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(19/05/2005 17:30:27)

Télécommunications : le fixe poursuit son recul

Selon l'Autorité de régulation des télécoms (ART), le marché de la téléphonie en France a reculé de 4,9% au quatrième trimestre 2004 par rapport à la même période l'année précédente, à 3,1 Md¤. Parallèlement, le dégroupage a fortement progressé, à 1,5 million de lignes fin 2004 contre 273 355 un an plus tôt. La téléphonie mobile se porte également bien avec 3,8 Md¤ de chiffre d'affaires au dernier trimestre 2004, 8,3% de mieux qu'un an plus tôt. De fait, la téléphonie mobile semble désormais pleinement porter le marché français des télécommunications, même si les revenus d'Internet progressent de 75,4% sur un an au quatrième trimestre : ils ne représentent que 630 M¤.
Le marché du fixe ne souffre pas seulement de la baisse des tarifs mais aussi de celle des volumes : -1,8% au dernier trimestre 2004 par rapport à la fin 2003, à 27 269 milliards de minutes. De son coté, le mobile croît de manière insolente, à 19 482 milliards de minutes, 14,6% de mieux que fin 2003. A ce rythme-là, il ne faudra plus bien longtemps au mobile pour dépasser le fixe en volume. (...)

(19/05/2005 17:34:35)

Noos lance son offre de téléphonie

Noos vient de lancer son offre de téléphonie sur le câble, avec la ferme intention de concurrencer activement France Télécom. L'opérateur câble propose ainsi deux formules. La première, Basic, consiste simplement en un abonnement téléphonique, mais à 7¤/mois contre 13,99¤/mois chez France Télécom. La formule Premium se veut encore plus agressive avec, pour 20¤/mois, des communications illimitées vers les fixes de France métropolitaine. Souscrite dans le cadre d'une offre complète de téléphonie, télévision et Internet, la formule Premium passe à 10¤. Les deux formules intègrent plusieurs services comme la conférence à trois, le signal d'appel, le renvoi d'appel et la présentation du numéro.
Cette offre semble bien adaptée à une concurrence avec France Télécom, mais d'une agressivité limitée face aux offres «triple play» des fournisseurs d'accès à Internet par ADSL (...)

(23/11/2005 18:10:45)

L'Afnic suspend l'attribution des .fr et .re pour les collectivités

L'association française pour le nommage Internet en coopération (Afnic) indique avoir bloqué l'enregistrement des noms de communes en .fr et .re (pour la Réunion), en écho à la décision prise le 22 avril par son conseil d'administration.

Une décision consécutive à une proposition de loi du sénateur Philippe Arnaud, adoptée en première lecture en juin 2004 et transmise à l'Assemblée nationale. L'article premier de cette proposition stipule ainsi que «le nom d'une collectivité territoriale [...] peut uniquement être enregistré par cette collectivité comme nom de domaine sur les domaines de premier niveau du système d'adressage par domaines de l'Internet». Les conditions d'attribution des noms de domaines n'ont cependant pas été précisément déterminées : c'est la raison pour laquelle l'Afnic a bloqué les noms de domaine des 36 860 communes, empêchant toute demande d'enregistrement.

Les noms des communes sont bloqués uniquement sous leur forme canonique, c'est-à-dire avec un éventuel article, mais sans signe tel que cédille ou accent. Ainsi, pour le village de Chambon-sur-Cisse, les acceptions Chambonsurcisse, Chambonsur-cisse, Chambon-surcisse, Cham-bonsurcisse, etc., ne pourront être réservées. A l'inverse, les ajouts comme le chiffre du département ou les orthographes inexactes ne font pas partie de la liste des noms protégés.

Les noms des collectivités territoriales seront débloqués lorsque les conditions présentes dans l'échéancier mis en place par l'Afnic seront satisfaites. Il s'agira, en premier lieu, de définir les règles des conditions d'attribution des noms de domaine. Des discussions devront ensuite avoir lieu avec les bureaux d'enregistrement pour définir les procédures opérationnelles. Enfin, les procédures validées seront publiées trois mois avant la date d'entrée en vigueur. (...)

(18/05/2005 18:40:13)

Sun présente Dolphin (J2SE 7.0), très en avance

A peine Mustang (la version 6.0 de J2SE) finalisée, Sun lève, en avance, un coin du voile sur la version 7.0 de sa plate-forme Java standard, nom de code Dolphin, prévue pour mi-2007.
Le constructeur prévoit d'y intégrer le support natif du XML. Et ce, indique Sun, via un ensemble d'API, qui notamment permettront de manipuler les données XML, sans avoir recours à des méthodes externes. En projet également, l'amélioration de la Multi-Tasking JVM (la machine virtuelle Java multitâche), actuellement à l'état de prototype. Sun précise toutefois que son intégration à Dolphin n'est pas une certitude.
Dans l'immédiat, c'est davantage vers les fonctionnalités de Mustang que se tournent les développeurs. Pour mémoire, cette mouture sera axée sur les services Web, le desktop Java et les performances sur de gros systèmes. (...)

