Flux RSS

Si vous souhaitez recevoir toute l'information "Mot Clé" de notre feed RSS,Inscrivez-vous

108538 documents trouvés, affichage des résultats 24451 à 24460.

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >


(19/05/2006 17:30:49)

Recrutement : les débouchés s'élargissent pour les jeunes diplômés

L'enquête premier emploi 2006 (*) réalisée par l'école d'ingénieurs Télécom Paris confirme le regain d'intérêt des entreprises pour les jeunes diplômés. Premier constat, le délai de recherche d'emploi - déjà court pour cette école prestigieuse- s'est réduit. 99% des diplômés de la dernière promotion ont trouvé un emploi en moins de 4 mois, (contre respectivement 95% et 89% en 2005) et 91% en moins de deux mois (contre 84% en 2005). Deuxième constat, les débouchés professionnels se diversifient même si les principaux recruteurs restent les cabinets de conseil et les SSII (45% des recrutements). 9% des jeunes diplômés ont par exemple intégré le secteur bancaire contre 7% en 2005 et 4% en 2004. La tendance est similaire dans les autres industries (automobile et énergie), ce qui témoigne de l'importance croissance des technologies de l'information et de la communication dans ces métiers. A l'inverse, la part des opérateurs de télécommunications, le débouché historique de Télécom Paris, baisse d'année en année (17% en 2004, 14% en 2005, 13% en 2006). De la même façon, les métiers les plus représentés restent ceux du conseil, suivi par les études et le développement informatique. Mais 10% des ingénieurs ont tout de même intégré des fonctions de financiers là où ils n'étaient que 3% en 2004 et 7% l'année dernière. (*) L'enquête a été effectuée entre janvier et avril 2006, auprès des diplômés des trois dernières promotions, avec un taux de réponse entre 74 et 76% selon les promotions. (...)

(19/05/2006 17:30:25)

Recrutement : 500 postes d'informaticiens y compris sur Cobol

Les cobolistes sont encore convoités par les SSII et les spécialistes des environnements Sap (langage Abap) demeurent les plus recherchés. Tels sont les enseignements que l'on peut tirer de la campagne de recrutement massive menée actuellement par Accenture Technology Solutions (société du groupe Accenture dédiée aux métiers du service informatique). La société de conseil et d'ingénierie projette de recruter pas moins de 500 informaticiens d'ici à la fin de son année fiscale 2007 (fin août 2007), avec dans l'ordre des compétences technologiques les plus recherchées, celles concernant les environnements Sap, Oracle, Unix et Cobol (proportions non communiquées) Plus précisément, elle cherche à pourvoir 37 postes à Nantes et 77 à Paris d'ici la fin Août 2006 et respectivement 120 et 267 l'année suivante dans ces deux mêmes villes. Les profils demandés par les directeurs de projet sont en majorité des jeunes diplômés (de niveau Bac+ 2 à bac +4) qui occuperont des postes de développeurs et d'ingénieurs d'études. Pour répondre à ses ambitions sur un marché de l'emploi tendu, Accenture diversifie ses sources d'identification de candidatures, parallèlement à l'utilisation des voies de recherche de Cv traditionnelles (cabinets de recrutement et sites web emploi). La société de conseil a institutionnalisé la cooptation en offrant des bons cadeau aux collaborateurs qui lui présente des candidats, lorsque ces derniers sont embauchés. Ces rétributions sont accordées avant même la fin de la période d'essai du candidat coopté, puisqu'elles visent avant tout à faire venir des profils intéressants. Le groupe souhaite ensuite développer un partenariat avec l'anpe. Il s'inscrit parallèlement dans des opérations de recrutement d'un nouveau type comme «Nos quartiers ont du talent» . Il renforce enfin ses relations avec les écoles afin de monter avec certains établissements, des formations correspondant à ses besoins. Dans la même optique, Accenture devrait aussi embaucher des jeunes en contrats de professionnalisation (contrats qui remplacent les anciens contrats de formation en alternance) afin de les former et de les fidéliser. (...)

