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(22/03/2006 18:16:04)

Brainshare : Dell va vendre Novell Zenworks 7 avec ses serveurs Linux

Dell proposera prochainement une mouture de l'outil d'administration ZENworks 7 de Novell personnalisée pour superviser ses serveurs PowerEdge sous Linux. La suite ZENworks 7 Linux Management "Dell Edition" est attendue le 19 avril. Elle permettra d'administrer les serveurs Red Hat Enterprise Linux et Novell SUSE Linux Enterprise Server depuis un point unique. L'adoption de Zenworks par Dell, a pour but de répondre aux clients, qui déploient Linux sur leurs serveurs (environ 20% des ventes de Dell). Selon Judy Chavis, en charge du développement de l'activité logiciels d'entreprises de Dell, Novell a personnalisé ZenWorks pour lui permettre d'accéder à l'ensemble des paramètres remontés par le Bios des serveurs Dell. Une tâche confiée sous Windows à OpenManage, le logiciel maison. Selon Chavis, ZENworks 7 Linux Management "Dell Edition" sera vendu au prix de 69$ par serveur administré. (...)

(22/03/2006 17:11:42)

MIX06 : Microsoft remixe le web

Près de 1500 personnes se sont rassemblées pour la conférence MIX06 [www.mix06.com] à Las Vegas du 20 au 22 mars. C'est la première manifestation de ce type organisée par Microsoft sur le thème du futur du web (the next web now) et qui s'adresse aux décideurs, aux développeurs et aux web designers. Une sorte de mini TechEd orienté web. En filigrane à cette manifestation, il y avait bien sûr le web 2.0 et ses corollaires (Ajax, client riche...), un phénomène que Microsoft ne pouvait ignorer. Bill Gates en personne est venu ouvrir la conférence. Lors de son keynote, dont on peut lire la transcription ici [http://www.microsoft.com/billgates/speeches/2006/03-20MIX.asp], l'architecte en chef de Microsoft explique comment le logiciel (entendons par-là ses logiciels) peut changer nos relations avec les clients. Pour illustrer son propos, Bill Gates introduit Aber Whitcom, directeur technique de MySpace.com [www.myspace.com]. Avec 65M d'utilisateurs, 260000 nouveaux utilisateurs par jour, ce site de réseaux sociaux est le n° 2 mondial en termes de trafic, surpassant Google, MSN... Construit sur ASP.NET 2.0 et SQL Server 2005, le gain obtenu en passant sur ces technologies est parlant : l'utilisation CPU est passée de 85 à 27%, la ferme de serveurs est passée de 246 à 150 serveurs. Le framework Atlas a été utilisé pour développer les nouvelles fonctionnalités et Aber Whitcom envisage d'utiliser les gadgets de Vista, ces mini-applications connectées, pour offrir de nouveaux services. Bill Gates invite ensuite Ashley Highfield de la BBC qui nous montre le prototype d'une interface de navigation pour accéder aux médias. La démo, qui met en oeuvre Windows Presentation Foundation (Avalon) est réellement spectaculaire et donne une idée de ce que pourront donner les applications connectées du futur. En intermède, Tim O'Reilly, éditeur, supporter de l'open source et pionnier du web 2.0, monte sur scène pour se prêter à un simulacre d'interview avec Bill Gates. Si l'entretien reste gentiment taquin, la réunion des deux personnages avait un côté un peu surréaliste. Autre moment fort de ce keynote, la présentation d'Atlas, le framework Ajax de Microsoft. Une nouvelle version CTP (Community Technology Preview) était annoncée pour l'occasion avec une licence Go-live permettant un déploiement immédiat. Dean Hachamovitch, chef de produit Internet Explorer, est venu annoncer et présenter la nouvelle version d'IE7 beta 2 preview, disponible au téléchargement. La nouveauté cette version est que le support des standards est maintenant au complet, notamment le rendu pour tous les CSS. On remarquera la nouvelle fonctionnalité de gestion des RSS appelée Simple List Extensions (SLE) qui permet de manipuler et d'interagir avec les feeds RSS. Durant les deux journées et demi de cette conférence, les participants pouvaient suivre près de 80 présentations, débats ou ateliers sur les différentes