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(02/12/2010 11:10:52)

Le financement du très haut débit sur les zones moins denses en question

(Source EuroTMT)Pour atteindre cet objectif ambitieux, le ministre de l'économie numérique a rappelé que l'Etat allait injecter 2 milliards d'euros (issus du Grand Emprunt) dans les infrastructures et que, côté mobile, l'attribution des fréquences 800 MHz et 2,6 GHz, prévue durant le premier semestre 2011, devrait permettre d'élargir la couverture en haut et très haut débit.

Pour conclure, il a souligné que « les collectivités locales vont avoir un rôle moteur dans le déploiement ». A ces dernières de se débrouiller pour mettre en oeuvre les préconisations du gouvernement, soit à partir de financements publics, soit par le biais de PPP (Partenariats Public-Privé).

L'optimisme loin d'être unanime

Mais ce discours optimiste ne fait pas l'unanimité auprès des élus. A l'image d'Yves Krattinger, Sénateur PS de la Haute-Saône, qui craint de voir se développer « une béance numérique ». Car les intentions affichées par le gouvernement restent finalement assez vagues : « 70 % de la population couverts, ce n'est pas 70 % du territoire ! Et il faut également définir ce que l'on entend par très haut débit : est-ce du 10, du 30 ou du 100 Mbits descendant ? » s'interroge le sénateur.

Mais là ne sont pas les seules inquiétudes d'Yves Krattinger. Elu d'un département très rural, dépourvu de très grandes agglomérations, celui qui est également Président de la Commission Aménagement du Territoire et TIC de l'ADF (Assemblée des départements de France) s'interroge sur l'avenir des zones 3 : « Ça va être long pour équiper ces territoires en très haut débit. Or nous avons de fortes demandes de la part de nos concitoyens. Comment allons-nous faire patienter le public et les entreprises? » Et de prendre à partie les opérateurs qui sont dans la salle : « Où en est la montée en débit hors fibre optique ? » De fait, de plus en plus d'experts voient dans le développement du haut débit (HSPA +, Wifi, Femtocell, satellite... ) un moyen plus rapide et moins coûteux de couvrir correctement les territoires non denses.

Car, même si le gouvernement promet 2 milliards d'euros - avec espère-t-il un effet de levier auprès des opérateurs -, les collectivités vont devoir également financer les montées en débit. A eux-seuls, les départements investissent déjà 240 millions d'euros par an pour le déploiement de l'Internet. Mais il n'est pas certain qu'en période de crise économique, ces mêmes départements puissent augmenter leurs efforts. Or dans un rapport publié en janvier 2010, la Datar indique que la couverture en fibre optique de 100 % de la population et des entreprises coûterait 30 milliards d'euros, dont 15 milliards d'euros de financement public. Alors qu'une couverture à 80 % en FTTH, à 5 % en équipant des sous-répartiteurs (pour une montée en débit) et à 15 % en utilisant la 4G/LTE reviendrait seulement à 18 milliards d'euros, dont 8 milliards d'euros par les financements publics.

Initiative mais pas forcément financement public

Quoiqu'il en soit, les élus des zones non denses refusent d'être les seuls à investir. Un avis que partage totalement Gabrielle Gauthey, vice-président d'Alcatel-Lucent chargée des relations institutionnelles : « L'avenir du numérique passe par les territoires car la mutualisation ne pourra s'organiser sans eux. Mais il ne faut pas confondre initiative publique et financement public. Les territoires détiennent la clé de la péréquation et de l'initiative. Ils doivent être producteurs de nouveautés, de valeur ajoutée et non pas seulement consommateurs. » (...)

(02/12/2010 11:11:40)

Le haut débit cartonne, le très haut débit patine en France

Au troisième trimestre 2010, l'Arcep recensait 20,8 millions d'abonnements haut et très haut débit sur réseaux fixes à Internet, soit une croissance nette de 360 000 abonnements par rapport au deuxième trimestre de la même année, et de 1,6 million par rapport au troisième 2009. Sur ce parc d'abonnés à Internet, 20,4 millions sont des abonnements Internet haut débit, dont 19,5 millions sont des abonnements ADSL. Leur nombre a augmenté de 320 000 en un trimestre.

