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(29/03/2006 12:22:14)
Google efface par accident son blog officiel
Faux pas en série chez Google. Lundi, un employé du pharaonique moteur de recherche aurait, par erreur, effacé le blog officiel de la société, et, plus inquiétant, l'aurait attribué, pendant quelques heures, à un utilisateur anonyme possédant un compte Blogger. Le site en question, googleblog.blogspot.com, constitue un des vecteurs de communication préférés de Google. Et reste alors la source principale d'information de ceux souhaitant se tenir au courant des dernières innovations Google. Ce qui au final aurait pu avoir des graves conséquences, si l'utilisateur, un étudiant de 19 ans, était animé de mauvaises intentions. Et ce ne serait pas la première « boulette ». Courant mars, ce sont des informations financières comptables qui furent publiées par erreur. Un incident qui poussa Google à rédiger une note à la SEC, expliquant qu'il s'agissait d'un document non-valide et à seul usage interne. En début de mois, le moteur de recherche a également dû dé-publier une série de documents livrant des informations sur des produits de la marque en cours de développement. Et donc non-officiels. Les erreurs à répétitions de Google, quant à la gestion de ses informations en interne, ont immédiatement provoqué nombre de réactions chez les analystes. Avec pour argument : « Si Google ne parvient pas à gérer sa propre boutique, comment peut-il gagner la confiance des consommateurs, et faire valoir ses services en ligne ». (...)
(29/03/2006 12:24:28)La DADVSI fait des émules en Europe
Quelques jours après le tollé provoqué en France par la loi dite DADVSI, les représentants de la chambre basse d'Outre-Rhin ont suivi la tendance initiée par leurs voisins français en accédant aux requêtes de l'industrie culturelle et en prévoyant des sanctions pénales contre le téléchargement de contenu protégé. Ils ont cependant marqué leur différence en autorisant la copie privée et en adoptant un arsenal répressif plus sévère que celui retenu par les édiles français. Jusqu'à cinq ans de prison Applicable à partir du 1er janvier 2007, le texte allemand punit le téléchargement pour usage personnel de contenu protégé de deux ans d'emprisonnement. Si les fichiers téléchargés font l'objet d'une exploitation commerciale, la sanction monte à cinq années de prison. Les députés allemands sont donc allés bien plus loin que leurs homologues français. Ces derniers ont en effet abandonné l'idée d'enfermer les internautes et ont adopté un traitement contraventionnel de l'infraction consistant à s'approprier un contenu protégé. Le projet initial du gouvernement allemand prévoyait des sanctions plus souples : il ne s'attaquait pas aux particuliers téléchargeant quelques fichiers via le P2P mais se focalisait sur les pirates aux idées mercantiles. Après de vives protestations des grands noms de l'industrie de la culture, épaulés par une partie du gouvernement, le texte a été finalement menanié. A grand renfort d'énormes chiffres, les éditeurs musicaux ou cinématographiques ont dressé un tableau noir des effets du piratage sur leur activité. Les internautes allemands téléchargeraient ainsi 20 millions de films chaque année, la Fédération de l'industrie phonographique affirme que 439 millions d'albums audio ont été piratés en 2005, et les bénéfices tirés des ventes musicales auraient reculé de 45 % depuis 1998. Dans le même temps, une étude Forrester Research montre que si le marché des CD audio passera de 9,1 à 7 Md€ entre 2006 et 2011, dans le même temps les ventes en lignes bondiront de 279 M€ à 3,9 Md€. De nombreuses oppositions au texte se font entendre Outre-Rhin, telle celle de Patrick von Braunmuehl, qui dirige la Fédération des associations allemandes de consommateurs. Selon lui, la loi "envoie un signal complètement faux à la société. Elle criminalise les consommateurs et va bouleverser les internautes". Outre la sévérité des peines, la transposition de la directive opérée par le Bundestag se distingue du texte français par l'autorisation faite à la copie privée. Alors que les députés de l'Hexagone ont ouvert le champ au "droit à zéro copie", leurs collègues germaniques admettent le principe d'une copie à usage personnel, à condition toutefois que la source soit elle-même légale. Mais la manoeuvre devient prohibée dès lors qu'elle implique un contournement de mesures techniques de protection. Une pratique que le droit français punit également ; les internautes s'y aventurant encourent désormais une amende de 3750 €. Le Danemark planche sur l'interopérabilité Après la France et l'Allemagne, le Danemark pourrait également réglementer le téléchargement. Mais dans un sens tout différent de celui de Berlin. C'est en effet sur l'interopérabilité que planche le ministre danois, inspiré par les dispositions de la DADVSI française sur le sujet - les rares mesures de la loi échappant d'ailleurs à l'opprobre générale des internautes de l'Hexagone. Géants danois ayant un pied dans la musique en ligne, TDC et Maersk sont également rivaux d'iTunes. Ce sont eux qui ont réclamé les premiers que leur gouvernement se prononce en faveur de l'interopérabilité : "nous demandons à nos responsables politiques de suivre la même route que la France", a ainsi réclamé Henrik Olesen, chef de produit chez Maersk. L'idée n'est pas pour déplaire à Brian Mikkelsen, le ministre de la culture. Celui-ci évoque la préparation d'un texte qu'il pourrait présenter au printemps 2007. Il se laisse d'ici-là quelques mois pour observer l'évolution du marché et les initiatives des principaux acteurs. Si un projet de loi posant le principe de l'interopérabilité venait à être adopté, Apple y verrait probablement un nouveau cas de "piratage sponsorisé par l'Etat". (...)
