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(18/10/2005 17:26:12)
Gouvernance : Borland rachète Legadero
Borland annonce le rachat de Legadero, spécialiste de solutions liées à la gouvernance, pour un montant non-communiqué. La transaction s'effectuera en numéraire.
Outre un portefeuille de trente clients, Borland récupère surtout la technologie de gouvernance Legadero, Tempo. Borland entend rebaptiser le module, Borland Tempo, et sera fondu dans Core SDP (Software Delivery Platform) for ALM, sa plate-forme de gestion de cycle de vie d'application, dès mi-2006. Borland confirme poursuivre également la commercialisation du produit en version seule. (...)
La croissance du dégroupage se tasse en France
Le dégroupage en France a poursuivi sa progression au troisième trimestre 2005, quoi qu'à un rythme ralenti par rapport à l'année écoulée. Le nombre de lignes dégroupées actives en France a certes progressé de près de 140% en un an, mais la croissance d'un trimestre sur l'autre plafonne à 7,75% % contre 14,38 % au trimestre précédent et 28,04% pour le trimestre clos en avril.
En fait la croissance du dégroupage partiel est quasiment à l'arrêt avec un maigre 3,67% de croissance par rapport au trimestre antérieur et le marché ne progresse que grâce au dynamisme du dégroupage total dont la base installée a bondi de 40,85% en trois mois (+600% en un an).
La tendance au tassement des livraisons, si elle devait se confirmer, n'augure rien de bon pour les opérateurs alternatifs. Elle pourrait aussi montrer les limites d'une stratégie de concurrence à outrance centrée sur les grandes agglomérations, alors que c'est plutôt en périphérie des villes et dans les centres urbains de taille moyenne de province que semble se situer le réservoir de croissance de l'ADSL. Le taux d'équipement y est en effet pour l'instant très inférieur à celui des grandes agglomérations et l'ADSL n'y encontre pas la concurrence accrue des câblo-opérateurs, qui, de plus en plus, utilisent leur infrastructure pour offrir des services de triple-play à leurs abonnés. (...)
Google fait la lumière sur sa politique de collecte de données personnelles
Le tentaculaire Google vient de publier une version revisitée de sa politique de collecte et d'utilisation des données personnelles. Son objectif : clarifier auprès des utilisateurs ses procédures de récupération des profils utilisateurs. Pour au final, rassurer sur les multiples services disponibles, et sur les futurs développements actuellement en gestation.
Rappelons que lors du lancement de Gmail et de Desktop Search, Google avait été pointé du doigt pour son manque de transparence quant à l'utilisation des profils des utilisateurs. Certains y voyaient à l'époque une man½uvre pour alimenter sa base auprès d'annonceurs, notamment pour son système de liens contextualisés, Adwords.
Ainsi, pour simplifier la lecture, Google a remodélisé sa charte selon trois modèles de document : une version complète, une version courte et allégée (baptisée Highlights), et enfin une FAQ (Frequently Asked Question), plus pragmatique.
Google présente ensuite la « charte » censé régir ses différents outils associés à des compte utilisateurs (Desktop, Gmail, Groups, Orkut, Personalized Home Page, Personalized Search, Store, Talk, Toolbar, et Web Accelerator). Chacune se découpe selon trois grilles de lecture : ce que Google collecte, ce qu'il en fait, et le choix qu'a l'utilisateur quant l'utilisation de ses données.
Peu d'importantes modifications pour autant. Google ré-affirme davantage ses méthodes, plus explicitement. On y apprend toutefois qu'il s'autorise à utiliser les informations personnelles à des fins de personnalisation de contenu (tant informatif que publicitaire). Et peut partager ses mêmes informations avec des sociétés partenaires. Il s'engage enfin à renvoyer son personnel voire à le poursuivre devant les tribunaux, en cas de divulgation d'informations sur la vie privée.
Seule pièce manquante : la durée de stockage des données utilisateurs. (...)
VMWare prépare la mise à jour de ses solutions de virtualisation
VMWare va lancer, au premier trimestre 2006, de nouvelles versions d'ESX Server et de VirtualCenter. La principale mise à jour d'ESX Server tient au doublement du nombre de processeurs supportés, passant de deux à quatre. ESX Server 3 et VirtualCenter 2 devraient en outre être enrichis de fonctions d'automatisation touchant notamment à la supervision des serveurs physiques et à la réallocation des machines virtuelles en cas de panne. VMWare prévoit de présenter plus avant les nouveautés de ces mises à jour au cours de sa conférence utilisateur qui se déroulera cette semaine à Las Vegas. ESX Server 3 et VirtualCenter 2 sont actuellement en phase de test auprès d'un échantillon restreint d'utilisateurs. Une phase de bêta test plus étendu est prévue pour la fin de l'année. (...)
(17/10/2005 17:51:26)Zend rejoint Eclipse et développe un framework PHP
L'éditeur PHP Zend Technologies devrait rejoindre le consortium Eclipse d'ici quelques jours, au rang de « Strategic Developer », et inaugurer son programme « PHP Collaboration Project ». Son objectif : développer un framework PHP, baptisé Zend PHP Framework, ayant pour IDE, Eclipse.
Zend sera étroitement associé à IBM dans ce projet, deux sociétés déjà partenaires autour du Zend Core for IBM. Oracle, Actuate, Intel et MySQL ont également intégré le « PHP Collaboration Project ».
Selon Zend, le framework devrait fournir un socle standard PHP visant à faciliter le développement d'applications critiques ainsi que leur déploiement. Soit en clair, pousser PHP dans les entreprises.
Zend Core for Oracle disponible
La semaine dernière, Oracle et Zend livraient une version finale de Zend Core For Oracle (en béta depuis août), pour les plate-formes AIX, Linux et Solaris. Ainsi que les bétas pour Windows.
L'ensemble des versions restent disponibles en téléchargement gratuit depuis le réseau Oracle (OTN) et le site de Zend. (...)
ST Micro se renforce à nouveau en Asie
Le fabricant franco-italien de semi-conducteurs poursuit son implantation en Asie. Après l'Inde, où le groupe prévoit de construire une usine, c'est en Chine qu'il va se développer en créant une nouvelle division. Outre la Chine, elle sera chargée de couvrir les activités à Hong-Kong et Taiwan. « La création d'une région Chine constitue une étape vitale pour conforter la réussite [du groupe] dans la zone économique la plus dynamique du monde », précise le fabricant dans un communiqué.
La Chine devrait en effet représenter environ 20 % du marché mondial des semi-conducteurs en 2010. D'ici là, la région asiatique constitue la moitié des ventes de ST Micro, la Chine s'accaparant 50 % de ce volume. (...)
L'Irlande abandonne deux projets SAP à la dérive
L'abandon de deux projets publics controversés basés sur les progiciels de SAP et évalués à 380 M$ a déclenché une tempête politique en Irlande. L'Irish Health Service Executive (HSE), un comité de supervision du département de la santé irlandais a ainsi mis un terme au projet PPARS (Personnel, Payroll and Related Systems) lancé il ya a dix ans et qui devait gérer la paie pour les 120 000 employés du département.
Le projet a été stoppé après la découverte de nombreux problèmes lors des 4 premiers déploiements régionaux sur un total de 37 000 employés. Un salarié avait ainsi eu la divine surprise de recevoir un salaire de 1,2 M$ lors des premiers déploiements. Le comité a aussi mis un terme au projet FISP (Financial Information Systems Project ) lui aussi basé sur SAP. Les deux projets avaient été confié à Deloitte & Touche LLP et s'appuyaient sur SAP R/3.
Au parlement de nombreuses voix se sont élevées pour pointer du doigt la gabegie et les erreurs de management dans la supervision des deux projets. Lancé en 1995, le projet PPARS devait à l'origine durer environ 3 ans et coûter 10,7 M$. Après 10 ans, il a déjà englouti 180 M$ soit le prix d'un hôpital neuf avec 300 lits
Le projet FISP dont l'objectif était d'unifier les systèmes financiers du département de la santé devait quant à lui coûter 203 M$. et il a été stoppé après 36 M$ de dépenses.
Selon SAP, le département de la santé irlandais est "un client très apprécié" (a highly valued customer). La branche irlandaise de Deloitte se refuse de son côté à tout commentaire sur les deux projets... (...)
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