Le nombre d'abonnements très haut débit, c'est-à-dire des lignes offrant un débit descendant d'au moins 50 Mbit/s et un débit remontant minimum de 5 Mbit/s, s'élève quant à lui à 420 000 à la fin du troisième trimestre. Il n'a évolué que de 55 000 abonnements au cours de cette période. Par ailleurs, le nombre de consommateurs ayant renoncé à l'abonnement téléphonique de France Télécom au profit du dégroupage total s'élève désormais à 8,7 millions (au 30 juin 2010).

Numericable se taille la part du lion dans le Très Haut Débit


Sur les abonnements au très haut débit, plus de 100 000 sont en fibre optique jusqu'aux abonnés "FFTH" (+10 000 en un trois mois). Les 320 000 autres abonnements ont un accès avec terminaison en câble coaxial en pied d'immeuble (+55 000 en trois mois).

Au deuxième trimestre, l'Arcep recensait 20,37 millions d'abonnements au réseau Internet fixe à haut ou très haut débit, dont un peu plus de 20 millions d'abonnements en haut débit, et 365 000 en très haut débit. En un an, le nombre global d'abonnements a progressé de 1,65 million (+9%). Toutefois, selon l'Arcep, le nombre de logements potentiellement éligibles à la fibre optique progresse vite. Au troisième trimestre, 44 000 immeubles en France étaient équipés en fibre (+58,3% en un an) pour 967 000 logements éligibles (+30,7%).

(...)

(02/12/2010 11:12:36)

Annuels Sage : une croissance stable et réorganisation directoriale

L'éditeur britannique de logiciels de gestion a clôt son exercice fiscal 2009-2010 (en septembre) sur un chiffre d'affaires de 1,6 Md€. Comparés à l'exercice précédent, les revenus sont ainsi quasiment stables, grâce, notamment, à une croissance organique de 3%. La partie n'était pourtant pas gagnée d'avance. L'entreprise avait en effet vu ses revenus baisser de 2% au premier semestre. Mais ce recul a finalement été compensé par une activité en croissance de 3% lors du semestre suivant. Le tout a permis au résultat opérationnel annuel ajusté (EBITA) de Sage d'atteindre 420,7 M€, soit une hausse de 4% à période comparée de l'exercice précédent. Par activité, les revenus de l'entreprise sont répartis entre 1,1 Md€ issus des abonnements et 574 M€ générés par la vente de licences et de services associés.

En Europe continentale, Sage a réalisé un chiffre d'affaires de 257 M€ contre 654 M€ en Amérique du Nord. En France, les revenus annuels représentent 315 M€, soit une croissance de 3% sur un an. Le résultat opérationnel ajusté de la filiale hexagonale (EBITA) s'établit à 25% de ses revenus, soit 77,4 M€. « Le revenu licences a progressé de 8%. Le second semestre a été le plus dynamique avec une hausse de 5% du chiffre d'affaires et de 13% des ventes de licences », détaille Pascal Houillon.

Vaste réorganisation de l'organigramme

Jusqu'ici président de Sage France, ce dernier vient d'être nommé CEO de Sage Amérique du Nord. Il succède ainsi à Sue Swenson qui partira à la retraite à la mi-2011. A cette date, Pascal Houillon siègera également au comité exécutif de l'éditeur. En France, il est remplacé par Antoine Henry qui était jusqu'à présent directeur général délégué de l'entreprise et fut aussi président de Ciel.

Sage entreprend en fait une vaste remaniement de son organisation à l'international. Parallèlement à la promotion de Pascal Houillon, il a également officialisé celles de Paul Stobart (Ex CEO pour le RU et l'Irlande) au poste de CEO pour l'Europe du Nord, d'Álvaro Ramírez (Ex CEO Espagne) aux fonction de CEO pour l'Europe du Sud et d'Ivan Epstein (EX CEO Australie et Afrique du Sud) à la direction des zones Asie et Moyen-Orient. (...)