(19/05/2006 17:32:33)

SAP présente Project Muse, sa nouvelle interface utilisateur et se dit accessible à une fusion

La conférence américaine Sapphire de SAP a été l'occasion de découvrir en avant première la nouvelle interface utilisateur qui porte le nom de Muse. Cette interface imaginée en collaboration avec Macromedia - récemment acquis par Adobe - se veut particulièrement flexible. En effet, Muse doit permettre d'accéder à mySAP Bussiness Suite aussi bien depuis un PC sous Windows qu'avec un PC sous Linux ou un Macintosh. D'autre part, l'accès aux applications SAP pourra s'effectuer depuis un ordinateur mais également depuis un mobile. La reconnaissance vocale est à l'ordre du jour ainsi que la gestion des flux RSS. SAP espère attirer plus d'utilisateurs occasionnels en précisant toutefois qu'une condition sine qua non est requise : celle d'être équipé d'une SOA. Les nombreuses annonces de SAP ont été l'occasion pour certains de délier leur langue. Ainsi, l'un des principaux actionnaires et fondateur de l'entreprise, Hasso Plattner a reconnu être ouvert à toutes propositions de fusion. M. Plattner estime qu'il faut rester parfaitement neutre dans la gestion d'une société et s'il s'avérait que la meilleure solution pour SAP était de fusionner, et bien il en serait ainsi. Cela dit, seul trois acquéreurs seraient potentiellement sérieux : IBM, Microsoft et Google - SAP pèse environ 51 Md€. Et d'ajouter qu'actuellement, il n'y a pas de pourparlers dans ce sens. Cette sortie laisse tout de même rêveur. (...)

(19/05/2006 17:28:50)

Fort recul du bénéfice net de Dell

Le numéro un mondial du PC subit la concurrence de Hewlett-Packard de plein fouet. Sa politique de bas prix ne semble pas aboutir à des résultats satisfaisants. En effet, le bénéfice net du constructeur au premier trimestre s'affiche en baisse de 18 % par rapport à la même période l'an passé, à 762 M$. Le profit opérationnel marque également un fort repli de 19 % à 949 M$ contre plus d'un milliard de dollars un an plus tôt. Paradoxalement, le chiffre d'affaires de Dell au premier trimestre a progressé de 6 % par rapport au premier trimestre 2005 à 14,2 Md$. Lors d'une conférence, les dirigeants de Dell ont imputé les difficultés de l'entreprise à la décision de vouloir augmenter à la fois la croissance et la rentabilité. Les concurrents auraient profité de cette stratégie hasardeuse. En outre, Kevin Rollins, PDG de Dell, relève que « la concurrence a été plus rude que nous ne l'avions prévu. Notre industrie change de manière significative en ce moment et s'oriente, à long terme, vers une consolidation. » Pour faire face à ces changements, Dell prévoit d'investir 100 M$ dans l'amélioration de son service client. Deux milles opérateurs devraient être recrutés et de nouveaux centres d'appels, ouverts. L'international tient de plus en plus de place chez Dell et a représenté 44 % du chiffre d'affaires de ce premier trimestre 2006, soit une augmentation de 12 % par rapport à l'année dernière. Cette présence active de l'entreprise lui fait d'ailleurs dire qu'elle envisage l'avenir sereinement sachant que le monde est vaste et que « 95 % de la population mondiale vit en dehors des Etats-Unis ». Dell positionne clairement l'entreprise sur l'international où des investissements massifs ont été réalisés, phénomène qui devrait encore durer et impacter le second trimestre de l'année fiscal 2007. Les pays qui intéressent le plus l'américain sont l'Allemagne, la Chine, l'Inde et le Brésil. (...)