technologies Microsoft liées au web : ASP.NET, Atlas, Windows Presentation Foundation, Expression (Avalon), Windows Communication Foundation (Indigo), Vista, IE7, Office... On pouvait par exemple assister à un aperçu de Windows Presentation Foundation Everywhere (WPF/E) qui s'annonce tout bonnement comme un Flash-killer. WPF/E est un sous-ensemble de WPF, la couche de présentation de Vista, Elle gère l'interactivité, le graphisme vectoriel, le son, la vidéo, etc. et utilise XAML pour décrire l'interface. « Everywhere » signifie que cette technologie va pouvoir tourner sur toutes les plates-formes : Windows, Mac, Linux, PDA, téléphones... Concrètement, il s'agit d'un plugin au navigateur qui permet d'exécuter sur le poste un client riche WPF. Il existera un plugin pour les principaux navigateurs (IE, FireFox, Konqueror, Safari...) et la spécification sera ouverte. Les web designers, qui sont une nouvelle cible pour Microsoft, pouvaient découvrir la future gamme Expression, un ensemble de produits destinés à développer du contenu graphique (Expression Graphic Designer, « Acrylic »), du contenu interactif WPF (Expression Interactive Designer, « Sparkle ») et du contenu web basé sur les standards (Expression Web Designer, « Quartz »). Si l'on peut découvrir les deux premiers produits par le biais de versions CTP (Community Technology Preview), personne n'avait encore vu Expression Web Designer. Il faudra encore patienter jusqu'en juin pour avoir une CTP. La démo lors du MIX06 laisse entrevoir un produit impressionnant, notamment dans la gestion des CSS. L'intérêt principal de cette gamme Expression est de s'inscrire dans un véritable workflow de développement où les développeurs d'applications web sous Visual Studio pourront communiquer efficacement avec les créatifs sous Expression. Au final, hormis une nouvelle beta d'IE7 et une nouvelle CTP d'Atlas, il y a eu peu de nouvelles annonces pour cette occasion par rapport à la PDC de septembre 2005. En définitive, peu de nouveautés non plus dans le discours qui évite soigneusement le terme « web 2.0 ». Microsoft, qui a déjà raté le premier virage Internet (Java), la première vague web 2.0 (Yahoo, Google sont déjà bien devant), cherche à combler son retard en proposant ses technologies, plus ou moins dérivées de Windows. Avec Atlas, Microsoft peut jouer une carte Ajax et se raccrocher au wagon web 2.0. Mais pour l'éditeur, le futur du web passe par des extensions propriétaires (WPF, WCF...), voire par la disparition du navigateur. Dans les nouveaux usages du web, l'information circule et vient à l'utilisateur. A terme, que ce soit pour de la recherche, de la présence, l'utilisateur agrégera ses sources d'information, ses mini-applications dans son environnement personnel. Le navigateur ne sera plus qu'une ligne de commande. Lors de l'entretien entre Bill Gates et Tim O'Reilly, ce dernier lui demandait s'il accepterait de participer à son événement web 2.0 prévu en novembre. Et Bill Gates de répondre que d'ici là, il faudra peut-être l'appeler web 3.0. Et si le web 3.0 c'était justement cette vision d'un Internet fluide, sans navigateur ? Microsoft en tous cas s'y prépare. (...)

(22/03/2006 17:09:06)

Navigateurs internet : Firefox continue de progresser

Le navigateur Firefox de la fondation Mozilla poursuit son grignotage face à l'incontestable numéro 1, Internet Explorer de Microsoft. 12,7% des visites sur Internet au mois de février ont été effectuées, selon l'étude Médiamétrie-eStat, à l'aide du premier, et 81,1% à l'aide du second. Au mois de janvier, Firefox était utilisé dans 7,1% des visites. Le champion du logiciel libre a encore un long chemin devant lui, mais on ne peut plus le considérer comme un produit marginal. Sa fiabilité et la richesse de ses fonctions sont de vrais arguments pour son adoption. La version 7 d'Internet Explorer devrait réduire l'écart fonctionnel entre les deux produits, mais actuellement, les afficionados de Microsoft doivent se contenter d'une version préliminaire. (...)

