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(31/12/2004 12:22:31)
Bilan 2004 : Linux à la table des grands
Les cabinets d'études l'affirment : Linux est en train de conquérir ses galons en entreprise. La distribution - désormais fortement concurrente de Windows et surtout du monde Unix dont elle est l'un des fruits – pourrait représenter quelque 35 Md$ de CA pour ses promoteurs en 2008. L'OS gagne surtout du terrain sur le marché des serveurs. Qu'il contribue à doper.
Dans la foulée, c'est l'ensemble du monde Open Source qui semble bénéficier d'un fort intérêt comme le démontre le succès croissant du navigateur Firefox. (...)
Bilan 2004 : Sun et Microsoft commercent
Steve Ballmer – Président de Microsoft – et Scott Mc Nealy – son homologue chez Sun Microsystems – plaisantant tranquillement autour d'un accord de coopération mettant fin à un ensemble de vieux contentieux : c'est l'une des images les plus surprenantes offertes par le monde IT en 2004. Au passage, Sun – qui aura en quelques années traîné Microsoft devant nombre de tribunaux dans le monde – empoche 2 Md$ dont 350 M$ pour permettre à Microsoft de bénéficier d'un droit d'accès à la propriété intellectuelle de Sun.
Un accord a priori gagnant-gagnant-gagnant. Microsoft s'offre un peu de paix judiciaire, Sun se relance financièrement et les utilisateurs devraient bénéficier de produits plus interopérables. (...)
Bilan 2004 : Annus horribilis pour Intel
Intel, numéro un longtemps incontesté du microprocesseur, qui a toujours confirmé son avance tant sur les plates-formes grand public que sur les systèmes d'entreprise, finit l'exercice 2004 avec une feuille de route technologique exsangue tant côté grande consommation que serveurs. Surtout, l'année aura été marquée par de nombreux revirements :
- abandon de la classification – et de la course - "à la cadence" de ses processeurs… en réponse à AMD
- lancement – non prévu initialement - d'un Xeon 64 bit pour serveurs d'entrée de gamme… en réponse à AMD
Sans oublier les difficultés persistantes à imposer la v2 de son Itanium. (...)
Départ de David Duffield, fondateur de Peoplesoft désormais Oracle
Oracle a officiellement pris le contrôle de Peoplesoft le 29 décembre 2004 et fait sa première victime : David Duffield - PDG de l'éditeur de PGI depuis trois mois et le renvoi du virulent Craig Conway – qui a annoncé quitter ses fonctions. Il est l'un des fondateurs de Peoplesoft, devenu numéro deux de l'édition de PGI derrière SAP, notamment à la faveur du rachat de JD Edwards qui avait mis le feu aux poudres en juin 2003.
Il semble qu'en fait David Duffield ait démissionné de son poste le 21 décembre, soit huit jour à peine après l'annonce du rachat par Oracle. Il occupait également depuis 1987 le poste de président du conseil d'administration depuis 1987 et était à l'origine de la venue de la promotion de Craig Conway en mai 1999.
Mi-décembre, Oracle avait fini par faire céder l'ultime digue - celle du conseil d'administration - après quelque 18 mois d'une offensive largement inamicale. (...)
Bilan 2004 : IBM tourne le dos au PC
Le 8 décembre 2004, IBM cédait à Lenovo - ex-Legend et numéro un chinois des fabricants de PC - sa division micro pour 1,75 Md$. Soit 24 ans à peine après avoir été le premier à commercialiser un Personal Computer.
Pour IBM, il s'agit là de poursuivre une stratégie initiée par Sam Palmisano, son PDG, au tournant de l'an 2000 et visant à orienter le géant vers les services et la production à forte valeur ajoutée.
Pour les spécialistes du secteur, on assiste à une orientation logique du marché micro-informatique : moins d'investissement R&D, plus d'effort sur la maîtrise logistique et sur les coûts de fabrication, délocalisations massives vers des zones à main d'½uvre bon marché… (...)
Bilan 2004 : Oracle se paie Peoplesoft à l'usure
Il aura fallu 18 mois de guerre des nerfs pour que Larry Ellison - toujours sémillant PDG d'Oracle - s'octroie finalement Peoplesoft, obtenant en route la peau de Craig Conway, le plus farouche des adversaires de la fusion. La victoire a cependant un coût : 10,3 Md$, soit le double de l'offre initiale. Et quelques victimes collatérales. Outre Conway, IBM peut être inquiet, JD Ewards et Peoplesoft étant les principaux partenaires OEM de son serveur d'applicationsWebSphere. Egalement dans l'expectative, les utilisateurs Peoplesoft auxquels l'éditeur a promis durant de longs mois qu'il ne céderait pas au comportement jugé grossier d'Oracle. (...)
(24/12/2004 17:43:38)Hit parade des failles : 1er IIS, 2ème Apache, 3ème IIS
C'est dans les vieux trous qu'on fait les meilleurs exploits, estiment les techniciens de IPXray, lesquels publient, sur un forum interne, le hit parade des failles laissées béantes les plus fréquemment rencontrées chez ses clients (IPXray est fournisseur d'outils d'inventaires et de détection de vulnérabilités à distance).
En première place, la faille WebDav qui était le sujet du bulletin MS03-007. Vient ensuite un défaut affectant le serveur Web Apache (BoF sur htpasswd), puis à nouveau le serveur Internet de Microsoft avec un défaut antédiluvien référencé MS02-18 (DoS Frontpage Isapi). Voici pour le tiercé. Le quarté rapporte, dans l'ordre, un sachet de madeleines proustiennes avec résurrection du « trou OpenSSH », que l'on avait presque oublié, et le quinté fait la queue de paon avec une inconsistance de la fonction mod_access sous Apache version antérieure à la 1.3.31.
Dans le cadre d'un autre article, (bouton de téléchargement en bas de page html), les techniciens d'IPXray donnent le quarté des Buffer Overflow les plus populaires : le Task Scheduler de Windows, l'interface RPC de Microsoft, la bibliothèque de fonctions ASN.1 et le processus Winlogon. Si l'on fait abstraction de l'autoréclame que l'entreprise publie en faveur de ses propres outils, le document brosse en moins de sept pages un paysage assez précis des dangers liés aux vulnérabilités non colmatées. (...)
Le virus Santy recherche ses cibles via Google
Santy : c'est le nom d'un virus, découvert par les équipes de Kaspersky, qui exploite une faille de phpBB (versions antérieures à la 2.0.11), - script PHP qui motorise les forums sur Internet -. Les symptômes ? Santy se met à effacer les fichiers présents sur le serveur. Et d'y laisser à la place sa signature. Mais son originalité est qu'il utilise Google, comme relais, pour repérer ses forums-cibles.
Les usagers de ce genre de serveur ont été alertés dans des délais relativement brefs, tant par le forum PHPbb que par les habitués du Bugtraq, qui furent les premiers à diffuser le source du virus Perl. Depuis, Google a filtré ses requêtes webivores après les interventions incessantes de plusieurs spécialistes de la sécurité, notamment l'équipe de F-Secure. (...)
Un bilan viral 2004 globalement négatif
L'année a été « trop riche en virus » estiment les vendeurs d'antivirus. Normal, il faut bien entretenir les chiffres de ventes. Normal également, puisque le nombre de machines peu protégées et connectées en permanence augmente de jour en jour, du moins dans les grandes villes.
Sophos, éditeur d'antivirus, pour sa part, établit un tiercé gagnant du bubon numérique : premier Netsky-P, second Zafi-B, troisième Sasser, les quatrième, cinquième et sixième places échoient à des cousins de Netsky, pour ne pas changer. Il faut dire qu'elle a eu du succès, cette souche, avec près de 30 mutations connues. Au total, 2004 aura vu naître un peu moins de 11 000 virus, soit une augmentation de 51 % des diffusions infectieuses par rapport à l'an passé. A ce jour, la bibliothèque de Sophos compte environ 97 500 références. Et 2005 risque de confirmer cette tendance à la purulence des courriels : pas de fléchissement prévisible du spam et des virus - le développement 32 bit tient bon la rampe -, croissance marquée du phishing qualifié de « nouvelle forme de braquage de banque ». En revanche, les risques encourus par les plates-formes mobiles demeureront très faibles, estiment les experts de Sophos, ce qui n'empêche pas au passage certains éditeurs de commencer à vendre des boucliers antivirus pour les mobiles de nouvelle génération. Ainsi Trend Micro et F-Secure, comme le rapporte notre confrère Network World.
Mais gare ! les méthodes d'attaque changent. A tout moment, il faut s'attendre à une amélioration notable des techniques de développement viral. Si l'on considère le peu de travail effectif qu'ont demandé les « virus en chambre » de 2004, ceux-là même qui exploitaient de nouveaux modes d'écriture, l'on peut craindre le pire. Qu'un « bon méchant » développeur s'attelle à la tâche, et les résultats pourraient reléguer les expéditions de Gengis Kahn au rang de promenade dominicale. C'est du moins ce que tentent d'expliquer Peter Ferrie et Frederic Perriot du spécialiste de la sécurité, Symantec, dans un papier intitulé « Détection des virus complexes » et publié sur le Security Focus. Une leçon magistrale sur les polymorphiques, les métamorphiques, les Entry Point Obscuring (EPO), l'émergence des infections 64 bit, les limitations que peuvent rencontrer certains moteurs antivirus, le rôle important que jouent les virus « théoriques » ou « zoo ». Tout çà sur un ton simple, en des termes tellement clairs que l'on peut presque se prendre pour un expert es-virus une fois la lecture achevée. Presque. (...)
Pionnier des serveurs lames, RLX jette l'éponge et se fait éditeur de logiciels
Confronté à la concurrence des géants du secteur comme IBM, Dell, Hewlett-Packard et Sun, le pionnier des serveurs lames, RLX Technologies, a décidé d'abandonner sa gamme de serveurs pour se concentrer sur son offre de logiciels d'administration de serveurs lames, Control Tower. RLX devrait enrichir Control Tower dans les mois à venir pour lui permettre de supporter les serveurs de ses concurrents.
Le changement de cap de la société a pris tout le monde par surprise. Pas plus tard que le mois dernier, RLX avait enrichi sa gamme de serveurs avec un modèle biprocesseur, le SB-6400, basé sur le processeur Xeon d'Intel. (...)
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