(29/03/2006 12:22:47)Microsoft soucieux de la sécurité d'IE, mais devancé par des éditeurs tiers pour patcher son navigateur
Microsoft sollicite l'avis de ses utilisateurs pour accroître la sécurité d'Internet Explorer, mais se fait devancer par un éditeur tiers pour la correction d'une sérieuse faille. Le géant de Redmond a mis à la disposition des utilisateurs de son navigateur Internet une base de données publique afin de leur permettre d'y signaler les bugs qu'ils détecteront sur les versions 7 et ultérieures. Après avoir souscrit un compte à Microsoft Connect , les internautes adeptes d'IE peuvent signaler une anomalie ou consulter celles mises en lumière par leurs homologues. D'ici quelques mois, la consultation devrait être ouverte à tous, sans condition d'inscription préalable. "De nombreux utilisateurs nous ont réclamé une meilleure façon de reporter les bugs d'IE : « pourquoi n'avez-vous pas l'équivalent de Bugzilla pour Firefox ? »", peut-on lire sur le blog de Microsoft. Si le groupe de Bill Gates se soucie de ses utilisateurs, il ne s'en est pas moins montré léthargique pour corriger une faille critique touchant son navigateur et permettant l'installation distante et discrète d'applications. La faille, déjà exploitée sur des centaines de sites Internet malveillants, ne devait recevoir une correction que le 11 avril, selon l'éditeur. Un délai trop long, estime l'éditeur eEye, spécialiste de la sécurité, qui profite du retard de Microsoft pour monter au créneau. Et qui publie avant Redmond le correctif tant attendu. Le patch est gratuit et sera automatiquement désinstallé quand Microsoft aura sorti sa propre pastille. Dans la foulée, Determina a également mis à disposition son propre remède. En attendant la sortie d'IE 7, Microsoft voit régulièrement Firefox lui grignoter des parts de marché. En février 2006, 12,7 % des visites sur Internet ont été effectuées avec le rival d'IE. (...)
(28/03/2006 17:54:08)BMC rachète Identify un spécialiste de la résolution d'incidents
BMC a annoncé le rachat pour 150 M$ d'Identify, une société israélienne connue pour son outil de résolution des incidents, Appsight. Appsight est une solution de supervision des processus applicatifs qui automatise la collecte d'information sur le déroulement des processus du système d'information et permet d'analyser leur fonctionnement. Le logiciel est capable de détecter les problèmes qui apparaissent lors de l'exécution de processus complexes mettant en oeuvre de multiples composants du système d'information. Il permet de remonter à la cause des problèmes et de gagner un temps précieux par rapport aux approches traditionnelles. Un point intéressant du logiciel est qu'il peut analyser l'exécution des transactions à un très haut niveau (en termes de temps de réponse des différents composants et en prenant en compte les interactions avec l'utilisateur) ou à très bas niveau, en suivant l'évolution des variables et arguments au sein du code de l'application. Selon son éditeur, il peut ainsi réduire de près de 80% le temps de remontée à la cause d'un problème de performance applicative, ou d'erreur dans une transaction L'acquisition d'Identify devrait permettre à BMC d'offrir à ses clients une solution granulaire pour la supervision de leurs applications modulaires .Net ou J2EE, en architecture traditionnelle ou SOA. Le rachat ne devrait pas affecter les relations étroites qui lient Identify à Microsoft. Le géant utilise notamment les produits d'Identify pour l'ensemble de ses développements et tests de logiciels. Appsight est aussi étroitement intégré aux outils de développement de la firme de Redmond. Appsight devrait être intégré à la gamme Remedy de BMC... (...)
