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(27/03/2006 17:48:10)
Technologie : une offre de formation certifiante sur Microsoft.net pour décrocher un emploi
Les informaticiens qui souhaitent travailler dans l'environnement Microsoft.net pourraient s'emparer de l'offre "Harmonie" pour convaincre une SSII de les embaucher. Elle permet en effet de proposer à un employeur potentiel ayant un besoin de compétences sur .net d'y répondre à moindre frais.
Harmonie est une offre que viennent de lancer conjointement la société Force RH (aide au projet de recrutement et de formation) et le groupe de formation en informatique Avolys, deux partenaires de Microsoft. Elle marie un appui à la recherche de compétences (avec les services de Microsoft, MS Emploi) une formation certifiante sur Microsoft.net et une aide à l'obtention de financement pour la prendre en charge. L'objectif est de favoriser le recrutement de compétences sur.net pour des entreprises qui en ont la volonté mais qui ne disposent pas des moyens suffisants pour prendre en charge la formation de leurs recrues sur les plans administratifs et financiers.
Les financements peuvent provenir de différentes sources pour les formations, notamment de l'Etat et de Fonds européens. Pour l'instant, Force RH et Avolys profitent de l'opportunité qu'offrent les périodes de professionnalisation (dispositif de formation proposé par la réforme de la formation professionnelle) pour obtenir un soutien financier pour des formations longues. Ils ont conçu un cursus éligible aux critères de ce dispositif - d'une durée de 600 heures et qui vise le maintien dans l'emploi "en développant des compétences souhaitées par le marché"- afin d'obtenir pour leurs clients les aides financières prévues à ce titre et que ces derniers puissent couvrir la quasi-totalité des frais engagés : les coûts de la prestation, les frais pédagogiques et les coûts des salaires chargés des informaticiens pendant la durée de la formation. Force RH s'occupe de la constitution des dossiers administratifs, des demandes de prises en charge et de leur suivi. (...)
Rétention des données de connexion : parution du décret d'application
La loi adoptée le 23 janvier, censée doter le pays d'une batterie de mesures visant à lutter contre les terrorisme, vient de voir son décret d'application publié au Journal officiel. Celui-ci complète le code des postes et des communications électroniques et prévoit "pour les besoins de la recherche, de la constatation et de la poursuite des infractions pénales" que les FAI, les opérateurs de téléphonie, les cyber-cafés et, plus largement, tous les organismes permettant au public une connexion gratuite ou payante, seront tenus de conserver pendant un an les données relatives aux communications des leurs usagers. Dans le détail, il s'agira d'assurer la rétention de toute donnée permettant d'identifier l'utilisateur et le destinataire d'une communication téléphonique ou électronique. Les prestataires devront également conserver les caractéristiques techniques - adresse IP - ainsi que la date, l'heure et la durée de chaque communication. Ils seront tenus, en outre, de déterminer les services complémentaires demandés ou utilisés. En échange de l'effort de stockage de données imposé aux opérateurs, le décret prévoit que les surcoûts "identifiables et spécifiques (...) requis par les autorités judiciaires (...) sont compensés" suivant un arrêté du ministre de l'économie. Ce que le locataire de Bercy n'a pas encore fait. "Ce décret, déplore l'association Iris (Imaginons un réseau Internet solidaire), représente l'aboutissement d'uns stratégie de contrôle toujours plus large de la population, dont la lutte contre le terrorisme ne constitue qu'un alibi. La rétention des données révèle l'intimité des personnes, cartographie leurs activités, et identifie les réseaux de relations tissées entre elles". (...)
