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(09/09/2011 15:00:45)
Gestion des identités renforcée grâce au cloud chez VMware et Symantec
Symantec, avec son projet «Ozone» et VMware, avec « Horizon», font avancer, chacun de leur côté, leurs propres approches SSO et de la gestion des identités via le cloud computing. Mais, bien que présenté récemment à VMworld 2011, le projet « Horizon » de VMware n'a pas de date de sortie définie, et on sait peu de choses sur celui de Symantec, si ce n'est qu'il porte maintenant officiellement le nom de « O3 ».
O3, dont le lancement est prévu l'année prochaine, doit permettre aux administrateurs IT de contrôler l'accès des salariés aux réseaux d'entreprise, qu'ils se connectent avec des terminaux mobiles ou des ordinateurs traditionnels. Le service O3 permettra aux gestionnaires l'accès à tout service cloud ou réseau autorisé, l'accès aux données étant réservé aussi à des fins d'audit et de conformité. O3 sera le noeud central pour accorder et retirer les privilèges d'accès aux utilisateurs, et offrira une série d'échelons d'authentification, du simple mot de passe à des méthodes beaucoup plus sécurisées, comme les tokens à deux-niveaux.
Authentification unique dans le cloud
Avec son système d'authentification unique SSO dans le cloud, Symantec s'engage dans un domaine où des vendeurs comme Hitachi, Symplified, Okta, IBM Tivoli, Courion, Zscaler et Ping Identity ont déjà pris pied. Mais le marché est encore naissant, avec en perspective, l'espoir que les responsables informatiques auront besoin de la configuration initiale dans le cloud pour gérer l'accès de leurs utilisateurs à des applications en ligne, une pratique qui tend à se généraliser. « O3 est vendu comme un service de sécurité », a déclaré Rob Koeten, directeur technique senior de O3. Celui-ci qualifie le service de « couche de sécurité» pour signifier que le système concerne aussi bien les terminaux mobiles que les PC classiques des salariés.
Pour résumer, O3 canalise le trafic en utilisant un service assimilable à un proxy, plus une passerelle associée à la gestion des autorisations. « Dans une entreprise, O3 pourrait par exemple exercer un contrôle précis sur la manière dont un salarié chargé des ventes utilise le logiciel Salesforce comme un service, » a expliqué Rob Koeten. « Dés son lancement l'an prochain, et c'est l'objectif de Symantec, O3 supportera les 200 premiers et plus importants services cloud, » a-t-il ajouté.
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Comme Symantec, VMware a longtemps lorgné vers la gestion des identités basée sur le cloud. Avec son projet « Horizon, » dont elle fait la promotion depuis plus d'un an, VMware entretien ses aspirations sans trop montrer où elle en est. (Coïncidence, le PDG de Symantec, Enrique Salem, a fait allusion à l'O3 pendant sa keynote à la conférence RSA de février, le jour où Art Coviello, le président de RSA, évoquait « Horizon », en indiquant que RSA travaillait avec VMware sur une solution de sécurité pour les services Cloud). « Horizon » semble encore au stade de projet, tel qu'il avait été présenté en 2010, sans date précise de livraison. Mais le PDG de VMware, Paul Maritz, a donné des précisions sur son développement lors d'une allocution récente à VMworld, indiquant que le projet réunissait « un ensemble de technologies » qui permettront « d'associer des informations à des individus, pas à des terminaux».
Grâce à la gestion des identités via le cloud, il sera possible de contrôler l'accès des utilisateurs aux applications, y compris le terminal d'où elles peuvent être téléchargés, des appareils sous Android par exemple, ce que VMware a montré pendant la conférence. « L'un des services concerne l'authentification des utilisateurs et le Directory Federation (FDS) dans l'environnement SaaS, » a déclaré Paul Maritz au sujet du projet « Horizon » à l'occasion d'un point presse, précisant que VMware avait acquis d'importantes technologies SSO et de gestion d'accès, grâce au rachat de TriCipher l'année dernière.
