 18:03:56)

Wikipedia teste une solution anti-vandale outre-Rhin

Comment concilier ouverture et sécurité ? C'est le casse-tête auquel Wikipedia tente actuellement de trouver une réponse. L'encyclopédie en ligne veut rester suffisamment souple pour permettre au plus grand nombre d'internautes de l'alimenter tout en évitant le vandalisme de ses données. En Allemagne, Wikipedia met en place, à titre expérimental, un système « d'accréditation » simple des utilisateurs, déjà utilisé depuis juin dernier sur la version en langue anglaise de l'encyclopédie : tous les utilisateurs enregistrés peuvent intervenir sur les données de Wikipedia mais leurs interventions ne seront effectivement mises en ligne qu'une fois validées par un utilisateur « de confiance ». Pour l'instant, la procédure d'adoubement est simple : il faut être enregistré sur le site depuis plus de 4 jours. Seules les données potentiellement polémiques ou liées à une actualité prégnante seront concernées par cette protection. Cette procédure peut paraître légère. Mais selon Jimmy Wales, le fondateur de Wikipedia, le délai de 4 jours peut suffire à dissuader les importuns désireux de modifier brusquement le contenu de l'encyclopédie participative. Certains contenus peuvent en outre être protégés de manière plus ferme : les articles en anglais de Wikipedia sur Cuba et le judaïsme, par exemple, ne peuvent pas être modifiés par les internautes lambda. Wikipedia a fait l'objet de nombreux détournements. Des biographies de personnalités publiques, dont celles de Tony Blair, d'Adolf Hitler, ou encore de George W. Bush, ont notamment été falsifiées. (...)

(27/09/2006 18:04:24)

Microsoft sort dans l'urgence un correctif pour IE

Microsoft vient de publier le correctif tant attendu à la faille du module de traitement VML d'Internet Explorer. Cette faille permet à un attaquant de prendre le contrôle total d'un PC à distance. L'éditeur a manifestement pris la mesure de l'urgence en acceptant de sortir ce correctif de son cycle mensuel de mises à jour. A défaut, il aurait fallu attendre le 10 octobre pour voir corrigée une faille déjà largement exploitée. Un groupe de chercheurs en sécurité indépendants avait même pris la peine de diffuser son propre correctif de la faille VML en fin de semaine dernière. Ce mardi 26 septembre, plus de 3 000 sites Web malveillants utilisaient déjà la faille VML pour infecter leurs visiteurs, selon l'équipe de réponse rapide de la division iDefense de VeriSign. L'importante faille WMF, découverte en janvier dernier, avait suscité un engouement plus faible, avec seulement 600 sites Web l'employant une semaine après son annonce. (...)

(27/09/2006 17:20:30)

Le W3C s'intéresse à l'accessibilité des RIA

Vu sur le blog de Fred Cavazza, le W3C présente une feuille de routepour les applications Internet riches accessibles. Cette initiative adresse les problèmes d'accessibilité des contenus Web dynamiques aux personnes à handicap. Jusqu'à présent, le W3C avait déconseillé d'utiliser JavaScript pour l'accès au contenu Web dynamique. Puis il s'est intéressé de près à Ajax et notamment au composant XMLHttpRequest et aux interfaces riches. Pour répondre au problème de l'accessibilité des RIA, le W3C propose l'introduction de balises déclaratives et l'utilisation de XForms et XHTML2. Avec l'essor du Web 2.0 et des RIA, l'accessibilité avait marqué un recul. Cette initiative arrive donc à point nommé. (...)

(27/09/2006 17:20:04)

Visual Studio 2005 : des Power Packs pour VB, un SP1 Beta

Annoncés sur le blog de Somasegar, vice président corporate de la division Developer de Microsoft, les premiers Power Packs pour Visual Basic 2005 font leur apparition. Les Visual Basic 2005 Power Packs sont des contrôles, des composants, des outils et des add-ins destinés à améliorer la productivité des développeurs. Le site Microsoft Connect permet de les télécharger, de laisser un feedback et des suggestions de Power Packs. Le premier Power Pack pour Visual Basic disponible, Microsoft Interop Forms Toolkit 1.0, permet aux applications VB2005 d'appeler des formulaires VB6 et inversement aux applications VB6 d'appeler des formulaires VB2005 (WinForms .NET). Au lieu de mettre à jour tout le code source d'un coup, cet outil permet de mettre à jour l'application écran par écran. Le second Power Pack, Microsoft PrintForm Component 1.0, est un composant qui permet d'imprimer facilement un formulaire Windows. Microsoft annonce également un Service Pack 1 pour Visual Studio 2005. Les améliorations apportées répondent aux feedbacks rapportés par les clients et aux tests internes. A noter qu'il s'agit d'une version bêta du SP1 (à quand une version RC de la Beta du SP1 ?). La version finale est attendue dans 3-4 mois selon le feedback des clients. (...)