(02/12/2010 11:11:13)

Conférence Urba-EA : OBS, Oracle et IT4Control défendent leur vision du cloud

Le 30 novembre dernier, le club Urba-EA a organisé une conférence sur le thème du cloud computing. A cette occasion, Oracle, Orange Business Services et IT4Control ont donné leur vision. Jean-Marc Loesch, Business Development Manager Oracle On Demand, a décrit la stratégie de cet éditeur, qui consiste à offrir une perméabilité complète entre cloud public et SI évoluant vers un cloud privé. « Certaines entreprises commenceront en mode public et continueront en mode privé », estime Jean-Marc Loesch. Dans cette optique, Oracle propose des services SaaS, PaaS et IaaS utilisant les briques de son offre traditionnelle, qui va des OS aux logiciels métiers en passant par la virtualisation, le middleware et la base de données. Jean-Marc Loesch a en outre insisté sur la couche Cloud Management qui vient coiffer cette pile de technologies.

Vers l'émergence d'un App-Store du SI

Plaidant en faveur d'une maturité prochaine du cloud computing, Gilles Bizet, senior manager chez Orange Consulting, s'est livré à un parallèle avec l'urbanisation du SI, qui fut une suite logique de l'arrivée de concepts comme la programmation orientée objet, les SOA, XML, LDAP, les ETL ou les EAI. « De la même manière, le Cloud est la suite logique des méthodologies utilisées dans l'out-sourcing, de la virtualisation, des services de Google, Salesforce ou Amazon et de la génération Y - ces jeunes utilisateurs qui veulent devenir acteurs du SI et non plus seulement utilisateurs », a expliqué Gilles Bizet, tout en estimant que le cloud computing pourrait demain ressembler à un App-Store du SI.

Jacques Merlinge, CTO d'IT4Control, a pour sa part d'abord parlé d'APM (Application Portfolio Management), qui consiste à automatiser le référencement des applications afin de construire un catalogue. Cela, dans le but de réaliser une cartographie montrant les interconnexions, ce qui permet par exemple d'analyser l'impact de la suppression d'une application. Le rapport avec le Cloud ? Tout d'abord, l'offre APM d'IT4Control est proposée en mode Saas. D'autre part, IT4Control développe une couche d'abstraction qui permettra de créer des serveurs logiques pouvant être indifféremment déployés dans différents clouds privés ou publics (comme Amazon et Microsoft Azure). « Nous avons apporté cette expertise au projet de Cloud privé de la STIME, la DSI du groupe Les Mousquetaires », a signalé Jacques Merlinge.
(...)

(01/12/2010 18:07:51)

CIO-PDF 28 : Dossier Méthodes Agiles

Méthodes agiles

Le dossier du nouveau CIO.PDF est centré sur le développement agile. Et les autres articles montrent comment être agiles d'une façon générale.

Il faut du temps pour que chacun réalise qu'il est dans le même bateau que les autres, comme le constate Isabelle Falque-Pierrotin, présidente du FDI (Forum des droits sur Internet), et spécialiste des négociations multipartites houleuses. Elle a appris à construire des solutions adoptées par toutes les parties prenantes. Les méthodes agiles répondent au même besoin : faire en sorte que chacun se sente impliqué dans la création de valeur. Certains managers IT veulent en profiter pour bâtir une co-responsabilité sur le système d'information avec les métiers. D'autres préfèrent mieux contractualiser la relation client-fournisseur existante.

Dans CIO.PDF 28, l'agilité se retrouve donc déclinée autant dans le développement que le management ; les outils réellement utilisés que dans l'organisation de la fonction SI.