(28/03/2006 17:56:24)Cognos, à son tour, lance un moteur de recherche pour entreprise
Cognos, qui vient de lancer sa dernière version de Business Intelligence, Cognos 8 BI, va lui additionner un moteur de recherche de veille économique : Cognos Go! Cet outil permettra à l'ensemble des acteurs d'une société de trouver rapidement des informations stratégiques d'entreprise. Ce moteur de recherche permet, à partir d'un langage courant de retrouver au sein de rapports, de tableaux de bords, d'indications métriques, etc., des données précises en vue de prendre des décisions. Les résultats sont produits en format XML. Le cabinet d'études IDC estime qu'un tel outil devrait permettre d'améliorer les performances des entreprises. Cognos Go! sera disponible à partir de mai 2006. Cognos 8 BI sur lequel il s'appuie est dores et déjà proposé. (...)
(28/03/2006 17:55:41)Technologie: Itway développe son "université"
Les formations aux technologies Check Point, Fortinet, Nokia et Radware vont s'intensifier chez Itway. Le distributeur à valeur ajoutée spécialisé dans la vente de produits de sécurité, de mobilité et de voIP à son réseau de revendeurs et d'intégrateurs (250 partenaires réguliers), renforce en effet cette activité depuis qu'il a emménagé dans de nouveaux locaux, à Boulogne (Haut de Seine), ce mois-ci. Il bénéficie désormais de salles équipées pour accueillir régulièrement des formations et a établi un planning semestriel avec les dates de toutes ses sessions. Il les ouvre à tout intégrateur et SSII qui souhaite former des ingénieurs et des techniciens sur les produits qu'il distribue. Il prévoit parallèlement de favoriser les actions de formation de ses partenaires en leur proposant des bons de réduction sur les tarifs des cours en fonction du niveau de chiffre d'affaires qu'ils réalisent chez Itway. "Ce dispositif permettrait par exemple d'envoyer deux personnes en formation au lieu d'une pour un même investissement", explique Patrick Ammar, directeur général de Itway France. "Notre objectif est d'accompagner des choix de produits, d'aider nos partenaires à franchir des pas technologiques et à surmonter le turnover auquel ils sont confrontés sans avoir à investir systématiquement en formation". Le distributeur espère faire grimper la formation dans son chiffre d'affaires à hauteur de 10%, ce à quoi il ne pouvait prétendre dans ses anciens locaux mal adaptés. Il entend capitaliser sur sa position de "centre de formation autorisé" par les marques Check Point, Fortinet, Nokia et Radware. Ses instructeurs sont certifiés par ces fournisseurs. Ils sont habilités à délivrer les cursus qui mènent aux plus hauts niveaux de certification sur leurs produits. (...)
(28/03/2006 17:55:14)Technologie: treize stagiaires testent le cursus sur Microsoft.net en attente de financement
Plusieurs sociétés ont souscrit à l'offre de formation et d'aide au financement "Harmonie" lancée par le groupe de formation Avolys et la société de conseil Force RH, pour répondre à leurs besoins de compétences sur Microsoft.net. Un groupe test de treize stagiaires suit ainsi le cursus (175 heures en cours et 340 en projets et en e-learning tutoré) proposé dans ce cadre, qui a démarré le 20 mars et vise l'obtention de la certification MCAD (Microsoft Certified Application Developer) pour ses bénéficiaires. La SSII Timsoft a par exemple profité de cette prestation pour former deux personnes, un de ses collaborateurs expérimenté et un jeune embauché (recruté via le service MS Emploi ), ce qu'elle n'aurait pas pu faire seule, facilement. D'abord parce que la gestion administrative de la formation est lourde à prendre en charge pour une structure de 20 personnes. Ensuite parce que sans financement, il était plus difficilement envisageable pour elle de dégager des collaborateurs d'un projet pendant cinq semaines pour les envoyer en formation. Hervé Serres, le directeur général de la Timsoft explique aussi que la perspective de formation a favorisé l'embauche d'un jeune ingénieur généraliste en l'assurant qu'il allait pouvoir développer une compétences sur .net. Concernant les prises en charge financières de la prestation, les dossiers ont été constitués par Force RH et transmis à l'organisme compétent (l'organisme collecteur paritaire de la branche, le fafiec). La réponse doit arriver d'ici un mois. Si elle est positive, Timsoft assure que les coûts pédagogiques et les salaires de ses collaborateurs seront bien pris en charge de "façon équilibrée". Si elle est négative, la SSII tout à fait au fait de cette part de risque, conservera sa jeune recrue. Avolys et Force RH ont assuré qu'ils assumeraient les risques financiers liés à l'opération pour leurs clients, en prenant en charge les coûts directs de formation occasionnés. Ces partenaires ont fait démarrer les formations sans avoir l'acceptation des financements car ils "manquaient de temps pour attendre", comme l'explique, explique Pierre François, le patron d'Avolys. « Nous pensons que nos dossiers sont tout à fait valides. Il était par ailleurs urgent de répondre à la demande de compétences en croissance sur .net et de pallier le manque de solutions de formation qui existent dans ce domaine". Si le test est concluant, l'objectif est de décliner cette prestation à 200 personnes cette année, à Paris et dans cinq villes de province, en particulier à Nantes, Lyon et Marseille. (...)
