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(01/03/2006 17:15:21)
LogicaCMG voit son bénéfice progresser de 53 % en 2005
Le groupe de services britannico-hollandais LogicaCMG a terminé l'année 2005 sur un chiffre d'affaires en progression de 10,6 %, à 1,834 Md£. A périmètre constant, la croissance des revenus atteint 5,3 %, soit plus que les 5 % sur lesquels tablait le groupe au début de l'exercice. L'immense majorité du CA - 86 % - est générée par l'activité de services IT, un secteur profitant de bons résultats réalisés au Royaume-Uni et aux Pays-Bas.. Ils voient leurs revenus bondir de 11,1 % sur l'année, dont 4,9 % en organique. Le reste du chiffre d'affaires de LogicaCMG provient des produits télécoms, qui gagnent 7,3 % par rapport à 2004. Le bénéfice opérationnel du groupe atteint 120,1 M£. Comparé aux 78,6 M£ réalisés en 2004, il bondit de 52,8 %. Outre l'acquisition de l'ibérique Edinfor en avril 2005, l'année a été marquée par le rachat de la SSII française Unilog en septembre, une opération permettant à LogicaCMG de devenir le quatrième principal prestataire de services dans l'Hexagone et d'intégrer le top 10 européen. Pour 2006, le groupe se dispense de fournir des prévisions chiffrées. Il indique néanmoins tabler sur une progression de la croissance organique, en ligne avec l'évolution du marché. (...)
(01/03/2006 17:14:57)Google prudent sur ses perspectives de croissance, Wall Street s'affole
Après les déclarations de George Reyes, le directeur financier de Google, sur le ralentissement de la croissance du groupe, le moteur de recherche a tenu à rassurer les observateurs. Et tenté de limiter la chute du cours de l'action. Coup de froid sur Wall Street : le DAF de l'hégémonique moteur de recherche a évoqué les difficultés de son groupe à conserver un rythme de progression soutenu. "Il est clair que nos rythmes de croissance ralentissent. Nous allons devoir trouver d'autres moyens pour monétiser l'activité", a-t-il affirmé en début de semaine. Aussitôt la bourse réagit, comme elle l'avait fait à l'annonce des derniers résultats trimestriels du groupe, et le titre Google chute de près de 8 %, entraînant avec lui la dépréciation d'autres valeurs technologiques comme eBay ou Yahoo. Réaction immédiate du groupe, qui a tenu dans la foulée à rassurer les observateurs : "nous percevons toujours des opportunités importantes pour améliorer la monétisation et avons l'intention de continuer à concentrer nos efforts dans ce domaine", indique le pharaonique moteur dans un communiqué. Rien n'est pourtant étonnant dans la mise en garde de George Reyes : depuis son introduction en bourse en août 2004, le titre Google a n'a cessé de croître, passant de 85 $ à plus de 470 $, pour finalement retomber à 362,62 $ ces derniers jours. Le moteur a habitué les analystes à anticiper des progressions phénoménales de son chiffre d'affaires et de son bénéfice à chaque publication de résultats. Il serait toutefois vain de tabler sur un doublement de ces indicateurs tous les ans. Aussi, le ralentissement de la croissance, évoqué par le directeur financier, n'est-il que pure logique. (...)
(01/03/2006 17:14:08)Incertitudes autour de la migration des utilisateurs vers Vista
Microsoft vient de confirmer la déclinaison de Vista, le successeur de Windows XP, en six versions distinctes. Reste à savoir si l'éditeur parviendra à convaincre les utilisateurs de migrer vers ces nouvelles moutures. C'est du moins la question que se pose Joe Wilcox, analyste chez Jupiter Research. Selon Joe Wilcox, Microsoft aurait déjà pris conscience du problème : de nombreux utilisateurs de Windows XP estiment que cette version est suffisamment adaptée à leurs besoins. Selon l'analyste, ajouter à cette absence de motivation la complexité liée à six déclinaisons n'est peut-être pas le meilleur moyen d'encourager les utilisateurs à migrer. Joe Wilcox relève en outre la problématique de l'accès à certaines versions. En effet, seuls les titulaires d'accords de licences en volume pourront accéder à Windows Vista Enterprise. Enfin, Wilcox évoque le problème du piratage : « vous ne pouvez pas le vendre si tout le monde le vole ». Et d'estimer, au final, que Microsoft est, aujourd'hui, son plus grand concurrent. (...)