Retour d'expériences

Des équipes IT orientées clients grâce aux méthodes agiles

Gestion de Carrière

Réussir une concertation multi-acteurs

International

Tirer profit de l'invasion d'appareils issus du grand public

Système d'information et métiers

Directeur de la coordination des programmes de Conforama : « Un projet doit avoir du sens et des enjeux clairement énoncés »


Téléchargez CIO-PDF 28

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(01/12/2010 17:31:42)

Gartner ne prévoit pas la mort du PC avec les tablettes

Bien que les iPad et autres tablettes aient commencé à impacter les ventes de PC, il ne faut pas s'attendre à ce que ces derniers disparaissent de si tôt. George Shiffler, analyste chez Gartner, affirme, en dépit du fait que certains gros titres font état de la mort potentielle des PC, que les tablettes remplaceront environ 10% des ordinateurs de bureau d'ici à 2014. La raison, dit-il, est que ces terminaux ne sont pas susceptibles de développer les capacités étendues de création de contenu que les utilisateurs trouvent dans les PC «Les tablettes sont avant tout des appareils de consommation, a-t-il expliqué. Nous pensons qu'au fil de leur évolution, elles vont acquérir davantage de capacités de création de contenu, mais elles n'en sont certainement pas encore là. » Les dernières prévisions de Gartner sur les ventes de PC ont laissé entendre que les ventes de PC devraient augmenter de 14,3% en 2010, en baisse de 17,9% par rapport à ce que la cabinet prévoyait en septembre En outre, Gartner a réduit ses projections pour 2011 à 409 millions d'unités livrées, soit environ 16% de PC  supplémentaires qui devraient être vendus d'ici la fin de l'année. Auparavant, le cabinet avait indiqué que les livraisons de PC augmenteraient de plus de 18% en 2011.

Des hybrides intéressants sur leur propre créneau

George Shiffler a ajouté que les tablettes pourraient  réduire les parts de marché des ordinateurs de bureau à condition qu'elles soient conçues spécifiquement pour  une utilisation de travail sur les données comme c'est le cas des netbooks. En d'autres termes, les personnes qui veulent avoir un accès rapide et facile au web et aux jeux lorsqu'elles font un voyage occasionnel seront plus enclines à opter pour des tablettes que pour des PC de conception similaire, dans un avenir proche. Pour l'analyste, si les tablettes souhaitent engloutir le marché des PC, elles devront élaborer des systèmes d'exploitation plus puissants, capables de supporter des applications de création de contenu. Il considère que, même alors, de par leur nature, ces ardoises numériques ont leurs propres limites, puisque les utilisateurs ne sont pas en mesure d'utiliser un écran tactile pour taper des documents volumineux ou des rapports. Sur le long terme, l'analyste imagine ces tablettes comme des «hybrides» intéressants sur leur  propre créneau, mais qui ne cannibaliseront ni les smartphones ni les PC. "Il existe un croisement intéressant entre un smartphone de nouvelle génération et un PC", considère l'analyste Selon lui, ces outils doivent se croiser dans leurs camps respectifs afin d'offrir une proposition de valeur unique.

(...)

(01/12/2010 17:35:23)

SAP lance HANA, sa solution d'analyse haute performance

(Mise à jour) C'est à Bangalore, dans le cadre de sa 3e conférence TechEd de la saison, que SAP a confirmé la disponibilité d'HANA, sa solution logicielle pour effectuer en temps réel des analyses haute performance (d'où son nom de baptême : High-Performance Analytic Appliance), sur les données de production. Une offre qui présente la particularité de tirer parti des technologies d'analyse de données en mémoire, en s'appuyant sur les dernières évolutions des architectures matérielles. En particulier les dernières générations de processeurs multicoeurs et la possibilité d'accéder désormais à des capacités de mémoire très importantes (jusqu'à 2 To sur une lame de serveur, avec des composants mémoire toujours plus rapides et moins chers). Intervenant depuis Bangalore, Vishal Sikka, directeur technique du groupe allemand, a récapitulé au cours d'une conférence téléphonique les caractéristiques de cette offre dont il avait brossé les premiers contours dès le mois de mai, sur SapphireNow (à Francfort), puis au TechEd de Berlin, en octobre dernier.

