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(06/06/2005 18:04:05)

Selon l'Omsyc, le marché mondial des télécoms représentera 1 700 Md$ en 2010

Selon l'Observatoire mondial des systèmes de communication (Omsyc), le marché mondial des télécommunications devrait représenter près de 1 700 Md$ en 2010. Dans un communiqué, l'Omsyc relève une reprise de la croissance de ce marché depuis 2002 avec une progression annuelle moyenne de 6% jusqu'en 2004. Pour la période 2004-2010, l'Observatoire estime que la croissance devrait être de 3% en moyenne chaque année. L'Omsyc prévoit ainsi que le marché mondial des télécommunications représentera 1 669 Md$ en 2010, deux fois sa valeur en 1996.
Plus spécifiquement, l'Observatoire relève le rôle important des équipements privés qui «génèrent actuellement 38% de la valeur du marché des équipements, dont 86% proviennent de la vente de terminaux mobiles». L'Omsyc souligne en outre le poids écrasant des services qui «devraient générer environ 84% des revenus des télécommunications à l'horizon 2010, alors qu'il représentaient 78% du marché en 1996». L'étude de l'Omsyc confirme le recul de la voix fixe qui «représentait les trois quarts du marché en 1996» contre «44% de la valeur» aujourd'hui. Enfin, l'Omsyc souligne l'importance de la région Asie Pacifique en tant que réservoir de croissance. (...)

(06/06/2005 17:59:12)

Le rachat de StorageTek rend perplexes les analystes et pourrait irriter HP

L'une des premières victimes du rachat par Sun de StorageTek pourrait être l'accord de distribution noué par le géant de la sauvegarde avec Hewlett-Packard. Interrogés par nos confrères d'IDG News Service, Brian Babineau, un analyste d'Enterprise Strategy Group, explique ainsi qu'HP devrait mettre un terme à l'accord dès la finalisation de la fusion. Hewlett-Packkard représente aujourd'hui 5 à 7% des ventes de StorageTek et pourrait se tourner vers de nouveaux partenaires pour ses livraisons de librairies de bande comme Adic, Quantum ou Overland Storage.

Selon Patrick Eitenbichler, le directeur du marketing de la division StorageWorks d'HP, Sun et StorageTek ont assuré à HP qu'ils continueront à supporter les accords de distribution en vigueur. Eitenbichler s'est toutefois déclaré surpris par la fusion : «Je n'ai trouvé personne chez HP qui n'ait pas été pris de cours. Je pense que tout le monde s'attendait à ce que Sun investisse dans le logiciel. L'achat d'un spécialiste de la bande est difficile à comprendre. Le marché est en effet en régression…»

Brenda Zawatski, en charge du groupe Information Lifecycle Management de StorageTek, s'est toutefois déclarée confiante : «Nous n'anticipons pas de changement dans notre accord OEM [avec HP]. Il n'est pas différent de la relation nouée par Adic avec IBM et EMC.» Voire…

Les doutes des analystes

Le rachat de StorageTek par Sun semble toutefois laisser perplexe les analystes. «Acheter une société dont l'activité principale est la bande ne semble pas être un mouvement excitant pour une société innovante comme Sun», explique Frank Gillett, du cabinet d'analyse Forrester. «Il semble qu'ils aient une réflexion stratégique à long terme… Mais je ne crois pas que cette acquisition soit justifiée par une technologie que n'aurait pas encore annoncée StorageTek. A court terme, la logique de l'acquisition reste une question ouverte…»

Bob Abraham, de Freeman Reports, estime quant à lui que les utilisateurs doivent adopter une attitude «Wait and see». Il est peu probable qu'il y ait des changements rapides au sein de la société, et il pourrait s'écouler plusieurs années avant «que la poussière ne retombe». Selon lui, Sun ne devrait qu'apporter des changements cosmétiques chez StorageTek de façon à préserver la stabilité et retenir la base de clientèle.
Enfin, Chris Foster, de Technology Business Research, explique que l'acquisition est un pas en arrière pour Sun et sa stratégie de développement des services : «Je ne crois pas que StorageTek corresponde au profil…», indique-t-il. (...)

(06/06/2005 18:00:13)

Apple pourrait opter pour Intel

Après le Wall Street Journal il y a quelques semaines, c'est au tour de CNET d'indiquer qu'Apple devrait abandonner la plate-forme PowerPC au profit de x86. Le site croit savoir que Steve Jobs annoncera cette migration à l'occasion de l'ouverture de la conférence développeurs d'Apple, qui débute aujourd'hui à San Francisco. CNET assure en outre que le passage d'une architecture à l'autre pourrait s'opérer en deux temps : une première étape mi-2006 pour les ordinateurs grand public, puis une seconde, mi-2007, pour le haut de gamme d'Apple. Réponse très rapidement. (...)