(01/03/2006 17:13:23)SAP menace de quitter l'Allemagne
Dietmar Hopp, cofondateur et actionnaire de SAP, vient de brandir la menace d'une délocalisation du siège de l'éditeur dans le cadre de négociations avec les salariés. Dietmar Hopp, qui détient 10 % du capital de SAP, s'inquiète notamment de la position du syndicat IG Metall sur les horaires de travail : « si vous devez leur demander s'il est possible de travailler plus tard pour organiser une téléconférence avec la Californie à 23h, alors bonne nuit SAP ». En conséquence, Dietmar Hopp s'interroge sur l'opportunité de déplacer hors des frontières allemandes le siège de SAP, sans indiquer de destination propice. Les 10 000 salariés du siège de SAP à Walldorf doivent voter ce jeudi 2 mars en faveur ou non de la création d'un comité d'entreprise. Jusqu'ici, les tentatives de création de ce type de comité avaient échoué faute de soutien de la part des salariés. (...)
(01/03/2006 17:12:50)L'Icann approuve l'accord révisé avec Verisign
A neuf voix contre cinq, le comité directeur de l'Icann (Internet Corporation for Assigned Names et Numbers) vient d'approuver la révision de l'accord soumis début février 2006, régissant ses relations avec Verisign. Une étape primordiale : si en effet , le Department of Commerce américain (DoC) -chien de garde de l'Icann- apporte dans la foulée son aval, l'accord pourra enfin être finalisé. Et ainsi, mettre un terme au long conflit qui oppose les deux parties depuis 2004. Les termes de l'accord exposé en février dernier avaient pourtant provoqué une levée de bouclier chez les registrars, concurrents direct de Verisign, et chez certains membres du Congrès américain. Dans leur ligne de mire : le maintien jusqu'en 2012 de la gestion du .com par Verisign et la possibilité d'opérer librement des augmentation de 7% (sur 4 des 6 années de la durée du contrat). (...)
(01/03/2006 18:31:16)Oracle sort enfin sa base gratuite XE
La version gratuite d'Oracle Database 10g, nommée Express Edition (XE), est désormais disponible, avec plus de deux mois de retard. L'éditeur indique avoir délibérément choisi de reporter le lancement d'Oracle Database 10g XE à la fois du mois de février afin de pouvoir intégrer des fonctions de sécurité supplémentaires à son SGBDR. Dans un entretien téléphonique accordé à nos confrères de IDG News Service, l'éditeur indique ainsi avoir voulu s'assurer « que la base de données est extrêmement sûre. » Pour autant, Oracle a maintenu les restrictions prévues à l'automne dernier pour Database 10g XE : 4 Go de stockage, 1 Go de mémoire vive et 1 processeur au maximum par serveur. Le logiciel fonctionne sous Windows (32 bits) et les distributions Linux de Red Hat - y compris Fedora - et de Novell, mais également Mandriva Linux 2006, Debian et Ubuntu. Le SGBDR supporte les environnements de développement Java, .Net et PHP mais intègre le sien : Application Express. Mais, si Database 10g XE est gratuit, il n'est pas question d'en ouvrir le code source. Oracle Database 10g XE est basé sur le code source d'Oracle Database 10g Release 2. En fait, l'éditeur espère bien que les utilisateurs de XE seront tentés de passer à son SGBDR d'entreprise. Avec XE, Oracle se donne en outre les moyens d'attaquer Microsoft, IBM et MySQL sur le terrain des SGBDR gratuit. En effet, chacun propose désormais le sien, une manière de rivaliser avec l'open source : Microsoft, avec SQL Server 2005 Express et IBM, avec DB2 Universal Express-C. Parallèlement à l'annonce d'Oracle, Zend Technologies a annoncé le lancement d'une mise à jour de son moteur d'interprétation Zend Core pour Oracle, une mise à jour certifiée pour XE qui supporte notamment PL/SQL. (...)