Aujourd'hui, ce sont surtout les petits acteurs de l'industrie, comme Okta, Ping Identity et Symplified, qui attestent du fait que les entreprises sont en train d'adopter de nouvelles modalités SSO pour les services cloud qu'elles utilisent. Par exemple, Pharmaceuticals Amag, une entreprise basée à Lexington, Massachusetts, utilise le service de gestion d'identité d'Okta, et s'appuie sur elle pour l'allocation automatique de ressources - autorisation et révocation - de plusieurs applications SaaS. «Tous les accès se trouvent chez Okta, » a déclaré Nathan McBride, directeur exécutif des technologies de l'entreprise. « L'utilisateur s'authentifie auprès d'Okta. » Celui-ci affirme par ailleurs qu'il ne s'inquiète pas pour le verrouillage du client, car il serait facile à l'entreprise de passer d'un service cloud SSO à un autre, si besoin était. « Si nous devions quitter Okta demain, nous aurions simplement à résilier notre service », a t-il déclaré.
(...)(09/09/2011 14:55:33)Intel injecte 24 M$ dans 7 éditeurs de logiciels
Intel a investi 24 millions de dollars dans sept éditeurs de logiciels spécialisés dans des domaines que la firme considère comme importants pour son avenir, tels les services de cloud computing. Intel Capital, le fonds d'investissement du fondeur a placé des capitaux dans le fabricant d'outils d'automatisation dans le cloud DynamicOps, dans Guavus, un éditeur de solutions analytiques en temps réel, dans le fournisseur de PaaS (Platform-as-a-service) IP Commerce, et enfin dans Swrve Nex Media, un éditeur de solutions analytiques pour jeux sociaux. Des fonds ont également été injectés dans Revolution Analytics, un éditeur de solutions d'analyse prédictive et dans la société de streaming multimédia Gaikai.
L'industrie du logiciel est devenue de plus en plus stratégique pour le fondeur qui tente de s'assurer que ses livraisons de microprocesseurs resteront importantes dans des marchés qui vont au-delà des traditionnels environnements client / serveur. Des tendances telles que le cloud computing ou encore l'informatique mobile sont venues bousculer le paysage technologique et nécessitent qu'Intel travaille d'une nouvelle façon avec ses développeurs et ses clients.
« Il est essentiel qu'Intel investisse dans les logiciels pour assurer le développement et l'innovation de ses activités liées au matériel », a déclaré Doug Fisher, directeur général de la division Software Systems du groupe, à la presse et aux analystes lors d'un briefing sur la stratégie logiciel qui a eu lieu ce jeudi.
327 millions de dollars injectés dans 119 sociétés
Le dirigeant a rappelé que le fondeur était impliqué dans le développement de logiciels depuis des années, dans des domaines tels que l'optimisation de systèmes d'exploitation et les codecs pour son matériel, et qu'il offrait des outils permettant aux développeurs d'utiliser de nouvelles capacités sur ses puces.
Au cours des dernières années, la firme de Santa Clara a intensifié ses activités en s'offrant l'éditeur de systèmes embarqués WindRiver, il y a deux ans, et en acquérant le spécialiste de solutions de sécurité McAfee, l'été dernier.
En 2010, Intel Capital a procédé à 119 investissements évalués à 327 millions de dollars. Environ 44% de ces investissements ont eu lieu en dehors des Etats-Unis, même si les financements annoncés ce jeudi concernent des entreprises exclusivement américaines.
Illustration : Doug Fisher, directeur général de la division Software Systems d'Intel. Crédit photo : IDG News Service
(...)
Windows 8 sera équipé d'un hyperviseur de type 2 basé sur Hyper-V
La prochaine version du système d'exploitation de Microsoft, Windows 8, intégrera la possibilité d'exécuter d'autres OS virtualisés dans des conteneurs, a annoncé l'éditeur dans un blog. Rappelons que l'on distingue deux types d'hyperviseurs sur le marché de la virtualisation des systèmes d'exploitation. Les hyperviseurs de type 1 ou bare metal - Hyper-V chez Microsoft, ESX chez VMware, KVM chez Red ou Xen chez Citrix - qui s'installent directement sur le matériel et contrôlent les systèmes d'exploitation et les machines virtuelles. Et les hyperviseurs de type 2 - Fusion et Workstation de VMware, Virtual PC de Microsoft, Virtual Box d'Oracle et Parallels Workstation de Parallels Desktop - qui s'exécutent à l'intérieur d'un système d'exploitation.
Jusqu'à présent, Hyper-V - gratuit - ne pouvait être installé sur les machines exécutant Windows Server 2008. Les utilisateurs qui ont besoin d'exécuter des machines virtuelles sur leurs ordinateurs de bureau Windows 7 utilisent donc des logiciels tiers, tels que Virtual Box Oracle ou VMware Workstation.