(27/09/2006 17:16:15)

Le développement centré sur l'utilisateur

L'engouement pour les interfaces riches en général et pour les applications internet riches (RIA) en particulier ne cesse de croître depuis quelques années. Dans le cadre d'applications d'entreprise, l'enjeu principal est d'accroître la productivité en gagnant en efficacité et satisfaction utilisateur. Ce qui amène à replacer naturellement l'utilisateur au centre de la démarche projet. Cette approche conduit à prendre en compte la conception de l'interface utilisateur plus en amont dans le cycle de vie de l'application. Des études montrent qu'une prise en compte précoce de cette conception augmente le ROI et diminue les coûts de maintenance de l'interface. Les équipes de développement outre-Atlantique l'ont bien compris et ont adopté une approche centrée utilisateur. Le design d'interface constitue un véritable métier en soi qui intervient lors des spécifications et qui met en jeu des compétences en ergonomie, en graphisme et de bonnes connaissances sur les possibilités offertes par les technologies. Le designer d'interface prend en compte les facteurs humains, le profiling d'utilisateur, l'ergonomie, l'architecture de l'information et le design graphique. En France, le design d'interface se réduit bien souvent à définir l'ergonomie et, la plupart du temps, il est confié au programmeur. Pour autant, People In Action et Use Design ont adopté cette démarche centrée utilisateur. Ces sociétés françaises interviennent sur des projets en synergie, People In Action pour la partie développement d'applications et Use Design pour la partie conception d'interface. Dans cette optique, le cycle de vie d'un projet se décompose en plusieurs phases : Cadrage technique et fonctionnel, Story board, Développement IHM, Développement couche logique, Déploiement, Recette. Par rapport à un projet classique, on voit apparaître ici le Story board et le Développement de l'IHM. Le Story board consiste à hiérarchiser le périmètre fonctionnel, à définir la cinématique et l'arborescence de l'application, à dessiner et à prototyper les écrans. La phase suivante, le Développement de l'IHM, permet de produire un prototype de l'application avant même que la logique métier ne soit en place. Mais l'avantage ici est que le prototype EST l'interface finale, il est entièrement réutilisable. A ce stade, l'équipe de développement peut mettre en place un processus itératif en utilisant l'IHM. Cette approche favorise une conduite de projet de type agile. L'utilisateur, toujours au centre du projet, peut donner un feedback immédiat sur l'IHM. Cette approche centrée utilisateur qui prend en compte le design de l'interface comme phase essentielle est relativement nouvelle en France. Une fois l'interface définie, le choix cornélien d'une technologie pour la développer se pose. Qui dit interfaces riches aujourd'hui évoque inévitablement Ajax, Flash et autres WPF et dans ce domaine, c'est encore la brousse. Ainsi le site Ajaxian dénombre plus de 150 frameworks. People In Action (PIA) a effectué un travail remarquable de recherche et de comparaison des différents outils RIA. Pour rester dans l'approche centrée utilisateur, PIA a construit une matrice de 17 frameworks RIA relativement matures selon des critères fonctionnels : les contrôles disponibles, les capacités de charting, le support des médias riches, les comportements supportés, les fonctionnalités avancées (mode déconnecté, push de données, gestion de l'historique...). Ainsi après avoir défini le périmètre fonctionnel de l'application en fonction des besoins de l'utilisateur, il devient plus facile de déterminer le framework le plus adapté pour réaliser ces fonctionnalités. Il apparaît que les frameworks JavaScript pur permettent de facilement mettre en oeuvre l'approche centrée sur l'utilisateur. On remarque que certains acteurs majeurs tels qu'IBM ne se sont pas encore positionnés et que le jour venu, le marché s'éclaircira. Il convient également de surveiller avec attention WPF XBAP (Windows Presentation Foundation XAML Browser Application) et WPF/E (WPF/Everywhere), la réponse de Microsoft à Adobe Flex et Flash. Dans le perspective des technologies annoncées par Adobe avec Apollo et Microsoft avec WPF XBAP, on imagine clairement que le futur des interfaces riches passera par une fusion du Web et du Desktop, ce que d'aucuns ne manqueront pas de baptiser le Web 3.0... Pour l'heure, PIA envisage de mettre cette matrice à la disposition de la communauté, et, pourquoi pas, d'en faire une application riche, avec possibilité pour les utilisateurs (les développeurs) de l'annoter, de l'enrichir, etc. Nous ne manquerons pas de vous tenir au courant de l'évolution de cet outil. Une première version de cette matrice est téléchargeable à l'adresse suivante : RIA Frameworks 1.0 (...)