(22/03/2006 17:08:25)

Collectivités locales : les dépenses informatiques en progression

Entre 2004 et 2005, les dépenses informatiques des collectivités locales ont augmenté de 6,5 %. Elles se sont élevées à 2,115 milliards d'euros l'an dernier (contre 1,985 milliard d'euros en 2004). Cette progression a été mise en évidence par une étude réalisée par Oracle et IDC sur l'informatique dans le Secteur Public. D'ici à 2009, IDC prévoit un taux de croissance annuel de 6,2 % des dépenses informatiques du secteur public français. En 2005, celles-ci ont représenté 6,8 % des dépenses informatiques du pays. Dans les collectivités locales, ce sont les achats de services qui ont pesé le plus lourd (1,265 milliard d'euros), suivis par les achats réalisés sur le matériel (457 millions d'euros) et ceux effectués sur les logiciels (393 millions d'euros, + 7,8 % par rapport à 2004). Les communes représentent le segment le plus important de l'investissement informatique des collectivités locales (58 %), mais c'est dans les structures intercommunales que les dépenses ont crû le plus (+12,8 % à 194 millions d'euros en 2005). Quant aux conseils généraux et régionaux, qui pèsent 29 % de ce marché, ils ont respectivement fait progresser leurs investissements de 5,5 % et 10,1 %. L'étude note qu'après plusieurs années de projets non coordonnés, des approches informatiques globales sont mises en place. Le plan ADELE (services administratifs en ligne) a notamment défini un cadre dans lequel l'administration centrale supporte des projets pour les collectivités locales. (...)

(22/03/2006 17:07:44)

Témoignage: Axon'Cable partage à l'aide d'une plate-forme d'ingénierie collaborative

L'ingénierie collaborative n'est pas réservée aux grandes entreprises. Il existe en effet des plates-formes proposées en mode hébergée, comme celle de pi3c. Cette société loue au mois l'utilisation de sa plate-forme, qui permettra à plusieurs personnes ne se trouvant pas au même endroit, et pas forcément au sein de la même entreprise, de travailler ensemble en partageant les mêmes informations. Le bureau d'études d'Axon'Cable est l'un des utilisateurs de la plate-forme de pi3c. Cette société qui conçoit et fabrique des câbles et des systèmes d'interconnexion pour l'électronique est aujourd'hui présente dans de nombreux pays, a gardé, en France, la taille d'une bonne PME. « Le rôle de notre bureau d'études est de trouver avec nos clients des solutions techniques optimisées pour leur permettre de résoudre leurs problèmes de liaisons électriques, électroniques, optiques ou fluidiques » explique Joseph Puzo, président d'Axon'Cable. Sa société équipe par exemple les trois-quarts des voitures européennes dotées d'airbag dans le volant. La mise au point d'un produit demande un grand nombre d'échanges d'informations avec les donneurs d'ordres ainsi qu'avec les sous-traitants chargés de réaliser les outillages de fabrication. Axon'Cable a choisi de travailler sur le logiciel de CAO 3D Inventor d'Autodesk, ses clients travaillant sur différents autres produits. Cela ne pose pas de problème, explique Joseph Puzo : « Plutôt que de s'envoyer des modèles CAO et de travailler chacun de son côté, mieux vaut partager ces modèles en temps réel à travers un outil d'ingénierie collaborative, car cela facilite la prise de décision. L'investissement, 800 euros par mois pour quatre utilisateurs simultanés est modeste, et nous continuons à travailler sur nos équipements existants. La solution s'imposait d'elle même. » Axon'Cable utilise la plate-forme depuis le mois de mai 2005, et a déjà convaincu une dizaine de clients et de fournisseurs de travailler en mode collaboratif. « Avec ce type de plate-forme, il devient possible de discuter d'un point technique avec un client en évoquant différentes solutions et de trancher rapidement », argumente Frédéric Didier, le responsable du bureau d'études produits. (...)