Un Hyper-V spécial Windows 8
«En construisant Windows 8, nous avons travaillé afin de permettre à Hyper-V ... de fonctionner sur le système d'exploitation client », écrit John Mathew, directeur de l'équipe d'Hyper-V. « En bref, Hyper-V vous permet d'exécuter simultanément plus d'un système d'exploitation x86 32-bit ou 64-bit sur le même ordinateur. Plutôt que de travailler directement avec le matériel de l'ordinateur, les systèmes d'exploitation sont exécutés à l'intérieur d'une machine virtuelle (VM) ».
Microsoft voit tout d'abord cette fonctionnalité comme un bénéfice pour les développeurs et les administrateurs. Les programmeurs pourront tester leurs programmes dans un environnement virtuel sans abîmer leur système d'exploitation principale. Les administrateurs pourront standardiser leurs infrastructures avec des PC équipés de machines virtuelles sur Hyper-V, a suggéré Microsoft.
La fonction de virtualisation ne fonctionnera que sur les machines x86 avec des processeurs 64 bits, bien que le logiciel lui-même pourra exécuter des applications et des systèmes d'exploitation 32 bits. Une machine avec 4 Go de RAM pourra accueillir jusqu'à quatre machines virtuelles, en pratique il faudra plus de mémoire pour travailler confortablement.
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Hyper-V pour desktop offrira aux utilisateurs de nombreux avantages comme l'accès à un bureau distant hébergé par un serveur. Ils pourront déplacer une machine virtuelle d'un disque à l'autre, sans interruption et déployer des connexions Windows Remote Desktop (RDC) pour des tâches avancées, telles que l'affichage d'une machine virtuelle sur plusieurs écrans. Les utilisateurs pourront également prendre des snapshots d'une machine virtuelle pour l'archivage ou l'analyse.
Mais certaines fonctionnalités de Windows ne fonctionneront pas dans un environnement virtualisé, averti John Mathew. Le système de cryptage de fichiers BitLocker, par exemple, ne pourra pas fonctionner correctement, car il repose sur une connexion directe à la machine TPM (Trusted Platform Module). Les applications qui utilisent le circuit graphique du PC pour traiter les données ne fonctionneront pas dans un environnement virtualisé. Enfin, les applications, telles que les sampleurs de sons qui exigent un très faible temps de latence, ne pourront pas travailler normalement.
Cette annonce est la dernière en date d'un certain nombre d'aperçus techniques que Microsoft a posté sur son prochain OS, qui est encore en développement. Cette livraison majeure pour l'éditeur est en 2012. Windows 8 aura une barre d'outils de type ruban et proposera une interface tactile dédiée aux tablettes qui bénéficieront d'une boutique en ligne. La firme de Redmond a promis de présenter plusieurs caractéristiques de Windows 8 lors de sa convention annuelle PDC Build (Professional Developers Conference), qui se tiendra la semaine prochaine à Anaheim, en Californie.
(...)(09/09/2011 11:24:50)Les apps Windows Phone 7 seront-elles compatibles avec Windows 8 ?
En spéculant, à l'occasion d'une table ronde avec des journalistes, sur le fait que les applications Windows Phone 7 pourraient peut-être tourner sous Windows 8 pour puces ARM, Jen-Hsun Huang, le CEO de Nvidia, a ouvert une perspective intéressante au futur système d'exploitation de Microsoft. Celui-ci n'est pas entré dans les détails et l'éditeur de Redmond n'a pas commenté cette déclaration. Si bien que l'on se demande si ces spéculations sont de pures hypothèses ou si l'information a filtré avec la bienveillance de Microsoft. N'empêche que si Windows 8 (ARM) était en mesure d'exécuter des applications tournant sous Windows Phone 7, ce serait un énorme coup de pouce pour le futur système d'exploitation de Microsoft, destiné aux ordinateurs personnels comme aux tablettes tactiles. Mais cela poserait aussi certains problèmes.