(06/06/2005 18:03:02)

L'adoption de Linux semble marquer le pas

L'adoption de Linux par les entreprises américaines semble ralentir, d'après une étude menée pour le compte de la banque SG Cowen & Co.

Linux est le système d'exploitation utilisé sur les serveurs de 53% des cinq cents entreprises interrogées. Sur ce demi-millier de sociétés, 7% prévoient d'adopter l'OS Open Source, ce qui représente le niveau de progression le plus modeste enregistré depuis septembre 2003. Les entreprises utilisant ou prévoyant d'utiliser Linux constituent 60% du panel sondé, soit dix points de moins qu'en septembre 2004.

Néanmoins, le nombre de sociétés qui utilisent Linux sur leurs serveurs est en augmentation. Une tendance à nuancer en soulignant que les sociétés prévoyant de recourir à l'OS libre sont de moins en moins nombreuses. L'étude précise ainsi : «C'est la première fois que nous constatons que l'adoption de Linux pourrait heurter un mur.»

Cette évolution devrait profiter à Microsoft. Ainsi, 52% des sondés utilisant Windows envisagent d'augmenter la charge de travail de leurs serveurs, alors qu'ils ne sont que 7% à prévoir une diminution. A contrario, ces chiffres passent à 50 et 10 % dans un environnement Linux.

L'étude montre enfin que la préférence des entreprises pour l'un ou l'autre système d'exploitation dépend de la taille de la structure. Linux serait ainsi préféré par les sociétés de petite taille et par les grands comptes, alors que Windows tiendrait le haut du pavé dans les entreprises moyennes. En outre, le système de Microsoft progresse plus vite que Linux dans tous les cadres, sauf les petites entreprises. (...)

(06/06/2005 18:06:27)

Dell prépare un haut de gamme sur ses lignes de PC

A l'automne prochain, Dell lancera une nouvelle ligne d'ordinateurs personnels haut de gamme. Cette gamme devrait comprendre des ordinateurs et des portables. Ce lancement d'inscrira dans la logique de Dell de segmenter son offre en fonction des attentes de sa clientèle. En l'occurrence, cette nouvelle gamme doit répondre aux aspirations des personnes qui sont susceptibles de payer plus cher leur ordinateur avec, en contrepartie, l'assurance, notamment, d'un support utilisateur de meilleure qualité. Logiquement, la nouvelle gamme de Dell comportera des ordinateurs pour tous les usages, du PC de salon au PC de joueur intensif. Les prix de ces nouveaux PC de luxe se situeront entre 1 200 et 3 500 $. (...)

(06/06/2005 18:05:30)

Premier lancement Lenovo/IBM : un Thinkpad tablet PC

Lenovo devrait annoncer aujourd'hui le lancement officiel de son premier Thinkpad, le X41, un tablet PC. La FCC (Federal Communications Commission) avait vendu la mèche en avril dernier en divulguant des informations concernant ce produit. Le Thinkpad X41 sera donc doté d'un écran capable de pivoter à 180° pour recouvrir le clavier quand il est utilisé en mode tablet PC. Un stylet permettra alors d'entrer des informations. Le poids X41 est limité à 1,6 kg, et le constructeur estime que les utilisateurs de portables ultralégers seront séduits par un produit quasi identique mais capable de gérer les informations manuscrites au stylet. Le X41 est équipé d'un processeur Pentium M 758, de 256 Mo de mémoire et d'un disque dur de 20 Go. Le X41 intègre également un dispositif de reconnaissance des empreintes digitales. Le premier prix devrait être de 1899 $, auxquels il faudra ajouter une station de lecture pour CD ou DVD si besoin. La mise en vente de ce premier tablet PC de la gamme Thinkpad commencera le 14 juin. (...)

(06/06/2005 18:01:04)

Microsoft fait un pas vers l'Open Source

Microsoft tend une main à la communauté Open Source en invitant Michael Tienmann, le président de l'OSI, à commencer une «conversation productive». Tienmann, également vice-président de l'activité Open Source chez Red Hat, indique avoir seulement échangé des mails et n'avoir encore rencontré personne. Il verrait d'un bon ½il une entrevue avec Brad Smith, l'avocat-conseil de Microsoft chargé d'améliorer les relations avec le monde Open Source.

Microsft a, par le passé, tenté plusieurs types d'approches de l'Open Source en général et de Linux en particulier. La licence Linux fut ainsi qualifiée de «cancer», les logiciels libres n'étaient pas censés garantir d'interopérabilité, Linux devait être distingué de l'Open Source. La campagne “Get the Facts”, lancée en 2003, procédait de la même volonté de démonter les OS Linux, un système plus cher et moins stable que le sacro-saint Windows. Lawrence Lessing, professeur de droit à Stanford, concluait alors que Microsoft préparait une «guerre totale» sur l'Open Source, avec Linux comme cible privilégiée.