Avec HANA, l'agrégation de données se fait à la volée, sur de très gros volumes transactionnels provenant de différentes sources et répliqués dans l'appliance. Cela permet de réduire sensiblement les temps de réponse sur des applications de type datawarehouse. Cela permet aussi des mises en oeuvre que l'on n'envisageait pas jusque-là, fait valoir SAP. Comme de faire remonter en temps réel les chiffres de vente de dizaines de points de vente répartis dans le monde pour mieux ajuster sa production, donne en exemple le directeur technique en évoquant un client dans le secteur des biens de grande consommation.

Planification complexe de ressources

Vishal Sikka a également annoncé la première application conçue pour cette technologie, SAP BusinessObjects Strategic Workforce Planning (illustration ci-dessus), en promettant que d'autres suivront. Celle-ci aurait été conçue en 70 jours par l'éditeur. En exploitant les capacités d'HANA, elle permettra à des directions opérationnelles de simuler en temps réel des scénarios de planification complexe de leurs équipes. Ils pourront évaluer le coût réel des différentes options, en s'appuyant sur un moteur capable d'analyser les contraintes et les impacts sur l'organisation, et en recourant à la modélisation prédictive.

Depuis plusieurs mois, certains clients de SAP testent HANA avec l'aide de quelques-uns des grands partenaires de l'éditeur officiant sur le versant matériel : HP, IBM, Fujitsu, Cisco... Vishal Sikka a également rappelé que SAP avait beaucoup collaboré avec Intel en amont. Parmi les clients pilotes du programme figurent des sociétés comme Coca-Cola Hellenic, le leader indien de la grande distribution Future Group (qui gère 1 000 magasins en Inde) ou encore le fabricant d'outillage Hilti qui est intervenu lors de la conférence téléphonique. Ces premiers utilisateurs se montrent très satisfaits des résultats, souligne le directeur technique de SAP. Pour convaincre d'autres clients, SAP leur a demandé des jeux de données provenant de différents scénarios d'activité, afin de leur montrer comment l'utilisation d'HANA peut les aider à améliorer ces processus.

L'un des principaux intérêts d'HANA est sa capacité à s'insérer dans le système d'information sans remettre en cause l'existant. L'offre s'adresse donc à tous les clients de SAP et non pas uniquement à ceux qui ont adopté la dernière génération de son ERP. Pour favoriser l'adoption d'HANA, l'éditeur compte aussi beaucoup sur la prochaine version de sa suite décisionnelle BusinessObjects 4.0. Déjà exploitée par certains clients, elle sera livrée au premier semestre 2011. Toujours agnostique par rapport aux différentes solutions du marché, cette suite permet de rassembler des données provenant de n'importe quel source. Vishal Sikka a rappelé que SAP l'avait complètement intégré à son offre NetWeaver (qui inclut la solution d'entrepôt de données BW).

Face à Exadata d'Oracle, HANA s'appuie sur différents constructeurs

Interrogé sur la présence sur le marché de la solution Exadata d'Oracle, qui combine matériel et logiciel pour accélérer les performances des datawarehouses, Vishal Sikka estime qu'il ne s'agit pas à proprement parler d'un concurrent. Tant l'architecture des deux offres que leurs visées sont différentes, a-t-il indiqué. Avec HANA, SAP proposera des applications spécialisées sur des problématiques spécifiques, telles que Strategic Workforce Planning. Et, contrairement à Exadata, qui tourne maintenant sur les serveurs Sun d'Oracle (NDLR : sa première version fonctionnait sur du matériel HP), les appliances HANA reposeront sur les serveurs de différents constructeurs, dont HP et IBM.

Les tarifs de l'appliance n'ont pas encore été communiqués par SAP, mais ce dernier a tout de même précisé qu'il prévoyait trois versions (small, medium, large). Des configurations spécifiques pourront être constituées par le partenaire constructeur pour des besoins particuliers.

Illustration : L'application de planification des ressources humaines BusinessObjects Strategic Workforce Planning, de SAP.
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