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(24/06/2005 17:45:19)

EMC va porter la plupart de ses applications sur Solaris 10 Sparc et x86

Sun Microsystems et EMC ont annoncé un renforcement de leur coopération pour assurer le fonctionnement des systèmes de stockage et des logiciels d'EMC sur Solaris 10 Sparc et x86. Les deux constructeurs ont aussi mis en place un système de numéro de support unique permettant de résoudre les problèmes rencontrés par les clients avec leurs équipements.

Selon les termes de l'accord, EMC va porter la plupart de ses applications sur Solaris pour plates-formes Sparc et Opteron. Les logiciels concernés sont notamment PowerPath, Documentum, les outils de sauvegarde et d'archivage de Legato, ainsi que les outils d'administration Smarts.

L'accord avait en quelque sorte été préannoncé lors de l'EMC Technology Summit de La Nouvelle-Orléans, durant lequel Marc Lewis, le numéro deux de la société, nous avait confié l'intérêt d'EMC pour Solaris et son intention de supporter plus activement l'OS, avec l'aide de Sun. Au passage, Lewis avait égratigné les grands distributeurs Linux, les accusant implicitement de ne pas simplifier la tâche des grands acteurs du stockage en poursuivant la fragmentation de leurs plates-formes. Cette fragmentation complique, selon Lewis, la validation des logiciels et pilotes sous Linux et génère des coûts élevés pour les éditeurs tiers. (...)

(24/06/2005 17:52:06)

Nortel teste le roaming 3G/Wi-Fi au Japon

Nortel Networks et la division BB Mobile de SoftBank ont démontré, au Japon, la faisabilité d'un système de roaming transparent entre réseaux 3G et réseaux Wi-Fi. Les deux sociétés ont utilisé pour cela un système développé par Nortel qui permet aux utilisateurs de basculer de façon transparente leurs appels voix ou données d'un réseau à l'autre. Les tests se sont déroulés à Tokyo et à Saitama dans le cadre d'une licence expérimentale allouée par le régulateur japonais. Les deux sociétés n'ont, en revanche, pas indiqué si les tests se traduiraient par le lancement dans l'avenir d'une offre commerciale. (...)

(24/06/2005 17:51:28)

eBay cherche à enrichir sa base de développeurs

eBay a décidé d'ouvrir au modèle Open Source une partie du code de ses applications de recherche et d'accès afin d'accélérer leur développement en élargissant sa base de développeurs. Actuellement, selon la plate-forme de commerce et d'enchères électroniques, seules 20 % des innovations logicielles sur ses applications proviennent de développeurs indépendants.
L'annonce d'eBay intervient au moment où l'ogre Google confirme ses velléités sur les outils de paiement en ligne, dont eBay – avec PayPal – est l'un des principaux acteurs. (...)

(24/06/2005 17:41:37)

JavaOne 2005 s'apprête à fêter 10 ans de Java

«JavaOne est l'un des plus grands événements pour les développeurs dans le monde», explique Joe Keller, le vice-président du marketing de Sun pour les outils et services Java. La vision de Java est devenue réalité, avec son inclusion dans des technologies allant des cartes à puces aux serveurs, en passant par les téléphones mobiles. Selon Sun, la communauté Java est forte de 4,5 millions de développeurs dans le monde, et il existe aujourd'hui plus de 2,5 milliards de terminaux embarquant une forme ou une autre de la technologie, disséminés dans le monde. Sur ce total, 700 millions sont des PC.

Pour cette dixième édition de JavaOne, l'un des axes de communication de Sun devrait être le développement de Mustang, la prochaine mouture de Java 2 Standard Edition (J2SE). Cette mouture devrait enrichir le langage Java et les librairies c½ur du standard. Elle apportera aussi des améliorations en termes de sécurité et de support réseau, ainsi que de nouvelles capacités de supervision et d'administration à travers JME (Java Management Extensions). Un des objectifs de Sun est également de remettre Java au goût du jour en tant que technologie pour les postes clients en entreprises, de quoi positionner la technologie comme une alternative à .Net sur les postes clients. Mustang est attendu pour la mi-2006 et devrait être suivi, au second semestre, 2007 par Dolphin. Sun devrait aussi parler de la prochaine mouture de Java 2, Enterprise Edition (J2EE), connue sous le nom de code Glassfish.