(18/05/2005 18:41:05)

MontaVista lance la version 4.0 de Carrier Grade Linux

MontaVista vient de lancer la version 4.0 de sa distribution Linux destinées aux infrastructures d'opérateurs, Carrier Grade Edition (CGE). Dans un communiqué, l'éditeur explique que cette nouvelle version permet aux équipementiers de «créer rapidement des systèmes hautement fiables et économiques […] sans les soucis liés à des produits de première génération». CGE 4.0 utilise la version 2.6 du noyau Linux et répond à la spécification Carrier Grade Linux 2.0 de l'OSDL. En outre, CGE 4.0 supporte les spécifications Hardware Platform Interface et Application Interface du forum Service Availability. Enfin, cette distribution est ouverte aux dernières plates-formes ATCA et supporte pas moins de dix familles de processeurs 32 et 64 bits. (...)

(18/05/2005 18:31:04)

ETS 2005 : EMC veut rendre la réalité virtuelle

Selon Joe Tucci, le CEO d'EMC, la virtualisation a un rôle essentiel à jouer dans la poursuite des travaux de consolidation des grands comptes, mais aussi dans l'adoption d'architectures banalisées combinant serveurs x86 et architectures orientée services. Indicateur de cette tendance, les ventes de VMware devraient doubler en 2005, passant de 200 à 400 M$.

Côté stockage, le lancement d'Invista – deux ans après celui du SAN Volume Controller d'IBM et un semestre après l'introduction des V-Series de NetApp et Tagmastore de HDS – vise à répondre au défi croissant de gestion des informations des grands comptes. Selon Tucci, les volumes de données gérés par les entreprises devraient croître de 70% cette année, dix points de plus que l'an passé. Problème : les budgets stockage des entreprises ne progressent que de 5 à 7% par an. Il devient donc urgent de simplifier les infrastructures et d'accroître l'automatisation de la gestion du stockage.

Pour Mark Lewis, le vice-président en charge des développements produits d'EMC, Invista est un composant clé de cette simplification. Invista permet aux entreprises d'ajouter un niveau d'abstraction au-dessus de leur infrastructure de stockage de façon à permettre une gestion des ressources par niveaux de service, avec, par exemple, des classes gold, silver et bronze. «Notre idée est de faire comprendre à nos clients qu'ils peuvent regrouper leur ressources par “tiers” avec Invista pour gagner en souplesse d'administration», explique Lewis.

Invista permet, par exemple, de résoudre des problèmes très concrets comme la migration transparente de données d'une baie à une autre sans interruption de service, ou la copie de données entre baies hétérogènes – Invista supporte les baies EMC, mais aussi les EVA de Hewlett-Packard, les baies Lightning de HDS et les baies ESS Shark d'IBM.

EMC indique aussi qu'Invista devrait simplifier la qualification et le déploiement des applications chez les clients dont les environnements sont complexes. «Si un client a deux fournisseurs et trois tiers de stockage, il n'aura plus à certifier ses applications une à une pour chacun des environnements, mais de n à 1 vers Invista», indique Mark Lewis. A terme, EMC prévoit d'ajouter des fonctions de réplication distante et de protection des données en temps réel (CDP) à l'appliance.

Prudent, EMC estime que ses clients vont d'abord évaluer le produit dans leurs environnements de développement, avant d'étendre son utilisation aux environnements de production. Invista sera commercialisé dès la rentrée à partir de 225 000 $ dans une configuration de base prête à l'emploi incluant deux contrôleurs redondants, le logiciel et deux commutateurs Fibre Channel intelligents. (...)

(18/05/2005 18:36:04)

IBM package ses serveurs lames avec sa gamme logicielle Express

IBM s'apprête à commercialiser BladeCenter Business Express, une offre associant serveur lame et logiciel de la gamme Express. Faisant référence aux célèbres briques Lego, Elaine Lennox, vice-président PME de la division systèmes d'IBM, explique que les «utilisateurs vont pouvoir acquérir un châssis BladeCenter et y ajouter par la suite des lames préconfigurées avec un serveur de bases de données ou de portail, par exemple, qui seront prêtes à être installées».
Les serveurs lames préconfigurés faisant office de briques sont commercialisés à partir de 120 $ par mois pour un serveur de portail supportant vingt accès concurrents, par exemple. Les châssis sont commercialisés entre 4 500 et 9 000 $. (...)

