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(29/08/2006 18:18:41)

La recherche en bio-informatique s'étoffe à l'Ecole des Mines de Paris

Après avoir accueilli la bio-informatique (*) pendant trois ans au sein de son centre de Géostatistique, l'Ecole des Mines de Paris a créé un pôle dédié à cette discipline. Elle s'exerce désormais dans l'un de ses quatorze centres de recherche indépendants, accueillant jusqu'à 9 personnes selon les travaux effectués. Parmi ses principaux projets, le centre de l'Ecole des Mines travaille à la compréhension des tumeurs cancéreuses avec l'Institut Curie et sur la paludisme avec l'Institut Pasteur. Il accueille chaque année des thésards et des stagiaires de troisièmes cycles, issus de l'Ecole des Mines et d'autres établissements de formation. Il participe à l'enseignement de troisième année de l'école dans le cadre de l'option de « biotechnologie », ainsi que dans les masters « Probabilités et applications » de l'Université de Paris 6 et « Mathématiques, vision, apprentissage » de l'Ecole Normale Supérieure de Cachan. Trouver des médicaments Le centre poursuit parallèlement sa recherche de cofinancements pour développer des projets avec les industriels, essentiellement dans le domaine pharmaceutique et médical - l'une des applications majeures de la bio-informatique étant la recherche de nouveaux médicaments via le criblage virtuel ( qui permet de tester de banques de molécules). Ces cofinancements lui permettront de poursuivre son développement ainsi que de faire avancer la discipline. Celle-ci accuse quelques années de retard par rapport aux Etats-Unis, notamment, selon Jean-Philippe Vert, dirigeant du centre de bio-informatique de l'Ecole des Mines. « Malgré ce retard, la bio-informatique est en plein développement car elle est tirée par des vrais besoins d'analyse de données qui arrivent du vivant, explique Jean-Philippe Vert. Le fait d'arriver à trouver des médicaments, à terme, à partir de notre travail sera l'un des éléments qui contribuera à son essor et au développement du nombre de bio-informaticiens en France». (...)

(29/08/2006 18:19:45)

« Les employeurs doivent se sentir responsables du parcours de leurs collaborateurs »