Selon Rick Ross, le président de JavaLobby, une association de développeurs qui compte près de deux cent mille membres, «quelques-unes des innovations les plus intéressantes de JavaOne auront trait aux interfaces graphiques […]. Certaines des fonctions les plus cool de Mustang ont trait au poste de travail.» Réaliste, Ross note toutefois que Java devra affronter la concurrence sur les postes clients d'alternatives telles celles proposées par Longhorn, Mac OS X ou même Solaris.

Pour Ross, JavaOne 2005 devrait aussi être l'occasion de voir apparaître de nouveaux produits Java libres. Lundi, Eclipse devrait, par exemple, présenter la version 3.1 de son environnement de développement. La bataille des IDE devrait d'ailleurs être intéressante, puisque Oracle a annoncé son intention de rendre gratuit son outil JDeveloper, tandis que Sun devrait présenter la nouvelle interface de NetBeans 4.1.

Parmi les conférenciers présents à l'événement figureront, comme chaque année, Scott McNealy et Jonathan Schwartz, ainsi que James Gosling, l'un des pères de Java, pour le traditionnel concours de machines de lancer de T-shirt (l'objectif est de construire une machine aussi folle que possible, pilotée par du code Java, pour lancer des T-shirts dans la foule…). Les directeurs techniques de BEA Systems, Borland Software et Nokia devraient aussi chacun animer un keynote. (...)

(24/06/2005 17:44:12)

IBM acquiert Meiosys, un spécialiste français de la haute disponibilité et de la virtualisation

IBM vient d'annoncer l'acquisition – pour un montant non-précisé – de Meyosys, un compagnie d'origine française basée à Toulouse et à Palo Alto.

Fondée par des anciens de Thomson CSF, Meiosys est un spécialiste de la virtualisation d'applications et de la haute disponibilité. La société a développé MetaCluster, une solution qui permet de déplacer en quasi-temps réel une application d'une plate-forme à une autre sans perte son état, et donc sans impact pour les utilisateurs. Comme l'explique Marc Rougier, le cofondateur et directeur général de la société. La technologie MetaCluster est transparente pour les applications. «Nous nous sommes tout d'abord intéressés au marché du calcul, et nous avons packagé notre offre avec des applications HPC. Nous supportons aujourd'hui trente-cinq applications dans ce modèle-là. Ensuite, nous nous sommes attaqués aux applications transactionnelles multiniveaux typiques des environnements d'entreprises.» MetaCluster supporte ainsi la relocalisation du tiers web, «qui est facile à transporter», mais aussi du tiers applicatif (Sun One, Websphere, Jboss…) et du tiers de bases de données.

Selon Marc Rougier, la force de MetaCluster est qu'il se positionne entre l'OS et l'application. De cette façon, il permet d'apporter la tolérance aux pannes sur des architectures de commodité sans avoir à modifier les applications.

A ce jour, la technologie existe sous Linux et Solaris, et la société achève l'intégration sur AI/X. Comme l'explique Marc Rougier, une intégration est aussi en cours avec Tivoli. L'objectif est de permettre à l'outil de supervision de pouvoir relocaliser une application ou une chaîne applicative complète sur une plate-forme de secours en cas de détection de problèmes sur les plates-formes de production. Il est à noter qu'une intégration supplémentaire devrait être réalisée avec la plate-forme d'administration de containers applicatif de Meiosys MetaCluster AMR, avec à terme pour but de lui permettre de superviser des containers applicatifs, mais aussi des conteneurs plus monolithiques comme ceux générés par les plates-formes de virtualisation telles que Xen. IBM pourrait aussi utiliser une partie du code de MetaCluster dans certains de ses logiciels tels que DB2 et WebSphere.

A ce jour, Meiosys emploie trente et une personnes, dont vingt et une à Toulouse. Cette équipe pourrait servir de noyau à un futur centre d'expertise sur la virtualisation et la tolérance de panne d'IBM dans la Ville rose. (...)