(27/03/2006 17:49:40)IBM et EMC rejoignent le programme de certification de MySQL
IBM et EMC, deux acteurs-phares du stockage, annoncent avoir rejoint le programme de certification de MySQL (MySQL Network Certified), n°1 de la base de donnée open source. Pour mémoire, ce programme, crée dans la foulée du réseau MySQL Network, couple une version entreprise du SGBD, à une offre de service, de conseil et d'indemnisation. Et certifie l'ensemble sur un système tiers. Cette double arrivée devrait ainsi renforcer la présence de MySQL sur le segment très porteur du stockage, et « garantir ainsi à ses clients, une utilisation en toute sérénité sur des systèmes complexes, IBM et EMC », indique Bertrand Matthelié, directeur marketing EMEA chez MySQL. Et surtout, « donner à MySQL un levier de croissance supplémentaire dans les entreprises ». « Nous avons inclus Websphere Datastage à notre architecture horizontale de référence pour la gestion des entrepôts de données et outil d'ETL [ndlr Extraction Transfer Loading - intégration de données] », explique Matthelié. En outre, MySQL supportera également les serveurs i5, p5, les xSeries, les zSeries, les BladeCenter et OpenPower. Le tout sous AIX, Linux et Windows. EMC, de son côté, avait déjà noué un partenariat avec MySQL, via les outils de virtualisation de Vmware. Cet accord élargit ainsi leur collaboration en le portant vers les solutions de stockage EMC, Clariion et Symmetrix. Selon Bertrand Matthelié, MySQL Network Certified a fédéré une centaine de partenaires, dont Business Object et Quest Software. (...)
(27/03/2006 17:46:41)La grille de calcul de Sun attaquée
L'inauguration de la grille de calcul de Sun a été entachée par une attaque par déni de service. Loin de s'affoler, Sun a réagi en retirant simplement son site Web de démonstration. La grille en elle-même n'a subi aucun impact, mais désormais le service n'est accessible qu'aux utilisateurs préalablement enregistrés. L'offre de Sun, si elle est ouverte à tous, exige un compte Paypal. Cette obligation est également une mesure de sécurité. La détention d'un tel compte demande de fournir une adresse personnelle ainsi qu'un numéro de compte bancaire, de quoi tracer les indésirables. Pour ce qui est des entreprises utilisatrices, Sun a accueilli cette semaine CDO2 qui propose désormais à ses clients des simulations financières et de bioinformatique pour des travaux de recherche. Sun a également fait une donation de 100 000 heures CPU à l'université de Princeton. (...)
(27/03/2006 17:50:19)Vista : la mise en fabrication serait décalée en fait de 2 mois
Après l'annonce officielle du report du lancement de Vista, les langues se délient. Selon des bêta testeurs habitués au monde de Microsoft, la date de mise en fabrication du prochain système d'exploitation du géant de Redmond aurait été retardée de deux mois. Au lieu de lancer les chaînes de fabrication de Vista le 25 août, la date serait fixée au 25 octobre. De même, la prochaine version test serait programmée pour le 24 mai au lieu du 12 avril. Ce retard ne fait pas que bouleverser les fabricants de PC, il met la pression sur les équipes de Redmond dont le moral ne serait plsu au beau fixe, du moins, a en croire les multiples blog dans lesquels ils déversent leur amertume. Il est à noter que le report de Windows Vista a déjà fait une victime en la personne de Jim Allchin, dont le départ ne se fera pas en fanfare, mais vraisemblablement dans la disgrance. Son remplacement est déjà planifié. Steve Sinofsky, actuellement directeur d'Office devrait prendre sa place dès la sortie de Vista. (...)
(27/03/2006 17:52:03)Brainshare 2006 : Novell lance une suite collaborative pour Linux
A l'occasion de sa conférence Brainshare qui se tenait la semaine passée à Salt lake City, Novell a annoncé la disponibilité de Novell Open Workgroup Suite, un package qui rassemble son OS serveur Linux Open Entreprise Server, le serveur collaboratif et de messagerie Groupwise ainsi que ZenWorks, l'outil d'administration de postes de travail maison. Le package est proposé au prix de 110 $ par utilisateur pour une licence dite "perpétuelle", une allusion à peine voilée au caractère "temporaire" (3 ans) des licences Software Assurance de Microsoft. Ce prix d'achat attractif est toutefois à relativiser. Novell facture en effet une maintenance annuelle de 75 $, qui paraît coûteuse, en tout cas au-delà des pratiques du secteur, qui se contente en général d'une maintenance de 20 à 30 % du prix de base... Bref ce que Novell donne d'une main, il le reprend de l'autre Novell indique que rien ne force les utilisateurs à déployer toutes les nouvelles versions des composants de la suite en cade mise à jour et qu'ils peuvent effectuer des mises à jour granulaires (l'OS seul, la messagerie seule...). Notons que Novell propose aussi une version de la suite sous la version Netware d'Open Enterprise Server. Cette édition, conçue pour les utilisateurs de Netware, est proposée au prix de 150 $ par utilisateur... Novell Open Workgroup Suite sera disponible au début du mois de mai. (...)
