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(23/06/2006 17:10:42)
IBM dévoile deux outils gratuits pour sécuriser les applications Java
IBM vient de présenter deux outils gratuits destinés à la sécurisation des applications Java. Le premier, Secure Shell Library for Java permet de chiffrer les données échangées par les applications Java en s'appuyant sur le protocole SSH. Avec lui, Big Blue entend notamment répondre aux préoccupations des grandes administrations ainsi que des mondes de la banque, du commerce électronique et de la santé. Le second outil, baptisé Security Workbench Development Environment for Java, permet d'intégrer les autorisations et les privilèges d'accès au processus de développement des applications, avec des standards tels que Java 2 et OSGI. Les deux outils sont disponibles sur le site du programme AlphaWorks d'IBM. (...)
(23/06/2006 17:11:14)EMC lancera une technologie de classification de données d'ici la fin 2006
EMC prévoit de proposer à ses clients des outils de classification de données pour permettre aux administrateurs de classer et d'organiser leurs données de façon automatique à partir de règles prédéfinies. L'idée est par exemple d'orienter automatiquement les données critiques vers un stockage haut de gamme ou de paramétrer l'effacement ou l'archivage automatique de données non essentielles après une certaine période de temps. Dans un premier temps, les efforts du constructeur devraient se concentrer sur les données non structurées. C'est en tout cas ce qu'a affirmé Joe Tucci le patron d'EMC lors de la réunion analystes du constructeur. La technologie, attendue au dernier trimestre 2006, permettra par exemple de définir jusqu'à 10 classes de services qu'il sera possible d'assigner à des fichiers, e-mail ou présentations. Chacune de ces classes définira des paramètres de qualité de service ou de rétention de données. Selon EMC la technologie s'appuiera sur des briques acquises lors des rachats de Legato Systems, Documentum et Smarts et ne devrait pas nécessiter le rachat d'une des startups spécialisées dans ce secteur, comme Kazeon Systems ou Scentric (respectivement partenaires de NetApp et HDS), mais aussi Arkivio et StoreIQ. (...)
(23/06/2006 17:10:15)Cartographie : Géoportail débute sa carrière
La France a - enfin - son Google Earth avec la sortie, ce 23 juin, de Geoportail. Concocté par l'Institut Géographique National, l'outil offre une représentation de l'Hexagone mise au point à partir d'une base de 400 000 clichés vieux de cinq ans au maximum. A l'instar de ce que propose le produit de Google pour les principales zones urbaines, Géoportail mise sur la qualité des images. Et pas seulement pour l'Ile-de-France : l'ensemble du territoire national - métropole et DOM-TOM - est couvert avec une précision de 50 cm par pixel. Dans un premier temps limité à une représentation en deux dimensions, l'outil permettra une navigation 3D dès l'automne. Dire que Géoportail était attendu relève de l'euphémisme. Les serveurs ont été pris d'assaut dès la mise en ligne de l'application. Olivier Bouiri, membre de l'équipe opérationnel, reconnaît que Géoportail est victime de son succès : "le système rejette énormément de monde mais les connectés ont un accès fluide à l'outil. Nous avons calibré nos serveurs pour qu'ils puissent accueillir 1000 visiteurs simultanément. A terme, nous allons être obligés de recalibrer nos capacités d'accueil et de monter en puissance". (...)
(23/06/2006 17:09:04)Un livre blanc, une convention, des ponts jetés entre la recherche et l'emplois en R&D
"Les doctorants en informatique américains effectuent, deux ou trois fois pendant leur doctorat, un stage de trois mois dans un laboratoire ou une entreprise. Non sans résultats. Les perspectives et l'expérience du doctorant s'enrichissent, et l'entreprise peut tenter des expériences innovantes sans grand risque. Les deux s'habituent en douceur l'un à l'autre", constate Marc Shapiro, directeur de recherche à l'Inria. C'est une des pistes de réflexion que suggèrent les professionnels de la recherche systèmes (OS, systèmes embarqués, distribués, etc), membres de la société savante Eurosys, dans un livre blanc qui reprend les points forts et, surtout, les faiblesses de la position européenne dans ce domaine. Au premier rang desquelles l'isolement des chercheurs, le manque d'encouragement à jeter des passerelles entre le monde académique et celui de l'entreprise, et la difficulté qu'ont les institutions du Vieux Continent à accompagner l'interaction entre recherche publique et R&D, et à en faire le creuset de conditions de carrière attrayantes. Parallèlement, les premiers pas des pôles de compétitivité liés aux technologies (NTIC) sur la voie de partenariats européens en R&D apportent un début de réponse concrète à ce constat. Comme en témoignera, ce 29 juin à Saint-Quentin-en Yvelines, la première convention du pôle Systematic (un an d'existence), avec, notamment, la signature d'un accord de partenariat avec le cluster allemand SafeTRANS qui s'inscrit dans le cadre du programme EICOSE (European Institute for Complex & Safety Critical Embedded Systems Engineering). Un programme auquel est également associé le pôle Aerospace Valley (Toulouse, Aquitaine) pour la conception et le développement de systèmes embarqués critiques pour les transports. (...)
