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(01/03/2006 17:28:18)

FloraJet héberge sa boutique en ligne sur une plate-forme dédiée

Quand le succès est au rendez-vous, un site marchand peut rapidement être amené à renforcer son infrastructure d'hébergement, sous peine de ne plus pouvoir assurer un service de qualité aux clients. En 2003, FloraJet, PME centralisant les commandes pour un réseau de fleuristes indépendants, décide de vendre des fleurs en ligne. Après une première expérience peu concluante avec un prestataire offrant des services d'hébergement, l'entreprise se tourne fin 2003 vers la solution mutualisée d'Internet Fr. En partageant le serveur sur lequel est hébergé son site avec d'autres entreprises, FloraJet peut bénéficier de tarifs adaptés à ses besoins durant la phase de démarrage de l'activité en ligne. Assez vite, la société met en oeuvre de nouveaux services, elle se fait connaître et les commandes augmentent. Pour s'adapter à ces évolutions, FloraJet migre en 2005 vers une solution d'hébergement dédié, entièrement consacrée à sa boutique Web. Internet Fr l'aide à mettre en place une infrastructure sur mesure : un serveur héberge le site proprement dit, un autre accueille la base de données. Les machines sont situées dans les locaux d'Internet Fr, sauvegarde et maintenance sont assurées par ce dernier. Disposant désormais de serveurs qui lui sont propres, sans pour autant avoir à se préoccuper de leur gestion, FloraJet offre à ses clients un site hautement disponible. La boutique accueille aujourd'hui près de 5 000 visites quotidiennes, avec des pics à 50 000 visiteurs à l'occasion de certaines fêtes. Environ 400 000 commandes ont été réalisées par le biais du site en 2005, représentant plus de 20% des 9 millions d'euros de chiffre d'affaire annuel. (...)

(01/03/2006 17:27:56)

Progiciels de gestion : SAP muscle son approche des PME

L'éditeur allemand de progiciels de gestion intégrés fait de plus en plus d'efforts en direction des PME. Son offre SAP Business One, un produit conçu spécifiquement pour les petites entreprises, rencontre le succès. Les PME ont pesé l'an dernier 25 % du chiffre d'affaires réalisé par la filiale française de SAP (300 millions d'euros en 2005), un éditeur de progiciels de gestion intégrés traditionnellement connu jusque-là pour son implantation dans les grandes entreprises. SAP France annonce avoir gagné 147 nouveaux clients sur le marché des PME l'an dernier. Au niveau mondial, l'éditeur allemand indique que les PME représentent déjà 30 % des 8,5 milliards d'euros de chiffre d'affaires qu'il a engrangés en 2005. Il convient toutefois de préciser que SAP France inclut dans la catégorie des PME les entreprises réalisant jusqu'à 1 milliard d'euros de chiffre d'affaires. Depuis deux ans, néanmoins, le fournisseur s'adresse aussi aux structures de moins de 100 personnes avec une offre spécifique, SAP Business One. Ce progiciel de gestion intégré (PGI, en anglais ERP), spécialement développé pour les PME, est exclusivement vendu par l'intermédiaire d'un réseau indirect. Sur le chiffre d'affaires généré en 2005 par les 147 nouveaux clients PME de SAP France, l'offre SAP Business One pesait 9 % du total. Les offres sectorisées SAP All-in-One ont compté pour 25 % (il s'agit de versions de mySAP ERP adaptées à un métier par des distributeurs), les ventes réalisées en direct par SAP constituant tout de même l'essentiel du chiffre d'affaires réalisé avec les PME (66 %). 150 000 clients en 2010 D'ici à 2010, l'éditeur entend faire passer à 45 % la part représentée par les PME dans son chiffre d'affaires. Pour y parvenir, en France notamment, il vient d'annoncer à ses revendeurs et partenaires un soutien renforcé de son réseau de distribution. A l'instar de ses concurrents, qui proposent depuis longtemps des programmes spécifiques à leurs partenaires, SAP a par exemple constitué le programme « Partner Edge ». Ce dernier prévoit trois niveaux de certification (Gold Level, Silver Level, Associates Level) qui permettront d'obtenir des taux de remise sur les licences, en fonction des ventes effectuées et des efforts consentis par les revendeurs, notamment sur la formation de leurs consultants. Parmi les ambitions affichées par l'éditeur d'ici à 2010 figurent le doublement de son chiffre d'affaires global et une base installée atteignant 150 000 clients, ce qui équivaut à multiplier par plus de 4,5 le nombre actuel de ses clients (32 000). Un objectif qu'il ne pourra clairement pas atteindre sans le renfort des PME. En France, ses principaux concurrents sur le secteur sont Sage (avec la Ligne 1000, la Ligne 100 et maintenant le PGI X3 acquis par le rachat d'Adonix), Microsoft (avec ses offres Dynamics NAV et Dynamics AX -anciennement Navision et Axapta), Cegid (avec Business Line, Business Suite et Business Place), Oracle (avec l'offre JD Edwards Enterprise One) et Intentia (avec Movex). De nombreux autres éditeurs sont également sur les rangs, parmi lesquels Interlogiciel, le Lyonnais Ordirope, Lefebvre Software, Prodaxis, Deal Informatique ou encore Gestimum. (...)

