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(21/02/2011 17:42:38)

Infotel recherche plus de 300 informaticiens

Après avoir annoncé fin janvier un chiffre d'affaires de 107,6 millions d'euros, en hausse de 20,6% sur un an, Infotel (1 400 collaborateurs) annonce un plan de recrutement ambitieux pour 2011. La SSII, qui avait déjà intégré 185 personnes l'an dernier, prévoit de recruter 320 informaticiens sur des postes en CDI d'ici la fin de l'année. Les offres concernent des profils variés. Il s'agit d'architectes et de concepteurs Java/J2EE, de chefs de projet et de directeurs de projet en maîtrise d'oeuvre, de chefs de projet infrastructure, d'homologateurs, mais aussi d'ingénieurs d'affaires, et d'ingénieurs dans le domaine du décisionnel, des études et du développement (Java/JEE, C/assembleur, Cobol), du support opérations SAP et des systèmes Unix.

Des postes en Ile-de-France et en région

Les nouvelles recrues travailleront principalement en Ile-de-France et en province. Outre les 150 offres proposées par Infotel en région parisienne, 60 postes sont ouverts en Midi-Pyrénées, 40 en PACA, 20 en Pays de la Loire, la même proportion en Bretagne, dix en Rhônes-Alpes, dix en Aquitaine et autant en Poitou-Charente. Trois quart de ces offres seront destinées à des débutants de niveau bac + 4/5 en informatique ou ayant suivi des études scientifiques, le quart restant étant réservé à des profils expérimentés.

Les candidats pourront prendre part à des projets de développement consacrés aux systèmes d'informations de grands groupes de la banque ou de l'assurance à distance, aux outils de fidélisation et de planification pour des compagnies aériennes, aux nouveaux systèmes de gestion de la retraite ou de traçage des informations alimentaires. (...)

(21/02/2011 17:44:11)

Le superordinateur Watson d'IBM a imposé sa loi à Jeopardy

Au total des deux parties, Watson a amassé un total de 77 147 dollars, comparativement à 24 000 dollars pour Ken Jennings et 21 600 dollars pour Brad Rutter. Ken Jennings détient le record du plus grand nombre de parties consécutives gagnées à Jeopardy, soit 74. Ses gains à vie se chiffrent à 2,5 millions de dollars. Brad Rutter détient quant à lui le record des gains à l'émission, soit 3,2 millions de dollars.

L'usine d'IBM Canada à Bromont a grandement contribué à cette victoire, puisque c'est à cet endroit que sont conçus de nombreux composants des 90 serveurs P750 utilisés dans la conception de Watson. Chacun de ces serveurs coûte environ 300 000 dollars. « Nous ressentons surtout une grande fierté. Ce fut très serré hier soir (mercredi), mais nous avons pu l'emporter, ce qui nous permettra de remettre la bourse du vainqueur (1 million de dollars américains) à des oeuvres de charité », raconte le directeur en chef d'IBM Bromont, Raymond Leduc, en entrevue.

Plus qu'une contribution matérielle, l'usine a également joué un rôle stratégique dans la mise au point de Watson: « Nous avons également participé au développement de la stratégie de vérification électrique et contribué à solutionner les défis thermiques liés à l'intégration de puces d'aussi grande puissance afin qu'elles offrent des performances sans faille dans les serveurs », explique Éric Paradis, spécialiste consultant en technologies de l'information chez IBM Canada à l'usine de Bromont.

Tout le monde a pu voir Watson en action

Pendant la deuxième portion de la première partie (mardi soir) et pendant la finale de mercredi, l'usine de Bromont a fonctionné à 50 % de sa capacité pour permettre à tous les employés de regarder les exploits de Watson en direct. « Nous avons divisé l'équipe en deux et tout le monde a pu voir Watson en action », précise Raymond Leduc.

Ce dernier affirme qu'IBM vise à présent d'autres applications pour son superordinateur, notamment au niveau médical. « L'ordinateur peut aider les médecins avec leurs diagnostics dans des cas très complexes. À ce niveau, nous discutons déjà avec le Columbia University Medical Center et avec l'University of Maryland School of Medicine », dit-il.