(18/05/2005 18:39:08)

Résultats Mandriva : la stratégie orientée entreprises se révèle payante

L'entreprise française Mandriva, ex-Mandrakesoft, a publié les résultats de son premier semestre 2004-2005. Un an après avoir évité la banqueroute, l'éditeur affiche un chiffre d'affaires en hausse de 9,5% par rapport à la même période de l'exercice précédent, à 2,76 M¤. Le bénéfice net atteint 1,03 M¤ et progresse de 45,1%. Ces chiffres ne prennent pas en compte l'acquisition récente de Connectiva.

Le détail des résultats par secteurs d'activité montre le tournant pris par Mandriva vers le marché des entreprises, au détriment du grand public. Ainsi, les ventes de produits, qui représentaient 72% du CA global l'an passé, ne génèrent désormais plus que 50% des revenus. A l'inverse, les services aux entreprises représentent 24% du CA, contre 10% un an avant. Enfin, les revenus en lignes sont passés de 18 à 26 % du CA.

Dans un communiqué, Mandriva indique que «cette mutation vers le marché entreprises s'est traduite par de fortes dépenses en R&D, marketing et commercial pour construire une offre corporate».

Si l'éditeur ne communique pas d'objectifs chiffrés pour la suite de l'exercice, il indique maintenir son objectif de croissance et de résultat positif. (...)

(18/05/2005 18:32:12)

ETS 2005 : VMware sur la voie des 400 M$ de CA

A l'occasion de son cinquième Technology Summit, qui se tient actuellement à La Nouvelle-Orléans, EMC a souligné l'adoption croissante des technologies de virtualisation. Selon la firme, entre 5 et 10% des nouveaux serveurs mis en production cette année devraient intégrer une couche de virtualisation. VMware, la filiale de virtualisation d'EMC, profite largement de cette croissance. Au premier trimestre, la firme a réalisé un CA de 80 M$, et elle prévoit des ventes de 400 M$ pour l'ensemble de l'année, le double de l'an passé. Comme l'explique Karthik Rau, en charge des produits pour VMware, l'adoption des technologies de virtualisation ne devrait que s'accélérer avec l'intégration de technologies d'assistance à la virtualisation dans les plates-formes serveurs x86. Les technologies VT d'Intel et Pacifica d'AMD devaient ainsi permettre d'atténuer sensiblement l'impact des logiciels de virtualisation sur les performances des applications. En 2006… (...)

(18/05/2005 18:33:40)

La déclaration en ligne du changement d'adresse est ouverte

"Six millions de français changent d'adresse chaque année, dont un pic de 31 000 aux environs du 1er juillet" a rappelé Eric Woerth qui inaugurait, le 17 mai 2005, la téléprocédure de la notification de changement d'adresse en compagnie de son ministre de tutelle, Renaud Dutreil. Ce nouveau service permet, en une seule opération, d'informer la Caisse d'Allocations Familiales, les Assedic, les Cnam, les caisses de retraite, les services des impôts et le bureau du service national, d'un changement d'adresse d'un particulier. Le gain de temps et la facilité sont évidemment appréciables pour l'usager. L'Etat y trouve aussi son compte, comme l'a rappelé Renaud Dutreil : "l'Etat réalise 3 M¤ d'économie, auxquels s'ajoutent 1,3 millions supplémentaires pour les autres bénéficiaires".

Cette téléprocédure s'ajoute à un grand nombre de services en ligne dont le succès n'est plus à démontrer : "10% de nos allocataires sont des internautes pratiquants et 8% des déclarations de ressources sont aujourd'hui faites sur Internet" a ainsi rappelé Philippe Georges, directeur général de la Caisse Nationale d'Allocations Familiales. Eric Woerth s'est également réjoui du grand succès de la déclaration de revenus en lignes, malgré les difficultés ponctuelles.
Piloté par l'Adae (Agence pour le Développement de l'Administration Electronique), le service a été réalisé et est hébergé par C&S. Quotidiennement, il expédie aux organismes destinataires un fichier XML reprenant les saisies en ligne. Chaque destinataire intègre alors ces données, sans ressaisie, et, le cas échéant, déclenche des opérations spécifiques. Par exemple, l'assurance maladie va envoyer un formulaire pour mettre à jour le médecin traitant de l'usager. La sécurité du système est donc assurée d'une part par les opérations suivant la réception des informations par les destinataires, d'autre part par les codes d'identifications indiqués par l'internaute pour chaque destinataire qu'il a choisi (numéro Insee pour l'assurance maladie, numéro d'allocataire pour la CAF…). Dès que chaque destinataire a confirmé la réception des informations envoyées, la fiche saisie en ligne est détruite. "Il n'y a aucun fichier central des déménagements" insiste-t-on à l'Adae.
A terme, le service devrait être ouvert à d'autres acteurs publics, parapublics ou privés (La poste, EDF, banques, assurances…). Les textes parus au Journal Officiel en précisent les conditions. (...)

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