(28/03/2006 17:50:02)Convergence 2006 : Microsoft rapproche ses PGI de ses solutions bureautiques et d'infrastructure
Microsoft vient de rassembler pendant quatre jours à Dallas, à l'occasion de son rendez-vous annuel Convergence (25-28 mars), une partie de la communauté qui s'est constituée autour de sa gamme de progiciels de gestion intégrés (PGI) : Navision et Axapta, d'une part, Great Plains et Solomon, d'autre part. Ces solutions s'adressent à des entreprises de taille moyenne, les deux derniers produits n'étant pas distribués en France, mais utilisés par certaines filiales françaises de groupes internationaux. Quelque sept mille utilisateurs, partenaires, revendeurs et éditeurs ont fait le déplacement pour assister à des ateliers sur les produits, dialoguer et tenter d'en savoir un peu plus sur l'avenir des solutions qu'ils ont adoptées, qu'ils déploient ou pour lesquelles ils ont bâti une application métier (il en existe plusieurs centaines, Microsoft encourageant largement cette démarche). Bill Gates, président de Microsoft, est lui-même venu brosser à grands traits les évolutions prévues sur ses PGI (déjà évoquées à plusieurs reprises par l'éditeur). Il est en effet prévu que les quatre applications, acquises par rachat (en 2001, Great Plains et Solomon, et en 2002, Navision et Axapta), finissent un jour par confluer pour n'en former qu'une seule. Afin de tranquilliser ses utilisateurs, Microsoft a déjà indiqué qu'il assurerait la maintenance des différents PGI jusqu'en 2013, au moins, et que chaque version majeure serait suivie pendant cinq ans. Sous la bannière Dynamics Premier rapprochement symbolique, les quatre offres sont regroupées depuis février sous le nom de gamme « Dynamics » (celle-ci incluant aussi le logiciel de gestion de la relation client -Dynamics CRM). Chaque dénomination de produit se distingue par une combinaison de lettres : GP, SL, NAV et AX. A Convergence, Microsoft a confirmé le calendrier présenté pour le rapprochement des produits, rappelant qu'il prévoyait de mener ce projet en deux vagues, la première devant aboutir en 2007, la seconde lui succédant à partir de 2008 jusqu'en 2009 et au-delà. La première vague, déjà engagée, a été de nouveau détaillée par Bill Gates à Dallas. Des démonstrations d'Axapta 4.0 (sortie prévue en juin 2006 aux Etats-Unis, avec des fonctions avancées de gestion du service après-vente) et de la future interface de Navision 5.0 (annoncée pour le premier trimestre 2007) sont venues illustrer son propos. Pour Microsoft, l'évolution vers un produit unique consiste d'abord à renforcer l'intégration de ses PGI avec ses autres outils (la bureautique MS Office, la messagerie MS Outlook, le portail Sharepoint et la base de données SQL Server 2005 pour l'accès aux fonctions de reporting et d'analyse) et à unifier autant que possible le graphisme des interfaces. Elle inclut aussi la capacité à exploiter les services Web et la mise en place de rôles par métiers. La communication et l'échange de données entre les applications et les utilisateurs tirent largement partie de l'utilisation du portail Sharepoint (permettant le déroulement de workflow) et de l'annuaire Active Directory. Microsoft Dynamics Axapta 4.0 bénéficie de l'ensemble de ces avancées. Il arrivera cet été en France. Quid de la deuxième vague Les rôles métiers se concrétisent par une personnalisation avancée de l'interface et des processus accessibles, selon la fonction occupée par l'utilisateur dans l'entreprise : employé au service commercial ou à l'administration des ventes, responsable d'entrepôt... Pour constituer ces rôles, Microsoft a déjà sollicité l'expérience de 1 400 utilisateurs qui lui ont exposé la façon dont ils travaillaient. Soixante et un rôles ont ainsi été définis. A Convergence, quatre cents utilisateurs présélectionnés sont venus ajouter leur pierre, tester les interfaces et rencontrer l'équipe qui anime ces travaux (une équipe répartie entre Redmond -siège de Microsoft, Copenhague et Fargo -anciens sièges de Navision et Great Plains). On ne peut que regretter que cette démarche s'appuie essentiellement