M. Leduc ajoute que les possibilités sont infinies avec Watson, qui pourrait également prendre en charge la planification des systèmes routiers des municipalités afin de mieux gérer les problèmes de circulation, ou même aider des clients avec leur service à la clientèle... « C'est très motivant car ça représente un futur très prometteur pour l'usine d'IBM Bromont », affirme-t-il.

IBM a choisi de remettre la bourse de 1 million de dollars aux organismes de charité Vision Mondiale et au World Community Grid. Ken Jennings et Brad Rutter ont reçu respectivement 300 000 dollars et 200 000 dollars pour leur participation à l'affrontement.

Denis Lalonde est rédacteur en chef du magazine canadien Direction informatique (publié à Montréal). (...)

(21/02/2011 17:01:24)

Intel veut recruter 4 000 collaborateurs aux Etats-Unis

Le groupe américain Intel qui emploie actuellement 82 000 employés, cherche à embaucher du personnel « permanent et hautement qualifié », comme l'a souligné son PDG  Paul Otellini lors d'un discours effectué à Hillsboro, dans l'Oregon. La semaine dernière, le président américain Barack Obama y a visité une usine de microprocesseurs dans le cadre d'une action visant  à promouvoir l'innovation et maintenir la compétitivité. La veille, il avait rencontré les dirigeants des plus grandes entreprises du secteur IT, notamment le PDG d'Apple, Steve Jobs, et Mark Zuckerburg, le patron de Facebook.

Les nouvelles recrues travailleront au développement des produits, à la recherche ainsi qu'au développement, sur des domaines qui couvrent l'exploration de nouveaux matériaux pour créer des transistors encore plus petits, jusqu'aux produits qui transforment la façon dont les soins de santé et l'éducation sont délivrés. Les candidats devront également travailler sur les technologies du futur, comme la réalité virtuelle ou des ordinateurs capables de deviner ou d'anticiper les besoins de l'utilisateur. La firme de Santa Clara a également annoncé qu'elle allait investir environ 5 milliards de dollars pour construire une usine de processeurs  à Chandler, en Arizona.

Des fonds pour construire  une usine dans l'Oregon

L'usine sera dédiée à la fabrication de puces pour les ordinateurs, l'électronique grand public et les appareils mobiles, Intel a ajouté dans un communiqué que la construction de l'usine commencerait au milieu de cette année et qu'elle devrait être achevée en 2013. Ces 5 milliards de dollars s'ajoutent aux 6  à 8 milliards de dollars engagés par le fondeur pour fabriquer des processeurs pour PC, smartphones, équipements électroniques grand public et systèmes embarqués. Les fonds serviront à construire une usine dans l'Oregon et à moderniser les structures qui conçoivent des processeurs utilisant le nouveau processus 22-nanomètres,  des puces plus rapides et moins gourmandes en énergie que celles à 32 nm. A l'époque, Intel avait déclaré que cet investissement de 6 à 8 milliards de dollars se solderait par 6 000 à 8 000 emplois créés dans le bâtiment aux États-Unis au cours de la phase de construction, et qu'il finirait à terme  par créer jusqu'à 1 000 emplois hautement qualifiés et à haut salaire dans le secteur de l'industrie.

Illustration : l'une des usines d'Intel (crédit : D.R.)

(...)

(21/02/2011 16:06:41)

Barack Obama en visite dans la Silicon Valley

Jeudi dernier, Barack Obama s'est rendu dans la Silicon Valley pour une réunion sur l'innovation avec les entreprises leaders du secteur high tech (Facebook, Apple, Twitter, Google, Cisco Systems...). A la demande du Président américain, Paul Otellini, directeur général d'Intel, va rejoindre le Conseil pour l'emploi et la compétitivité créé en janvier pour promouvoir l'embauche et la croissance. En effet, Paul Otellini a rappelé la contribution d'Intel dans l'économie et l'emploi aux Etats-Unis. Premier employeur privé dans l'Oregon, Intel a annoncé l'embauche de 4 000 nouveaux employés en 2011 répartis dans ses usines américaines, notamment en Arizona avec la création d'une nouvelle usine à 5 milliards de dollars. Un investissement pour la modernisation des usines du fondeur à la hauteur de 6 à 8 milliards de dollars est également prévu, ce qui engendrera 6 000 à 8 000 emplois supplémentaires.