Dans le même temps cependant, le groupe de Bill Gates commençait à donner de lui une image plus proche des idées colportées par le libre, en publiant plusieurs outils sous licence Open Source et en autorisant des organisations à examiner son code source dans le cadre du programme «shared source». Le groupe de Redmond commença alors à apparaître régulièrement lors d'événements Open Source, et le PDG, Steve Ballmer, aurait rencontré son homologue de Red Hat, Matt Szulik, au début de cette année, sans que ce dernier n'ait jamais confirmé cette entrevue.

Microsft n'est pas le seul éditeur à entretenir des relations délicates avec l'Open Source et Linux, bien que sa position se situe dans les extrêmes. Sun Microsystems, par exemple, avait commencé à vendre Linux et est en train de rendre son OS Solaris Open Source via le projet Opensolaris, mais continue de décrier certains aspects du modèle de développement du libre, notamment la licence GPL. (...)

(06/06/2005 18:02:10)

Red Hat donne de l'air au projet Fedora

Alors qu'il s'apprête à lancer la version 4 de Fedora Core, la branche «communautaire» – et gratuite – de sa distribution Linux, Red Hat inaugure la Fondation Fedora (The Fedora Foundation, ouverture prévue mi-août). Son objectif ? livrer le projet Fedora à une communauté véritablement indépendante, sur le modèle d'Apache. Et ainsi redorer son image de marque auprès des développeurs et de la communauté Open Source. Ces derniers lui reprochant sa mainmise sur le projet et, plus globalement, son «manque de coopération» envers la communauté.

C'est bien sur ces derniers points que Red Hat souhaite attirer l'attention. Mark Webbink, responsable chez l'éditeur, est clair : «La fondation aura un statut d'association et sera gérée par un board indépendant, que Red Hat ne contrôlera pas.» Il est vrai que la fondation détiendra les droits (copyrights) et les développements du projet Fedora. Mais c'est Red Hat qui financera le projet et l'alimentera en ingénieurs. Fedora servira toujours de rampe de lancement au projet commercial de Red Hat, Red Hat Entreprise Linux, indique Webbink. Mais «nous dépendrons désormais des innovations de cette fondation».

Fedora Core 4 repoussé au 13 juin
Pour illustrer son approche plus communautaire, la version 4 de Fedora Core, dont la sortie définitive vient d'être repoussée au 13 juin, embarquera pour la première fois un projet baptisé Extras. Ce dernier devrait notamment permettre de centraliser les contributions qui n'ont pas été compilées au noyau définitif de Fedora Core. Pour les rendre disponibles sous forme de packages RPM (format d'installation Red Hat) et, ainsi, «laisser la possibilité aux utilisateurs n'ayant pas participé aux choix des logiciels de Fedora Core d'en intégrer d'autres supplémentaires».

Autres nouveautés inclus dans la version 4 : les premiers pas du moteur de virtualisation Xen, le support de davantage de processeurs ainsi que l'intégration du système de fichiers Red Hat Global File System. (...)

(03/06/2005 17:18:28)

Le projet de rétention des données vertement tancé par les eurodéputés

Dans un rapport du 26 mai, la Commission des libertés civiles du parlement européen (la Libe) a retoqué le projet de décision prévoyant une rétention des données électroniques et téléphoniques, présenté par la France, le Royaume-Uni, la Suède et l'Irlande.

Présenté le 28 avril 2004, le projet des quatre pays élargit une directive de 2002 et concerne la conservation par les opérateurs et les fournisseurs d'accès des données de connexion de leurs abonnés. Sont ainsi prévues les rétentions des éléments permettant d'identifier l'expéditeur et le destinataire d'un message électronique ou d'une communication, la localisation, la date, l'heure, la durée, l'adresse IP, etc.
Présenté dans une optique de «prévention, recherche, détection et poursuite de délits et d'infractions pénales, y compris du terrorisme», le texte envisage la conservation de ces données pendant une période allant de douze à trente-six mois.

Un laps de temps beaucoup trop long, rétorquent les eurodéputés. Selon eux «la fin ne justifie pas les moyens : les mesures ne sont ni appropriées, ni nécessaires» au regard du péril sur les libertés individuelles qu'il fait courir. Le stockage de tant de données présenterait en outre une difficulté majeure puisqu'il représenterait une quantité phénoménale d'informations ; le rapport parlementaire estime ce volume entre 20 000 et 40 000 téraoctets. Une recherche à l'intérieur d'une telle masse de données, avec les technologies actuelles, prendrait alors entre cinquante et cent ans. De plus, rien ne prévoit le financement ni la façon dont ce système de rétention serait mis en place.

Le rapport de la Libe n'est cependant que consultatif. Le dernier mot doit en effet revenir à la Commission européenne, qui peut décider de ne pas tenir compte de l'avis des parlementaires. Le projet vertement critiqué serait alors transmis, pour adoption, au conseil des ministres dans sa forme originelle. (...)

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