sur les habitudes des utilisateurs américains, malgré l'antenne européenne de l'équipe. Sur la deuxième vague d'évolution des PGI et sur la convergence annoncée entre les offres, peu d'informations ont filtré à Dallas. On ne sait pas, notamment, si le futur produit composera ses fonctions métiers en piochant dans chacun des quatre produits existants. La seule information communiquée par les responsables de Microsoft étant que les utilisateurs des actuels produits n'auront pas à déplorer la perte de fonctions qu'ils ont exploitées jusque-là, quel que soit le coût pour l'éditeur. Cela laisse malgré tout songeur si l'on considère l'ensemble des fonctions à maintenir. A Dallas, Bill Gates, président, mais également « Chief software architect » de Microsoft, n'a pas résisté au plaisir de clore sa prestation en évoquant son utilisation rêvée de l'informatique. Il a illustré cette digression sur de grands écrans de présentation aux allures futuristes, figurant les affichages tactiles de demain. Un futur dans lequel l'accès aux données ne sera jamais interrompu, que l'on soit à la maison, au bureau ou en chemin, le téléphone portable maintenant le lien entre deux accès fixes. (...)
(28/03/2006 17:57:07)Microsoft s'invite dans le processus de normalisation ISO d'ODF
Microsoft vient d'annoncer qu'il rejoignait le groupe de travail censé statuer (par le vote) sur la conformité ISO du standard Oasis ODF (OpenDocument Format). L'éditeur de Redmond a ainsi décidé de siéger dans un groupe baptisé V1 Text Processing: Office and Publishing Systems Interface, chargé par The International Committee for Information Technology Standards (INCITS) de valider les spécifications techniques des formats bureautiques. Plus globalement, l'INCITS recommande quelle technologie peut recevoir la norme ISO. L'initiave a immédiatement été vivement critiqué, certains y voyant là une méthode peu scrupuleuse, de freiner voire d'enrayer le processus de normalisation d'ODF. Et surtout, dans le but, au final, de pousser la standardisation de son propre format Open XML, également en cours de normalisation auprès de l'Ecma, tremplin vers la norme ISO. Chez Microsoft, on rejette en bloc cette stratégie de « Cheval de Troie ». Et d'expliquer que cela n'a rien à voir avec le processus de vote concernant ODF. Et qu'il faut davantage y voir un unique placement stratégique pour la promotion de son format open XML. Et serait donc en ligne avec la création d'une communauté autour d'OpenXML. Reste que si la démarche était avérée, Microsoft pourrait se retrouver une nouvelle fois confronté à la Commission Européenne. Cette dernière risquerait en effet de trouver la stratégie de l'éditeur de Redmond contraire à la loi anti-trust européenne. (...)
(28/03/2006 17:54:46)Les utilisateurs de Wi-Fi veulent une sécurité plus simple à mettre en place
Le grand public a besoin de normes de sécurité plus simples pour la mise en place de leurs équipements Wi-Fi, selon l'institut ABI Research. L'étude révèle que les difficultés rencontrés par les utilisateurs pour sécuriser leur accès sans fil sont si nombreuses que beaucoup d'entre eux finissent par considérer comme inéluctable l'ouverture à tous les vents de leur connexion. "Le consommateur moyen a pleinement conscience des exigences de sécurité, explique Sam Lucero, analyste pour ABI Research. La complexité des solutions de sécurisation existantes frustre le plus grand nombre qui considère, par conséquent, ce problème comme insoluble". Pourtant, indique l'institut, des solutions relativement simples existent, à l'image de l'AOSS (AirStation One-touch Secure Set-up) de Buffalo Technology ou de l'outil de Bradcom and Atheros. Et le cabinet d'espérer que l'une ou l'autre de ces technologies rejoigne la Wi-Fi Alliance et devienne un standard ouvert au cours de 2006. "Des solutions de sécurité plus simples n'apporteront pas nécessairement à leur créateur un avantage concurrentiel. Mais une fois que la Wi-Fi Alliance s'arrête sur un standard, la plupart des fabricants - sinon tous - l'adopteront". (...)
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