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(14/02/2006 17:25:48)

Le rapprochement Cegid/CCMX finalement autorisé

Le rapprochement entre Cegid et CCMX va finalement pouvoir s'achever. Le Conseil d'Etat vient de rendre un arrêt, en date du 13 février, confirmant la légalité de la prise de contrôle de CCMX par Cegid. Autorisée en octobre 2004 par le ministère de l'économie, cette opération avait été contestée par Fiducial Informatique et Fiducial Expertise devant le juge administratif, lequel l'avaitsuspendue en mai 2005. L'instance administrative avait alors requis l'avis du Conseil de la Concurrence sur une éventuelle atteinte à la compétition. En décembre 2005, l'institution estimait "que la concentration résultant de l'acquisition de la société CCMX par la société Cedig n'est pas de nature à porter atteinte à la concurrence sur le marché concerné". Le Conseil d'Etat a donc suivi la position du Conseil de la Concurrence, laissant le champ libre à Jean-Michel Aulas pour finaliser la prise de contrôle de CCMX. Face au temps perdu, "Cegid se réserve le droit d'intenter toute voie ou action judiciaire à l'encontre des sociétés Fiducial Informatique et Fiducial Expertise eu égard aux très nombreuses procédures diligentées par ces dernières depuis près d'un an". (...)

(14/02/2006 17:24:44)

France Télécom : bénéfice en forte hausse; 22 000 suppressions de postes en France

France Télécom a présenté des résultats plutôt bons lors de sa conférence annuelle, avec un chiffre d'affaires en progression de 6,2% en 2005, à 49,04 MdE, et un bénéfice net en hausse de 89%, à 5,71 MdE. Une partie de la croissance est liée aux acquisitions menées en 2005, dont celle de l'opérateur mobile ibérique Amena en juillet, mais aussi à une évolution des méthodes de prise en compte du CA mobile. Sans ces variations, la hausse du CA s'établit à 2,5 % soit un peu moins que ce que l'opérateur prévoyait pour l'année. Tiré par ses activités mobiles, France Télécom a réalisé une excellente année avec une croissance organique de 7,4% en 2005 (+14,4% en intégrant les acquisitions). Sur le marché des communications fixes personnelles, la croissance du CA organique est négative avec un recul de 1,2% (+0,4% en excluant les variations de périmètres). C'est en fait sur le segment des entreprises que l'opérateur souffre le plus avec un recul de 5,5% de ses ventes, lié à la concurrence exacerbée que se livrent les différents acteurs mais aussi à la banalisation des technologies IP tant dans les réseaux de données que pour le transport de la voix. France : le mobile pèse de plus en plus dans le chiffre d'affaires En France l'opérateur a connu une année assez positive avec une progression de 5,6% du nombre de ses abonnés mobiles et le succès du haut débit mobile, avec près de 1,04 million de clients à la fin 2005. Les mobiles pèsent désormais près de 50% du chiffre d'affaires hexagonal. Le revenu par abonné a toutefois légèrement reculé (-0,9%) à 424 E par abonné, largement du fait de la baisse des coûts de terminaison d'appels fixes vers mobiles. Sur le marché du fixe, France Télécom note une stabilisation du nombre de lignes à 27,5 millions et une hausse de l'ARPU à 27 E. L'opérateur a enrayé la baisse de sa part de marché ADSL et contrôle désormais 47,5% du marché soit un point de plus de PDM qu'en 2004. Près de 1,56 million de foyers sont aujourd'hui équipés d'une Livebox et 830 000 ont souscrit à l'offre de téléphonie IP de Wanadoo. 200 000 utilisent aussi l'ADSL pour recevoir des services de télévision. 22 000 emplois en moins en France d'ici à 2008 Pour l'année à venir, France Télécom entend poursuivre sur la voie de la convergence en accélérant sa stratégie Next. L'opérateur entend également exercer un sévère contrôle sur ses coûts afin de contrebalancer la pression qui s'exerce sur son CA. Par exemple en France, France Télécom estime que la baisse des coûts de terminaison devrait avoir un impact négatif de 180 ME sur son CA. De même la montée en puissance de la VOIP devrait avoir un impact négatif de 150 ME sur le CA. Ces baisses seront partiellement compensée par la hausse de l'abonnement en juillet mais aussi par la poursuite de la réduction des effectifs. D'ici à 2008, France Télécom entend réduire de 22 000 ses effectifs en France, pour l'essentiel par attrition naturelle. Le Groupe devrait en revanche voir ses effectifs à l'international croître de 5000 salariés au cours de la même période. (...)