Entretien avec Jean-Pierre Fieux, vice-président exécutif du groupe Atos Origin, en charge des ressources humaines. Lemondeinformatique.fr: Vous avez pris les rênes de la direction des ressources humaines d'Atos Origin fin 2005 après avoir été DRH de l'entité « Schlumberger Oilfield Services » de Schlumberger (l'une des plus grandes mulinationales de fourniture de services pétroliers) Quels sont les chantiers prioritaires que vous menez ? Jean-Pierre Fieux : Nos priorités concernent le recrutement et la fidélisation des compétences dont nous avons besoin. Cette année, nous souhaitions recruter 9000 collaborateurs au niveau du groupe et 2500 en France. Nous avons aujourd'hui atteint à peu près la moitié de ces objectifs, ce qui correpond aux flux de recrutement habituels chez Atos Origin. La reprise automnale devrait nous permettre de compléter nos recrutements. Un tiers des embauches concerne des jeunes diplômés, le reste des personnes déjà en emploi. Nous cherchons des concepteurs/développeurs (ingénieurs développement et systèmes), des directeurs et des chefs de projet, des consultants techniques compétents sur les outils d'Oracle et de SAP, des responsables de compte et des techniciens pour nos activité d'infogérance. Sachant que le marché de l'emploi est tendu, quels moyens particuliers mettez-vous en oeuvre pour séduire les profils les plus demandés ? Nous avons renforcé nos relations avec les écoles afin d'avoir une présence régulière dans les cycles d'enseignement et que les jeunes connaissent Atos Origin avant leur sortie de l'école. Nous avons eu plusieurs initiatives particulières en ce sens telles que la création d'une chaire d'enseignement avec l'école HEC sur le thème « Stratégie de croissance et management de l'intégration ». J'ai rejoint le comité pédagogique de cette chaire afin de faire en sorte que les formations soient en adéquation avec nos besoins. Je dois bientôt faire une présentation de la société devant les étudiants en espérant créer des contacts de qualité avec eux. Parallèlement à ce type d'initiative, nous mettons en place au sein d'Atos Origin une cellule de recrutement qui travaillera à l'échelle du groupe afin de coordonner et d'harmoniser l'ensemble des pratiques de recrutement et de relations avec les écoles qui sont aujourd'hui menées dans nos différentes divisions. Enfin, nous allons réactiver le processus de la cooptation, en introduisant notamment des récompenses pour les apporteurs de jeunes recrues, car ce processus représente, lorsqu'il est actif, 20% de nos recrutements. Comment retenir les profils les plus demandés ? Nous avons plusieurs projets destinés à leur offrir des perspectives de carrière et d'évolution. L'un est associé à notre programme de formation Gold. Celui-ci s'adresse à des collaborateurs ayant deux à trois ans d'expérience. Il consiste à leur proposer une année de formation universitaire en alternance sanctionnée par un diplôme de type Master, dans une université anglaise. Deux cent personnes l'ont suivi cette année dans le monde dont la moitié de Français. Je souhaite redynamiser ce programme en lui associant un tutorat pour chaque « étudiant ». Bernard Bourigeaud (président d'Atos Origin, NDLR) lui-même en suivra trois. Nous allons aussi mettre en place avant et après la formation des points « carrière » pour échanger avec les collaborateurs concernés sur leurs souhaits d'évolution et les voies pour y parvenir. Nous souhaitons parallèlement étendre les entretiens de carrière au maximum de nos salariés. J'aimerais les rendre systématiques dans les entretiens annuels des 15000 personnes qui ont des objectifs afin de leur permettre de s'exprimer sur leurs souhaits d'évolution et de préparer l'avenir. Ces entretiens sont plutôt focalisés sur l'examen des performances aujourd'hui. Les entretiens de carrière doivent-ils se faire avec les managers qui réalisent les entretiens de performance ? Oui car ils connaissent les perspectives d'évolution possibles. Je pense qu'il faut toutefois adjoindre d'autres interlocuteurs pour les points carrière, un manager d'un niveau supérieur pour élargir la vision des potentialités d'évolution et un responsable des ressources humaines pour faire le lien avec le réseau RH du groupe, faciliter l'identification des possibilités de mobilité. Ces entretiens de carrière devront avoir lieu tous les 3 à 5 ans pour chaque personne. Nous nous équipons parallèlement sur le plan informatique pour accompagner la gestion de carrières. Nous allons implémenter en 2007 un outil baptisé « Performances on line » destiné à archiver sous format électronique les données résultants des entretiens annuels afin de pouvoir les partager. L'objectif est de lier cet outil à notre base de compétences, « Global Competency Model », qui nous permet d'identifier et de cartographier nos compétences. Ces outils donnent l'opportunité d'améliorer la gestion de carrières et la mobilité. Comment éviter de faire flamber les salaires sur certains profils très demandés, comme les consultants SAP ? La réponse est la gestion de carrières. Nous associons un plan de développement des compétences à la proposition de rémunération. Je pense que peu de personnes partent d'une société uniquement pour faire un gain financier. Elles misent aussi sur un enrichissement à plus long terme qui passe par autre chose que la rémunération. Concernant les consultants SAP, nous allons mettre en place une université interne afin de former des collaborateurs qui le souhaitent et/ou qui ont des compétences qui ne sont plus utilisées. Les technologies évoluent vite, le off-shore menacent certains métiers : comment appréhendez-vous ce phénomène ? Atos Origin a la chance d'avoir une bonne vision de ses compétences, notamment grâce à l'outil Global Competency Model, ce qui devrait lui permettre d'anticiper l'avenir. Nous pouvons en effet comparer ce vivier aux compétences dont nous avons besoin pour mener les projets futurs. Plus généralement, je pense que les employeurs doivent se sentir responsables du parcours de leurs collaborateurs au sein de leur société, ce qui est important pour retenir les talents. (...)