(01/03/2006 00:00:00)Témoignage : Cent heures pour se former dans le temps de travail
« Sans la période de professionnalisation, je n'aurais suivi que le cursus initialement prévu pour les chefs de projet. Par ailleurs, je n'aurais pas pris le temps de réfléchir à d'autres besoins de formation ». Céline Rauscher, 31 ans, chef de projet chez Unilog fait partie des salariés qui ont profité des périodes de professionnalisation pilote menées au sein de la SSII en 2005. Elle travaillait à moment là sur le projet de refonte des systèmes d'information des guichetiers de la Poste. Elle a été choisie comme bénéficiaire du programme parce qu'elle réintégrait une mission après six mois d'absence liés à un congé de maternité ; ce qui correspond à l'un des critères légal d'éligibilité pour une période de professionnalisation. Elle avait par ailleurs un niveau de chargée de projet et envisageait d'évoluer vers le poste de chef de projet. Elle s'inscrivait ainsi dans l'un des profils cibles LIEN « évolution professionnelle » définis par Unilog pour les périodes de professionnalisation. Elle avait enfin démarré un cycle de formation de neuf jours destiné aux chefs de projet (commerce, management et développement personnel) chez Unilog IT Training. Or, pour accélérer le déploiement des périodes de professionnalisation pilote, il était intéressant de partie d'un parcours en partie construit et objectivé. Céline Rauscher a défini la suite du parcours de formation en collaboration avec une responsable des ressources humaines. Elle a par exemple demandé un enseignement sur le suivi financier de projet, pour répondre à l'un de ses objectifs de progression, fixé lors de son dernier entretien annuel. Elle l'a complété par deux autres sessions en communication (« comment faire passer des messages difficiles à son équipe ») et sur la conduite d'entretiens annuels et l'évaluation. Au total, elle a suivi un parcours d'une centaine d'heures étalé sur l'année. Bien que les périodes de professionnalisation permettent de mettre en place des cursus plus longs (jusqu'à 600 heures), aller au delà ne lui a pas semblé souhaitable. « Des cours supplémentaires n'auraient pas été faciles à gérer avec mon emploi du temps, ni à justifier vis à vis de mes collaborateurs qui n'ont pas autant de formation », souligne Céline Rauscher. Elle précise en outre que 100 heures de cours apportent déjà un contenu consistant à absorber, d'autant qu'elles font aussi l'objet de cas pratiques. « Dans le cadre de ma fonction de chargée d'encadrement de juniors, je me suis attachée à guider un ingénieur qui avait du mal à trouver sa place sur un projet et mettre en place un système de délégation avec son manager », explique-t-elle. Le bilan de l'expérience est positif. Céline Rauscher a bénéficié d'un parcours de formation plus étoffé et encadré qu'elle n'aurait eu sans période de professionnalisation, en raison de financements limités. Ce qui a constitué un bon départ pour une jeune chef de projet. En tant que manager, elle pourra maintenant aider les ingénieurs qu'elle encadre à voir si le dispositif peut être pertinent pour eux. Elle en mesure aussi la difficulté. « Le défi est de repérer les bons profils, les potentiels et les axes de progression chez ses collaborateurs. Il faut savoir prendre le temps de se projeter à moyen terme, alors qu'habituellement les formations se décident plutôt lorsqu'un un besoin se manifeste sur un projet ». (...)
(01/03/2006 17:29:07)Lancement des premiers Trophées des Clubs Entreprises
Décernés le 10 juin prochain à Dinan, dans les Côtes d'Armor, les premiers Trophées des Clubs Entreprises récompenseront les meilleures actions et initiatives des Club Entreprises dans cinq catégories : développement économique local, dynamique de réseau, communication, initiatives emploi, solutions entreprises. Deux cents Clubs Entreprises existent en France, qui rassemblent chacun de vingt à deux cents adhérents. Ces réseaux contribuent au développement économique local. Les Trophées des Clubs Entreprises ont pour ambition de primer les meilleures actions et initiatives, de lancer une plate-forme de rencontres et d'échanges inter-régionale et de créer une émulation nationale. Les dossiers de candidatures pourront être téléchargés depuis le site www.tce2006.com qui sera ouvert le 7 mars. Ils devront être retournés avant le 15 mai 2006. (...)
(01/03/2006 17:28:42)Un portail pour comparer les offres de téléphonie sur Internet
Il n'est pas facile de s'y retrouver dans la jungle des offres de téléphonie sur Internet, qui se sont multipliées ces derniers temps. Pour y voir plus clair et dénicher les offres les plus intéressantes, le portail myadsl.fr propose désormais un comparateur d'offre de téléphonie sur Internet. Particulièrement destinés aux PME, ce portail propose trois outils pour comparer les offres : les fonctionnalités, la qualité de service et les véritables coûts. D'autre part, les entreprises trouveront un outil de recherche qui permet d'identifier l'opérateur adapté à leurs besoins, en fonction de leurs préférences, de leur taille et de leur volume d'appel. (...)
(01/03/2006 17:27:35)Découvrir le multimédia sur Internet en Aquitaine
Entreprises et collectivités locales de la région Aquitaine pourront découvrir les 16 et 17 mars des solutions pour proposer des services multimédias sur Internet. Ces journées sont organisées par ADITU, société gérant une plate-forme de services numériques pour les entreprises de la technopole Izarbel à Bidart (64). Trois offres seront présentées : des solutions pour diffuser des programmes audiovisuels en direct sur Internet, édités par Westcast, des outils de visioconférence et de formation en ligne proposés par Zookeeper, et enfin un service de vidéosurveillance en ligne, mis au point par IBM. Le 16 mars, la rencontre se tiendra dans la technopole à Bidart, le 17 mars, dans les locaux du réseau Echangeur de Bordeaux Aquitaine. (...)
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