(27/03/2006 17:47:37)Check Point annule son OPA sur Sourcefire
Check Point Software vient de renoncer à son OPA sur Sourcefire. Annoncée à l'octobre dernier, l'opération a rencontré l'opposition de plusieurs ministères américains. Le ministère de la Défense et le FBI, notamment, se seraient en effet opposés au rachat de Sourcefire dont les outils de prévention d'intrusion sont utilisés dans la protection de leurs systèmes d'information. Les deux administrations seraient tout particulièrement émues de l'origine étrangère de Check Point Software, éditeur contrôlé par des capitaux israéliens. Check Point Software et Sourcefire ont décidé de trouver d'autres voies commerciales de collaboration. (...)
(27/03/2006 12:40:33)EMC prépare une refonte de ses baies AX d'entrée de gamme
A l'occasion de son prochain EMC Forum, qui se tiendra à la fin du mois d'avril à Boston, EMC devrait annoncer deux nouvelles baies de stockage d'entrée de gamme destinées à simplifier la mise en place de SAN par les PME. Le constructeur d'Hopkington devrait notamment annoncer les EMC Clariion AX150 et AX150i deux baies qui offriront une capacité double de celle de l'actuel AX100 mais aussi des performances en hausse du fait de l'utilisation de l'interface Serial ATA 2. Les AX150 (Fibre Channel) et AX 150i (iSCSI) seront capables d'accueillir jusqu'à 12 disques Serial-ATA 2 de 250 ou 500 Go dans un rack de 2U de hauteur, pour une capacité totale de 6To. Elles seront disponibles avec un ou deux contrôleurs pour accroître la disponibilité. Ils inclueront jusqu'à 512 Mo de mémoire cache protégé par batterie et disposeront d'alimentations et de ventilateurs redondants. Les AX150 et AX150i seront fournis avec le logiciel PowerPath d'EMC et Avec EMC Navisphere Express. (...)
(27/03/2006 12:41:07)Wimax, la stratégie de Bolloré
R&T : Pourquoi ce soudain intérêt pour le monde des télécoms ? Jean-Christophe Thiery : Voici bientôt cinq ans que le groupe Bolloré s'est lancé dans la communication et les médias. Ce pôle s'est, depuis, considérablement développé. Nous avons, notamment, investi dans Euro Média et la SFP, qui forment le premier groupe français de prestations techniques pour l'audiovisuel et le cinéma ; puis nous avons lancé, avec succès, Direct 8, une chaîne généraliste gratuite de la TNT, totalement en direct. Dans le secteur de la publicité, le groupe est désormais le premier actionnaire d'Havas, présidé par Vincent Bolloré, et d'Aegis. Poursuivant cette logique de diversification ciblée, nous avons réfléchi à la convergence entre les médias et le monde des télécommunications. L'appel à candidature de l'Arcep sur les licences Wimax nous permet de concrétiser notre intérêt pour le secteur des télécoms. Nous sommes candidats aux licences Wimax parce que nous avons un projet ambitieux et cohérent. Nous avons déployé beaucoup d'efforts pour concevoir un réseau de nouvelle génération et optimiser les déploiements nécessaires à une couverture de chaque région. R&T : Quels sont les atouts de la technologie Wimax ? J.-C. T : Tout d'abord, nous avons la certitude que les besoins des consommateurs en haut débit, fixe ou nomade, vont aller crescendo. C'est évident ! Cette demande est nationale et touche tous les citoyens. La technologie Wimax répond totalement à ces besoins. Elle permet de couvrir de larges territoires à des débits élevés et à moindre coût. Le Wimax est, de plus, riche en promesses, notamment avec les évolutions du 802.16e. R&T : Serez-vous un acteur Wimax exclusivement ? J.-C. T : Notre objectif est de nous positionner sur les débits, les tarifs et le contenu. Nous voulons offrir le meilleur service et les contenus les plus pertinents, à des prix attractifs pour nos abonnés. Nous proposerons des offres spécifiques à des communautés (sportives, étudiantes...), et nous nous attacherons à offrir une facture unique incluant les services voix, data, vidéo et, bien évidemment, les services en nomadisme... Nos offres seront acheminées par la technologie Wimax, mais, si besoin, nous n'excluons pas l'usage d'autres technologies, y compris filaires. Le fil directeur de Bolloré Télécom restera, avant toute chose, l'innovation. Nous avons réuni des compétences très pointues pour que les usages du haut débit se généralisent. R&T : Quelles sont vos expertises métiers déclinables sur le Wimax ? J.