(28/02/2006 17:25:21)

Le marché des routeurs IP et switch ethernet devrait progresser de 39 % d'ici 2009 à 10 Md$

La société d'étude de marchés Infonetics prévoit une forte croissance du marché des routeurs IP et des commutateurs Ethernet pour les trois prochaines années. Selon elle, les ventes de ces équipements devraient doubler entre 2005 et 2009 pour représenter 5 Md$ dans trois ans. Infonetics estime en outre que les ventes de ce type de matériel devraient générer une forte croissance pour les services associés qui représenteront 10 Md$ en 2009 - contre 7,2 Md$ en 2005. Ce succès devra se faire au détriment des commutateurs multiservices qui verront leur déclin s'accentuer. Infonetics prévoit en effet qu'en 2009 ces derniers ne représenteront plus que 17 % du marché contre 47 % en 2000 et 27 % actuellement. A ce jour, les entreprises les mieux placées sur le marché sont Cisco avec 42% des revenus, suivi loin derrière par Juniper avec 19 %, puis par Nortel et Alcatel. (...)

(28/02/2006 17:24:45)

Deutsche Telekom appelle les grands du Web à payer pour les infrastructures d'Internet

Deutsche Telekom, l'opérateur télécoms historique allemand, met les pieds dans le plat en exprimant clairement son avis quant au financement des infrastructures de très haut débit pour l'Internet. Selon l'opérateur, il va devenir impossible de financer ces infrastructures si les grands du Web comme Google ou Yahoo ne mettent pas la main au porte-monnaie. Deutsche Telekom estime qu'il serait légitime que les entreprises bénéficiant du réseau soient parties prenantes à son financement et non plus de simples profiteurs. Selon lui, c'est à cette seule condition qu'il sera possible de fournir des services tels que la télévision en haute définition. Cette voix qui s'élève n'est pas la seule puisqu'elle fait écho à Verizon qui, le mois dernier, avait également suggéré un tel partenariat. (...)

(28/02/2006 17:24:00)

