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(30/04/2010 16:52:15)

Apple clash et Microsoft lâche Flash

L'éditeur Adobe finit la semaine sous un tir croisé de critiques. Cela débute par une lettre ouverte de Steve Jobs revenant longuement sur son acrimonie envers la technologie Flash et son refus de la voir implanter sur les terminaux mobiles Apple. Code propriétaire, réduction de l'autonomie, problème d'instabilité et de sécurité, le leader charismatique n'a pas mâché ses mots. Le PDG d'Adobe, Shantanu Arayen, interrogé par le Wall Street Journal, a estimé que les positions de Steve Jobs étaient des « écrans de fumée » et souligne que plus de 100 applications utilisent des logiciels de l'éditeur sont disponibles sur l'Appstore. Il est revenu également sur la polémique sur un éventuel lien entre les produits Adobe et l'arrêt intempestif des Mac, pour Shantanu Arayen, cela proviendrait plutôt de l'OS.

Un autre éditeur et non des moindres, Microsoft vient lui aussi d'émettre des récriminations contre Flash. Dans un blog dédié à Internet Explorer, Dean Hachamovitch, directeur de la division IE a rappelé que le futur du web était HTML 5. Ce langage normalise par le consortium W3C travaille sur différents éléments permettant aux navigateurs Internet d'afficher certaines fonctionnalités. En matière de vidéo, l'organisme souhaite que le format commun, soit standardisé et n'implique pas de norme propriétaires. Pour la firme de Redmond, le protocole H264 répond parfaitement à ce critère. Et d'ajouter que seul ce format sera reconnu dans le prochain navigateur, IE9. Le responsable, dans son billet, revient sur les raisons d'écarter Flash en reprenant, sans les développer les arguments de Steve Jobs, « cette technologie a des problèmes, particulièrement en ce qui concerne la fiabilité, la sécurité et la performance ».

(...)

(30/04/2010 16:13:04)

Microsoft relie son reporting aux applications PHP

Les développeurs en PHP disposent depuis peu d'un SDK qui leur permettra d'inclure les fonctions de reporting de Microsoft dans leurs applications web. Ce kit est gratuitement disponible sur Codeplex, le site que l'éditeur de Redmond consacre aux projets Open Source. Il fournit une bibliothèque qui utilise l'API Soap de SQL Server Reporting Services (SSRS). Les développeurs pourront activer cette API pour rechercher la liste des rapports disponibles sur le serveur, la liste des paramètres requis pour chacun d'eux et les formats supportés, et exécuter les rapports.
Comme à l'habitude, Codeplex fournit des exemples de code.

Exemple d'applications PHP utilisant SQL Server Reporting Services
Cliquer sur l'image pour l'agrandir

En savoir plus :
-
sur le site Codeplex

(...)

(30/04/2010 15:27:38)

Interop 2010 : la portabilité des services cloud au coeur des débats

« Probablement dès cette année, nous aurons les moyens de faciliter le déplacement de la charge de travail des centres de calcul internes vers des services cloud externes, à l'aide d'un logiciel » a expliqué Randy Rowland, vice-président en charge du développement produit chez Terremark. Les clients veulent avoir l'assurance de pouvoir rapatrier une charge de travail confiée à un cloud dans leur datacenter si les circonstances le permettent », a-t-il ajouté. « Les entreprises ont peur de rester bloquées. Certains obstacles réseaux existent effectivement, comme le changement des adresses IP, pour lequel il faut trouver une méthode plus facile ». Pour Simon Crosby, CTO de Citrix, « cette préoccupation autour de la transférabilité est prise en compte. Les vendeurs savent qu'elle existe et qu'ils doivent trouver des solutions. »

« Les images de la machine virtuelle Amazon, utilisées sur le service cloud Amazon EC2, très répandu, sont en propriété exclusive et difficiles à répartir sur les réseaux d'entreprise, » a souligné de son côté Alistair Croll, fondateur de Bitcurrent. Mais Simon Crosby a constaté des progrès dans certains domaines, comme la norme Open Virtualization Format (OVF). Selon lui, elle rend la charge de travail indépendante de l'hyperviseur, et permet l'interopérabilité entre des plates-formes de virtualisation multiples. « La virtualisation a permis d'améliorer la portabilité des charges de travail entre serveurs, mais les premières versions des offres « Infrastructure-as-a-Service » pour le Cloud manquaient de ressources en matière de réseaux, et il faudra trouver de nouvelles méthodes pour les renforcer et améliorer la portabilité », a précisé Simon Crosby.