(23/06/2006 17:09:43)Les grandes écoles se positionnent face à l'irrésistible attraction de la Chine et de l'Inde
Le mouvement s'accélère. Pas un mois sans qu'une série de partenariats franco-chinois ou franco-indien entérine les échanges de bons procédés -et surtout d'étudiants- entre écoles d'ingénieurs et de management des deux continents. Ces accords impliquant, de fait, les entreprises "clientes" de ces cursus. A Rouen, la filière internationale de l'Esigelec ouverte aux non-francophones de niveau bac+4 accueille cette année 19 étudiants chinois. Parmi les diplômés des promotions précédentes, certains ont intégré des multinationales partenaires du cursus tels qu'Alcatel à Shanghai, Peugeot à Wuhan ou China Southern Airlines. De futurs diplômés 2006 sont en stage ingénieur à France Telecom et SNCF. Réciproquement, 21 étudiants de l'ECE (Ecole centrale d'électronique de Paris) sont en Chine (Pékin, Wuhan), depuis février, pour effectuer leurs projets de fin d'études. Coachés par des universitaires chinois pendant un semestre, les élèves-ingénieurs travaillent, par petits groupes réunissant chinois et français, sur des projets liés à des problématiques de forte actualité comme la voix sur IP ou les systèmes embarqués. Les écoles des Mines de Nantes, Nancy, Douai ou Paris, prétendent former des ingénieurs globe-trotters. Avec l'attrait de double-diplômes dont certains, de plus, sont accrédités master européen. C'est notamment le cas de l'école nantaise (17% des effectifs étudiants sont étrangers) dont le cursus de master en génie logiciel débouche sur un diplôme de l'université de Bruxelles. Les écoles de commerce et de gestion ne sont pas en reste, chacune cultivant la différence de son antenne en Chine (pour l'Inseec de Paris et Bordeaux, Grenoble EM, Sup de Co Montpellier, ESC Tours-Poitiers) ou de ses partenariats en Inde (l'Ieseg de Lille avec un collège de Madras, Reims Management School avec l'EMPI de New Dehli). (...)
(23/06/2006 17:07:12)Trimestriels Oracle : le groupe profite de ses multiples acquisitions
Avec un chiffre d'affaires de 4,85 Md$, Oracle enregistre une croissance de ses revenus de 25 % par rapport à la même période de l'année précédente. Même niveau de progression pour le bénéfice net, qui grimpe de 27 % sur un an, à 1,3 Md$. Ces deux indices sont en ligne avec les estimations communiquées la semaine dernière par le groupe, et légèrement au-dessus de celles des analystes, qui tablaient sur un CA de 4,7 Md$. Sur l'ensemble des revenus d'Oracle, l'immense majorité provient des ventes de licences : elles représentent ainsi 4 Md$ et progressent de 28 % sur un an. Le reste de l'activité est issue des services, dont les revenus dépassent légèrement 850 M$, eu hausse de 13 %. Les ventes de nouvelles licences - chiffre clé renseignant sur les futures performances - ont bondi de 32 % pour atteindre 2,1 Md$. Sur ce total, les licences d'applications de gestion d'entreprises s'envolent de 83 %, à 641 M$ tandis que celles relatives au métier traditionnel d'Oracle, les bases de données, adoptent un rythme de croissance de 18 %, à 1,48 Md$. Larry Ellison, le PDG du groupe, a défendu la moindre croissance du secteur des bases de données : "la moitié du temps on lit des histoires sur l'activité d'Oracle dans les bases de données qui croît lentement et subit les attaques d'IBM et de Microsoft. Nos bases de données progressent et se portent très bien". Le rythme de croissance élevé dans les applications de gestion d'entreprises s'explique en grande partie par les nombreuses acquisitions qu'Oracle a effectuées depuis plusieurs mois. Plus largement, c'est l'ensemble des résultats du groupe qui profite de la politique d'emplettes de ces dix-huit derniers mois. Ainsi, la société a dépensé 19 Md$ en acquisitions - soit plus que son chiffre d'affaires annuel - de Peoplesoft pour 10,3 Md$ à Portal Software en passant par Siebel pour 6,1 Md$ ou ProfitLogic. Selon Larry Ellison, ces opérations de croissance externes vont permettre à Oracle d'accroître son bénéfice de 20 % par an et de dépasser ses concurrents. Il explique ainsi qu'Oracle croît plus rapidement que SAP dans les applications de gestion d'entreprises, plus vite que BEA dans le middleware et qu'IBM dans les bases de données. Fort de ces bons résultats, le groupe table, pour le premier trimestre de son exercice 2007, sur un revenu en hausse de 19 à 20 % par rapport au T1 2006. (...)