Sopra clôt 2005 sur des indicateurs en forte hausse

La SSII Sopra a publié des résultats 2005 faisant ressortir une croissance de tous les secteurs d'activité et du résultat net. Le chiffre d'affaires s'élève à 757 ME et progresse de 20,2 % par rapport à l'exercice 2004 - 9,7 % en croissance organique. L'intégration de systèmes et solutions (ISS) en France représente la très grande majorité des revenus du groupe, à 504,7 ME, et affiche une hausse de 9,1 %. Dans le reste de l'Europe, cette activité génère un CA de 6,6 % et progresse de 6,6 %. Si la branche conseil ne réalise qu'un chiffre d'affaires de 41,3 ME, elle réussit néanmoins une excellente performance en progressant de 19,7 % en organique. Enfin, la filiale Axway croît de 14,2 % sur un an, à 85,5 ME. Le résultat net est lui aussi en hausse : après avoir atteint 24,5 ME en 2004, il s'aligne à 35,3 ME et progresse ainsi de 4,7 %. Les quatre principaux objectifs contenus dans le Projet Sopra Group 2007 sont, selon Pierre Pasquier, le PDG, sur le point d'être remplis. Ainsi, le milliard d'euros de chiffre d'affaires devrait être atteint en 2007 - Sopra table sur un CA de 828 ME en 2006. Le groupe ambitionnait un marge opérationnelle le situant parmi les meilleures SSII : "nous réalisons 7,4 %. Ce n'est pas le meilleur taux mais nous nous situons bien vis-à-vis de nos concurrents directs" a estimé Pierre Pasquier. Autres objectifs : acquérir une présente forte et rentable en Europe et, à travers la filiale Axway, dans le monde entier. "Ce sera le cas, a assuré Pierre Pasquier, notamment grâce à l'acquisition de l'américain Cyclone Commerce par Axway". Des acquisitions pourraient d'ailleurs venir renforcer la présence internationale du groupe. Si rien n'est encore ciblé, Pierre Pasquier fait part de son intérêt pour l'Espagne ou l'Angleterre. (...)

(28/02/2006 17:23:32)

Symantec lance une nouvelle gamme d'appliances de sécurité pour PME

Symantec propose une nouvelle gamme d'appliance de sécurité, la série Gateway Security 1600, destinée aux PME/PMI. Cette gamme se compose de deux produits tous deux dotés d'anti-spyware et d'anti-adware, de pare-feu, et de détection d'intrusion, notamment. Basés tous deux sur le logiciel de la série 5000, ils ont chacun leur spécificité. Le premier modèle, le Gateway Security 1620 propose trois ports Ethernet et un débit maximum de 100 Mbps. Son prix est de 900 $ dont 500 $ pour une licence annuelle. Le second modèle, le 1660 peut monter au-delà de 200 Mbps et intègre cinq ports Ethernet. Ce modèle est en outre doté d'un processeur de chiffrement ce qui lui permet d'être cinq fois plus efficace que son petit frère pour la protection du réseau privé virtuel. Son prix se situe légèrement sous la barre des 2500 $ avec une licence annuelle de 1500 $. (...)

(28/02/2006 17:22:48)

Google s'aventure sur le terrain d'eBay

Tout à sa stratégie de rapprocher les internautes de la décision d'achat, le pharaonique Google étend de nouveaux ses imposantes tentacules vers le commerce en ligne. C'est ainsi Google Base, service lancé en novembre 2005 (censé permettre aux internautes de soumettre volontairement leurs produits à l'indexation du célèbre moteur), qui se mute aujourd'hui en une véritable place de marché. L'idée, explique Google, est de faciliter ce que bon nombre d'utilisateurs réalisent déjà, à savoir vendre leur produits via Google Base. Le service, encore au stade de test, prévoit ainsi d'offrir la possibilité de finaliser des transactions entre acheteurs et vendeurs Google Base, via un moyen de paiement par carte bancaire. A la seule condition de posséder un compte Google. Une initiative qui rappelle toutefois le fonctionnement « en réseau » du modèle d'eBay, spécialiste des enchères en ligne. Le téléphone, nouveau canal pour la publicité Google En marge de cette annonce, Google aurait également déclaré au très sérieux Wall Street Journal, travailler à étendre son modèle de publicité ciblé, au téléphone. Soit, plus concrètement, mettre en relation internaute et vendeur (annonceur) par une simple communication téléphonique via Internet. Le concept n'est pourtant pas nouveau, et déjà amorcé par ce même eBay, lors du rachat de Skype, en septembre 2005. Notons que Google cherche également à diversifier ses canaux de diffusion de publicités. En janvier 2006, il avait notamment racheté la technologie de diffusion radio de la société dMarc Broadcasting. (...)

