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(07/09/2006 18:01:53)
Sun crée un bundle combinant Jboss et son environnement NetBeans
La relation entre Red Hat/Jboss et Sun a fait du chemin depuis le départ de Scott McNealy. Sun Microsystems, a annoncé aujourd'hui la disponibilité d'un programme d'installation qui combine le serveur d'application JBoss de Red Hat avec son environnemetn de développement Java NetBeans. Disponible pour Solaris, Linux, Mac OS X et Windows, le nouvel outil est le fruit d'une collaboration entre Sun et Red Hat annoncée lors du dernier JavaOne. A l'époque, Marc Fleury, le patron de Jboss (nouvellement acquis par Red Hat), était monté sur scène au côté de Jonathan Schwartz, le nouveau patron de Sun, pour montrer le réchauffement des relations entre les deux sociétés. Selon Laurie Tolson, le responsable des outils de développement Java chez Sun, l'installation de l'environnement de développement Netbeans est entièrement plug and play. L'objectif est de fournir aux développeurs Java un environnement de travail et de développement opérationnel aux développeurs Jboss. "Le bundle entre l'IDE Netbeans et le serveur d'applications Jboss est un pas de plus pour accroître le choix et faciliter le travail de nos clients qui développent des applications Java EE", indique de son coté Shaun Connolly, le vice-président en charge des produits de Jboss. Et d'ajouter que les développeurs de Sun ont effectué un excellent travail pour développer le plug-in Netbeans pour Jboss, un travail de nature à accroître la productivité des développeurs sur le serveur d'applications. (...)
(07/09/2006 18:05:16)HP dévoile ses serveurs Unix à base de Montecito
Hewlett-Packard a annoncé la disponibilité de deux serveurs Integrity d'entrée de gamme basés sur la puce Itanium 2 bi-c?ur "Montecito" d'Intel, les Integrity rx3600 et rx6600. Capable de fonctionner sous HP-UX 11i, Windows, Linux et OpenVMS, ces deux serveurs s'appuient sur la dernière génération de chipset développée par HP, le zx2 (déjà utilisé dans les Superdome) et affiche des performances plus de deux fois supérieures aux précédentes générations à base de chipset zx1 et de puces Itanium 2 mono-c?ur. The Integrity rx6600 est motorisé par une à quatre puces Itanium 2 Montecito (1,4 à 1,6 GHz) et peut embarquer jusqu'à 192 Go de mémoire. Selon HP, il peut atteindre des performances de 350 000 transactions par minute au test Tpm/C contre 161 000 pour son prédecesseur. Le rx 3600 intègre quant à lui une à deux puces Itanium 2 "Montecito" et accueille jusqu'à 96 Go de mémoire. Les prix des deux machines débutent respectivement à 14 771 $ et 10 531 $. (...)
(07/09/2006 18:04:51)SAP élargit son offre de gestion du risque réglementaire
SAP vient d'enrichir de trois applications son offre en matière de gestion du risque réglementaire (Governance, Risk and Compliance, ou GRC). La première, GRC Repository, doit permettre de centraliser l'information relative à la gestion du risque réglementaire dont, notamment, les politiques internes, les compte-rendus des réunions du conseil d'administration, les textes réglementaires ainsi que les définitions des processus métiers. Selon l'éditeur allemand, cette centralisation doit faciliter la gestion du risque et améliorer la transparence. La seconde application, GRC Process Control, est conçue pour aider à orienter les processus métiers et les habitudes des salariés en fonction des risques liés à l'activité de l'entreprise. L'application doit notamment assurer la consolidation automatique des risques liés aux processus métiers de l'entreprise pour mettre en évidence les incohérences avec la réglementation. La troisième application, GRC Risk Management, a l'ambition d'aider les entreprises à mettre en ?uvre des processus de gestion du risque réglementaire. Ces trois applications sont conçues pour être déployées dans une architecture orientée services (SOA). Les deux premiers seront disponibles dès le 30 novembre prochain. GRC Risk Management sera distribuée à partir du mois de décembre. SAP n'a communiqué aucune information tarifaire. (...)