(22/03/2006 14:11:47)

Patrick Starck quitte HP France en pleine restructuration

Coup de tonnerre à la tête de HP France. Après l'annonce la semaine dernière du départ du DRH de la filiale française, Pierre Farouz, la firme a annoncé aujourd'hui le départ de Patrick Starck, son PDG depuis 2002 et son remplacement intérimaire par Johan Deschuyffeleer, l'ex-directeur général d'HP Belgique. Interrogé par Le Monde Informatique.fr sur les raisons de son départ, Patrick Starck a expliqué qu'il venait de passer la cinquantaine et qu'après 10 ans passés chez IBM puis 11 ans au sein de Compaq et HP (dont six à la tête de la filiale), il avait décidé de passer la main pour donner une nouvelle direction à sa carrière. "j'ai prévenu mes responsables il y a plusieurs semaines de mon souhait de quitter mon poste et j'ai assumé mes responsabilité pendant la recherche d'une solution. Une solution a été identifiée et annoncée aujourd'hui avec l'arrivée de Johan Deschuyffeleer". Ce dernier devrait assurer l'intérim de Patrick Starck et prendre la direction générale d'HP France ainsi que celle de l'activité Solutions Technologiques. Jusqu'alors basé à Palo Alto, le siège de la société, où il occupait le poste de Vice-Président de la stratégie des modèles de vente et de la productivité, Deschuyffeleer a contribué à améliorer la productivité et l'efficacité des ventes au sein des canaux directs et indirects du groupe. Auparavant il occupait le poste de directeur général de HP Belgique. Connaissance du "contexte" français Dans une interview avec LeMondeInformatique.fr, Johan Deschuyffeleer a expliqué sa nomination par sa connaissance du contexte français : "Je prend le job car la législation française est comparable à celle de la Belgique. Je comprends le contexte car j'ai été directeur général d'HP en Belgique". Deschuyffeleer, a semble-t-il l'estime des salariés belges. Un syndicaliste local cité par la CFTC indique ainsi que " Johan joue son rôle de patron et il a toujours traité les membres du CE avec respect. Pareil pour ses rapports avec les experts des organisations syndicales. Il est très soucieux du respect de la législation". Cela pourrait l'aider dans la difficile phase de bouclage du plan social qui s'annonce. Sa nomination intervient en effet alors que le plan social en cours dans la filiale française entre dans sa phase finale. Patrick Starck et Johan Deschuyffeleer ont rencontré ce matin les syndicats pour leur assurer que les engagements pris seraient tenus, car ils sont ceux d'HP et non ceux du président partant". DeSchuyffeleer ne fait toutefois pas mystère du fait qu'il n'est là que pour assumer l'intérim en attendant le recrutement d'un patron permanent pour HP France : "Je le sais depuis le début. HP en France est une filiale importante avec près de 5000 personne et elle doit être gérée par un français. J'assure la continuité. Je suis convaincu que le succès d'une société dépend de son leader.(...) Il pourra venir de l'extérieur ou de l'intérieur. On va prendre le temps de trouver le meilleur candidat.(...) Je devrais être présent durant six à neuf mois...". Quant à la situation de la filiale française, il se veut optimiste :" La première préoccupation est de faire en sorte de terminer le travail entamé par Patrick Starck. Mais ma propre opinion est que le marché français représente une opportunité significative pour HP. Il y a plus à faire au niveau des services et du logiciel, ce sont des axes de développement importants pour le futur. On peut développer une stratégie de croissance pour cette filiale." Des mots qui devraient rassurer les partenaires sociaux alors que leurs principaux interlocuteurs ont perdu leurs mandats en moins d'une semaine... (...)

(22/03/2006 12:42:11)