(27/09/2006 12:25:59)

L'intégration de JBoss met Red Hat à la peine

Résultats deuxième trimestre Chiffre d'affaires : 99,7 M$ (+52%) Bénéfice net : 11 M$ (-34%) Les résultats publiés par le spécialiste de l'Open Source Red Hat au deuxième trimestre - ainsi que la décision du groupe de revoir à la baisse ses objectifs pour l'année - ont déçu les analystes et les investisseurs. Si les revenus atteignent 99,7 M$ et progressent de 52% sur un an, le bénéfice net affiche une tendance différente : il s'écroule de 34%, à 11 M$ aux normes Gaap. La raison de cet effondrement tient, selon Red Hat, à des changements de méthodes comptables entre les exercices 2006 et 2007. A données comparables - c'est-à-dire sans référence aux normes Gaap - le bénéfice progresserait de 34%, à 23,7 ME. Pour la suite de l'exercice, Red Hat révise ses précédentes estimations à la baisse et table désormais sur un flux de trésorerie compris entre 210 et 215 M$ (contre 225 à 235 M$ jusqu'alors). Une baisse due, selon le directeur financier Charlie Peters, aux dépenses liées à l'intégration de JBoss, acquis en avril 2006. Cette acquisition a également contraint le groupe à consacrer beaucoup de temps à la formation des forces de vente aux produits JBoss. Autant de temps non consacré à la vente effective. Mais la bourse est cruelle et n'a cure de ces explications : le titre a décroché de près de 15% à New-York. (...)

(27/09/2006 12:24:11)

SanDisk repousse les limites des CompactFlash

SanDisk repousse les limites des cartes de stockage à mémoire Flash en présentant, ce 26 septembre, deux modèles de CompactFlash Extreme III de 12 et 16 Go. Avant tout destinées aux photographes soucieux de stocker leurs clichés au format RAW - et prêts à se délester de 779,99 $ (version 12 Go) ou 1049,99 $ (version 16 Go)-, ces cartes exploitent la technologie Enhanced Super-Parallel Processing (ESP) développée par Sandisk et basée sur des contrôleurs de puces NAND alliés à un traitement RISC 32 bits. Si la capacité des cartes mémoires flash double régulièrement, les débits qu'elles autorisent les réservent encore à une utilisation axée autour des périphériques multimédia (appareils photo, caméras...) plutôt qu'au stockage de masse pour épauler un disque dur. Là où les nouveautés de SanDisk offrent en effet un transfert de données de 20 Mo/s, les produits développés pour se substituer aux disques magnétiques dans les PC portables affichent des taux de transfert s'approchant des 50 Mo/s (comme l'indique Digitalworld.fr (groupe IDG) dans son article: La mémoire flash, futur disque dur ?) Les deux cartes seront distribuées au mois de décembre. Sandisk proposera également un lecteur USB 2.0 censé soutenir le débit de 20 Mo/s, pour environ 25 $. (...)

(27/09/2006 12:25:01)

La RC1 de Firefox 2.0 en téléchargement

Mozilla a publié hier mardi 26 septembre la RC1 (Release Candidate 1) de son navigateur Open Source Firefox 2.0, moins d'un mois après la sortie de la bêta 2. Une version censée symboliser la dernière étape dans la feuille de route du logiciel avant sa sortie finale. Une version RC2 serait toutefois sur les rails, comme l'indique Mike Schroepfer, vice président de l'ingénierie chez Mozilla, sur la liste de diffusion des développements Mozilla. "Nous avons connaissance d'une série de bogues qui laissent entrevoir la publication d'une RC2." Et de préciser que "le calendrier est ainsi conditionné par les retours [des testeurs] de la RC1". (...)

(27/09/2006 09:19:08)

IE Club : la nouvelle économie a ses nouvelles stars

L'IE Club, association de « PME innovantes », a fait salle comble mardi soir à Paris, pour sa conférence titrée « les stars de demain ». Environ 300 personnes sont venues dans un amphithéâtre prêté par Microsoft écouter les parcours et les conseils de jeunes entrepreneurs tels que Tariq Krim, CEO de Netvibes, Pascal Lorne, CEO de Miyowa ou Stéphane Bohbot, président du directoire de Modelabs. En introduction, Pierre Chappaz (fondateur de Kelkoo, président de Wikio, investisseur et co-dirigeant de Netvibes) a fait l'éloge du Web 2.0, « tout sauf un buzzword marketing ». En chemise jaune et baskets, tranchant dans cette assemblée encore très férue de costumes et de cravates (et essentiellement masculine), Pierre Chappaz a énuméré les possibilités offertes aujourd'hui par le Web : haut débit, personnalisation, multimédia, prise de parole simplifiée... « Le Web 2.0 n'a peut-être rien inventé, mais il tient les promesses de l'Internet, a-t-il conclu. Et cela crée des opportunités pour les entrepreneurs. » Responsable du programme Idees de Microsoft France (Initiative pour le développement économique des éditeurs de logiciels et des start-up), Julien Codorniou avait ouvert les festivités en forçant le trait optimiste : « Les choses vont mieux qu'avant [...], on voit des start-up percer chez les grands comptes. » Marc Simoncini, sémillant PDG de Meetic, a clos la soirée en expliquant que pour la première fois depuis 20 ans, toutes les conditions étaient réunies, en France, pour qu'émergent des entreprises high-tech capables de réussir : une technologie suffisamment mature pour créer des services innovants, une opinion publique (et un gouvernement) qui accepte l'idée que des entrepreneurs puissent créer de la richesse, des gens qui ont envie de monter des entreprises, et des capitaux-risqueurs qui financent de façon intelligente. Verra-t-on un Google ou un Microsoft émerger de cette nouvelle économie, a demandé quelqu'un dans la salle. Réponse de Marc Simoncini : « Tout est possible ! » (...)

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >