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(03/05/2005 18:18:36)
Cisco lance onze nouveaux routeurs
Cisco a profité de l'ouverture du salon Interop, qui se tient à Las Vegas, pour annoncer la disponibilité de onze nouveaux routeurs d'agence sans fil disposant de capacité avancées en matière de sécurité, de voix et de qualité de service. Cinq des nouveaux modèles appartiennent à la série 1800, et six viennent compléter la série des routeurs d'entrée de gamme 800. Les prix s'étagent de 400 à 1 300 $.
Tous les modèles embarquent des fonctions de VPN et fournissent une accélération matérielle du cryptage. Le support de Wi-Fi est optionnel et coûte entre 100 et 300 $ selon les modèles. (...)
HP solde son différent sur la virtualisation avec EMC pour 325 M$
Hewlett-Packard et EMC Corp ont mis fin, lundi 2 mai, à quatre ans de bataille juridique sur les technologies de virtualisation de stockage en signant un accord de licences croisé. L'accord prévoit le paiement par HP de 325 M$ à EMC, soit en numéraire, soit en nature sous la forme d'achat de logiciels signés EMC.
L'accord ouvre ainsi la porte à HP pour inscrire plus de logiciels EMC à son catalogue.
EMC avait, à l'origine, attaqué StorageApps en 2000, accusant la société d'enfreindre ses brevets sur la réplication de fichiers système. HP est devenu partie prenante de la dispute lorsqu'il a racheté StorageApps en 2001. L'année suivante, HP riposte à EMC en reprochant aux baies Symmetrix et Clariion et au logiciel TimeFinder d'enfreindre sept brevets HP, avant d'ajouter une seconde plainte en 2003.
HP a perdu un premier volet de la bataille juridique en mai 2004, lorsqu'un jury a estimé StorageApps coupable de violation des brevets EMC. La firme avait alors accepté d'entamer des discussions pour un règlement à l'amiable. Suite à l'accord, les deux sociétés ont indiqué qu'elles espèrent étendre leur collaboration et leurs accords de revente. HP a autrefois été un partenaire étroit d'EMC sur le marché du stockage et revendait les baies haut de gamme Symmetrix avant de se tourner vers Hitachi pour ses systèmes de stockage haut de gamme. (...)
Verizon surenchérit pour l'achat de MCI, Qwest rend les armes
L'interminable feuilleton pour le rachat de l'opérateur américain MCI semble devoir trouver une issue prochaine avec la nouvelle offre de Verizon et la décision de Qwest de se retirer du jeu.
Le 2 mai, Qwest indiquait ainsi dans un communiqué : «Les actionnaires, les clients et les salariés n'ont plus aucun intérêt à poursuivre dans un processus qui semble systématiquement tourné contre Qwest. […] MCI n'a jamais eu l'intention de négocier de bonne foi, ni de maximiser le profit de ses actionnaires.» Cette position intervenait après que Verizon eut rehaussé son offre de 23,10 à 26$ par action MCI. Une offre acceptée par le conseil d'administration de MCI, en dépit d'une plus forte somme offerte par Qwest.
De fait, si les offres successives de Qwest ont toujours été supérieures à celles de Verizon, la direction de MCI a systématiquement donné sa préférence au second, le jugeant plus solide financièrement, au risque de déplaire aux actionnaires. Qwest est endetté de 15,3 Md$, pour des revenus annuels de 13,8 Md$. Verizon, en revanche, a généré un chiffre d'affaires de 71,3 Md$ en 2004, et sa dette s'élève à 39,3 Md$.
Certains analystes considèrent toutefois qu'il est encore trop tôt pour clore définitivement le feuilleton. L'accord entre MCI et Verizon ne sera finalisé que dans un an, un délai qui laisse le temps à Qwest, ou même à une autre entreprise, de rebondir et de formuler une nouvelle offre. (...)
Insatiable : Oracle et Siebel auraient été en négociation
A la suite d'un article paru dans le journal en ligne TheDeal.com, la rumeur selon laquelle Oracle chercherait à racheter Siebel a fait le tour des Bourses américaines et européennes. Siebel est en effet une cible potentielle d'OPA, surtout depuis la publication de son mauvais bilan trimestriel et annuel. SAP ayant déclaré ne pas se rabattre sur cette entreprise après son échec sur l'achat de Retel, les spéculateurs regardaient du côté d'Oracle. En fait, il s'avère que ce rachat a bien été évoqué, mais que les discussions n'ont pas abouti et sont closes. Siebel et Oracle n'ont pas voulu faire de commentaires sur ces négociations. (...)
(03/05/2005 18:00:50)Mike Devlin va quitter Rational
Mike Develin, l'ex-CEO de Rational Software, jusqu'alors en charge de la division depuis son rachat par IBM, va quitter la société, de même que Hugh Scandrett, le responsable des développements de Rational. L'information a été confirmée par IBM à nos confrères d'eWeek. Devlin devrait être remplacé par Danny Sabbah, le vice-président en charge de la stratégie et des technologies au sein du Software Group d'IBM. Devlin devrait toutefois être présent lors de la prochaine Rational Software Development Conference 2005, qui se tient ce mois à Las Vegas.
Entamée en douceur, l'intégration de Rational s'est accélérée avec l'accélération de l'intégration des outils de la marque dans la gamme WebSphere. Elle pourrait prendre un tour plus marqué avec le départ en retraite de Devlin. (...)
Macromedia dope Breeze à la VoIP
Macromedia annonce la version 5 de Breeze, plate-forme collaborative de conférence en ligne. Principale nouveauté : l'intégration du support de la voix sur IP. L'éditeur précise avoir également amélioré des fonctionnalités de gestion du cycle de vie des sessions, de personnalisation d'interface et, enfin, d'optimisation de la vidéo (avec notamment la possibilité du plein écran). Côté utilisateur final, les sessions organisées sous Breeze 5 seront accessibles via le simple lecteur Flash. «Sans avoir recours à des applications tierces», indique l'éditeur.
Breeze 5 débute à 25 000 $. En mode hébergé, Macromedia commercialise son offre 32 cents par minute et par utilisateur.
Rappelons que Macromedia s'est récemment fait racheter par Adobe. La version 5 de Breeze devrait positionner l'éditeur face à Communication Live Server, de Microsoft, et à MediaTone, de WebEx. (...)
MobilCom, dernier épisode : France Télécom quitte le casting de la mauvaise sitcom
France Télécom met fin à sa désastreuse aventure outre-Rhin en vendant la quasi-totalité de ses parts dans l'opérateur MobilCom. Pour un montant de 265 M¤, l'opérateur se débarrasse d'une épine. L'acheteur est le fonds d'investisseurs américain Texas Pacific Group. France Télécom détiendra une participation résiduelle de 1 %. Cette transaction reflète, comme le souligne l'opérateur français, «un désengagement du marché grand public allemand», et lui permet surtout de mettre un terme à cinq ans de soucis financiers. Acheté au prix fort en mars 2000 – 3,74 Md¤ –, MobilCom a amené France Télécom à payer 7 Md¤ en 2002 pour régler ses dettes. Ce désengagement est donc sans surprise, d'autant plus que France Télécom avait demandé il y a plus de six mois l'autorisation de faire coter séparément sa participation. Il pourrait cependant ne pas marquer la fin d'un véritable feuilleton aux multiples rebondissements, des actionnaires de MobilCom étant prêts à engager des procédures contre l'opérateur français, qu'ils accusent de les avoir lâchés. (...)
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