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(10/03/2006 00:00:00)
Gestion de carrières : Oracle et ses partenaires créent une université commune
Oracle et quatre partenaires intégrateurs, BearingPoint, Capgemini, Kurt Salmon&Associates et Steria montent un programme de formation commun, baptisé l'Executive University d'Oracle. Il est conçu pour des professionnels des ressources humaines et de la finance en entreprise qui souhaitent intégrer des projets de déploiement des solutions de gestion intégrées d'Oracle ( Oracle Ebusiness Suite Finances, Peoplesoft Finances, PeopleSoft Ressources Humaines). Sa première promotion démarre le 3 juillet 2006. Elle sera composée de 50 étudiants, embauchés par les sociétés de conseil et de service mentionnées plus haut, à l'issue d'une journée de recrutement qui se déroule le 30 mars chez Oracle. Pendant 22 jours, ces étudiants bénéficieront d'un apprentissage qui abordera le paramétrage, l'adaptation aux besoins des utilisateurs, les méthodes d'implémentation et les aspects liés à la réussite des projets. Ils seront ensuite immergés dans des projets d'intégration de PGI et pourront obtenir au bout de deux ans une certification sanctionnant leurs compétences de consultant métier Oracle Applications. Cette promotion sera suivie par 5 ou 6 autres sessions de formation. L'objectif est de former dans ce cadre, 300 nouveaux consultants métier chez les partenaires Oracle à l'ensemble de l'offre applicative de l'américain. Le fournisseur et ses partenaires ont pris cette initiative commune afin de capitaliser sur leur savoir-faire pour former rapidement un grand nombre de consultants. Cette université leur permet d'industrialiser un processus de formation jusque là mis en ?uvre plus ponctuellement, au fil des besoins et en fonction des opportunités client. Il vise aussi à élargir les potentialités de recrutement en s'adressant à des profils non techniques. Et de trouver une alternative au marché de l'emploi des informaticiens passé au peigne de fin par la plupart des recruteurs, et tournant quelque peu en circuit fermé avec la mobilité professionnelle existant entre ses acteurs. C'est enfin une façon de compenser la déperdition de profils expérimentés que subissent les SSII au profit de leurs clients. Les professionnels ciblés sont en effet des personnes ayant 3 à 7 ans d'expérience dans leur métier. (...)
(10/03/2006 00:00:00)Recrutement : « Les collectivités déploient des technologies novatrices »
Entretien avec Laurent Claeys, DSI de la ville de Dunkerque, qui participe au salon de l'emploi public qui s'est tenu du 9 au 11 mars à Paris. Laurent Claeys est à la tête d'une direction des systèmes d'information de 21 personnes et d'un parc de 1200 PC ( 1000 à la mairie et 200 dans les pôles informatiques liés aux écoles). Dématérialisation, logiciels libres, SIG, il fait le point sur ses projets et sur les besoins de compétences informatiques des collectivités, à la fois techniques, relationnelles et administratives. Lemondeinformatique.fr : Comment est organisée la direction des systèmes d'information ? Laurent Claeys : elle est structurée en quatre équipes. La première est centrée sur le déploiement des applications NTIC. Elle comprend des chefs de projets ayant des spécialités à la fois métier et applicatives. La deuxième équipe est en charge du support technique matériel et logiciel via un centre d'appels interne et des interventions des techniciens support. La troisième traite l'administratif, assure le suivi comptable, budgétaire et le traitement des appels d'offre. La dernière est dédiée à architecture des systèmes, l'administration et à l'exploitation des serveurs et des réseaux. Quels sont les grands chantiers informatiques de la ville ? L'un de nos chantiers concerne la dématérialisation. Il poursuit deux objectifs, faciliter les démarches des administrés et accroître l'efficacité de nos services. Il concerne par exemple les documents d'état civil et ceux que nous adressons à la trésorerie générale et à la préfecture. C'est un axe prioritaire comme pour toutes les collectivités. Nous avons parallèlement en projet la mise en place avec la communauté urbaine de Dunkerque, d'un Système d'information Géographique (SIG), entre autres pour la gestion du patrimoine, qui fédérera les informations contenues aujourd'hui dans un patchwork d'applications métier. C'est un vaste projet. A la mairie, nous avons par ailleurs quatre migrations en cours : les mises à jour de nos logiciels financier (GFI), de paie et ressources humaines (Sedit Marianne) et de gestion des bibliothèques (Ever) et le changement de notre applicatif de gestion de la restauration scolaire, de l'éducation et des sports. Nous avons également une volonté de privilégier les logiciels libres aux solutions propriétaires lorsque nous trouvons des applications stables et pérennes, pour les intégrer à notre système d'information. A Dunkerque, nous souhaitons d'ailleurs travailler avec l'association Adullact, qui propose de faire l'intermédiaire entre nous et les communautés du logiciel libre. Quelles compétences techniques sont nécessaires pour participer à ces projets ? Il y a plusieurs types de profils : des personnes ayant eu une expérience - qui a pu être