Barack Obama a évoqué lors de cette rencontre les investissements nécessaires au soutien de l'innovation et l'emploi du secteur privé. Il "a notamment évoqué ses propositions d'investissement dans la recherche et le développement et le développement des aides à la croissance et à l'emploi, ainsi que son objectif de doublement des exportations sur cinq ans pour soutenir des millions d'emplois américains. Ils ont également évoqué l'importance de réaliser de nouveaux investissements dans l'éducation.", a précisé Jay Carney, le porte-parole de la Maison blanche.

Paul Otellini siègera au Conseil aux côtés de Jeffrey Immelt, patron de General Electric, ainsi que d'autres personnalités nommées dans les semaines à venir.

Illustration : le Président Obama rencontre Mark Zuckerberg, le jeune fondateur du réseau social Facebook (crédit : D.R.) (...)

(21/02/2011 15:09:54)

La Chine gêne les recherches sur les médias sociaux parlant de révolution de Jasmin

Les fonctions de recherche sur le contenu de Sina Weibo, le site de micro-blogging le plus populaire du pays, ont été réduites en Chine ce week-end. Cette décision visait, semble-t-il, à empêcher toute communication concernant une « Révolution de Jasmin » et à contenir des appels à manifester dimanche dans 13 villes chinoises, qui ont commencé à être diffusés sur le Web. Ainsi, dès dimanche après-midi, les recherches en chinois dans lesquelles apparaissait le mot « Jasmin » ont été bloquées sur le site géré Sina, qui propose un service équivalent à celui qu'offre Twitter. Dimanche soir, il semble aussi que Sina ait suspendu les recherches sur l'ensemble du contenu de son site de micro-blogging, limitant les requêtes à quelques noms, quelques événements et une série de mots-clés. Un autre site de micro-blogging exploité par Tencent a également bloqué les recherches dans lesquelles pouvaient apparaître le mot « Jasmin » ou l'expression « Révolution de Jasmin ».

Censure de l'Internet et arrestations

La référence à une « Révolution de Jasmin » semble avoir émergée sur le Web, appelant les utilisateurs chinois à manifester dans 13 villes du pays, dont la capitale Pékin. L'appel semble s'inspirer des manifestations anti-gouvernementales qui ont eu lieu en Tunisie et en Égypte. Il est difficile de savoir qui ou quel groupe a commencé à propager le mot d'ordre. Le site chinois Boxun.com aurait été le premier à relayer l'appel à manifester. Le blocage de l'Internet en Chine a été étendu à d'autres sites de réseaux sociaux. Par exemple, Renren.com, le Facebook chinois, très populaire, ne permettrait pas aux utilisateurs de publier des posts dans lesquels figurent les mots « Révolution de Jasmin ». Chaque fois que quelqu'un tente d'envoyer un message contenant l'un de ces termes,  un écran d'alerte l'invite à « ne pas poster du contenu politiquement sensible, du contenu injurieux, des publicités professionnelles ou tout autre contenu inapproprié ». Parallèlement à la censure appliquée sur l'Internet, la Chine aurait, dit-on, réagi à l'appel à manifester en arrêtant des militants et en déployant davantage de policiers. Il semble aussi que dimanche soir, aucune manifestation n'a pu avoir lieu.

Sous surveillance depuis les événements en Egypte

La censure des sites de micro-blogging chinois s'est beaucoup accentuée au cours de ces dernières semaines, et en particulier depuis le début des manifestations anti-gouvernementales en Égypte. Sina et d'autres sites avaient commencé à bloquer les recherches relatives à l'« Égypte ». La semaine dernière, on ne pouvait plus effectuer de recherches en chinois sur « Hillary » et « Hillary Clinton » sur le site de micro-blogging de Sina. Sans doute à la suite d'un discours  de la secrétaire d'État américaine Hillary Clinton appelant des gouvernements comme la Chine à mettre fin à la censure de l'Internet.

Avec 457 millions d'utilisateurs, la Chine concentre la plus importante population de personnes connectées à Internet. Selon le China Internet Network Information Center, 63 millions d'entre elles sont abonnées à des sites de micro-blogging.

Illustration : le service de micro-blogging de Sina (crédit : D.R.)

