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(02/03/2006 00:00:00)

Réaction : « Des prévisions d'emploi très optimistes »

« Même avec une situation économique très favorable dans les années à venir, on reste dans des prévisions d'emploi très optimistes dans le secteur informatique ». Régis Granarolo, président du Munci (mouvement pour une union nationale des consultants en informatique), réagit aux chiffres de la dernière étude de la Dep (direction étude et prospective du ministère de l'éducation nationale) sur les perspectives de recrutement, qui fait état de 11 000 nouveaux emplois par an en moyenne dans le domaine informatique entre 2002 et 2015. Il rapproche ces prévisions des chiffres du Syntec informatique qui comptabilise entre 8000 et 10 000 créations d'emploi nettes (pour environ 40 000 emplois bruts, NDLR) en 2005. Ces chiffres sont inférieurs aux estimations de la Dep alors que 2005 a été marquée par une belle croissance de 6 à 7% dans l'industrie des logiciels et des services. « Même si l'on y ajoute quelques milliers d'emplois nouveaux chez les utilisateurs finaux, on reste dans la fourchette haute des prévisions d'emploi », selon lui. Par ailleurs, à l'horizon 2015, rien ne prouve que la croissance va perdurer au même niveau, même si les prévisions font état d'une progression de 6 à 8% en 2006 dans les logiciels et les services. Pour jauger ces prévisions, il faut prendre aussi en considération les risques qui pèsent sur l'emploi et qui sont susceptibles de faire baisser les besoins de recrutement, comme le développement de l'off-shore, la rationnalisation des coûts dans l'industrie des services et la concentration du secteur. L'emploi est enfin très fortement impacté par le turn over dans la profession. Les besoins de recrutement sont souvent liés aux départs des informaticiens des entreprises, ce qui permet de relativiser les chiffres de créations nettes d'emploi. « En 2004, l'Apec recensait 25 330 recrutements de cadres dans les SSII et chez les éditeurs de logiciels, 1200 promotions et 24 490 départs. Elle concluait à une création nette de 2 040 emplois », rappelle-t-il, à titre d'illustration. Et d'ajouter « nous estimons que l'on peut compter en moyenne une création d'emploi nette pour 4 à 5 recrutements bruts et 8 a 10 offres d'emploi dans notre secteur ». (...)

(02/03/2006 00:00:00)

Entretien : La professionnalisation risque d'être un dispositif à deux vitesses

Pascal Boisson, consultant formateur pour Demos, fait le point sur les principes à appliquer pour tirer parti des périodes de professionnalisation, l'un des dispositifs de la réforme de la formation professionnelle. Lemondeinformatique.fr : Quelles recommandations faites-vous aux entreprises pour s'approprier les périodes de professionnalisation ? Pascal Boisson : La période de professionnalisation doit être, comme les autres dispositifs de formation, un élément qui soit intégré et mis au service d'une politique globale de formation et de ressources humaines. Si ce n'est pas le cas, sa mise en ?uvre risque d'être ponctuelle et finalement conduire à ce qu'il soit peu utilisé. Pour qu'il ait une valeur ajoutée, les entreprises doivent aussi bien comprendre l'esprit du dispositif et se l'approprier. Il s'agit d'avoir la volonté de fidéliser ses collaborateurs, d'accompagner les plus fragilisés, et globalement l'évolution professionnelle des salariés, au regard des changements et des évolutions technologiques. L'enjeu est de savoir quelle place veut-on accorder à la formation, en lien avec la stratégie de l'entreprise ? C'est à partir des axes de formation définis par les employeurs et les actions à l'initiative des salariés que viendront s'intégrer les dispositifs et notamment la période de professionnalisation. La clef d'entrée n'est pas d'aborder le dispositif par lui même mais de partir d'un besoin individuel ou collectif identifié. L'enjeu des périodes de professionnalisation est aussi financier ? Comment profiter de cet avantage ? Effectivement, le principe de mise en oeuvre de la période de professionnalisation relève de l'articulation d'une problématique RH et d'une logique financière. Les entreprises ont compris qu'elles pouvait bénéficier de leurs cotisations de 0,5% de la masse salariale (pour la professionnalisation et du Droit individuel à la formation, NDLR) pour les accompagner financièrement dans le déploiement des périodes. L'optimisation de leurs ressources financières passe par un contact régulier avec leur Opca (organisme paritaire collecteur agréé de la branche professionnelle). Les entreprises doivent comprendre leur mode de fonctionnement, leurs priorités et leurs budgets et travailler en partenariat avec ces acteurs. Ils doivent aller au devant de l'information. Quels risques pose ce dispositif ? Le risque est qu'il ne soit mis en place que dans les grandes entreprises qui ont des organisations très structurées, par l'existence d'une fonction RH et/ou formation. Il implique en effet que les responsables de ces fonctions aient une maîtrise des dispositifs. Ceux-ci doivent être capables d'articuler, au regard des plans de formation annuels, la logique pédagogique et la logique financière, en travaillant en étroite collaboration avec leur opca. Or, est-ce qu'un chef d'entreprise d'une société de 50 à 100 personnes peut le faire et se transformer en expert de la formation ? Il pourrait donc y avoir deux vitesses dans l'adoption des périodes de professionnalisation, ce qui serait contraire à l'esprit de la réforme de formation, y compris dans le fait de profiter de l'enveloppe financière qui lui est dédiée. C'est pourquoi, une forte sensibilisation des Pme doit se poursuivre par un accompagnement .Tous les acteurs de la formation sont concernés pour jouer ce rôle de sensibilisation. Il contribuera à la réussite de la mise en place de cette nouvelle culture formation qui passe par la professionnalisation. (...)