MIX06 : Bill Gates remixe le web

« The next web now », tel est le thème de la conférence MIX06, la première du genre pour Microsoft, qui se tient en ce moment à Las Vegas du 20 au 22 mars. Une manifestation que l'on pourrait comparer à un mini TechEd orienté web. Elle s'adresse à la fois aux décideurs, aux développeurs mais aussi, et c'est nouveau, aux designers. 1500 personnes se sont donc pressées au Venitian Hotel pour cette séance de mix. Bill Gates ouvre la conférence avec un keynote rondement mené. Peu de slides, mais un discours comme toujours parfaitement rôdé. L'architecte en chef de Microsoft explique comment le logiciel (entendons par-là ses logiciels) peut changer le web, le business, les relations avec les clients... Pour illustrer son propos, Bill Gates introduit Aber Whitcom, directeur technique de MySpace.com. Ce site de réseaux sociaux est n°2 mondial en termes de trafic : 65M d'utilisateurs, 260000 nouveaux utilisateurs par jour... Il est entièrement construit sur des technologies Microsoft : ASP.NET 2.0, SQL Server 2005. Le gain obtenu en passant sur ces technologies est significatif : l'utilisation CPU est passée de 85 à 27%, la ferme de serveurs est passée de 246 à 150 serveurs. Le framework Atlas a été utilisé pour développer les nouvelles fonctionnalités. Bill Gates invite ensuite Ashley Highfield de la BBC à nous montrer la future interface de navigation pour accéder aux médias. Cette vénérable institution nous fera une démo spectaculaire : téléchargement d'épisodes de série manqués en haute qualité, partage avec ses contacts, interface rolodex incroyablement riche. L'application met en oeuvre Windows Presentation Foundation (Avalon) et les DRM qui se veulent le moins intrusifs possible pour l'utilisateur. C'est ensuite de tour de Tim O'Reilly, éditeur et pionnier du web 2.0, de monter sur scène pour un simulacre d'interview avec Bill Gates. Si l'entretien restait gentiment taquin, la réunion des deux personnages avait un côté amusant. Dean Hachamovitch, chef de produit Internet Explorer, est venu nous présenter la nouvelle version d'IE7 beta 2 preview, disponible au téléchargement. L'interface utilisateur d'IE7 a été modifiée pour être moins intrusive afin que l'attention de l'utilisateur soit focalisée sur le contenu du site plutôt que sur le « chrome » du navigateur. IE7 intègre la navigation par onglet avec prévisualisation des pages, un zoom et quelques améliorations qui lui permettent de rattraper son retard. Plus intéressant est une nouvelle fonctionnalité de gestion des RSS appelée Simple List Extensions (SLE) qui permet de manipuler et d'interagir avec les feeds RSS. Microsoft a également travaillé sur la sécurité d'IE7 avec par exemple une fonction d'anti-fishing par détection de nom de domaines douteux. Autre moment fort de ce keynote, la présentation d'Atlas, le framework Ajax de Microsoft. Une version CTP (Community Technology Preview) était pour l'occasion disponible avec une licence Go-live permettant un déploiement immédiat. La démo sympathique mettait en avant la simplicité de mise en oeuvre d'une application Ajax. Au final, un keynote qui laisse un sentiment mitigé. On aurait aimé voir Bill Gates un peu plus enthousiaste nous expliquer sa vision du Web 2.0 et comment Microsoft s'inscrivait dans cette démarche. On a eu droit à une présentation marketing des produits Microsoft, comment ils vont aider à créer des sites qui ressemblent à du web 2.0. Mais quid des aspects sociaux, des changements économiques ? Microsoft, qui a raté le premier virage Internet, a aussi loupé la première vague web 2.0. Son discours sur le web n'a guère évolué depuis 5 ans (le web est partout, oui mais avec Windows et Office). Pourtant, la firme pourrait bien devenir un acteur de premier plan avec sa plate-forme Live et surtout avec ce qu'il sait le mieux faire : des outils faciles à utiliser et à un prix démocratique. Les gammes Visual Studio + Atlas + Expression constituent pour la première fois un workflow de développement web cohérent et performant. (...)

(22/03/2006 12:41:23)

Avanquest boucle son huitième semestre consécutif de croissance

Avanquest a bouclé son exercice 2005 sur un huitième semestre consécutif de croissance et avec des indicateurs en forte progression. Le chiffre d'affaires ressort à 70,6 ME, soit une croissance de 23,8 % sur un an. Sur ce montant, 88 % sont issus de l'activité Logiciels, une branche qui progresse de 32,4 % par rapport à 2004. A l'intérieur de ce pôle, le retail génère 40 % du CA, 27 % pour l'OEM, 23 % pour les logiciels corporate et 9 % pour le web. Cette progression des revenus, notamment des activités OEM et web - fortement contributrices à la marge -, permet à Avanquest de voir son résultat opérationnel bondir de 34,8 %, à 9 ME. Le résultat net progresse dans des proportions comparables : à 6,88 ME, il croît de 30,1 %. Après avoir acquis l'américain V Communications et l'allemand Magnaways en 2005, le groupe semble décidé à continuer, en 2006, sa stratégie basée sur les achats. Il affirme ainsi, dans un communiqué, que sa trésorerie brute de 22,8 ME lui "donne les moyens de continuer à financer ses opérations de croissance externe sans faire appel au marché". Au-delà des futures acquisitions, le groupe table sur une croissance interne comprise entre 1 3et 18 %, soit un chiffre d'affaires de 80 à 83 ME. Le résultat opérationnel devrait, quant à lui, croître de 11 à 13 %. (...)