(24/06/2005 17:48:36)

Microsoft ouvre LCS 2005 aux navigateurs Web

Microsoft travaille actuellement à développer une version Web d'Office Communicator, le logiciel client de messagerie instantanée complément de Live Communication Server 2005. Annoncée par Anoop Gupta, vice-président de la division Real Time Collaboration de Microsoft, l'application sera baptisée Office Communicator Web Access et fonctionnera sur le même modèle qu'Outlook Web Access. Objectif : ouvrir l'accès à Live Communication Server 2005 à tout type équipement, des solutions mobiles aux systèmes non-Windows, et également aux OS plus anciens de type Windows 98.
«Les utilisateurs devraient disposer, dans un premier temps, de fonctionnalités rudimentaires», telles que la messagerie instantanée et la notification de présence.
Office Communicator Web Access sera disponible pour Internet Explorer, «et pour d'autres navigateurs», indique Microsoft, sans toutefois préciser lesquels.
Une version de test devrait être téléchargeable d'ici à la fin juillet 2005, avant une version finale fin 2005.
Aucune précision n'a été communiquée quant à son tarif et à son mode de licence. (...)

(23/06/2005 17:47:35)

Gartner : cinq raisons qui feront échouer les projets off-shore

Les entreprises devraient dépenser plus de 50 Md$ sur des projets d'externalisation off-shore et near-shore d'ici 2007, mais nombre de projets near-shore devraient échouer du fait d'une mauvaise planification. C'est en tout cas l'analyse que fait le cabinet d'études Gartner.

Certaines entreprises se ruent sur l'externalisation comme un moyen de gagner un avantage concurrentiel, et en espérant réduire leurs coûts ou augmenter leur productivité. Ces gains espérés peuvent toutefois être largement remis en cause par plusieurs facteurs. Gartner en dénombre cinq principaux.

Tout d'abord, les entreprises espèrent réduire leurs coûts de main d'½uvre en externalisant vers des pays où les salaires et les coûts sociaux sont moindres (25$ par heure pour un technicien support en Inde contre 87$ pour un salarié américain). Mais ces sociétés font une erreur en ne s'intéressant qu'au volet salarial. Les coûts cachés en termes d'infrastructure, de communications de voyage et de formation peuvent largement compenser la différence salariale, ce qui fait que les gains, s'ils existent, ne se feront jour qu'à long terme.

La productivité d'un centre de service externalisé n'est pas forcément non plus à la hauteur de celle d'un centre local. Le taux de rotation du personnel plus élevé, l'inexpérience des salariés qui en découle peuvent nuire à la productivité. De plus, la démoralisation des personnels locaux induite par la délocalisation d'une partie de leur travail à l'international n'est pas à sous-estimer.

Pour que l'externalisation fonctionne, les responsables de l'entreprise doivent continuer à s'impliquer après la signature. Selon Gartner, nombre de dirigeants s'intéressent au contrat jusqu'à sa signature et passent ensuite à autre chose, alors qu'ils devraient rester impliqués pour continuer à expliquer l'intérêt de l'externalisation et définir les projets et leurs objectifs clairement.

Gartner indique aussi qu'il ne faut pas sous-estimer les différences culturelles. La perception de la hiérarchie est différente d'une culture à l'autre. Dans certaines cultures, contester la hiérarchie est vu comme un manque de respect, ce qui fait que les équipes externalisées continueront un projet même si elles sont conscientes qu'il existe de meilleures approches. Les entreprises externalisatrices doivent donc s'adapter aux cultures des pays où elles externalisent et même multiplier les échanges entre salariés du pays d'origine et des pays sous-traitants.

Enfin, Gartner prévient les entreprises qu'elles doivent anticiper les risques de l'externalisation et prévoir des scénarios de secours en cas de problème. Il enjoint ces dernières à privilégier l'externalisation de processus bien maîtrisés et matures pour lesquels des méthodologies standardisées et des accords de qualité de service sont déjà en place, sous peine de sérieuses déconvenues.

Adapté d'un article de James Niccolai, IDG News Service Paris. (...)