(23/06/2006 17:07:57)L'open source, vers une banalisation de l'écosystème
L'open source va se banaliser et perdre ainsi son caractère "alternatif". C'est un des messages qui ressort d'un congrès aux Etats-Unis (*), où se réunissaient quelques ténors de l'industrie du logiciel open source, notamment IBM, Sun, JBoss et SpikeSource. "L'open source formera le coeur des infrastructures, à l'image d'une architecture client-serveur actuelle. [A tel point] que l'idée même de l'open source provoquera des bâillements d'ici cinq ans", analyse Andy Astor, PDG de Enterprise DB, éditeur d'un SGBD reposant sur PostgreSQL. Selon eux, le modèle de l'open source a métamorphosé le marché du logiciel. Il a d'abord crédibilisé un modèle reposant sur la vente de supports et de services, au détriment de celle de licences. "Des règles plus ouvertes que celles posées par les éditeurs dits propriétaires", commente Kim Polese, PDG de SpikeSource. Il a également imposé à ses acteurs davantage de créativité pour placer leurs offres sur le marché. "L'open source est un marché encore jeune, où ne se pose pas la question de choisir un modèle économique", affirme Andy Astor. Reste que face à son adoption en forte croissance, notamment par les géants du secteur tels que Sun et Oracle, l'open source devrait perdre son côté marginal, et se fondre alors dans le paysage de l'informatique. "Les développeurs travaillant dans l'open source devraient être payés", martèle Marc Fleury, PDG de Jboss récemment racheté par Red Hat. "Je suis étonné d'avoir encore à me battre sur cette question". (*) "The Open Source Effect" (...)
(23/06/2006 13:24:28)Un mobile Wimax chez Samsung dès 2007
Pour le moment, les réseaux Wimax se déploient sans cartes PC Wimax et sans terminaux mobiles Wimax. Les premières sont annoncées pour l'année prochaine et, en toute logique, les mobiles devraient encore attendre quelques longs mois avant de sortir des labos. C'est sans compter sur l'avancée technologique des Coréens ! Samsung annonce en effet l'arrivée prochaine d'un terminal bi-mode GSM / Wimax. « Le premier modèle verra le jour dans le courant du premier semestre 2007 » a déclaré Hwan Woo Chung, vice président du département Wimax de Samsung Mobile. Rappelons que le Wimax s'apparente à du Wifi surboosté, permettant d'atteindre en pratique des débit de l'ordre de 12 Mbps sur 20 km (70 Mbps sur 50 km en théorie). La technologie Samsung autorise quant à elle de télécharger des fichiers à 10,2 Mbps à 120 km/h (attention sur autoroute, pas sur nationale). L'équipementier espère atteindre les 40 Mbps l'année prochaine. Au salon CommunicAsia, le Sud-Coréen a pu afficher son expertise dans le Wimax à travers des démonstrations sur un PC équipé d'une carte PCMCIA et de PDA Wimax. Le très haut-débit mobile, concurrent évident de l'HSDPA, pointe son nez. Samsung est en discussion avec un certain nombre d'opérateurs, notamment en Corée du Sud, pour donner une vie commerciale très prochaine au Wimax. (...)
(23/06/2006 13:23:04)Réseaux : Samsung concurrence Cisco
Samsung Electronics commercialise un routeur pour le monde de l'entreprise, empiétant directement sur les plates bandes de Cisco. L'Ubigate iBG3026, c'est son nom, combine les fonctionnalités d'un switch, d'un routeur, d'une passerelle VoIP et d'un Firewall. L'équipement rackable est destiné aux PME de 100 à 300 utilisateurs. Il est d'ores et déjà disponible en Corée du Sud et en Chine. Il sera disponible à travers le monde d'ici la fin de l'année. Le constructeur prévoir de compléter sa gamme avec le iBG2006 et le iBG2016, plus axés sur les TPE (jusqu'à 50 postes et 50 à 100 postes). Dans la secone partie de 2007, le constructeur lancera un produit pour les grands comptes de plus de 300 postes, l'iBG3046. « D'ici l'année 2010 nous allons tenter d'atteindre 10% de parts de marché sur le secteur des entreprises » a déclaré Hwan Woo Chung, vice président du département Wimax de Samsung Mobile, à Singapour lors du salon CommunicAsia. L'arrivée de produits « réseaux » chez Samsung est une réelle nouveauté. Le Coréen complète une gamme plus traditionnelle composée de terminaux et d'équipements réseaux pour les opérateurs. « Nous allons devoir beaucoup apprendre dans un futur proche » conclut Mr Chung. (...)
(23/06/2006 09:47:41)Symphony arrive en version 3.0 le 30 juin
Platform s'apprête à mettre à jour Symphony, son outil de distribution de calcul en grille dédié au monde financier. Selon son éditeur, la version 3 de Symphony a été validée sur des systèmes Windows et Linux avec un maximum de 20 000 processeurs. Platform revendique en outre un taux d'utilisation de 97 % et un temps de latence de 2,4 millisecondes pour une application parallélisée sur 1000 processeurs. L'éditeur assure en outre avoir réussi à faire fonctionner 2000 clients en parallèle sur 100 applications distribuées. Symphony 3 fonctionne avec la plate-forme maison EGO - Enterprise Grid Orchestrator. Symphony 3 devrait être disponible le 30 juin prochain. L'éditeur en propose une édition gratuite pour les développeurs. La Symphony Developer Edition a été conçue spécifiquement pour le test et le développement des applications SOA. (...)
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