Une interface désormais traitée comme une application
D'après ce que Microsoft a déjà dit à propos de Windows 8, l'interface du système d'exploitation pour tablettes fonctionnera essentiellement comme une application, comme chez MacOS X. Il sera possible, au coup par coup, de s'immerger dans l'interface traditionnelle de Windows. Mais la tablette sous Windows 8 aura ses propres applications et un look & feel complètement différent. L'inconvénient de cette approche, c'est que Microsoft va partir de zéro en terme d'applications pour tablettes ARM sous Windows 8. L'éditeur va devoir convaincre les développeurs de créer de nouveaux programmes pour ces ardoises, et, au premier abord, cela risque sûrement de prendre un peu de temps. Mais si Windows 8 peut faire tourner les applications pour smartphones ARM, les tablettes vont profiter d'emblée d'un catalogue de plus de 30 000 applications Windows Phone 7, de la même manière que l'iPad avait tout de suite profité des milliers d'applications du catalogue pour iPhone.
Des interfaces très proches
La ressemblance entre les interfaces de Windows Phone 7 et de Windows 8 constitue certainement un avantage en terme de programmation. En effet, les deux systèmes utilisent l'interface utilisateur « Metro » de Microsoft, qui privilégie la présentation en grilles des informations, réparties en colonnes bien définies. Quand Microsoft a fait les premières démonstrations de Windows Phone 7, les apps s'affichaient hors du cadre de l'écran du smartphone. On imaginait facilement une tablette affichant toutes ces informations en même temps sur son écran plus large (la troisième diapositive de la démonstration de Windows Phone en donne une bonne idée). On peut même imaginer une application Windows Phone optimisée pour tablette, montrant plusieurs colonnes en même temps, et la même, affichée sur un smartphone, pour laquelle l'utilisateur aurait à faire défiler les colonnes une par une.
Une dualité difficile à gérer
Il reste cependant un problème potentiel dans le portage des applications Windows Phone sous Windows 8. Comme l'a fait remarquer le CEO de Nvidia, les applications Windows Phone ont été écrites pour les processeurs ARM. Et Windows 8 pourra tourner à la fois sous processeurs ARM et x86. Cette particularité pourrait faire la différence entre les appareils, puisque tous ne seraient pas en mesure de faire tourner ces applications. (La version desktop de Windows 8 pose un problème inverse, la plupart des applications Windows ayant été écrites pour des machines x86.) Microsoft n'a pas expliqué comment il gérera ce dilemme. La semaine prochaine, l'entreprise de Redmont organise une conférence pour les développeurs et les médias où elle doit donner des détails sur Windows 8. Tous attendent des réponses à ces questions.
Si Microsoft réussit à concilier les plate-formes applicatives ARM pour Windows Phone 7 et Windows 8, ce serait un coup magistral qui lui permettrait de revenir en force sur le marché des terminaux mobiles.
La Cour des Comptes souligne la défaillance de la gouvernance IT de la sécu
L'essentiel du rapport de la Cour des Comptes 2011 sur la sécurité sociale est bien sûr consacré à des sujets directement liés aux dépenses de santé. Mais la part de ce rapport sur l'organisation de la sécurité sociale est tout de même importante et l'informatique fait l'objet, comme toujours, d'une certaine attention de la haute juridiction. La gouvernance reste bien souvent défaillante.
Ainsi, la Cour s'intéresse à l'Agence Technique de l'Information sur l'Hospitalisation (ATIH), en charge du fameux PMSI (Programme de médicalisation des systèmes d'information) et, partant, de tous les calculs à la base des discussions budgétaires. Si l'ATIH remplit globalement bien son rôle, son informatique subit « l'absence de schéma directeur et d'audits informatiques ». Des incohérences sont également relevées. Ainsi, le passage à la tarification à l'activité (T2A) des hôpitaux aurait dû entraîner la disparition de tous les forfaits à base quotidienne. Mais il demeure de tels forfaits en lien avec une refonte incomplète des systèmes de facturation. Parfois, des curiosités ne sont que marginalement imputables à l'informatique : ainsi, la mauvaise formation des agents utilisant le système de calcul de prestations Cristal aboutit à des incohérences entre le calcul fait par le système et ce qui est expliqué au bénéficiaire.
Il arrive également que des systèmes soient lancés sans avoir été assez testés. L'informatique se retrouve souvent sous la pression d'obligations légales ou de nouveaux textes réglementaires qui doivent être appliqués alors que leur parution est trop récente.
La productivité en cause
L'informatique est aussi, bien sûr, en première ligne lorsqu'il s'agit d'accroître la productivité des agents. Mais les objectifs ne sont pas toujours atteints, entraînant de fait de nouveaux développements pour tenter de rattraper le retard. C'est par exemple le cas au sein des URSSAF. La productivité pourrait être toujours mesurée grâce aux outils en place mais, trop souvent, des organismes n'effectuent pas ce calcul.