(07/09/2006 18:04:04)Recrutement : SQLI récompense le meilleur cooptant
Il y a six mois, la SSII SQLI a lancé une opération pour relancer la cooptation au sein de son agence parisienne (500 personnes). Elle a organisé un concours rémunérant par des primes tous les trois mois les meilleurs apporteurs de candidats, puis le cooptant le plus prolixe au bout de 9 mois. Tout cela en plus des primes accordées lorsque les candidats présentés ont reçu une proposition d'embauche. A l'heure des premiers bilans, Alexandra Lecordier, responsable du recrutement au sein de la SSII, se félicite de l'initiative. Elle a permis de recruter environ 25 personnes soit 20% des 120 à 130 nouveaux embauchés de l'agence parisienne et ce dans un processus souvent optimisé. « La cooptation nous apporte les meilleurs CV grâce à la sélection naturelle qui s'opère. Neuf fois sur dix, les entretiens qui s'effectuent avec des personnes cooptées débouchent ainsi sur des propositions d'embauche ». Parallèlement au bilan quantitatif, d'autres enseignements sont tirés de l'expérience. « Favoriser la cooptation nécessite de communiquer très régulièrement auprès de ses équipes sur le sujet, via différents supports internes. Nos collaborateurs sont absorbés par leur mission et n'ont donc toujours le réflexe de recommander d'autres personnes si rien ne vient le leur rappeler », explique Alexandra Lecordier. Autre point capital, ce processus nécessite de « bichonner » ses collaborateurs. Ceux-ci auront envie de faire venir des gens qu'ils apprécient au sein de leur société uniquement si ils s'y sentent bien. « Nous avons engagé une démarche qualité (People CMM) au niveau de la gestion de ressources humaines au sein de SQLI qui pose le socle, entre autre, d'un suivi régulier de nos collaborateurs », poursuit Alexandra Lecordier. « Ce suivi se concrétise par exemple par des points annuels et semestriels avec chacun, ce qui permet de bien savoir où ils en sont ». SQLI pourrait renouveler l'expérience du concours sur son agence Lyonnaise (180 personnes). (...)
(07/09/2006 18:05:47)Le Plan de suppressions de postes suspendu chez Capgemini Outsourcing
Le juge des référés du tribunal de grande instance de Nanterre a déclaré recevable l'action menée par le CCE (Comité central d'entreprise) de Capgemini, le CE Outsourcing (comité d'entreprise de la division Outsourcing Services) et les représentants syndicaux contre la direction de la SSII. Ces instances avaient engagé une action en justice visant à faire annuler ou reporter la procédure du plan de sauvegarde de l'emploi lancée le 17 juillet dernier et portant sur 210 postes. Le principal motif invoqué était la non application d'une partie de l'accord GPEC (gestion prévisionnelle des emplois et des compétences) signé le 9 mai 2005 entre Capgemini et une certains syndicats (CFDT, CFTC, CFE-CGC), qui aurait pu, selon eux, éviter le risque de licenciements. Connaître les métiers à risques Le juge invite les partenaires sociaux à mettre en ?uvre l'accord GPEC. En attendant, il suspend les procédures de consultation des CCE et CE engagées dans le cadre de la suppression de 210 emplois dans la division Outsourcing Services (Livre IV et III). « Nous sommes satisfaits de cette décision », se félicite l'un des représentants des partenaires sociaux. « Nous demeurons toutefois préoccupés par l'avenir de l'activité infogérance chez Capgemini. Ce plan de suppression de postes fait suite à la session de l'activité maintenance matérielle de la division Outsourcing à Unysis en février dernier, qui a déjà donné lieu au transfert de 143 emplois vers cette société. Notre volonté est de contribuer à faire vivre cette activité ». Pour la suite, les syndicats attendent que la direction leur donne des informations sur les métiers éventuellement menacés et sur les plans de redéploiement et de formation envisagés pour les collaborateurs concernés. La direction n'a pas souhaité apporté de commentaires à cette décision. De source syndicale, elle aurait décidé de ne pas faire appel. (...)