Illustration Alistair Croll, fondateur de Bitcurrent, Crédits D.R.

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Kristof Kloeckner, CTO d'IBM, autre conférencier présent à Interop, a déclaré dans une interview que le déplacement des charges de travail depuis les centres de données internes vers les cloud n'était pas difficile. Selon lui, « les problèmes surviennent lorsque les applications demandent qu'un grand nombre de données soient transférées vers le cloud. » Certaines démonstrations faites à Interop ont montré le déplacement d'applications entre différents clouds, mais « la plupart des exemples sont vraiment basiques dans le sens où ils ne déplacent pas de volumes de données très importants », a expliqué le CTO d'IBM. Selon lui, les applications à base de grid, les simulations, ou les charges de travail occasionnelles (saisonnières notamment) sont sans doute bien adaptées au déplacement temporaire vers un cloud. « Les services clouds s'intègreront les uns aux autres », a-t-il ajouté au cours de son allocution. « Surtout, ils devront rester ouverts. C'est un de nos objectifs majeurs. Ce qui se passe aujourd'hui est un changement fondamental. Cela montre la nécessité d'introduire plus de souplesse dans le déploiement des services informatiques. »

« Dans l'avenir, il y aura essentiellement trois catégories d'applications », a poursuivi de son côté Alistair Croll, de Bitcurrent. Celles qui resteront toujours à l'intérieur du datacenter de l'entreprise, celles qui pourront être exécutées indifféremment en interne ou au sein d'un service cloud si cet hébergement a un sens sur le plan économique, et une troisième catégorie qui demeurera toujours en cloud, notamment si l'application doit être partagée avec des partenaires. »

La question de savoir si les entreprises doivent déplacer des applications existantes vers des services cloud externes n'est pas toujours facile à résoudre. Certains intervenants présents à Interop ont laissé entendre que si les clients sont prêts à déplacer de nouvelles applications vers le cloud, ils ne savent pas encore si l'effort et les coûts de transfert de leurs applications existantes correspondent à un vrai gain en termes de budget.

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(30/04/2010 14:30:44)

Trimestriels France Telecom : un géant aux pieds d'argile

(Source EuroTMT) Comme le faisait remarquer, un actionnaire individuel d'Arnaud Lagardère, « quand on met de côté tout ce qui va mal, alors tout va bien ». France Télécom applique ce principe avec autant de régularité que de sérieux. Quand on écoute donc depuis une bonne année les dirigeants de l'opérateur historique, tout va toujours bien, en dehors des éléments négatifs. Et malheureusement pour lui, ces derniers ont tendance à devenir de plus en plus importants et ennuyeux.

Surtout que l'opérateur  national est de moins en moins enclin à défendre ses parts de marché en France, aussi bien dans l'ADSL que dans le mobile. Et l'année 2010 commence au moins aussi mal que ne l'avait fait l'année 2009. Alors qu'il avait profité de la « bulle » commerciale du troisième trimestre 2009 pour gagner plus d'un million de clients en trois mois, au premier trimestre 2010, France Télécom repart en baisse et enregistre une perte de 173 000 abonnés. Toujours dans le mobile, malgré la hausse du nombre de clients au forfait et de celui des clients haut débit, avec un total de 1,9 million d'abonnés iPhone pour l'opérateur, l'Arpu (Average Revenue per User, revenu moyen par utilisateur) continue lui aussi de diminuer. Il recule de 1,27 % à 389 € par an.

Dans le haut débit, la situation devient franchement inquiétante. Selon ses estimations, sa part de marché dans la conquête de nouveaux clients ne s'établit qu'à 14%. Déjà en 2009, l'opérateur historique affichait une part de marché faible, qui s'établissait autour de 30 % sur l'ensemble de l'année. La nouvelle chute du premier trimestre a quant à elle été expliquée par l'arrêt des offres spéciales lancées au dernier trimestre 2009.