acquise en stage- dans l'échange de données informatiques, dématérialisées et les portails web, ou des informaticiens avec des connaissances sur les architectures ouvertes (trois tiers), la mise en place de solutions intégrées, d'applications web sécurisées et/ou d'applications métiers liées aux collectivités sur ces architectures. Cela peut être par exemple des informaticiens qui ont participé à un projet d'interconnexion de bibliothèques, d'échanges de catalogues électroniques, etc. Globalement, nous avons des besoins de compétences métiers et en architecture systèmes plutôt qu'en développement. Notre rôle est de déployer et d'intégrer des solutions développées à l'extérieur, non pas d'en concevoir. Qu'attendez-vous comme compétences complémentaires chez vos futurs collaborateurs, notamment ceux qui vont intervenir sur les projets transverses? Nous attendons qu'ils puissent être à l'écoute des utilisateurs, comprendre et répondre à leurs attentes. La DSI et les agents doivent en effet travailler ensemble sur les solutions adaptées au projet et donner du sens à la façon de déployer le système. Les informaticiens ont pour rôle de proposer des solutions en fonction de contraintes et d'opportunités technologiques mais aussi métiers. Pour faciliter les échanges sur les projets, nous avons d'ailleurs identifié 50 « domaines métier » au sein de la mairie afin que les représentants de la DSI puissent avoir un référent aux côtés des directions métier et vice-versa sur les projets. Nous avons aussi besoin de compétences administratives pour traiter les appels d'offre. J'ai eu l'occasion de discuter avec des homologues sur ce sujet et nous avons tous le même difficulté à absorber le volume d'appels d'offre à réaliser. Cela conduit parfois à retarder le démarrage de projet. A Dunkerque, nous avons par exemple quelque 120 dossiers de renouvellements de logiciel à traiter par an et autant d'appels d'offre. Pour nous aider à les prendre en charge, nous avons besoin de personnes ayant des compétences sur les procédures des marchés publics avec un vernis informatique. Comment convaincre les jeunes informaticiens de rejoindre les collectivités locales ? Nous travaillons dans des domaines novateurs. Les systèmes d'information géographique et la géomatique vont être très présents dans les projets des collectivités. Beaucoup d'informations liées à leurs métiers et à ceux des communautés de communes peuvent en effet être traitées via des SIG, celles liées au cadastre, à la gestion de patrimoine, issues de la police municipale, de la voirie, etc. De la même façon, jusqu'à présent, les systèmes d'informations des différentes directions dans les collectivités n'étaient pas forcément intégrées. Aujourd'hui, nous allons réaliser cette intégration grâce aux architectures trois tiers web et la réunion des applications à travers des portails web. C'est un terrain encore relativement vierge dans les collectivités et une vraie opportunité de déployer des compétences sur des technologies attractives. (...)
(09/03/2006 17:40:58)Microsoft teste Windows Live Search
Microsoft veut regagner des parts de marché face à Google et Yahoo! qui détenaient à eux deux 70 % du marché des recherches sur Internet en janvier. Pour se faire, l'éditeur de Redmond teste, dès à présent, son futur moteur de recherche Windows Live. La version bêta est disponible - bien qu'incomplète - et l'on peut avoir une petite idée du produit final. L'accent est principalement mis sur la personnalisation avec des fonctionnalités de type Web 2.0 - mise en page personnalisable, recherche de flux RSS, etc. - mais également avec des recherches locales ou, bientôt, à partir d'images. La présentation est sobre et se décline en onglets. Les résultats s'affichent sur une seule page. Microsoft compte faire appel à des blogeurs pour définir des paramètres et affiner ainsi les résultats d'une recherche. La version finale de Windows Live Search devrait être disponible dans le courant de l'été et remplacer MSN Search. (...)
(09/03/2006 17:35:26)Voix sur IP : SIP triomphe à VoiceCon
La vedette de la conférence VoiceCon Spring 2006 qui s'est ouverte mercredi 8 mars est sans conteste de protocole SIP (Session Initiation Protocol), plébiscité par les utilisateurs pour son ouverture est les possibilités d'interopérabilité qu'il ouvre entre systèmes informatiques et systèmes de téléphonie. Un exemple de cette convergence a été la promesse faite par Microsoft d'assurer l'interopérabilité entre sa solution SIP Live Communications Server 2005 et les PABX IP de Cisco, Avaya, Alcatel, Mitel, NEC, Nortel Networks et Siemens. Une telle interopérabilité permettra par exemple aux applications embarquées sur les PABX d'utiliser les informations de présence du système de Microsoft pour mieux router les appels ( et vice-versa). En théorie, elle permettra aussi à certaines entreprises de mettre en place des systèmes combinant le meilleur des offres de plusieurs constructeurs. Même si ceux-ci, tout en chantant les louanges de l'interopérabilité, continuent à tout faire pour s'assurer que leurs clients conservent des solutions homogènes... Inspiré d'un article en anglais de Matt Hamblen, notre confrère de Computerworld, depuis VoiceCon à Orlando (...)