(07/09/2006 18:02:24)200 ans d'archives historiques chez Google
Google confirme son statut de moteur de recherche gargantuesque en mettant en ligne News Archive Search, une fonctionnalité de recherche sur les événements et personnages historiques. Le service est d'ores et déjà accessible, uniquement en anglais, avec des liens vers des articles de journaux et de magazines parus depuis les débuts du 19e siècle. L'architecture de ce module repose à la fois sur le moteur de recherche classique de Google et sur des associations avec des éditeurs et des agrégateurs d'informations, selon Jim Gerber, directeur des partenariats pour la société de Mountain View. Les requêtes peuvent se présenter sous trois formes, une simple liste d'articles, un agencement chronologique ou un classement par source. Le classement s'effectue en fonction de la pertinence des réponses et aucune préférence n'est donnée aux partenaires de Google. Aucun lien vers du contenu multimédia, des encyclopédies et dictionnaires ou encore vers Google Books n'est donné. Seuls des articles, gratuits ou payants (dès la présentation des réponses, le mode de consultation est indiqué) sont présentés et Google ne touche aucune commission sur les transactions entre les utilisateurs et les fournisseurs de contenus. Si les anglophones sont les premiers servis, une déclinaison internationale est à l'étude. Pour son lancement, Google News Archive Search fait plutôt bonne figure en couvrant deux siècles d'histoire et le système de classement chronologique permet de visualiser rapidement le traitement d'une information. Une nouvelle tentacule pour la pieuvre Google qui n'en finit pas de développer services et fonctionnalités. Trop peut-être puisque pour son service de référencement d'images, la société américaine sollicite les internautes. Sous forme de jeu, dénommé Google Image labeller, il leur faudra trouver des qualificatifs à un cliché. Ces derniers seront alors (éventuellement) repris pour indexer ces photos. Une bonne manière de faire quelques économies avec une main d'?uvre gratuite et volontaire ! (...)
(07/09/2006 18:03:37)Mozilla recrute une spécialiste de la sécurité passée par Microsoft
D'aucuns croiront à un canular. L'information est toutefois authentique : Mozilla a recruté une spécialiste de la sécurité passée par Microsoft et prénommée Window. Window Snyder rejoindra les équipes de Mozilla comme Chief Security Something (sic), littéralement Chef de la sécurité quelque chose, une fonction jusqu'à présent remplie par Mike Schroepfer, le vice-président de l'ingénierie. Window Snyder avait participé à la mise au point du SP2 de Windows XP et au développement de Windows Server 2003. Plus récemment, elle occupait le poste de directrice de la technologie chez Matasano Security. "Window portera la parole de Mozilla sur les questions de sécurité et aidera à conduire notre stratégie sur le long terme", note Mike Schroepfer dans son blog. Selon Avivah Litan, analyste au Gartner, les concepteurs de navigateurs web comme Mozilla doivent suivre le rythme imposé par les pirates qui parviennent de plus en plus rapidement à déjouer les systèmes de sécurisation de leurs produits. "Les attaques ont longtemps visé les 90% du public utilisant Internet Explorer. Mais comme Mozilla conquiert toujours davantage d'utilisateurs, ils ont besoin de davantage de sécurité." Firefox, le navigateur maison de la Fondation Mozilla, est utilisé par environ 13% des internautes, contre 86% pour IE selon le cabinet OneStat.com. En ce qui concerne lemondeinformatique.fr, la proportion d'utilisateurs de Firefox est nettement plus élevée. (...)
(07/09/2006 18:01:13)Les Pages Jaunes entrent dans la 3e dimension
Les Pages Jaunes se lancent, une fois n'est pas coutume, dans une aventure dont le succès n'est pas couru d'avance : la cartographie en 3D. Dès lundi, le site proposera des plans en 3D pour les recherches de professionnels sur les villes de Rennes et de Paris à partir de la rubrique « villes en direct ». Ce service gratuit permettra de visualiser sur une carte en 3D une adresse, ou de trouver un type de commerce dans une zone définie. Avant tout ludique, il s'avère également utile pour prendre des repères visuels afin de se rendre sur un lieu sans peine. Inauguré à Rennes - centre des développements multimédia de la société, là où France Télécom avait lancé son Minitel -, "Ville en 3D", nom du projet, ne constitue qu'un prototype, tant pour Rennes que Paris. Les deux projets reposent sur la technologie de géocodage 3D développée par la société rennaise Archivideo. Avec, toutefois, une vraie différence de sources, et donc de maturité: "Le site rennais se base sur un projet existant, développée par la Mairie [ndlr, le projet Citévisions]", confirme Jean-Marie Guille, directeur unité d'affaires des annuaires en ligne. Il compile cinq sources de