(29/08/2006 12:38:01)

Zend reçoit 20 M$ pour mieux asseoir son offre

Vingt nouveaux millions de dollars à dépenser : le père Noël est passé cet été chez Zend Technologies. L'éditeur d'outils de développement pour PHP a fait entrer dans son capital Greylock Partners, une firme d'investissement dans les entreprises de haute technologie. Elle vient rejoindre Azure Capital Partners, Index Ventures, Intel Capital, Platinum Venture Capital, SAP Ventures et Walden Israel Venture Capital. Sachant que les deux premiers de cette liste ont eux-mêmes rejoint Zend il y a deux ans (au moment du lancement de la plate-forme PHP 5) à l'occasion du précédent tour de table, de 8 M$. A l'époque, il s'agissait d'attaquer le marché américain, en déplaçant le siège à Cupertino, en Californie. Aujourd'hui, les 20 M$ devraient servir à « s'étendre plus vite dans les marchés géographiquement émergents, accélérer notre développement de produits et étendre l'organisation des services de façon à satisfaire le nombre croissant de clients PHP en entreprise », indique Zend dans un communiqué. Zend estime que son moteur Web est utilisé par 15 millions de sites aujourd'hui (selon une estimation de Netcraft). La société revendique 8000 clients dans plus de 6000 entreprises de par le monde. Récemment, elle a signé des accords importants avec IBM et Oracle pour adapter son offre aux middlewares de ces géants. (...)

(29/08/2006 12:24:30)

Avec le rachat d'Intervideo, Corel se renforce dans le multimédia

Corel, éditeur historique d'outil de bureautique, poursuit ses opérations de croissances extérieures. L'éditeur canadien de WordPerfect et de CorelDraw se paie Intervideo, spécialiste du multimédia, pour 196 M$ en numéraire. Intervideo édite des applications de création vidéo et de DVD. Il est notamment connu du grand public pour WinDVD, son lecteur DVD pour Windows. En 2005, la société s'était offert l'éditeur Ulead, autre poids lourd du secteur de la vidéo. Un rachat qui lui avait notamment permis d'enrichir ses outils du support du HD-DVD et du Blu-Ray DVD. En 2005, Intervideo a réalisé un chiffre d'affaire de 109,2 M$. Dans un communiqué, Corel explique qu'il compte s'appuyer sur la popularité d'Intervideo, localisé en Chine, au Japon et à Taiwan, pour étendre sa force de frappe au marché asiatique. Un coup double pour Corel qui, en outre, ouvre sa gamme de produits d'imagerie et de bureautique à la vidéo et à la création DVD. Après WinZip en mai, Corel réalise sa deuxième opération de croissance extérieure en 2006. En 2004, l'éditeur avait absorbé Jasc, l'éditeur historique de PaintShop Pro. (...)

(29/08/2006 12:24:07)

Le PS en WiFi communautaire

L'idée d'un Internet communautaire et gratuit est une idée chère au Parti socialiste qui a conclu un partenariat avec le réseau WiFi FON. Le site de l'Université d'été, qui se tenait à la Rochelle le week end dernier, et le siège du parti rue de Solferino à Paris, ont été équipés en réseau FON afin de fournir du WiFi gratuit aux militants et aux journalistes. FON est un réseau WiFi communautaire qui repose sur le principe du partage. Ses membres, les Foneros, laissent en libre accès leur connexion personnelle et ont accès, en échange, aux hot spots des autres Foneros. Parti d'Espagne, le réseau compte aujourd'hui 80 928 bornes dans le monde dont plus de 5 700 en France. Pour FON, qui a déjà signé des accords avec des groupes comme Neuf Telecom, tous les moyens sont bons pour élargir sa communauté. Sur son blog , FON France précise même que l'université d'été de la Rochelle était une occasion pour proposer « aux représentants des sections, fédérations et aux élus, de s'équiper ». A l'heure des démonstrations numériques Un partenariat avec une formation politique n'est cependant pas anodin et certains foneros, sur le même blog, regrettent dans les commentaires un rapprochement assimilable à du militantisme politique. Alors que le taux de pénétration du haut-débit n'est que de 15% en France selon les chiffres de la Commission européenne, l'adhésion des partis socialistes français et espagnol (PSOE) au réseau FON a évidemment une portée politique. L'accès gratuit à Internet pourrait bien devenir un argument électoral. Pour le moment, le PS, comme l'UMP* n'en sont pas au stade des propositions mais simplement des démonstrations numériques. A la Rochelle, le PS a lancé sa plate-forme de blogs militants, comme l'UMP l'avait fait lors de son université d'été à Marseille. (...)

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