(19/05/2006 17:33:12)

JavaOne 2006 : Oracle rend public son moteur AJAX

Profitant de la conférence JavaOne, qui se tient actuellement à San Francisco, Oracle a annoncé son intention de publier le code source de son moteur de rendu AJAX. Selon Ted Farrel, l'architecte en chef d'Oracle, qui s'exprimait lors d'une conférence de presse, Oracle entend fournir le code de son render Kit dans les deux mois à venir à une organisation open source, comme il l'avait fait précédemment avec la fondation Apache pour ses composants JSF (JavaServer Faces). Les travaux d'Oracle sur Ajax sont dans la lignée de travaux entamés il y a déjà plusieurs années sur DHTML et JavaScript, a expliqué Farrel, pour justifier l'utilisation du terme SOA 2.0 lors de son allocution. Selon lui, AJAX va permettre aux développeurs de profiter des bénéfices des technologies de scripting et de web dynamique, sans avoir a apprendre les spécificités de DHTML et de javaScript. Implicitement, Oracle espère donner son code Ajax à la fondation Apache, mais pour l'instant la firme indique qu'aucun accord n'a été conclu. Oracle entend aussi contribuer le code source de son architecture de persistence Java qui inclut le support des EJB 3.0 et sa technologie de mapping relationnel objet. Ce code sera mis en ligne sur l'Oracle Technology Network. (...)

(19/05/2006 17:29:26)

JavaOne 2006 : Schwartz : "les 13 Md$ de CA de Sun proviennent de Java"