(09/03/2006 17:34:40)Oracle conteste l'attribution de Chorus à SAP
Oracle accepte mal d'avoir perdu Chorus, le juteux marché de mise en conformité le SI de l'administration française avec la Lolf. Alors que SAP vient de remporter l'appel d'offre lancé par Bercy dont le montant oscille entre 20 et 40 ME, Oracle, jusqu'alors déployé via Peoplesoft, a déposé un référé auprès du tribunal administratif de Paris. En attendant l'audience, prévue au maximum pour la fin du mois de mars, la signature du contrat entre Bercy et SAP est donc ajournée. Le contenu précis du référé reste inconnu : il peut porter sur la forme de l'appel d'offre aussi bien que sur son fond. Oracle n'a pas souhaité apporter de commentaire. (...)
(09/03/2006 17:33:59)Antitrust : Bruxelles pourrait ouvrir une nouvelle enquête contre Microsoft
Toujours empêtré dans le procès antitrust initié contre lui par la Commission européenne, Microsoft n'est pas à l'abri d'une nouvelle mise en cause par l'instance communautaire. Celle-ci pourrait en effet ouvrir une enquête pour abus de position dominante. Cette fois ce n'est pas le système d'exploitation de l'éditeur qui est mis en cause, mais sa suite bureautique Office. Le mois dernier, un groupe constitué de concurrents de Microsoft - Oracle, IBM et Sun - avait déposé une plainte auprès de la Commission, alléguant que le géant du logiciel ne leur permettait pas d'assurer l'interopérabilité de leurs produits avec Office. "Nous avons le devoir et la responsabilité, s'il y a une plainte, de l'examiner avec sérieux. Si la plainte a du sens, nous ouvrirons une enquête", a réagi Neelie Kroes, la commissaire à la concurrence. Office représente la deuxième principale source de revenu de Microsoft. L'éditeur possède quelque 95 % des parts de marché sur le créneau des suites bureautiques. (...)
(09/03/2006 17:48:42)CEBIT 2006 : Metro montre un système combinant RFID et voix sur IP
Le géant allemande de la distribution Metro, a dévoilé un nouveau système d'étiquetage électronique à base tag RFID couplé à un système de guidage vocale pour accroître la productivité des personnels. Le prototype montré sur le Cebit d'Hanovre est l'un des multiples systèmes que teste Metro dans le cadre de son programme de généralisation des technologies RFID. Il est composé d'un gant haute technologie incorporant un lecteur RFID et le support de Bluetooth, d'un casque équipé d'un microphone et des technologies Wi-Fi et Bluetooth et d'une application vocale en back Office. Les employés utilisateurs du système portent le casque qui est relié par Wi-Fi au serveur hébergeant l'application vocale et par Bluetooth au lecteur RFID situé dans le gant. L'application transmet des consignes vocales aux employés qu'ils valident au travers de leur micro-casque. Le gant, de son côté, scanne les produits qu'ils sélectionnent dans les rayons de l'entrepôt et un message d'erreur est automatiquement transmis via le casque si une erreur est commise. Le principal bénéfice du système selon Metro est que les salariés n'ont plus à lire d'informations sur des listes ou sur un écran. Leurs séquences de travail ne sont ainsi pas interrompues ce qui optimise les rendements au sein de l'entrepôt. Le lecteur a été développé par la société allemande Perdictum à Dortmund, tandis que le casque est l'oeuvre de Deister Electronic, à Barsinghausen. L'exemple montré par Metro, un parmi plusieurs dizaines de démonstrations sur le Cebit, est l'une des preuves que l'Allemagne et ses entreprises ont pris une longueur d'avance sur la France dans le déploiement des technologies RFID. Il faut dire que la réglementation outre-Rhin est bien plus souple que la réglementation française, qui comme souvent en matière de radiofréquences a contrarié l'adoption de la technologie. Ce n'est qu'en traînant les pieds que le gouvernement et l'ARCEP devraient ouvrir cet été une bande de fréquence de 2 MégaHertz de large avec une puissance maximale de 2W pour les technologies de Tag RFID en bande UHF. Pour l'instant, les entreprises désireuses d'expérimenter avec une telle puissance d'émission sont encore soumises à un régime d'autorisations... Adapté d'un article de John Blau notre correspondant d'IDG News Service à Düsseldorf. (...)
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