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(23/12/2004 18:41:58)
IBM améliore les fonctions de synchronisation de données de WebSphere Product Center
S'appuyant sur les technologies rachetées lors de l'acquisition de Trego, IBM vient de dévoiler Global Data Synchronization (GDS) for WebSphere Product Center, un outil destiné à simplifier la synchronisation de données entre partenaires commerciaux. GDS for WebSphere Product Center permet par exemple de gérer des abonnements à des pools de données et de gérer la synchronisation sécurisées de ses données entre partenaires. L'application vise notamment le marché de la synchronisation de catalogues produits entre marchands et fournisseurs, mais aussi entre entrepôts et magasins. (...)
(23/12/2004 18:49:15)Résultats en berne pour SCO
SCO a connu un bien pénible quatrième trimestre fiscal avec un chiffre d'affaires en forte baisse et des pertes en forte hausse. Dans un communiqué rendu public hier, la firme a annoncé un CA de 10 M$ pour les trois derniers mois, en chute de 58,5 % sur un an, et une perte nette de 6,6 M$, en hausse de 37 % par rapport à 2003.
SCO explique ces mauvais résultats par la chute de ses revenus de licences, ramenés de 10,3 M$ l'an passé à 120 000 $ cette année. Pour Darl Mc Bride, le président et CEO de la société, ces résultats témoignent "des progrès continus de SCO" (sic). L'éditeur indique notamment qu'il espère que son activité Unix redeviendra rentable en 2005.
Pour limiter la casse, SCO a négocié avec son cabinet d'avocats, la firme Boies, Schiller & Flexner LLP, un plafonnement à 31 M$ de ses dépenses légales dans sa bataille contre IBM. SCO a parié son avenir sur sa victoire dans le procès à 5 Md$ qui l'oppose à Big Blue, qu'il accuse d'avoir détourné sa propriété intellectuelle Unix pour améliorer Linux... (...)
Homsys se renforce avec l'aide d'Aston
Le groupe Homsys et la SSII Aston viennent de décider de fusionner. Homsys Group compte trois pôles d'activités : Homsys, spécialisé dans la business intelligence ; Objet Direct, spécialisé dans les technologies objet et Internet ; et Kedros pour les architectures réseaux et systèmes. Dans un communiqué, Aston explique que ce rapprochement est l'occasion de se conforter sur son "coeur de métier (génie logiciel, architectures objet, Intégration de système, BPM, workflow et portail) avec les compétences Objet et architectures de Web d'Objet Direct" et d'affirmer son "rôle d'intégrateur grâce aux compétences en architectures systèmes et réseaux de Kerdros". Selon Aston, ses "30 consultants en Business Intelligence vont permettre à Homsys d'asseoir sa position d'acteur incontournable de la Business Intelligence sur le marché français."
Le rapprochement des deux SSII donne naissance à un groupe "de plus de 500 ingénieurs et consultants, avec 35 M¤ de chiffre d'affaires en 2004." Alain Chabroche, PDG d'Aston devient directeur général délégué de Homsys Group. (...)
Computer Associates rejoint la fondation Eclipse
Computer Associates a annoncé hier sa décision de rejoindre la fondation Eclipse et de contribuer activement à plusieurs des projets Open Source de la fondation, notamment le projet TPTP (Test and Performance Tools Platform). Le projet Eclipse TPTP Project a pour but de fournir une plate-forme ouverte et standardisée pour le test et la mesure de performance des applications tout au long de leur cycle de vie.
Cette collaboration avec Eclipse n'est pas la première pour CA qui a déjà interfacé son outil de gestion du changement, AllFusion Harvest Change Manager, avec le framework Eclipse 3.0. (...)
Sanctions européennes confirmées : Microsoft doit purger Windows
Microsoft n'a désormais plus le choix et devra rapidement mettre à disposition des utilisateurs européens une version allégée de Windows, et celle de ses "concurrents" des API permettant une meilleure intéropérabilité avec l'OS. La Cour européenne de Justice, située à Luxembourg, à trancher en faveur de la décision de la Commission, confirmant en première instance les sanctions prononcées en mars 2004 par l'institution européenne. Côté sanctions financières, l'éditeur s'est d'ores et déjà acquitté des 497,2 M¤ d'amende. Mais ce n'est pas le plus important pour l'éditeur. S'il lui laisse une chance de poursuivre une procédure au long cours, l'appel probable de Microsoft ne sera pas suspensif. L'éditeur est donc contraint d'appliquer au plus vite les mesures dites "correctives" favorisant le développement de la concurrence définie par la Commission européenne.
Alors qu'il avait semblé ouvert aux arguments de l'éditeur, Bo Vesterdorf, président du tribunal de première instance de la Cour européenne, a finalement conclu que "les éléments de preuve avancés par Microsoft ne suffisent pas à démontrer que l'exécution des mesures correctives imposées par la Commission risque de lui causer un préjudice grave et irréparable". Même s'il peut toujours espérer une décision favorable sur le fond - ce qui prendra plusieurs années - l'éditeur de Windows a échoué dans sa quête d'une solution négociée, à l'instar de celle adoptée aux Etats-Unis.
Réagissant au verdict de la Cour européenne de Justice, ses représentants - étonnamment bons princes - affirment vouloir se conformer à la décision et annoncent qu'une "nouvelle version de Windows sans Windows Media Player sera disponible dès janvier".
Sur le marché des serveurs d'entreprises, la mise en conformité risque d'être un peu plus longue, tant Microsoft rechigne à s'ouvrir à l'interopérabilité.
Ce sera donc au mandataire désigné par la Commission sur proposition de l'éditeur de veiller à l'efficacité et à la célérité des actions de l'éditeur.
Reste que - comme l'explique Philip Carnelley, directeur de recherche pour le compte du cabinet d'études Ovum EuroView - l'on ne sait toujours pas où commence et où finit un système d'exploitation. Si l'approche européenne fait tâche d'huile, l'élargissement de Windows deviendra problématique. Et les fonctionnalités d'antivirus ou d'antispyware - au menu des futures versions de Windows - ne pourront plus être intégrées de manière inaliénable à l'OS. (...)
Microsoft lâche McAfee pour Trend Micro pour l'antivirus de Hotmail
Microsoft vient de retenir Trend Micro pour assurer le filtrage antivirus des messages entrants et sortants du service de messagerie Hotmail de son portail Internet (MSN). Le contrat, d'une durée de deux ans, concerne pas moins de 187 millions boîtes de messagerie. MSN utilisait les solutions antivirus de McAfee depuis plus de quatre ans.
Microsoft et Trend Micro se sont refusés à indiquer précisément les raisons de l'éviction de McAfee de même que le montant du contrat. Les outils de Trend Micro seront installés directement sur les serveurs de messagerie de Hotmail et bénéficieront d'un lien privilégié avec les serveurs de mise à jour des définitions virales de l'éditeur.
Trend Micro, troisième éditeur de solutions antivirus derrière Symantec et McAfee, espère faire de ce contrat une vitrine technologique et renforcer sa position sur le marché. (...)
EMC rachète Smarts et se lance dans l'administration de systèmes
Le numéro un mondial du stockage en réseau, EMC, a annoncé hier l'acquisition pour 260 M$ de Smarts, un éditeur spécialisé dans les outils d'administration de réseau et de gestion de performance. Les logiciels Incharge de Smarts sont utilisés par plus de 4500 clients dans le monde, pour l'essentiel des opérateurs télécoms et des FAI ainsi que des grandes entreprises. Ils sont principalement mis en oeuvre pour la supervision des performances de l'infrastructure réseau mais aussi pour le suivi de la performance des principaux services applicatifs. La force de Smarts réside notamment dans son moteur d'analyse et de corrélation "intelligente" des événements collectés par ses propres agents mais aussi importés des principaux outils de supervision du marché comme MOM de Microsoft, Tivoli, Spectrum, HP Openview, BMC Patrol...
Selon Joe Tucci, le patron d'EMC, l'acquisition de Smarts permet à l'éditeur de se développer sur un marché complémentaire du sien et qui connaît aussi une croissance rapide, celui des outils de gestion de réseau. EMC devrait également réutiliser la technologie d'analyse de Smarts dans ses produits d'administration de SAN.
L'acquisition de Smarts pourrait s'avérer particulièrement utile pour EMC avec le décollage des SAN sur IP (FC-IP ou iSCSI). Elle pourrait en effet permettre au constructeur de se distinguer de ses concurrents en offrant des outils de diagnostic et d'analyse de pannes pour les SAN (IP et Fiber Channel). A moyen terme, les outils de Smarts pourraient aussi permettre à EMC d'entrer sur le marché de l'administration de système, même si le constructeur se refuse pour l'instant à confirmer cette hypothèse.
Smarts vient en effet apporter à EMC des briques complémentaires de celles déjà acquises avec le rachat de Legato et de VMWare. Comme l'explique d'ailleurs la firme dans un communiqué, "la technologie de Smarts peut être déployée seule ou en complément de frameworks d'administration existants. Smarts s'intègre avec ses systèmes et les améliore en leur ajoutant des capacités d'automatisation et d'intelligence. (...)
La Pologne met à mal l'adoption de la directive sur les brevets de logiciels
Nouveau rebondissement à la Communauté européenne sur la question des brevets de logiciels. C'est de nouveau la Pologne qui monte au créneau, et s'oppose magistralement au vote de la directive. La Commission devait en effet profiter d'une session sur la Pêche et l'Agriculture pour procéder à son vote, en tant que Point A (c'est à dire sans question). Le ministre de l'Agriculture polonais Wlodzimierz Marcinski a demandé son report à une session ultérieure. Selon lui, les gouvernements ont encore besoin de temps pour rédiger une déclaration constructive. Et d'ajouter que celle proposée par la Commission désavantageait les PME.
Sa requête a été acceptée par le ministre néerlandais de l'Agriculture qui présidait le Conseil.
Le vote n'aura dons pas lieu en 2004, comme l'avait annoncé le ministre belge Marc Verwilghen, le 10 décembre dernier. (...)
Portabilité mobile : l'ART accouche d'une souris
La refonte du processus de portabilité des numéros attendue par de nombreux consommateurs n'aura finalement pas lieu. Suite à sa consultation publique, l'Autorité de régulation des télécoms n'a en effet apporté que des modifications cosmétiques à l'un des processus de portabilité les plus inefficaces d'Europe.
Concrètement, la seule décision prise par l'ART à ce jour est la suppression de la clause d'inéligibilité pour litige de facturation. Un client qui n'est pas à jour de ses paiements chez son opérateur ou en conflit avec lui sur sa facturation pourra demander le portage de son numéro chez un autre opérateur. Une autre évolution à venir est la possibilité pour les entreprises de faire porter une flotte de numéros. Cette disposition devrait entrer en vigueur en octobre 2005. Lorsque l'on connaît le rythme d'évolution des SI des opérateurs aujourd'hui, ce délai semble surréaliste et atteste de la mauvaise volonté de l'ensemble des acteurs.
Actuellement vaches à lait des opérateurs, les abonnés au forfait, en attente de raccourcissement des délais de portage apprécieront sans doute avec ironie, le consensus atteint entre l'ART et les opérateurs pour ramener à 15 jours le délai de portage des clients prépayés. Ils se demanderont sans doute pourquoi le régulateur n'a pas usé de son pouvoir pour mettre en place des contraintes plus strictes pour les clients au forfait. L'ART note ainsi qu'elle "souhaite que ces délais puissent être rapidement ramenés à moins d'un mois", mais qu'à ce stade, "les opérateurs n'ont pas répondu favorablement à cette demande". C'est à se demander qui des opérateurs ou de l'ART a l'autorité. (...)
Altice rachète France Télécom Câble et NC Numéricable
Le câblo-opérateur Altice, épaulé par le fonds d'investissement Cinven, vient de conclure le rachat des activités dans le câble de France Télécom, Canal+ et TDF pour 528 M¤. Sur ce montant, l'opérateur historique recevra environ 351 M¤, contre 90 M¤ pour TDF et 87 M¤ pour Canal+. France Télécom et la chaîne de télévision cryptée conserveront cependant 19,99 % chacun du nouvel ensemble, dont Cinven sera le principal actionnaire avec 50,01 %.
Dans un communiqué, l'opérateur historique français rappelle que cette opération s'inscrit dans sa stratégie de désengagement du câble annoncée fin mars dernier. L'accord conclu avec Altice et Cinven prévoit d'ailleurs des conditions de désengagement supplémentaires à moyen terme.
Cette annonce survient quelques mois après celle de la cession, par Suez, de Noos à Mediaréseaux, la holding française du groupe UnitedGlobalCom (filiale de Liberty Media). La fusion de France Télécom Câble et de NC Numéricâble devrait donner naissance au numéro un français du câble. (...)
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