-C. T : Le groupe Bolloré est très impliqué dans les secteurs du transport, de la logistique, de la gestion d'infrastructures portuaires, domaines dans lesquels le Wimax peut offrir de multiples services innovants. Dans le secteur de la publicité et dans les médias, on peut imaginer que le Wimax nous permettra de diffuser nos contenus vidéo et audio ou encore de gérer l'affichage urbain à distance, permettant ainsi de fournir l'information géographiquement ciblée, de manière dynamique. R&T : Etes-vous confiant sur l'attribution des licences par l'Arcep ? J.-C. T : L'Arcep a retenu des critères objectifs pour retenir les meilleures candidatures. Sur au moins deux des trois critères de sélection, la candidature de Bolloré Télécom me semble intéressante. Tout d'abord, le groupe Bolloré est, depuis près de deux cents ans, un groupe français, indépendant, avec des capacités financières importantes ; cette position lui permet d'investir dans des projets ambitieux dans une perspective de long terme. Notre implication dans le secteur des télécoms sera bénéfique à la concurrence, ce qui constitue un objectif majeur de l'Arcep, comme elle l'a prouvé sur le marché du dégroupage. Par ailleurs, nous avons pris des engagements très concrets pour réduire la fracture numérique en France. Par exemple, nous nous sommes engagés à déployer nos infrastructures Wimax aussi bien dans les zones denses que les zones blanches, ce qui permettra à 99 % de la population et des entreprises françaises d'accéder au haut débit. Nous couvrirons notamment la moitié des zones rurales françaises avant la fin 2008. Ensuite, nous réservons une cagnotte pour couvrir les éventuels trous et zones d'ombre dans la couverture. R&T: Vous êtes-vous fixés une limite en deçà de laquelle vous jetterez l'éponge ? J.-C. T : Chaque région représente un réel intérêt. Par ailleurs, nous faisons confiance à l'Arcep pour composer un ensemble cohérent. R&T: Resterez-vous seul ? J.-C. T : D'ores et déjà, Bolloré Télécom regroupe les talents et les compétences de trois partenaires, dont Hub Télécom, qui est un opérateur télécoms retenu, et Antalis TV, qui est un diffuseur technique performant. Notre démarche est guidée par le pragmatisme, et nous sommes ouverts à tout autre partenariat, notamment avec toutes les collectivités territoriales qui le souhaiteraient. (...)
(27/03/2006 12:42:10)Achat public en ligne : Omnikles rachète un concurrent
L'éditeur et prestataire de plate-forme d'achat public dématérialisé Omnikles a racheté l'activité concurrente de la SSII putéolienne de 200 personnes On-X, entraînant le transfert de 6 salariés. Selon Omnikles, le premier du marché reste Achatpublic.com (groupe France Télécom), surtout concentré sur les petites collectivités locales, avec environ 20 000 procédures par an tandis qu'Omnikles, en deuxième position, en affiche 12 000 et On-X 3000. « Les technologies (Java...) et les modèles économiques (FAH) sont similaires, nous permettant donc de bénéficier de véritables synergies techniques » indique Jérôme Lefevre, directeur marketing d'Omnikles. Omnikles cherche, au travers de ce rachat, à se doter d'une solution légère destinée aux petites collectivités locales, sa propre solution visant plutôt les collectivités d'une certaine taille ayant une certaine complexité de fonctionnement. Cependant, les technologies identiques permettront de développer des modules communs aux deux produits (sept devraient être lancés d'ici l'été 2006), en particulier pour le serveur dédié à la dématérialisation des procédures et à l'archivage légal OKBox. (...)
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