(14/02/2006 17:25:16)

Recherche mobile : Microsoft se paie le français MotionBridge

Microsoft vient de mettre la main sur la société française MotionBridge, basée à Paris et spécialisée dans la technologie de recherche sur appareils mobiles à destination des opérateurs. "L'univers émergent de la recherche mobile est stratégiquement important, et crucial, pour nous permettre de délivrer notre vision de Windows Live : une expérience riche en information et sans discontinuité pour les particuliers comme les professionnels à travers les appareils mobiles" a commenté Christopher Payne, le vice-président de la division MSN Search chez Microsoft. Plusieurs opérateurs mobiles ont intégré les outils mis au point par MotionBridge, dont Orange, Sprint et O2. (...)

(14/02/2006 17:24:09)

Google / Microsoft : la course aux services hébergés fait rage

Google vient de débuter les tests d'un service hébergé de boîte aux lettres électroniques pour entreprise. A l'image de Windows Live Custom Domains., projet identique toujours en test démarré par Microsoft en novembre 2005. Chez Google, le service, baptisé « Gmail for your domain », permettra d'héberger une série de comptes email (sans en préciser le nombre) sous leur propre nom de domaine - au lieu du traditionnel @gmail.com. Chaque utilisateur se verra attribuer un espace de stockage de 2 Go -identique au volume disponible sur le webmail « grand public »-. Pour séduire les entreprises, Google permettra également aux administrateurs de configurer et gérer eux-mêmes leurs comptes email. Le pharaonique moteur de recherche indique cibler les PME et les universités. Hasard du calendrier, c'est le même jour que choisit Microsoft pour entamer un programme de tests en béta de son offre Office Live. Si peu de fonctionnalités ont pour l'heure été révélées, Microsoft indique toutefois que Office Live sera déclinée selon trois offres. La première, Office Live Basics proposera une kyrielle de services gratuits, mais sponsorisés : nom de domaine, 5 comptes email (2 Go de stockage), un espace de 30 Mo pour l'hébergement d'un site Web, un outil de création web automatique et enfin un outil d'analyse trafic, Office Live Site Reports. Office Live Collaboration et Office Live Essentials, quant à elle, fonctionneront à l'abonnement (à partir de 29$ par mois). Live Collaboration, axé davantage gestion de projet Internet, reposera sur les technologies de SharePoint : Extranet et Intranet protegés par mot de passe, gestion de contact et de projet, et gestion des ventes et RH. Plus complète, Live Essential, troisième déclinaison d'Office Live, se destine avant tout aux PME désireuses de bâtir leur activité autour d'Internet. Côté services, notons un nom de domaine, 50 comptes email (2 Go de stockage), le même outil de design web que l'offre Basics auquel s'ajoute le support de Frontpage, un outil d'analyse et enfin, un série de modules métiers tels que la gestion de clients, documentaire et de projet. Microsoft prévoit d'inaugurer les versions finales courant 2006. (...)