(22/03/2006 12:39:40)

VeriSign s'offre m-Qube, spécialiste de la distribution de contenus

VeriSign poursuit sa stratégie de développement externe. Après avoir acheté le mois dernier 3united et Kontiki, VeriSign continue son marché et vient de s'offrir m-Qube. Cette entreprise américaine propose de développer et de distribuer des contenus pour les téléphones mobiles. M-Qube est capable de délivrer des messages à plus de 200 millions d'inscrits répartis sur le continent nord américain. Des entreprises telles que Sony Pictures, CBS, Reuters ou encore Virgin Mobile Canada lui font confiance. Cette acquisition entre parfaitement dans la visée de VeriSign qui compte être présent sur tous les supports d'information afin de «permettre aux opérateurs et aux portails Internet de proposer à tout moment des services mobiles à haut débit ». Le montant de l'acquisition s'élève à 250 M$ en numéraire. La transaction devrait être finalisée pour le second trimestre 2006. (...)

(22/03/2006 12:41:57)

Teamlog retrouve la voie des bénéfices en 2005

Teamlog illustre le regain de forme affiché par la majorité des acteurs français du secteur IT en renouant avec les bénéfices en 2005. Le chiffre d'affaires atteint 112,5 M€ et progresse de 4,8 % sur l'année. A périmètre comparable, l'activité s'élève croît de 7,9 % par rapport aux 107,3 M€ de revenus réalisés en 2004. Une activité qui se porte mieux à la fois en France, le premier marché du groupe, et à l'étranger, où sont réalisés 11 % des revenus. Un tiers du chiffre d'affaires est réalisé dans les secteurs de l'industrie et de l'énergie, 19 % dans la finance, 18 % dans les télécoms, 18 % dans les services et les transports et 18 % dans les services publics. Vincent Tempelaere, directeur financier du groupe, souligne la progression de quatre points de la part des revenus liés aux télécoms. Il insiste également sur "la croissance substantielle des effectifs, qui ont augmenté de plus de 10 %". Plus globalement, il met en avant le fait que les résultats 2005 "sont nettement meilleurs que ce à quoi s'attendait le marché". Teamlog, dans un communiqué, met en avant les fruits des "efforts de rationalisation des structures du groupe et de redynamisation commerciale" constitués d'une augmentation de capital, d'émission d'obligations et d'injonction de liquidités. Des efforts qui permettent à la SSII d'afficher un résultat opérationnel courant positif de 5,4 M€ pour l'exercice 2005, contre une perte de 11,4 M€ l'année précédente. Au final, le résultat net réalise un retournement spectaculaire passant d'une perte de 20,9 M€ à un solde positif de 18,6 M€. Pour Vincent Tempelaere "la situation est totalement assainie ; notre nouveau modèle économique et la stabilisation des prix de ventes nous ont permis de retrouver une croissance organique soutenue. Nous n'avons, en outre, plus de dette bancaire et retrouvons un excellent niveau de fonds propres". Forte de ces signes de redressement et du bon niveau d'activité observé sur les deux premiers mois de 2006 - il progresse de 2,6 points, à 90 % - la SSII prévoit une poursuite de la croissance de ses revenus ainsi qu'une progression de son niveau de rentabilité. L'objectif étant d'atteindre un résultat opérationnel courant de 8 % en 2007. Si la croissance est un impératif, elle ne passera pas par des acquisitions. Du moins pas en 2006 : "ce n'est pas à l'ordre du jour pour cette année, explique Vincent Tempelaere, l'accent sera plutôt placé sur la consolidation des résultats. A moyen terme cependant, nous ambitionnons de devenir la cinquième SSII française. Cela passera par des opérations de croissance externe. En attendant, nous continuerons de consolider nos bases". Enfin, le différend ayant opposé Robert Morin le fondateur de Teamlog, et les dirigeants de Groupe Open semble appartenir définitivement au passé. Après avoir frôlé la révocation de ses fonctions de président du directoire, Robert Morin a finalement trouvé un accord avec Groupe Open. Ce 20 mars, le conseil de surveillance a nommé son remplaçant : c'est désormais Frédéric Sebag, également président de Groupe Open, qui présidera le directoire. (...)

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