Cerise sur le gâteau, les services informatiques eux-mêmes sont fustigés quand il s'agit de parler de productivité. De manière assassine, la Cour dénonce : « Cette fonction support emploie presque 5 000 personnes dans les différentes branches. Sa gestion pose problème tout particulièrement dans un contexte de réorganisation des réseaux. » L'un des principaux problèmes relevé depuis plusieurs années concerne la dispersion des équipes et la multiplication des sites de production. De plus, les coûts des fonctions transverses comme l'informatique ne sont pas toujours ré imputés correctement dans les coûts de fonctionnement.
La Cour appelle, assez logiquement, à une gouvernance unifiée au niveau de l'ensemble des organismes de sécurité sociale. Cette unification n'est pas seulement à faire au niveau des outils mais aussi des procédures.
Illustration: Symbole de la Cour des Comptes
Crédit Photo: Cour des Comptes
(...)(09/09/2011 10:28:08)Facebook aurait doublé ses revenus au 1er semestre
Selon une source interne, Facebook serait parvenue à multiplier son chiffre d'affaires par deux au premier semestre. Celui-ci atteindrait donc 1,6 milliard de dollars sur les six premiers mois de l'année. Le bénéfice net atteindrait pour sa part 500 millions de dollars. Chacun des 750 millions d'utilisateurs du réseau a donc rapporté une moyenne de 2,1 dollars, avec une marge bénéficiaire de 30%.
Entrée en bourse en 2012 ?A noter que, Facebook n'étant pas cotée en Bourse, la firme de Palo Alto (bientôt à Menlo Park dans les anciens locaux de Sun), ne publie pas ses résultats. Les chiffres fournis reposent donc sur des estimations fournies par des personnes connaissant bien l'entreprise. Ceci pourrait néanmoins changer prochainement, Mark Zuckerberg, fondateur de Facebook, envisagent depuis un certain temps une entrée en Bourse. Selon certains observateurs, celle-ci pourrait avoir lieu en 2012. A l'heure actuelle, le réseau social est valorisé à 80 milliards de dollars.
ICTJournal.ch (...)(09/09/2011 10:18:28)Des tablettes 7 pouces moins chères pour contrer Apple
Incapable de vraiment concurrencer Apple, les constructeurs asiatiques tentent de prendre pied avec un format plus petit que celui de l'iPad. Samsung relance son ardoise Galaxy Tab 7.7 (7,7 pouces donc), mais sans 3G, mais avec WiFi, pour en baisser le prix. Dotée d'un écran Super AMOLED Plus d'une résolution de 1280 x 800 pixels et d'un processeur ARM double coeur cadencé à 1,4 Ghz, cette tablette Android est notamment capable de lire des vidéos en HD et peut faire office de télécommande universelle. Elle sera disponible en versions 16, 32 et 64 Go, pour un prix encore inconnu.
De son côté et toujours à Berlin, Viewsonic a présenté un prototype d'ardoise 7 pouces Android, la 7E, destinée à investir le marché français dès le mois d'octobre pour un prix d'environ 170 €. Ici, pas de composants dernière génération, avec une puce ARM cadencée à 1 GHz (comme l'iPad v1), 512 Mo de mémoire vive et seulement 4 Go de stockage.
Dans la même veine, la tablette Archos 80 G9 (8 pouces, soit 20,32cm) est attendue pour la fin du mois de septembre, pour 249 €. Pour ce prix, le constructeur français a équipé sa tablette d'un processeur Texas Instrument ARM cadencé à 1,5 GHz et promet la lecture de tous les formats vidéo, y compris en HD.
De son côté, Amazon doit présenter en novembre sa toute première tablette. Les dernières rumeurs, relayées notamment par un journaliste du site TechCrunch qui aurait eu l'objet entre les mains, évoquent une tablette de 7 pouces aux composants classiques (et sans capteur photo), dotée de 6 Go et proposée en version WiFi à 250 $. Au final, elle serait beaucoup plus proche d'un Kindle que d'un iPad.
Notons que le mobile vit aussi peut-être une période de transition. Ainsi, Samsung a présenté, toujours à l'IFA, un smartphone énorme, le Galaxy note, doté d'un écran de 5,3 pouces (7,62cm) et de composants plus proches de sa tablette Galaxy Tab que d'un smartphone classique. De son succès dépendra peut-être une nouvelle orientation pour les fabricants de smartphones.