(14/02/2006 17:33:58)

Haro sur l' open source : SAP et Intel investissent dans MySQL

Enième clin d'oeil du modèle propriétaire à l'open source. Après la rumeur, Lundi 13 février, d'un triple rachat d'Oracle dans l'open source, c'est désormais au tour de MySQL, fleuron du mouvement, de susciter les convoitises. L'éditeur MySQL AB vient en effet de réaliser une levée de fond de 18,5 M$ dans un troisième tour de table, orchestré par le fond d'investissement Institutional Venture Partners (IVP). IVP compte notamment parmi ses investisseurs Intel Capital et SAP Ventures, branche d'investissement en capital-risque des deux géants du secteur. On y retrouve également Red Hat Ventures et Presidio STX (Sumitomo) . Dans un communiqué, MySQL AB, qui a récemment ouvert un filiale au Japon, explique que ces fonds serviront "à financer sa croissance continue dans le marché des bases de données d'entreprise, [...] ainsi que l'expansion du développement commercial et des activités liées au ventes et au marketing". Rappelons au passage que SAP et MySQL collaborent au développement de la base de données MaxDB. (...)

(15/02/2006 09:15:14)

L'activité en France, moteur de la croissance des SSII hexagonales en 2005

Oubliées, les moribondes années 2002 et 2003. En 2004, les SSII françaises avaient retrouvé le chemin de la croissance : elles ont poursuivi sur leur lancée et signé un exercice 2005 largement positif du point de l'activité. Sopra illustre parfaitement le dynamisme des sociétés de services informatiques hexagonales. Avec un chiffre d'affaires de 757 ME, le groupe affiche un taux de croissance de 20,2 %, dont 9,7 % en organique. L'activité conseil progresse de 19,7 %, à 41,3 ME. Surtout, l'intégration de systèmes et solutions (ISS) en France marque le succès de la stratégie mise en place, consistant à privilégier les offres à forte valeur ajoutée et de proximité : elle génère 504,7 ME de revenus et progresse de 9,1 %. La même activité, dans le reste de l'Europe, croît de 6,6 %, à 125,5 ME. enfin, la filiale Axway génère un CA de 85,5 ME, soit 14,2 % de mieux qu'au cours de l'exercice précédent. Chez Steria, la croissance flirte également avec les 20 %. A 1,17 MdE, le chiffre d'affaires dépasse pour la première fois le cap du milliard d'euros et progresse de 19,5 %. A périmètre constant, la croissance est de 4 %. Là aussi, l'activité réalisée en France se révèle être le moteur de la croissance. Le groupe réalise en effet dans l'Hexagone un CA de 483,1 ME, en hausse de 8,8 % en organique. En comparaison, la Grande-Bretagne ou l'Allemagne font pâle figure, qui affichent respectivement des reculs de 1,5 et 3,3 %. Le conseil et l'intégration de systèmes génèrent un CA de 686,9 ME, soit 4,6 % de plus qu'en 2004. L'activité Infogérance engendre quant à elle des revenus de 3,1 % supérieurs à ceux de l'exercice précédent, à 488 ME. Signe de la bonne santé retrouvée, Steria vise une progression plus rapide que celle du marché européen en 2006. Les résultats présentés par Unilog illustrent également la bonne santé des SSII françaises. Le groupe affiche ainsi un taux de croissance à deux chiffres, à 17,1 %, et 13,9 % en organique, pour un chiffre d'affaires de 769,7 ME. C'est en France qu'Unilog réalise la plus grande part de ses revenus : l'activité y progresse de 15,9 %, à 613 ME, bien aidée par la branche conseil dont la croissance dépasse les 20 %. Autre moteur des bons résultats du groupe, l'Allemagne génère un CA de 123,9 ME, soit 27,5 % de mieux qu'au cours de l'année précédente. Si Steria, Sopra et Unilog sont des exemples représentatifs de la tendance constatée en 2005, de nombreuses autres sociétés confirment ce retour à une croissance solide. C'est ainsi le cas de Devoteam, Atos Origin, GFI ou autre Capgemini. Goldman et Sachs chiffre la moyenne de la croissance organique des SSII à 11,2 % en 2005, soit 6 points de plus que pour l'exercice précédent. Une performance en grande partie due, selon les analystes, à davantage d'investissements de la part des grands comptes et des grandes PME. (...)

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