(23/06/2005 17:55:38)

La sécurité informatique, préoccupation majeure des financiers

La sécurité informatique est, pour la première fois, la préoccupation principale des directeurs financiers.

La septième édition du sondage Technology Issues for Financial Executives, conduite par la SSII américaine CSC auprès de cadres financiers, place la sécurité informatique en tête des préoccupations liées à la technologie. Elle remplace les investissements technologiques, relégués en deuxième position.

Seul un cadre financier sur cinq s'estime grandement satisfait par la politique de sécurité mise en ½uvre dans son entreprise. Pour Jerry Boltin, qui dirige le cabinet Business Intelligence de la branche conseil de CSC, «les entreprises reconnaissent à quel point elles sont vulnérables». Les financiers ont classé les domaines de l'aide à l'analyse et de la prise de décision dans la sphère des contraintes en raison du manque de solutions technologiques appropriées.

Plusieurs douzaines de participants au sondage ont prévu de dépenser au moins 10 M$ au cours de l'année prochaine pour améliorer leur environnement analytique, un investissement motivé par un besoin croissant d'information de meilleure qualité et délivrée dans des délais plus brefs.

Les deux domaines d'analyses revenant le plus fréquemment dans l'étude comme devant être améliorés sont les outils de prévision et de gestion budgétaire ainsi que les tableaux de bord.

Selon l'étude conduite par CSC, les dépenses IT globales progresseront modestement au cours des prochaines années. Les sociétés prévoient de nouveaux accords d'externalisation et de services partagés (insourcing). Environ 90% des participants à l'enquête se déclarent satisfaits de l'externalisation organisée par leur entreprise. (...)

(23/06/2005 17:56:52)

La suite bureautique Java ThinkFree 3.0 disponible dès juillet

Le Sud-Coréen Haansoft devrait sortir, en juillet 2005, la version 3.0 de ThinkFree Office pour Windows, sa suite bureautique Java. Il s'agira de la plus importante mise à jour depuis la version 2.3 de l'application, précise l'éditeur. Principale amélioration : Haansoft a renforcé la compatibilité avec la suite de l'éditeur de Redmond. Pour, selon l'éditeur, s'imposer comme une alternative à Microsoft Office. Un défi qu'Haansoft se targue d'avoir relevé notamment en Corée du Sud, en proposant un logiciel plus «localisé» qu'Office. Par ailleurs, les logiciels Haansoft (notamment Hangul, autre suite bureautique, plus professionnelle) sont livrés préinstallés chez de nombreux revendeurs sud-coréens.

Pour rappel, ThinkFree repose sur trois composants : un traitement de texte, ThinkFree Write, un tableur, ThinkFree Calc, et un outil de présentation, ThinkFree Show. La version 3.0 sera traduite en quinze langues.
Haansoft prévoit par ailleurs de commercialiser des versions Linux et Mac.
Son prix ? Inchangé selon Haansoft, soit 49,90$. (...)

(23/06/2005 17:52:01)

Alcatel investit dans les start-up chinoises

L'équipementier Alcatel va créer un fonds de capital-risque en Chine pour y développer le haut débit.

Une semaine après qu'Intel a mis en place un fonds de 200 M$ pour investir dans les jeunes entreprises chinoises, Alcatel annonce la création du Venture Capital Partnership Program, dont la dotation n'a pas été communiquée. Il s'agira pour le groupe de participer au financement de start-up développant des services innovants, des applications et des produits pensés pour développer le haut débit.

Le programme, mis en place par l'intermédiaire de la filiale chinoise Alcatel Shangai Bell, prévoit d'ouvrir l'accès de ses centres de recherche et de développement aux jeunes pousses pour qu'elles y testent et valident leurs prototypes. Alcatel fournira également un support marketing pour déployer produits et services auprès des utilisateurs finaux.

A travers ce programme, l'équipementier espère susciter une demande nouvelle et des retours importants, dans un pays présentant «un énorme potentiel commercial pour les nouvelles technologies et les nouveaux services», selon Gérard Dega, le président d'Alcatel Shangai Bell. La Chine est en effet le deuxième pays au monde en nombre de lignes à haut débit, avec 28,3 millions. Un chiffre en constante augmentation. (...)

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