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D'où un gain net de seulement 57 000 abonnés sur les trois premiers mois de l'année, sachant que le marché du DSL serait en progression de quelque 350 000 nouveaux clients.

La France, bonne élève de la croissance

De plus, comme l'opérateur a profité du renouvellement de son système d'information pour nettoyer sa base d'abonnés, son gain net final revient à 4 000 nouveaux clients à fin mars. Au final, sur la France, il affiche donc une baisse de 2,1 % de son chiffre d'affaires avec un repli de 0,9 % pour le mobile et un recul de 3,1 % pour le fixe. Ce qui montre « une bonne résistance », affirme France Télécom, compte tenu de l'impact des décisions réglementaires qui s'élèvent à 127 millions d'euros dans le mobile. Néanmoins, un point reste positif pour le groupe. En effet, la performance de la France est légèrement meilleure que celle de l'ensemble du groupe.

Le groupe affiche effectivement un recul de 2,7 % de ses revenus trimestriels à périmètre constant, à 10,9 milliards d'euros. L'Espagne, malgré une amélioration de sa situation commerciale dans le mobile et le DSL, affiche un recul de 2,8 %, la Pologne connaît une situation toujours aussi difficile et enregistre une baisse de 10,2 %, la branche entreprise souffre et perd 7 %, et seul le reste du monde enregistre un taux de croissance positif, +2,2 %, notamment grâce aux pays émergents. L'Ebitda est en recul de 5,5 % et la marge recule d'un point à 34,3 %, soit un niveau inférieur aux prévisions des analystes financiers. France Télécom présente donc une forte baisse que l'opérateur explique par l'impact des décisions réglementaires, notamment en France.

Enfin, malgré un objectif de taux d'investissement de 12 % en 2010, France Télécom n'a dépensé que 8 % de ses revenus en investissements au cours du premier trimestre. Ce qui lui permet de dégager une trésorerie opérationnelle en légère hausse, préservant ainsi ses marges de manoeuvre financières. Pour autant, le groupe a confirmé ses objectifs pour l'ensemble de l'année et prévoit une stabilité du chiffre d'affaires et un free cash-flow de 8 milliards. Mais la réponse qu'apportera l'opérateur à ses problèmes commerciaux et qui sera présentée fin juin, sera certainement décisive pour s'assurer de sa capacité à tenir ses objectifs.

 

Crédit Photo : DR

(...)

(30/04/2010 13:15:48)

Greenpeace consacre Cisco, le plus vert...ueux

Greenpeace a classé les 15 plus grandes sociétés technologiques sur leurs efforts pour combattre les changements climatiques. Sur une note maximale de 100, la moitié porte sur la réduction des gaz à effet de serre pour la réalisation des produits, 35 sur l'implication politique en faveur des questions environnementales et 15 pour la baisse des émissions nocives au sein de l'entreprise.

Cisco a délogé IBM en tête du classement. L'organisation verte a souligné les efforts de Big Blue sur son offre smart grid et sur les produits permettant une meilleure efficience énergétique dans les entreprises. L'association a aussi salué les efforts de Cisco dans sa volonté de réduire ses propres émissions de CO2 de 25% en 2012 et par le lobbying de John Chambers, pour la cause environnementale.

Ericsson, de son côté arrive en deuxième position. Son PDG a été selon Greenpeace « le responsable le plus actif de toutes les sociétés technologiques lors du sommet sur le climat de Copenhague ». L'équipementier suédois a également publié un guide détaillé pour mesurer les émissions de gaz et prévoit de réduire les siennes de 40% en 2012.

Les sociétés nippones déçoivent


La cuillère de bois est décernée à Panasonic, qui n'a aucun objectif de réduction des gaz à effet de serre, sauf quelques mots sur son site web. Il pèche également dans ses informations sur l'utilisation d'énergies renouvelables. Sony, de son côté, a perdu près de la moitié des points sur l'absence de communication sur ses solutions IT pour lutter contre le changement climatique.