lemondeinformatique.fr : Vous avez récemment pris la tête de Sun. Que faites vous différemment de Scott Mc Nealy ? Jonathan Schwartz : J'ai le privilège d'être assis sur les épaules de géants. J'ai aussi l'opportunité de pouvoir m'appuyer sur des gens comme James Gosling qui ont fait un vrai travail de pionnier avec Java. Ce que je fais à la tête de Sun n'est pas différent de ce que faisait mon prédécesseur, c'est à dire faire honneur aux innovateurs et aux innovation qui créent nos opportunités d'affaires. Ceci dit, j'ai une coupe de cheveux différente de Scott, je n'aime pas les mêmes sports, Pour Scott tout vin qui sort d'une bouteille est un vin fin, ce qui n'est pas mon cas, bref nous avons des personnalités différentes. Ce qui devrait nous différencier est que je vais me concentrer plus sur les communautés de développeurs que Scott, alors que Scott s'est plutôt concentré sur les CEO. Mon challenge est de faire en sorte que nous rapprochions les deux de façon à ce que les CIO et CEO comprennent les tendances qui parcourent l'industrie informatique, tout en aidant les développeurs à identifier de nouvelles opportunités de marché. Quel est l'intérêt économique de Java pour Sun et quels revenus en tirez-vous ? Je pense que c'est la question à laquelle je vais avoir à répondre au cours des dix prochaines années. [Schwartz se lève et montre une prise électrique] Vous voyez cette prise, comme elle pour l'électricité, je crois que Java est la standardisation de l'accès à l'Internet. Demander à Sun la valeur de Java pour notre business est comme demander à un fabricant de turbines électriques la valeur de cette prise électrique pour leur business. Cela permet la standardisation du marché de telle façon que vous pouvez croître au-delà de votre propre marché. Un autre exemple de cela : tout opérateur mobile dans le monde perd de l'argent en vous vendant un téléphone. La raison est qu'il veut vous attirer pour que vous vous abonniez, et une fois que vous avez un téléphone, il peut vous fournir des services qu'il monétise. Bien sur, certains analystes financiers pourraient raisonner qu'il n'est pas sain de vendre des téléphones à perte, car on perd de l'argent et qu'il faut cesser immédiatement. La conséquence pour Verizon, NTT DoCoMo ou Vodafone serait l'arrêt de la croissance du nombre d'abonnés et à terme la faillite (...) Vous m'avez demandé quelle est la valeur de Java pour Sun. Je pense que les 13 milliards de revenus de Sun cette année proviennent de Java. Nous demander la valeur de Java dans notre business est comme nous demander la valeur d'Internet. Nos systèmes comptables sont sophistiqués, mais je crains qu'ils ne soient pas assez intelligents pour répondre à cette question. Vous vous êtes beaucoup exprimé sur la fracture numérique. Qu'est ce que Sun peut faire pour contribuer à sa résorption ? Je crois que Sun est une force de démocratisation de la technologie. Nous aidons à abaisser le coût et la complexité pour ceux qui souhaitent se raccorder au réseau. Regardez le succès d'OpenOffice et Staroffice, de Java, de Netbeans et d'OpenSolaris. Ce sont des preuves que nous sommes réellement engagés au sein du mouvement open source. La fracture numérique existe, car le réseau est aujourd'hui trop complexe et donc trop coûteux. On travaille avec des gouvernements à travers le monde pour résoudre ce problème. Récemment, j'étais au Brésil où j'ai rencontré le président Lula et nous partagions cette volonté que les brésiliens soient en ligne que les colombiens se raccordent que l'ensemble du monde soit connecté. Ceci dit, nous sommes une compagnie rare au sens ou quand nous faisons du bien pour le monde et quand nous aidons à lutter contre la fracture numérique nous contribuons aussi à la bonne santé de notre business. Car plus il y aura de brésiliens en ligne, plus ils se connecteront aux systèmes de nos clients qui se tourneront vers nous pour mettre en place des infrastructures informatique adéquates. L'exemple que j'ai utilisé au Brésil est celui d'une banque pour laquelle nous travaillons. Elle a 22 millions de clients, dont 5 millions qui font de la banque en ligne. Aux Etats-Unis, la quasi-totalité des clients font de la banque en ligne. Ce n'est pas le cas au Brésil car la fracture numérique a un impact sur la faculté qu'ont les clients à se connecter au réseau. Mon point au président Lula, qui s'étonnait de notre intérêt à voir tant de gens se raccorder au réseau est d'imaginer l'opportunité que représente pour Sun, l'arrivée de 15 millions des clients de cette banque en ligne en terme d'infrastructure Le mouvement open source semble pendre partout à travers le monde. Pouvez-vous nous donner votre avis à ce propos ? Chaque nation comprend la valeur des standards ouverts. Tout client comprend le sens du mot gratuit. Chaque étudiant ou créateur d'entreprise comprend qu'en utilisant OpenOffice, il économise quelques centaines de dollars par poste, qu'il peut investir de façon plus utile dans son entreprise. Je vois les gouvernements considérer les technologies réseaux comme un outil de progrès social autant que comme un outil de progrès technique. Et je vois de plus en plus cette tendance dans les pays en cours de développement s plus qu'En Europe ou aux Etats-Unis. Où en êtes vous de vos opérations de réduction de coûts? Je crois qu'aucune société n'a jamais atteint la grandeur en se coupant les membres un à un. La meilleure façon de se bâtir un futur est de faire croître le marché comme vous pouvez le voir ici à JavaOne. Nous allons continuer à travailler sur trois axes. Premièrement, nous allons continuer à innover pour faire croître notre CA. Deuxièmement, nous allons continuer à améliorer notre efficacité et à améliorer nos marges. Troisièmement, nous allons continuer à couper dans tout ce qui n'est pas stratégique pour notre futur. C'est ce que nos clients attendent de nous : avoir une roadmap pour aujourd'hui et une roadmap d'innovation pour le futur. (...)

(19/05/2006 17:31:34)

Rembo étoffe la gamme Tivoli d'IBM

L'offre Tivoli d'IBM va être agrémentée des solutions de Rembo Technology. Ce dernier est spécialisé dans les outils de gestion d'applications et de virtualisation. D'une part les produits de Rembo permettent aux administrateurs d'automatiser l'installation et la mise à jour des logiciels sur les PC et serveurs, via une console d'administration centrale. A l'issue de cette acquisition, dont les termes n'ont pas été dévoilés, IBM intègrera la technologie de l'éditeur dans les solutions Tivoli Provisionning Manager et IBM Director. D'autre part, IBM projette de fusionner les composantes logicielle, matérielle et de services de la solution Virtualization Engine avec certains produits Rembo. Objectif : faciliter la gestion des environnements virtuels tentaculaires. Ce rachat suit de près celui de CIMS Labs accompli il y a un an. Les solutions deCIMS ont aussi été intégrées dans la suite Tivoli. (...)

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >