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(03/05/2010 15:48:54)

Google poursuit ses acquisitions à un rythme record avec le rachat de BumpTop

L'annonce de la transaction a été rendue publique par BumpTop dès vendredi. «Aujourd'hui, nous avons une communication importante à faire : nous avons été racheté par Google ! Cela signifie aussi que les versions Windows et Mac de BumpTop ne seront plus disponibles à la vente et qu'aucune mise à jour de ces produits n'est aujourd'hui prévue. » Plus tôt dans la semaine, Google avait acheté LabPixies, un créateur de widgets utilisés dans la page d'accueil personnalisable iGoogle. Selon certains, Google a dû débourser pas moins de 25 millions de dollars pour LabPixies qui développe aussi des applications de jeu comme Flood It! Pro.

Google essaye par ailleurs de boucler certaines de ses acquisitions 2009, en particulier son offre de rachat d'AdMob, un fournisseur de publicité aux opérateurs de téléphonie mobile, toujours examinée par la Federal Trade Commission (FTC) et qui pourrait poser des problèmes de concurrence. Compte tenu de la bonne santé financière de l'entreprise - Google vient de publier un Q1 2010 affichant des recettes en hausse de 23% par rapport à la même période en 2009 - il n'y a aucun doute que l'entreprise va poursuivre sa politique de rachats très active. Ses dirigeants ont d'ailleurs indiqué que l'entreprise envisageait de réaliser au moins un rachat par mois. Compte tenu du pactole de 26,5 milliards de dollars en cash, quasi-espèces et titres négociables à court terme (à compter de la fin mars) dont dispose Google, peu d'entreprises se trouvent hors de portée du géant de l'Internet.

Voici un aperçu des entreprises achetées par Google cette année, parmi les 60 acquisitions réalisées et rendues publiques :

- Aardvark : sa technologie de recherche spécialisée dans les réseaux sociaux permet d'obtenir des réponses à ses questions de la part des personnes les plus expertes du cercle social en ligne auquel l'utilisateur appartient. Google aurait déboursé 50 millions de dollars pour cette entreprise.

- reMail :  a développé une application pour iPhone qui permet de rechercher des comptes de messagerie Gmail et IMAP. Le fondateur de l'entreprise faisait parti de l'équipe Gmail de Google. Le voilà de retour au bercail.

 

Illustration Bureau BumpTop, crédits D.R.

 

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- Picnik : vend une technologie de retouche d'image sur le Web, laquelle fonctionne avec d'autres outils de traitement de photos en ligne comme Picasa de Google.

- DocVerse : supporte le partage collaboratif de documents avec les fichiers Microsoft Office. Cet achat de 25 millions de dollars renforce le portefeuille de Google Docs, alors que l'entreprise fait monter d'un cran sa compétition avec Microsoft sur le marché de la gestion de documents en ligne.

- Episodic : un fournisseur de technologie de streaming video en direct Live qui devrait compléter l'offre de YouTube.

- Plink : une start-up anglaise dont les deux fondateurs se sont fait remarquer avec une application pour téléphone mobile capable d'identifier des oeuvres d'art et permettant aux utilisateurs d'en commander un tirage papier.

- Agnilux, une start-up discrète créée par d'anciens d'Apple et de PA Semi qui travaille sur le design des architectures des puces Arm

(...)

(03/05/2010 14:48:15)

Trimestriels Altran : des perspectives rassurantes

Le groupe de conseil en technologie a annoncé ses résultats du premier trimestre 2010. Le chiffre d'affaires ressort à 351,6 millions d'euros contre 371,4 millions d'euros l'année précédente, soit une baisse de 5,3%. En excluant les acquisitions et Arthur D.Little, le chiffre d'affaires progresse très légèrement de 0,6% à 325,5 millions d'euros. L'activité française a généré un revenu de 161,8 millions d'euros en baisse de 2,9% par rapport au 1er trimestre 2009. L'international affiche un chiffre d'affaires de 187,1 millions d'euros en recul de 7,3%. A noter les bonnes performances du Royaume-Uni (+2,2%), de l'Espagne (+4,4%), de la Scandinavie (+3,5%) et de l'Italie (+3,8%). Sur le plan des effectifs, le plan personnalisé de départ volontaire en France s'est traduit par 551 demandes de départs acceptés par la société. Il reste 309 départs attendus principalement au cours du 2ème trimestre 2010.

Sur les perspectives, Altran souligne une reprise de l'activité économique, tout en restant prudent face à des « incertitudes macroéconomiques » et élément nouveau «  à des pressions renforcées sur les prix ». Par ailleurs des efforts sur les coûts indirects et l'adaptation des ressources devraient améliorer sensiblement la marge d'exploitation du groupe par rapport à 2009.

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(03/05/2010 12:48:17)

Valse d'hésitations dans les switchs 40 Gbits Ethernet pour datacenters

L'équipementier Extreme Networks a présenté un module de 4 ports 40 Gbits Ethernet sur le Summity X650 et sur les commutateurs Black Diamond lors de la conférence Interop. L'innovation réside aussi dans l'agressivité tarifaire avec un prix au port de 1000 dollars soit seulement 85 dollars de plus que le prix moyen d'un port 10 Gbits Ethernet, indique le Dell'Oro Group.

Pour autant à l'exception de Force 10 Networks et Brocade, les concurrents d'Extreme restent prudents sur le calendrier de la disponibilité de leur produit 40 Gbits Ethernet. Et seul Brocade a estimé qu'il pourrait s'aligner sur les mêmes tarifs. Un mail envoyé par Kevin Wade, directeur marketing de Force 10 a indiqué que le prix serait compris entre 6 à 8 fois le prix du 10 Gbits Ethernet. Avec l'acquisition de 3Com HP, lui, a hérité d'un commutateur compatible pour le 40/100 Gbits Ethernet, le 12500. La start-up Arista Networks a dévoilé le AN 7500 comprenant une capacité de 10 To sur du 40/100 Gbits Ethernet. Ce  produit, qui a été récompensé lors du salon Interop, propose d'embarquer 12 à 16 ports 40 Gbits Ethernet et 4 ports 100 Gbits Ethernet d'ici à la fin 2011 ou au début 2012, selon Doug Gourlay, vice-président marketing et ce dernier explique que « les clients s'interrogent sur l'intérêt d'investir dans des cartes 40/100 Gbits Ethernet si d'ici 2 ou 3 ans, si elles doivent ensuite les jeter et migrer vers des capacités plus importantes ». Brocade, par exemple, prévoit la sortie de son interface 100 Gbits Ethernet sur son sytème MLX-32 avant la fin de l'année et le 40 Gbits Ethernet au début 2011.

Avaya, n'a rien annoncé, mais à travers l'acquisition des solutions entreprises de Nortel, des solutions 40 Gbits Ethernet devraient apparaître sur des produits comme le VSP 9000, commutateur de coeur de datacenter.

Une problématique spécifique Cisco


De son côté, Cisco pourrait avoir d'autres soucis que les éléments tarifaires ou la disponibilité des produits. Avec une capacité maximale de 230 Gbits, le commutateur dédié au datacenter Nexus 7000 n'aurait peut-être pas assez de puissance pour accueillir des interfaces 40 Gbits Ethernet, estimées entre 8 et 16 ports par les spécialistes du secteur. Cela nécessiterait une mise à jour technique des modules fabric du switchs Nexus 7000 qui datent de 2 ans, selon des sources internes et externes à Cisco.

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« Il pourrait intégrer le 40 Gbits Ethernet, mais pas à une densité optimisée pour une capacité maximale de 230 Gbits » déclare une source qui connaît la situation et d'ajouter « il n'y a pas d'évolution du module fabric, sans risques de pannes ». Il fait référence à la nécessaire interruption des commutateurs pour les mettre à jour. Une autre source au sein de l'équipementier explique qu'il devrait déployer le 40 Gbits Ethernet sur le Nexus 7000, après que le standard soit ratifié en juin prochain. Cette intégration pourrait intervenir avant la fin de l'année, si les différents acteurs intègrent la même densité de ports que Cisco. Un autre salrié de l'équipementier est plus évasif sur la date et l'intégration du 40 Gbits Ethernet dans le Nexus 7000, avec une capacité d'au moins 8 ports. « Le plus grand problème pour nous est de savoir si le client disposera d'un système avec une architecture suffisamment évolutive à un prix raisonnable » souligne Thomas Scheibe, directeur de la commutation des DataCenters et des services chez Cisco. « Le 7000 actuel supportera les interfaces 40/100 Gbits Ethernet » explique t'il et d'ajouter « Est-ce que l'architecture sera évolutive ? Elle sera adaptée à une capacité de la moitié de 1 Tbit par slot. Cela devrait être suffisant pour répondre aux besoins des clients ».

Côté clients justement, on ne s'alarme pas de ces problématiques. « Je n'ai rien entendu sur le sujet de la part de Cisco, mais je ne leur ai pas demandé non plus. Je n'ai pas besoin de capacité 40/100 Gbits Ethernet aujourd'hui et ce n'est pas un problème pour moi » déclare Michael Morris, blogger sur Network World et ingénieur en communication.

(...)

(03/05/2010 12:22:56)

Ventes de mobile : + 19% au premier trimestre

Au premier trimestre 2010, les ventes de téléphones mobiles dans le monde ont progressé de 19%, soit 303 millions d'unités vendues. Selon l'analyste ABI Research, sur l'année, les ventes totales pourraient atteindre 1,3 milliard. Nokia reste en tête des constructeurs, avec 34% de parts de marché. Le finlandais arrive en tête des ventes de téléphone mobile dans le monde avec 34% de parts de marché. Il est suivi par Samsung (21,2%) et LG (8,9%). ABI Research précise que Samsung a vu ses ventes augmenter de plus de 40% sur un an et de 20% pour LG. En ce qui concerne l'iPhone d'Apple, il s'en est vendu 8,75 millions à travers le monde au cours du premier trimestre, ce qui représente un hausse de 130% sur un an. (...)

(03/05/2010 11:51:34)

Asi ouvre cinquante postes d'ingénieurs et de consultants

La société de conseil et d'ingénierie informatique Asi, spécialisée dans les portails d'entreprise, les solutions collaboratives et les applications décisionnelles, cherche à recruter cinquante ingénieurs et consultants d'ici la fin de l'année. Les profils recherchés sont principalement des ingénieurs d'études, chefs de projet et architectes ayant des compétences sur les outils collaboratifs Lotus et les portails d'entreprise (Java/J2EE ou OpenSource). La SSII ouvre également des postes de consultants expérimentés en décisionnel sur les solutions SAP BusinessObjects et Cognos. Elle recherche enfin, pour son activité conseil, des consultants seniors experts des bonnes pratiques en informatique et référentiels CMMi et/ou ITIL et des juniors ayant 2/3 ans d'expérience en maîtrise d'ouvrage (SSII ou cabinet de conseil). Les postes sont à pourvoir principalement dans l'Ouest mais également en Ile-de-France, Rhône-Alpes et dans le Sud-Ouest.
En 2009, ce groupe de 250 collaborateurs a réalisé un chiffre d'affaires de 25,4 millions d'euros, en progression de 3% par rapport à 2008.

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(03/05/2010 11:24:08)

Pourquoi Google est-il devenu courtier en énergie ?

En février dernier, sa filiale, Google Energy, avait reçu l'approbation de la US Federal Energy Regulatory Commission (FERC) pour acheter et vendre de l'électricité sur le marché de gros, provoquant quelques spéculations et laissant même entendre que Google aurait l'intention d'entrer dans le secteur de l'énergie. « Nous ne voulons pas devenir opérateur d'électricité, que Dieu nous protège d'un autre Enron, »a déclaré Bill Weihl, tsar de l'énergie verte chez le géant du web, au cours d'une interview donnée pendant la conférence GreenNet de San Francisco. « Ce que nous voulons, c'est une souplesse suffisante pour gérer nos contrats d'énergie, en particulier nous souhaitons être en mesure de signer des contrats utiles pour les producteurs d'énergie et avoir plus de choix en matière de sources renouvelables. »

A titre d'exemple sur la façon dont Google pouvait utiliser son statut FERC pour soutenir le développement de projets d'énergie propre, Bill Weihl a expliqué que l'entreprise signait généralement avec les fournisseurs d'énergie du service public des contrats d'approvisionnement de plusieurs années, afin notamment de prévoir ses besoins en électricité. «Si un producteur veut construire un parc éolien au coin de la rue, nous serions ravi d'acheter de l'électricité provenant de sa ferme à vent. Mais pour le faire d'une manière utile pour lui, nous avons besoin de signer un accord d'achat d'électricité, pour, disons 10 ou 20 ans, ce qui lui permet d'obtenir des taux de financement intéressant et libère des capitaux pour un autre projet, » a t-il déclaré.

Illustration : crédits D.R.

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Si Google est liée à une entreprise de services publics, elle ne peut plus signer de contrat de fourniture d'électricité avec le parc éolien, « sauf à vouloir perdre de l'argent. » « Ce que l'autorisation de la FERC nous permet de faire, c'est de revendre cette production d'énergie éolienne jusqu'au jour où nous pourrons l'utiliser pour nos propres besoins, » a déclaré Bill Weihl. « C'est fondamentalement le genre de chose que nous voulons faire. » En d'autres termes, la compagnie de Mountain View peut acheter et vendre de l'énergie, mais comme une manière d'augmenter son ratio d'approvisionnement en énergies renouvelables, plutôt que comme une entreprise en soi.

Google, l'un des plus grands opérateurs mondiaux de datacenters, est toujours à la recherche de moyens pour réduire ses coûts et l'empreinte environnementale de ses opérations. La société s'est en effet engagée à une activité à zéro carbone en combinant plusieurs facteurs : accroître son efficacité, augmenter son utilisation d'énergies renouvelables et jouer sur les crédits carbone. Greenpeace a fait l'éloge de Google pour sa défense de l'environnement et pour son outil PowerMeter, qui aide les consommateurs à réduire leur consommation d'énergie. Mais elle a aussi reproché à la société de ne pas avoir fixé d'objectifs en matière de réduction de CO2 et de ne pas divulguer de chiffres à ce propos. Au palmarès Cool IT de Greenpeace qui classe les entreprises informatiques en fonction de leur impact sur l'environnement, Google arrive en sixième position sur 15. (...)

(03/05/2010 09:45:23)

Une étude pointe le stress généré par les outils informatiques

Selon cette étude, qui a été menée auprès d'un millier de Nord-Américains, 64% des personnes interrogées déclarent être devenues anxieuses suite à un problème d'ordinateur : pannes à répétition, redémarrage, ralentissement, etc. Ces problèmes d'informatique ont, dans 42% des cas, accru le niveau de stress des utilisateurs. 39% déclarent avoir perdu un temps précieux, 21% ont perdu des données privées ou professionnelles importantes, et 7% disent même avoir vécu un traumatisme émotionnel.
La très grande majorité (94%) des répondants avoue cependant être dépendante de l'ordinateur au quotidien. 62% ont même une haute, voire une très haute dépendance à l'outil informatique. Mais les trois-quarts (74%) déclarent avoir rencontré un temps d'arrêt de leur ordinateur durant l'année précédant l'enquête. Dans 35% des cas, la durée d'immobilisation de la machine n'a pas excédé une journée, mais pour 34% des utilisateurs, l'avarie a duré entre 1 et 10 jours.

Parmi les problèmes informatiques les plus fréquemment rencontrés figurent le ralentissement de l'ordinateur (51%), la lenteur au démarrage (36%), les virus (16%), l'accès à Internet indisponible (15%) ou l'échec à une connexion sans fil (14%). Pourtant, en cas de problèmes, 37% des utilisateurs tentent de résoudre le problème eux-mêmes, 18% font appel à un ami ou un parent. Seulement 8% contactent leur fournisseur d'accès à Internet, et 7% le fabricant de l'ordinateur. En fait, les victimes du "syndrome du stress informatique" ne sont généralement pas tendres avec les services d'assistance technique, qui génèrent aussi une dose d'anxiété supplémentaire (40%). L'attente est la première cause (14%) de stress et de frustration lors d'un contact avec un support technique. Suivent le coût du service (11%), les limites linguistiques de l'interlocuteur pour les services décentralisés (10%), l'incapacité à résoudre le problème (9%) et les services vocaux préenregistrés (7%). En conclusion, cette étude, qui a également sollicité le point de vue de six spécialistes du service informatique, invite les professionnels en informatique à davantage prendre en compte le niveau de satisfaction des consommateurs, et à mettre en place des services innovants, plus réactifs, et disponibles 24 heures sur 24.

Cette enquête a été réalisée le CMOC en partenariat avec iYogi, entreprise spécialisée dans le support informatique, auprès de 1.000 personnes âgées de 16 ans et plus.


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(03/05/2010 09:26:14)

GRC multimarque en SaaS chez Kawan Group

Kawan Group est un spécialiste de l'hôtellerie de plein air via trois offres : Kawan Villages qui rassemble 83 campings haut de gamme (3, 4 et 5 étoiles) en France et en Europe, Camping Chèque et Holiday Chèque. Ces deux dernières offres permettent de séjourner respectivement dans 588 campings et dans 141 campings haut de gamme en France, en Europe et au Maroc. La gestion de la relation clients pour l'ensemble de ces offres reposait sur cinq applications distinctes, obligeant de ce fait à de multiples ressaisies lorsqu'un même client passait de l'une à l'autre, sans oublier l'absence de synergies. « Nous souhaitions qualifier l'ensemble de nos appels entrants pour les orienter vers les personnes adéquates, en particulier parlant la langue de l'interlocuteur et disposer d'une plate-forme d'échanges unique qui puisse gérer l'ensemble de notre offre et faire progresser notre relation client » explique Michel Sidoti, directeur des Relations Clients de Kawan Group.

Techniquement, le groupe souhaitait également une intégration maximale avec le SI existant. Celui-ci comprenait ViaTelecom (serveur vocal interactif pour les centres d'appels), le système interne de réservations pour Holiday Chèque et Kawan Villages, les solutions de Cegid pour la comptabilité, Paybox pour la gestion des payements en ligne, etc. A cela s'ajoute la difficulté de spécificités assez fortes dans le domaine du tourisme. Kawan Group a commencé par établir un cahier des charges précis de ses besoins en avril 2009. L'entreprise a choisi avant l'été 2009 la solution EasiCRM d'Easiware, d'une part parce qu'elle répondait aux besoins énoncés, d'autre part à cause de sa facilité de déploiement, cette solution étant proposée en SaaS. 400 utilisateurs ont été migrés dans toute l'Europe entre septembre et décembre 2009. Outre la relation clients au sens strict et les opérations commerciales, la suite de logiciels gère désormais également le système de fidélisation, les réservations et la gestion d'un porte-monnaie électronique utile pour payer des nuités dans le réseau de partenaires. Le coût du projet n'a pas été précisé.

Crédits illustration : D.R. (...)

(03/05/2010 09:08:53)

Microsoft pousse Exchange dans le cloud vers les grands comptes

Voilà déjà plusieurs années que les entreprises françaises peuvent utiliser Exchange en ligne en s'adressant à l'un des partenaires de Microsoft qui hébergent le serveur de messagerie. Ceux-ci tarifient le service en fonction des prestations qu'ils lui associent. Parmi ces prestataires figurent, notamment, des sociétés comme Jet Multimedia, Global SP ou encore Orange. A cela s'est ajouté, uniquement aux Etats-Unis dans un premier temps, l'offre mutualisée Online Services que Microsoft héberge sur ses propres datacenters. Cette offre s'est ouverte à 25 autres pays, dont la France, il y a exactement un an. Pour l'Europe, l'éditeur la gère dans son datacenter de Dublin. Les services ainsi réunis donnent accès à Exchange Online, mais aussi à Office Communications Online (messagerie instantanée, texte, voix et vidéo), au logiciel de réunion Live Meeting, ainsi qu'au portail Sharepoint Online. Il en coûte 8,52 €HT par mois et par utilisateur pour exploiter l'ensemble des fonctions, et 4,26 €HT seulement si l'on se limite à la messagerie.

Face à Microsoft, le grand concurrent, Google, propose aux entreprises d'accéder à sa messagerie Gmail et à la totalité de ses Google Apps (Calendar, Documents, etc.) au tarif annuel de 40 € par utilisateur.

Une offre 'Dedicated' au-delà de 20 000 postes

En France, cent clients ont déjà opté pour les Microsoft Online Services. Ils rassemblent quelque 35 000 utilisateurs, dont 80 à 90% exploitent Exchange. Avec cette offre, Microsoft cible toutes les tailles d'entreprise. « Parmi nos clients, nous avons aussi bien des PME de cinquante salariés [comme Peaks, une société de consultants lyonnaise de 50 personnes], que de grandes entreprises telles que le fournisseur de matériel électrique Rexel, qui compte 10 000 postes à ce jour et prévoit d'en déployer davantage », explique Isabelle Scemla, chef produit pour les communications unifiées chez Microsoft France.

Pour apporter une réponse adaptée aux très grands déploiements, Microsoft a dédoublé sa proposition sur Online Services. « Nous avons d'une part l'offre Standard, installée sur des datacenters mutualisés, et d'autre part l'offre Dedicated qui, au-delà de 20 000 postes, peut être installée par Microsoft sur des serveurs dédiés, ce qui permet d'aller plus loin sur la personnalisation des serveurs », explique la responsable produit. Pour l'instant, la filiale hexagonale n'a pas encore de référence sur cette offre Dedicated. « Mais nous sommes en négociation avec de grands comptes français. Sur les trois à quatre mois, un million de postes devraient se négocier sur les Online Services ».

Crédit photo illustration : Microsoft


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Rappelons par ailleurs qu'un partenariat exclusif a été signé avec Orange qui, dans quelques mois, pourra lui-aussi revendre l'accès aux Online Services sous la forme d'offres packagées accompagnées de prestations supplémentaires (migration, personnalisation...). Microsoft reste, dans tous les cas, celui qui facture et héberge.

 

Interface d'administration de Microsoft Online Services


Cliquer sur l'image pour l'ouvrir


Combiner des serveurs Exchange internes et dans le cloud

Dans bien des situations, les entreprises trouveront avantageux de faire migrer leur messagerie Exchange de leurs serveurs vers ceux de Microsoft. Face à l'alternative Google, la société de Steve Ballmer avance, entre autres, l'avantage d'une forte intégration entre ses outils en ligne et son client Outlook. Pour tester sans hâte les services cloud, l'éditeur promeut vigoureusement un modèle hybride mêlant licences classiques installées dans l'entreprise et services en ligne. Les configurations Exchange utilisées sans personnalisation peuvent facilement migrer vers le cloud. Dans le même temps, les versions d'Exchange très intégrées avec d'autres applications du système d'information (avec les applications de gestion de SAP, par exemple) resteront gérées en interne.

Aujourd'hui, outre Atlantique notamment, certaines grandes entreprises qui ont pris la décision de migrer vers les Google Apps l'ont souvent  fait avant que Microsoft ait livré Exchange dans le cloud. Désormais, les deux concurrents sont sur un pied d'égalité en termes de messageries dans le cloud.

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(03/05/2010 09:09:41)

Les smartphones Android progressent mais Apple garde toujours la main avec l'iPhone

La société AdMob, spécialisée dans la publicité sur les mobiles et de la mesure du trafic, acquise récemment par Google pour 750 millions de dollars, a publié une enquête mardi dernier sur les mesures qu'elle a effectuées en mars 2010. Les chiffres sont basés sur le trafic de 18 000 sites mobiles. Cette mesure du trafic donne une hiérarchie dans laquelle l'iPhone dépasse notamment les mobiles sous Symbian, le système d'exploitation de Nokia. Il s'agit du trafic issu des terminaux sur internet, et non des ventes de terminaux. Ces chiffres sont donc synonymes des usages réalisés avec les différents smartphones.



Illustration : les chiffres montrent la domination de l'iPhone d'Apple et réduit Nokia à la portion congrue dans les smartphones, tandis qu'Android est en forte croissance.
(Cliquer sur l'image pour l'agrandir
)

32 mobiles différents sous Android de 12 fabricants différents ont contribué au trafic mesuré en mars par AdMob. Le Droid de Motorola est le mobile le plus actif parmi ces terminaux. AdMob pointe indirectement vers un problème grandissant pour les utilisateurs d'Android : le nombre important de différentes versions d'Android sur les différents terminaux :

- 38% des terminaux fonctionnaient sous Android OS 1.5,
- 35% utilisaient soit OS 2.0 ou 2.1,
- 26% utilisaient OS 1.6

Cela devient gênant pour les utilisateurs, car un client qui achètera, par exemple, le terminal Cliq de Motorola héritera de la version 1.5 de Android.  Or, il ratera des fonctions disponibles sur les versions plus récentes comme celles qui utilisent le GPS pour la géo-localisation. Google a essayé d'y remédier en intégrant ces fonctions dans des versions plus anciennes de Android. Mais cette stratégie entretient la confusion chez le consommateur, et s'avère intenable pour Google qui continue de sortir de nouvelles versions d'Android.

En comparaison, Apple avec l'iPhone réduit ce risque de fragmentation en rendant ses mises à jour disponibles sur les smartphones les plus anciens. De plus, Apple fait en sorte que vous ne puissiez acquérir un iPhone qu'équipé de la dernière version d'iPhone OS. Les chiffres d'Admob montrent que l'iPhone domine avec 46% de toutes les requêtes émises, à comparer avec Android et ses 25%, en deuxième position.  L'arrivée de l'iPad - la tablette tactile d'Apple - avec ses 500 000 exemplaires vendus en avril devrait repousser vers le bas les chiffres d'Android.

Photo : Le Nexus One de Google sous Android

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