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(21/02/2011 13:07:10)

Qualcomm propose de créer des jeux en réalité augmentée sur smartphone

Le fabricant américain de puces Qualcomm fonde de grands espoirs sur les jeux en réalité augmentée. Il fournira la première version de son kit de développement logiciel au deuxième trimestre de 2011. En attendant, il a fait plusieurs démonstrations en réalité augmentée pour les smartphones sous Android lors du salon des mobiles de Barcelone, le Mobile World Congress. 

Les jeux ont été développés en utilisant son kit de développement logiciel. La réalité augmentée se réfère à la façon dont le contenu généré par ordinateur est superposé à une vue via une caméra en direct du monde réel. On "augmente" ainsi ce point de vue avec des informations supplémentaires.

La plateforme de réalité augmentée de Qualcomm fonctionne par la reconnaissance visuelle d'éléments dans la vue filmée, auxquels on ajoute d'autres éléments calculés par ordinateur. D'autres systèmes peuvent utiliser un téléphone à récepteur GPS, une boussole et un accéléromètre pour déterminer où ils sont et dans quelle direction ils vont afin d'ajouter des informations de localisation pertinentes. 

Qualcomm a présenté un match de basket joué avec une impression de panneau de basket-ball fixé à un mur. Le logiciel identifie le panneau en images. Le but du jeu est de marquer. Comme les joueurs se déplacent autour de leur téléphone, ils peuvent tirer depuis des angles différents. Permettre aux joueurs de se déplacer dans le monde réel, avec l'adaptation des jeux à ces mouvements. C'est ce que la réalité augmentée ajoute à l'expérience, a déclaré Roy-Laurent Ashok Inigo, en charge du développement chez Qualcomm.  

Le fondeur a organisé un concours de jeux en réalité augmentée et a reçu une cinquantaine de demandes. Le gagnant de ce défi est un jeu appelé Paparazzi, où le joueur devient un paparazzi virtuel. Outre les jeux, Qualcomm prévoit que la technologie soit utilisée pour améliorer la publicité et l'éducation.

Photo : la réalité augmentée présentée par Qualcomm lors du salon du mobile de Barcelone (D.R.) (...)

(21/02/2011 12:20:59)

Tribune de Caroline Sauvajol-Rialland : Objectif Zero email, Thierry Breton précurseur ?

Maître de conférences à Sciences Po Paris et chercheuse à l'Université Catholique de Louvain (UCL - LASCO), Caroline Sauvajol-Rialland revient sur l'objectif visé par Thierry Breton, PDG de la SSII Atos Origin.
L'intégralité de sa tribune libre est publiée sur le Blog Expert du Monde Informatique.
Elle y explique pourquoi l'accélération de la pollution informationnelle est un constat sous-évalué, avant de pointer l'impérieuse nécessité d'agir.

La généralisation et l'accélération de « l'infobésité » dans le monde du travail. 

L'annonce faite il y a quelques jours par la société Atos Origin de son ambition de « devenir une entreprise «zéro e-mail» d'ici trois ans » repose sur le constat suivant :  « Le volume d'e-mails que nous envoyons et recevons n'est pas soutenable dans le domaine professionnel. Les managers passent de 5 à 20 heures par semaine à lire et écrire des e-mails. Ils utilisent déjà les réseaux sociaux plus que les moteurs de recherche, et passent 25% de leur temps à rechercher de l'information ... Les cadres passent plus de 25% de leur temps à chercher de l'information. En 2010 : les usagers au sein des entreprises reçoivent en moyenne 200 mails par jour, dont 18% sont des spams. » (1)

Ce constat propre à la société Atos Origin (et au problème particulier des courriels) ne constitue en réalité que la partie émergée d'un phénomène bien plus général et plus massif : le sentiment de saturation d'information des collaborateurs de l'entreprise (5). La surinformation se définit par le fait pour un individu de recevoir plus d'informations qu'il ne lui est possible d'en traiter sans porter préjudice à l'activité.

Ainsi les cadres en particulier expriment de plus en plus le sentiment d'être confrontés à une surabondance d'informations qu'ils ne parviennent plus à absorber, traiter, hiérarchiser et qui est génératrice de stress : 74% d'entre eux déclarent souffrir de surinformation et 94% pensent que la situation ne peut que se détériorer. 90% disent recevoir trop de courriers inutiles, lesquels représentent 25% des courriels reçus. Et 30% du temps de travail d'un cadre est déjà consacrée au traitement de l'information (7).
La surcharge est donc informationnelle et communicationnelle. « Au milieu du XXe siècle, on a commencé à produire de l'information plus rapidement qu'on ne peut la digérer. Jamais cela ne s'était produit auparavant ... » (8).

Les causes de « l'infobésité »

La cause principale de la surcharge informationnelle tient au développement exponentiel de la production d'informations depuis les années 1980 : « l'humanité a produit au cours des 30 dernières années plus d'informations qu'en 2000 ans d'histoire et ce volume d'informations double tous les 4 ans » (9).

Les nouvelles technologies de l'information et de la communication (NTIC) ont également contribué à la surcharge informationnelle en réduisant les temps de traitement, en accélérant la vitesse de circulation et en autorisant la disponibilité permanente (10). « Les nouvelles technologies renforcent la culture de l'urgence, elle-même encouragée par les nouvelles organisations du travail. On passe alors de l'urgence à l'instantanéité et à l'immédiateté. » (5). Le courrier électronique, les agendas partagés, les téléphones et ordinateurs mobiles, les téléavertisseurs ou encore MSN sont les nouveaux outils de l'instantanéité en entreprise. Et les communications synchrones (portable, MSN...) exposent leurs correspondants à encore plus de vulnérabilité que les communications asynchrones (courrier électronique notamment). Enfin, les temps professionnels et personnels sont de plus en plus enchevêtrés.

Paradoxalement, les NTIC, sensées améliorer la gestion des flux d'information, leur diffusion et fluidifier les processus décisionnels conduisent par le développement de leur usage à la situation inverse... (10). L'utilisation du courrier électronique en entreprise constitue l'éclatante illustration du phénomène. En 10 ans, il s'est imposé comme l'outil de travail dominant en entreprise. A la fois principal outil communicationnel de l'entreprise (avant les réunions), il est pourtant devenu l'ingrédient central de la surcharge informationnelle... Comme l'explique David Shenk, « nous ne pouvons  nous débarrasser de la sensation étrange d'être en train de perdre le contrôle sur ces machines  qui étaient sensées nous servir. Nous nous propulsons à des vitesses au-delà desquelles nous étions incapables de vivre » (8).

Lire la suite de la tribune de Caroline Sauvajol-Rialland sur le Blog Expert du Monde Informatique.fr :

L'impérieuse nécessité d'agir : les effets pervers de la surinformation

- Les risques sur les personnes : le développement des pathologies liées à la surinformation

- Les risques pour les entreprises : la décision et la performance

Sur le même sujet :

- Le 15 février 2011 : Atos Origin se fixe un objectif "Zero emails" pour 2014

(...)

(21/02/2011 10:55:37)

Compufirst va proposer aux PME de télécharger Windows et Office

L'entrée sur de nouveaux marchés et le renforcement de certaines de ses offres constituent deux des clés de la stratégie de croissance de Compufirst en ce début 2011. Le premier point se concrétise par la création d'une rubrique téléphonie sur les pages web du site marchand B-to-B. Le second repose quant à lui sur l'intégration d'une plate-forme de téléchargement dans sa rubrique logiciels.

« Nous allons être les premiers en France à proposer Office et Windows de Microsoft en téléchargement sur le segment professionnel », se félicite Lionel Vargel (en photo), le président et co-fondateur de Compufirst. Techniquement, la fourniture de ce service va s'appuyer sur la plate-forme de distribution numérique de la société Eptimum. Outre Office et Windows, cette dernière propose les solutions d'une vingtaine d'autres éditeurs dont une bonne partie devrait être également téléchargeable sur Compufirst.fr. Pour le revendeur, l'adjonction de ce système de distribution dématérialisée doit contribuer à faire de lui le numéro un de la vente de logiciels sur le segment des PME dans l'Hexagone.

« Tous les revendeurs IT commercialisent des logiciels mais sans générer de volumes de ventes importants. D'un autre côté, les spécialistes de l'applicatif se focalisent sur les grands comptes. D'où la carte à jouer de Compufirst sur le segment SMB [small & medium businesses] où il n'existe pas de revendeurs de logiciels spécialisés »
, analyse Lionel Vargel. Pour mieux se forger cette image d'expert en logiciel, Compufirst a recruté deux spécialistes du domaine, dont un commercial avant-vente sédentaire en début d'année. En 2011, la vente de logiciels devrait représenter 15% des revenus du site (prévisions : plus de 11 M€), contre 8% des 7,7 M€ de chiffre d'affaires qu'il a dégagés en 2010.

Après les terminaux et les accessoires, les PBX ?

En ce qui concerne la téléphonie, Compufirst part en revanche de rien. « Nous avons ouvert une rubrique dédiée à cet univers avant Noël dernier, indique le président de Compufirst. Pour le moment, nous n'en faisons pas la publicité car notre catalogue n'est pas encore assez exhaustif. » Actuellement, l'offre en téléphonie de Compufirst se concentre sur les terminaux (analogiques, IP et mobiles) et les accessoires. « Nous référençons de nouveaux grossistes afin d'élargir le nombre de marques que nous distribuons », poursuit Lionel Vargel.

A terme, le site marchand n'entend pas se contenter de commercialiser des terminaux et des accessoires. En tant que revendeur de produits réseaux, il dispose déjà d'une offre complémentaire à la téléphonie. Et il pourrait également se lancer dans la vente de PABX/IPBX si la demande est là. « Ce type de produits se vend rarement directement sur le web. Ce qui n'est pas un problème pour Compufirst puisque 10% seulement de notre chiffre d'affaires est réalisé directement sur le canal contre 90% par notre force de vente sédentaire », détaille Lionel Vargel.
Comme dans le domaine des logiciels, Compufirst ambitionne de se positionner en acteur de premier plan auprès des PME-PMI sur le marché français de la téléphonie. Là encore, le revendeur pense pouvoir profiter du fait que la distribution en ligne de produits de téléphonie pour le marché SMB est « désertée ».

Illustration : Lionel Vargel, président et co-fondateur de Compufirst (crédit : D.R.) (...)

(21/02/2011 10:38:42)

Les Français utilisent plus les SMS que les réseaux sociaux

L'enquête (*) publiée par le cabinet Deloitte apporte un regard sur la manière dont la relation entre utilisateurs et téléphones portables évolue dans le monde. Trois principaux constats en ressortent. Tout d'abord, les SMS restent plus populaires que les réseaux sociaux. En France, 56% des utilisateurs utilisent les SMS au cours d'une journée alors qu'ils ne sont que 48% et 37% à utiliser respectivement la messagerie mobile et les réseaux sociaux. L'écart est encore plus important en Chine où la population utilise les SMS à 93% contre 30% pour les réseaux sociaux. Ensuite, les Français sont moins friands de publicité sur mobiles que les Chinois : 80% d'entre eux ignorent les publicités qu'ils reçoivent sur leurs téléphones.

Les Chinois davantage friands de publicités

Parmi ceux qui y réagissent, 40% visitent le site indiqué ou cherchent à en savoir plus. A l'inverse, leurs homologues chinois sont 20% à déclarer acheter le produit ou le service vanté par la publicité. Quatre facteurs pourraient faire réagir les Français à la publicité sur mobiles : la recherche de bonnes affaires (20%), l'utilisation gratuite d'une application ou d'un jeu (17%), la publicité venant d'une marque ou d'un produit dans laquelle/lequel ils ont confiance (11%) et les publicités en rapport avec l'endroit où ils se trouvent (8%). Enfin, l'étude montre que certains consommateurs français seraient prêts à payer un surcoût pour avoir le haut débit mobile (4G) sur leurs téléphones portables. Les deux grands facteurs susceptibles d'encourager une plus grande utilisation sont des prix abordables pour 54% d'entre eux, et des vitesses supérieures pour 50%.

(*)Les résultats de cette étude ont été collectés auprès d'environ 30 000 personnes dans 15 pays via des entretiens en ligne et sur le terrain. Les questions ont été adaptées au pouvoir d'achat, à la langue et aux caractéristiques propres des marchés de chaque pays.

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