Les SSII sont concurrencées sur le marché des services selon PAC
Premier constat de PAC (Pierre Audoin consultants), le marché des services est concentré. Les 100 premières sociétés actives dans les services informatiques en France concentrent 80% de ce marché. Il existe plus de mille SSII en France et des centaines de sociétés extérieures venues sur ce marché, mais les 100 premières accaparent l'essentiel. A noter que du 99ème au 40ème, on trouve des sociétés entre 24 et 103 millions d'euros de CA annuel. A l'autre extrême, trois sociétés seulement dépassent le milliard d'euros (dans les services) : IBM (2, 371), Cap (1,949) et Atos (1,553).
Deuxième point fort : l'hétérogénéité de plus en plus forte du secteur. Aux côtés des SSII « classiques », figurent des sociétés venues de mondes très différents. Les télécoms évidemment, avec Orange (5ème avec 899 millions d'euros de CA), BT (20ème, 233 millions d'euros), T Systems (27ème, 220 millions d'euros), OVH (45 millions d'euros) ; le matériel (Xerox, 112 millions d'euros), l'intérim (Adecco, 124 millions d'euros, et un nouveau venu Manpower), l'industrie avec Doc@post (317 millions d'euros).
Forte présence des constructeurs informatiques
On peut rappeler aussi la présence dans les 1ères places de sociétés venues du matériel informatique, IBM, Bull (13ème, 352 millions d'euros), Wincor Nixdorf (59), plus loin dans le classement Dell (30ème, 187), NCR (95), Unisys (85), Fujitsu (76); des sociétés issues de la défense et des réseaux comme Thales (11ème avec Thales CIS, 39 millions d'euros) ; de grands intégrateurs réseaux : Spie (193), Nextiraone (184), et Telindus (79). Sans oublier l'étonnant Econocom (96 millions d'euros), un secteur à lui tout seul, Computacenter (67) et même Solutions 30 (39).
PAC souligne également, ou plutôt confirme d'année en année, le poids des acteurs indiens en France. Ils remportent des succès dans le CAC 40 note le cabinet d'études. GFI a même construit des partenariats avec TCS (36 millions d'euros), Infosys (31) et Wipro (91). Le cabinet s'interroge enfin sur les facteurs de croissance des SSII. Pour remarquer les très bonnes performances de Viseo, ITS Group, Feel Europe et souligner l'effet de la spécialisation dans les bonnes croissances. Toutefois, l'ensemble du secteur se trouve désormais à maturité, avec un volant incompressible d'informaticiens au chômage, une grande maturité des clients et donc beaucoup d'efforts à déployer chez leurs prestataires.
Twitter annonce 100 millions d'utilisateurs actifs
Cinq ans après son lancement, Twitter a annoncé que 100 millions de personnes à travers le monde étaient des utilisateurs actifs. Plus de la moitié se connecte chaque jour pour suivre leurs sujets favoris et 40% des utilisateurs actifs se sont connectés récemment uniquement pour suivre ce qui se passe dans le monde.
Lancée en 2006, Twitter est une site de micro-blogging, permettant à ses utilisateurs de poster des courts messages (140 signes maximum), les "tweets".
(...)(09/09/2011 09:31:00)Strasbourg teste le paiement sans contact mobile
Les premiers services sans contact accessibles depuis les mobiles Cityzi seront proposés aux Strasbourgeois à partir du 17 octobre : paiement bancaire chez les commerçants équipés et règlement du stationnement sur les horodateurs dédiés. En attendant le paiement dans les transports publics, l'intégration de coupons de réduction, etc.
Tout cela implique néanmoins de disposer d'un mobile Cityzi, disponibles dans les boutiques Bouygues Telecom, Orange et SFR ou dans les agences du Crédit Mutuel et du CIC pour NRJ Mobile. Tous les services sont hébergés dans la carte SIM des mobiles Cityzi.
Les prochaines villes à expérimenter ce système en 2011 et 2012 seront Bordeaux, Caen, Marseille, Paris, Lille, Rennes et Toulouse. Dans la foulée de la France, les initiatives du même type se multiplient en Europe (Barcelone) et aux Etats-Unis (voir illustration principale à SF).
Crédit photo : D.R.
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