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Selon Gary Cook, spécialiste des politiques environnementales et qui travaille avec l'association « une des grandes raisons pour lesquelles les compagnies japonaises ont des notes faibles provient du manque évident de soutien politique aux différents efforts sur le changement climatique ».

Google et Microsoft arrivent dans le milieu du classement, derrière IBM, HP et Fujitsu, mais devant Dell, Intel et SAP. Google est un cas à part, il est très actif sur la gestion de l'énergie et sur les prises de position politique sur les sujets environnementaux. L'organisation est satisfaite de la solution PowerMeter, donnant un outil de mesure de consommation énergétique pour les particuliers. Mais, elle condamne le secret entourant les informations énergétiques du géant de l'Internet.  L'analyste souligne que «  Google a toujours refusé de publier des données utiles sur sa propre consommation énergétique ou les émissions de carbone, sous prétexte de ne pas divulguer des informations qui pourraient être utilisés par ses concurrents, même si son grand rival Microsoft est transparent sur cette question ». Pourtant, la firme de Mountain View devance celle de Redmond, car cette dernière n'a pas annoncé ces objectifs en matière de rejet de gaz à effet de serre.

A noter que la prochaine version du classement Cool IT intègrera la gestion de l'empreinte carbone des datacenters. Greenpeace a déjà publié un rapport sur l'impact du cloud computing.

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(30/04/2010 13:18:52)

Le recours aux SSD va grimper dans les entreprises d'ici 2015

Une étude du cabinet Objective Analysis prévoit une sensible augmentation de l'utilisation des SSD (solid state drives) dans les serveurs et systèmes de stockage d'entreprise, dans les cinq prochaines années. Selon ses estimations, leur nombre devrait être multiplié par 50 sur ce marché, soit 4 millions de disques et un marché de 4 milliards de dollars en 2015 (17 fois celui de 2009) pour les SSD en entreprise.

L'année dernière, il s'est écoulé, tous usages confondus, 11 millions de ces disques, selon IDC. Le cabinet d'analyste rappelait alors que les PC constituaient le marché le plus important pour les SSD, d'une part comme alternative aux disques durs dans les notebooks traditionnels, d'autre part pour les mininotebooks.

Le stockage sur SSD réduit le TCO

Jim Handy, auteur de l'étude d'Objective Analysis, note de son côté que le recours aux SSD a déjà commencé à se développer dans les entreprises. « Les responsables IT se sont aperçus qu'ils pouvaient réduire leurs coûts et augmenter les performances en remplaçant les disques durs avec cette technologie de prime abord bien trop onéreuse. » Le rapport explique que le stockage sur SSD peut diminuer le coût total de possession, la consommation d'électricité et l'encombrement au sol.

Crédit illustration photo : Intel

[[page]]Les SSD sont utilisés dans les datacenters, soit pour remplacer les disques Fibre Channel à 15 000 rpm (révolutions par minute), soit pour ajouter un niveau de stockage plus performant au-dessus du Fibre Channel pour l'exploitation de bases de données relationnelles ou la diffusion de flux vidéo en continu (streaming video). L'atout performance apporté par les SSD en datacenter est très important, indique le cabinet d'études. Un seul SSD peut effectuer jusqu'à 16 000 entrées/sorties par seconde (IOPS). Par comparaison, un disque Fibre Channel haut de gamme à 15 000 rpm effectue au maximum 200 IOPS.

Les MLC aussi performantes que les premières SLC

Originellement, les SSD étaient destinés à des datacenters, avec puces NAND flash dotée de cellules sur un niveau (SLC, single-level cell) de très haute qualité, offrant les meilleures performances et fiabilité. Or, maintenant, les cellules flash NAND multiniveaux (MLC), qui stockent plus d'un bit par cellule de mémoire flash, offrent des capacités supérieures et approchent les mêmes performances et fiabilité que les SLC en recourant à des firmwares spécifiques dans le contrôleur du disque. Cité par nos confrères de Computerworld, Dean Klein, vice-président du développement des mémoires chez Micron, affirme qu'un administrateur du système de stockage pourrait remplacer jusqu'à 30 disques Fibre Channel par un seul SSD.

L'étude d'Objective Analysis liste 22 applications clés dans l'entreprise pour les SSD, dans des domaines variés.

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