(01/03/2006 17:18:18)

Alcatel lance un call center pour PME

Conformément à sa nouvelle politique de « U-Centric », ou « centré sur l'utilisateur », présentée lors de l'Alcatel Forum, le constructeur propose un centre de contact qui nécessite peu de formation pour structures moyennes. Le OmniTouch Center Premium Edition équipé de la plate-forme OmniPCX et du logiciel Genesys 7, s'adresse aux centres d'appel allant de 20 à 150 personnes. Alcatel a centré ses efforts sur l'utilisateur en proposant une interface graphique - visuel CC - appréhendable facilement. Cette interface permet aux entreprises d'avoir une visibilité et un contrôle de tous les niveaux. Outre l'interface, ce nouveau call-center intègre des outils collaboratifs dans le poste de travail : indicateur de présence, messagerie instantanée ou encore partage d'applications. L'Alcatel OmniTouch Center Premium Edition est disponible. Les prix varient de 700 à 1300 E. (...)

(01/03/2006 17:17:48)

Apple poursuit sa migration vers Intel avec le Mac Mini

Après avoir présenté ses premières machines animées par des processeurs Intel, Apple vient de franchir une nouvelle étape en faisant migrer vers l'architecture x86 son produit d'appel, le Mac Mini. Celui-ci se décline désormais en deux versions, l'une embarquant un processeur Core Solo et l'autre, Core Duo. La première est vendue 649 euros contre 879 euros pour la seconde. Cette forte augmentation de prix par rapport à la première génération de Mac Mini s'accompagne d'un développement des possibilités de la machine dans le domaine du multimédia : l'interface de type PC de salon d'Apple, Front Row, est fournie avec le Mac Mini, ainsi qu'une télécommande. L'ordinateur s'enrichit au passage d'entrée/sorties audio analogiques et numériques ainsi que de deux ports USB supplémentaires. Ces nouveaux Mac Mini pourraient néanmoins intéresser au-delà des usages domestiques. Leur interface réseau passe en effet au Gigabit Ethernet et permet d'envisager l'utilisation du Mac Mini en grappes de calcul économiques, Mac OS X intégrant nativement les fonctions nécessaires. (...)

(01/03/2006 17:17:11)

Isilog se dote d'un club utilisateur

Les utilisateurs des solutions éditées par Isilog, éditeur nantais spécialisé dans la gestion de parcs et de helpdesks, viennent de créer le Club Océane. Initié par le Conseil général de Loire-Atlantique, le CHU de Nantes et la société Isochem, le club a pour objectif de développer le partage d'informations et l'échange d'expériences entre les utilisateurs. Fondé en 1992, Isilog - 4 ME de CA 2005, 53 salariés - s'adresse essentiellement à des entreprises comptant au moins 500 postes installés. L'éditeur se déclare "facilitateur" du projet lancé par ses clients : il contribuera à l'aspect logistique et son responsable produit participera aux réunions du club Océane. L'essentiel des échanges reposant sur l'interaction entre les utilisateurs. Si le club n'en est qu'à ses balbutiements et ne compte que quelques membres, il espère que de nombreux clients d'Isilog - un millier environ d'entreprises utilisatrices - adhéreront. L'inscription s'élève à 250 E. (...)

(01/03/2006 17:16:04)

Sun et Sybase mettent à jour leurs outils RFID

Sun et Sybase vient de présenter de nouvelles versions de leurs outils RFID. Chez Sun, Java System RFID Software 3.0 a l'ambition de simplifier le déploiement et l'administration des réseaux RFID. Il doit aussi aider les utilisateurs à gérer d'importants volumes de données et peut, pour cela, être intégré aux autres systèmes de l'entreprise, via XML notamment. Java System RFID Software 3.0 est compatible avec Solaris 10, Linux et Windows. Chez Sybase, RFID Enterprise 2.0 propose des fonctions d'administration de réseau et d'équipements pour aider les utilisateurs à intégrer les données RFID à leur infrastructure existante. L'outil supporte notamment un environnement de développement intégré basé sur Eclipse et un moteur de runtime conçu pour le routage d'évènements, la supervision de l'activité et la transformation des messages. (...)

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