données différentes: des photos aériennes, des bibliothèques de façades, des niveaux de façades (pour calculer l'élévation), et l'espace des bâtiments. "Pour les édifices les plus compliqués, la modélisation en 3D a été appliquée." La version parisienne, moins mature, exploite quant à elle la très médiatisée base d'image de l'IGN et de son Geoportail, inauguré le 23 juin dernier. Pour l'heure expérimentales, les deux moutures, bien qu'affichant des bons rendus de façades, souffrent encore de leur jeunesse de par la latence de l'affichage. La 3D étant particulièrement gourmande en ressources, notamment en bande passante. Pour visualiser l'application, l'internaute devra avoir installé le lecteur Shockwave (Adobe), "seul plug-in efficace pouvant gérer la 3D en ligne", commentent les équipes techniques de Pages Jaunes. Les deux sites sont hébergés sur deux serveurs distincts, "qui ne sont pas les mêmes que Pages Jaunes", avance, prudent, Jean-Marie Guille. Plus d'audience, plus de recettes Pour Jean-Marie Guille, ce service va «donner plus de visibilité aux commerçants de manière valorisante » et permettre aux consommateurs de vérifier les informations d'un lieu : si l'hôtel choisi a effectivement vue sur la mer. Une valorisation qui a un prix car Jean-Marie Guille ne s'en cache pas : « on développe de nouveaux services donc on fait payer un peu plus cher aux annonceurs parce que l'audience du site augmente ». Pages Jaunes repose en effet sur un modèle rodé : beaucoup de professionnels (350 000) répertoriés dans l'annuaire en ligne choisissent d'accompagner leurs coordonnées d'un bandeau publicitaire. D'ailleurs, les activités en ligne de la société représentent près de 30% du chiffre d'affaires total, à 1,06 MdE en 2005. Mais si son modèle est solide, le succès de la 3D n'est pas assuré. Les initiatives en 3D sur le Web n'ont jamais vraiment enthousiasmé. Alors avant d'étendre cette nouvelle dimension à d'autres villes, Pages Jaunes préfère la tester. (...)
(07/09/2006 13:55:17)IronPython, l'arme de Microsoft pour rallier les développeurs Python à .Net
La version 1.0 d'IronPython est disponible. Cette adaptation du langage de programmation Python à la plate-forme d'exécution .Net symbolise la main tendue de Microsoft à la communauté des développeurs Python, surtout très active dans le monde des serveurs d'applications Java. IronPython, créé par Jim Hugunin, compile le code Python directement en CIL (Common intermediate language), le langage commun aux applications .Net exécutées sur le CLR (Common language runtime), socle de .Net. A noter qu'il s'agit du CLR de la version 2.0 de .Net ce qui rendra délicate l'utilisation d'IronPython 1.0 avec Mono, l'implémentation Open Source de .Net soutenue par Novell, forcément en retard sur les versions de Microsoft. Par ailleurs, l'aspect « shared source » de la licence d'IronPython, et non Open Source, risque également de nuire à sa diffusion. C'est ce que soulignait Miguel de Icaza, fondateur du projet Mono, dans un message adressé à Jim Hugunin à l'occasion de la sortie de la version 0.7 du langage. Jim Hugunin lui avait alors répondu en substance que les projets ouverts avaient besoin d'un dictateur pour avancer plus rapidement et assurer la cohérence. (...)
(07/09/2006 15:47:51)L'Arcep se fâche du faible nombre d'abonnés mobiles inscrits à l'annuaire
Selon les chiffres rendus publics par l'Autorité de régulation des communications électroniques et postales (Arcep), seuls 1,9% des abonnés mobiles français sont aujourd'hui inscrits à l'annuaire universel, un chiffre qui agace furieusement l'autorité qui pointe du doigt la faible coopération des opérateurs mobiles et vient d'ordonner une enquête administrative. Pourtant, ce chiffre est rassurant : il montre que les abonnés ont bien compris les enjeux de la communication de leurs coordonnées mobiles en terme de protection de la vie privée. Au contraire des abonnés fixes, qui doivent indiquer leur souhait de ne pas figurer à l'annuaire s'ils ne souhaitent pas être recensés (stratégie dite de l'opt-out), les abonnés mobiles doivent explicitement faire mention de leur souhait de figurer à l'annuaire pour voir ses coordonnées publiés (opt-in). En clair, seuls 1,9 % des français voient un intérêt à cette publication. Les autres préfèrent le plus prudent "pour vivre heureux, vivons caché". Un choix judicieux, qui leur épargnera sans doute le harcèlement téléphonique mobile et le spam SMS que risquent les 1,9 d'inscrits, sur un terminal considéré comme bien plus personnel que le téléphone de la maison. Dans ce contexte, on peut légitimement s'interroger sur les buts poursuivis par l'Arcep avec son enquête. Car, pour une fois, les intérêts des éditeurs d'annuaires n'ont pas forcément grand-chose à voir avec ceux des utilisateurs. (...)
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