(28/02/2006 17:22:13)

Joe Tucci (EMC) : la marché du stockage n'a pas fini de se consolider en 2006

Le PDG d'EMC, Joe Tucci s'est exprimé lors d'un symposium new-yorkais à propos du stockage. Selon lui, 2006 sera une année essentielle pour la consolidation du marché. Ce dernier est encore mouvant et devrait beaucoup évoluer dans les prochaines années. La manière d'utiliser les centres de données, les infrastructures et l'adoption massive des services Web devrait modifier le stockage des données en unifiant des applications autrefois bien distinctes. Dans la perspective de ces bouleversements, EMC envisage de se concentrer sur trois points : la sécurité, la gestion de ressources basée sur des modèles et la virtualisation. Sur ce dernier point, Joe Tucci contre les mauvaises langues en réaffirmant sa volonté de conserver VMWare et son serveur de virtualisation. Enfin, le PDG estime le marché des PME/PMI incontournable. Comme l'a prouvé sa récente offre Insignia, les petites et moyennes structures seront au centre des préoccupations d'EMC dans les prochaines années. (...)

(28/02/2006 17:20:01)

Les brevets logiciels pourraient revenir par la petite porte

Selon la fondation pour infrastructure informatique ouverte (FFII), la brevetabilité du logiciel pourrait revenir dans les débats par la petite porte. La FFII s'inquiète notamment de récentes consultations visant à uniformiser le droit européen des brevets. En effet, la commission européenne vient de lancer de nouvelles consultations publiques sur le droit européen des brevets dans le but d'apprendre des industriels et des groupements d'intérêts les évolutions qu'ils souhaitent en la matière. Pieter Hintkens, fondateur et directeur général de l'éditeur belge iMatix, estime que la généralisation à l'Europe entière des règles de brevetabilité du bureau européen des brevets conduirait, de facto, à la brevetabilité du logiciel. A l'opposé, Francisco Mingorance, directeur des relations publiques du BSA, assure que « les consultations [actuelles] sur les brevets ne sont pas une réinvention de la directive sur la brevetabilité des inventions réalisée avec l'appui de l'informatique. » Néanmoins, Francisco Mingorance indique que le questionnaire pose la question de la pertinence d'un brevet communautaire. Les consultations lancées par Bruxelles sont ouvertes jusqu'au 31 mars. Le débat s'ouvre à nouveau alors que, de l'autre côté de l'Atlantique, des voix commencent à s'élever contre des brevets surnuméraires. Ainsi, David Kappos, vice-président d'IBM estime que les conflits liés aux brevets tirent les prix vers le haut pour le client et que, « en définitive, il y a moins de produits sur le marché parce que les entreprises décident de ne plus les produire. » Parallèlement, John Doll, commissaire du bureau américain de la propriété intellectuelle, relève l'impossibilité pour ses services « d'examiner toutes les nouvelles demandes de brevets, tout spécialement dans le domaine des nouvelles technologies ». Et de reconnaître avoir quelques 600 000 demandes de brevets en attente d'examen. (...)

(28/02/2006 17:21:30)

HP intègre les outils Peregrine à OpenView

Hewlett-Packard vient de finir d'intégrer les outils de Peregrine, rachetés en septembre dernier, à sa gamme OpenView de logiciels d'administration de systèmes. L'outil AssetCenter de Peregrine a ainsi été associé à OpenView Service Desk pour permettre l'extension de la supervision des systèmes aux logiciels, aux PC et aux mainframes et, surtout, le suivi des données d'inventaire et financières. HP intègre Service Desk dans sa stratégie Active Configuration Management Database (CMDB) pour l'administration de systèmes. CMDB permet notamment de suivre les erreurs, les incidents et les changements mais aussi les données d'entreprise sur les salariés, les fournisseurs et les divisions. (...)

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