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(13/04/2010 17:07:45)
La pub arrive sur Twitter
Twitter a dévoilé sa stratégie de monétisation avec l'introduction de pubs sur ses pages. Le site de micro-blogging va proposer un système de "Promoted Tweets" (ou "tweets sponsorisés") grâce auquel les annonceurs peuvent acheter des mots clés et envoyer de courts messages promotionnels. Concrètement, les utilisateurs verront ces tweets en tête de certaines pages de résultats de recherche.
Début mars, Twitter avait annoncé avoir franchi le cap des 10 milliards de messages (ou "tweets"). Quelques jours plus tôt, le site de micro-blogging, lancé en 2006, avait indiqué que ses membres publiaient un total de 50 millions de messages chaque jour, soit une moyenne de près de 600 messages postés par seconde. (...)
SpringSource s'offre un système d'échange entre applications
SpringSource, l'éditeur d'outils Java racheté en août 2008 par VMware, vient d'annoncer l'acquisition de Rabbit Technologies. Ce dernier a développé RabbitMQ, une solution d'échange de messages entre systèmes hétérogènes, applications, bases de données, plateformes de stockage... C'est donc une pierre de plus qui s'ajoute à l'offre de cloud computing que construit VMware. Il s'agit toutefois d'une petite opération financière puisque la société Rabbit, basée à Londres et créée en 2007, ne compte que dix salariés.
L'objectif de VMware consiste à fournir la technologie de virtualisation sous-jacente aux offres de PaaS (platform-as-a-service). Sur le marché du cloud, ces plateformes en ligne proposent des outils pour bâtir des applications que, par la suite, elles pourront aussi héberger. Dans cette stratégie, SpringSource apporte ses outils de développement Java, tandis que l'offre de messagerie RabbitMQ, qui repose sur le standard AMQP (Advanced Message Queuing Protocol), permettra aux applications ainsi mises au point d'interopérer et de ne pas rester enfermées dans un système propriétaire.
Une prochaine annonce avec Salesforce.com
Les systèmes d'échange de messages ont toujours constitué un élément clé de l'infrastructure applicative des entreprises. Rod Johnson (photo ci-dessus), directeur général de SpringSource, souligne toutefois que le cloud requiert des solutions de messagerie interapplicative différentes. L'offre de Rabbit permet aux développeurs de créer des applications complexes en découplant les composants, l'échange de données s'effectuant ensuite entre ces composants, sans nécessité d'en connaître le statut, la disponibilité ou la mise en oeuvre. Rabbit Technologies avait déjà noué des partenariats avec VMware, mais aussi avec Microsoft, Novell et plusieurs autres fournisseurs.
L'annonce de ce rachat par SpringSource vient faire écho aux informations distillées par Salesforce.com au sujet d'un partenariat que la société de Marc Benioff prévoit de dévoiler le 27 avril, conjointement avec VMware.
Illustration : Rod Johnson, directeur général de SpringSource, filiale de VMware
Google convie 400 CIO pour promouvoir Docs 2.0
Le temps où Google admettait que ses Docs ne possédaient pas la sophistication ou les fonctionnalités de Microsoft Office, appartient au passé. Désormais la suite bureautique en ligne est construite pour pouvoir supporter des améliorations rapides et importantes explique Anil Sabharwal, chef de produit chez Google Enterprise. « Pour les Docs 2.0, nous avons créé une base technologique entièrement nouvelle qui nous permet d'être innovant plus rapidement. »
Pendant longtemps, Google a surtout vanté les capacités collaboratives que son modèle SaaS (Software-as-a-Service) apporte à Docs. Mais la suite bureautique manque de fonctionnalités, empêchant les entreprises de l'utiliser comme une alternative possible à Microsoft Office. En particulier, les utilisateurs se sont plaints des difficultés de mise en forme des documents dans le traitement de texte, les forçant à exporter des fichiers Docs vers MS Office pour résoudre des problèmes de pagination et de réglage de marges. Jusqu'à présent, seule la composante Gmail de Apps a réussi à s'imposer comme une alternative viable aux plateformes de messagerie MS Exchange ou IBM Lotus Notes. Pour ne pas rester un simple outil de complément sur le web, Google entend maintenant pousser Docs pour vraiment concurrencer MS Office.[[page]]Ainsi, Google a annoncé des améliorations des fonctions de mise en forme dans son application de traitement de texte Docs, y compris une meilleure «fiabilité» lors de l'importation et de l'exportation de documents vers et depuis Microsoft Office. L'amélioration des réglages de marges et des taquets de tabulation, un meilleur traitement d'image et une amélioration de la gestion des commentaires dans le document sont également annoncés. L'éditeur de traitement de texte gèrera aussi ce que Google appelle l'édition collaborative en temps réel, ce qui signifie qu'un groupe d'utilisateurs pourra suivre « caractère par caractère » les changements effectués par l'un d'eux sur un document partagé. D'autant que, autre nouveauté, une fenêtre de discussion permet aux collaborateurs de communiquer en direct via la messagerie instantanée.
Le tableur disposera d'une barre de formule pour éditer les cellules, de même que des fonctionnalités de remplissage automatique et de glisser-déposer. L'outil de dessin permettra aussi aux utilisateurs de travailler ensemble en temps réel. Enfin, les documents de ces versions revisitées du traitement de texte, du tableur et de l'outil de dessin seront modifiables simultanément par 50 collaborateurs au plus, et, d'une manière générale, Docs sera aussi, grâce à sa nouvelle infrastructure, plus rapide. A noter cependant, même si ce ne sera que temporaire, que Google prévoit de désactiver la technologie Gears en mode hors connexion de Docs à partir du 3 mai, pour la rétablir dès que celle-ci pourra fonctionner en HTML 5. Les outils Gmail et Calendar continueront eux à utiliser Google Gears.
Déplacer l'usage de la bureautique vers le cloud
Rebecca Wettemann, analyste chez Nucleus Research, qualifie les améliorations apportées à Docs de nécessaires et progressives, sans les juger exceptionnelles. « Ce sont des fonctionnalités que tout le monde attend de ce genre de produits. Elles ne rendent pas les Docs plus utiles que Microsoft Office au point de s'y substituer, » dit-elle. « Néanmoins, ces mises à jour font de Docs une alternative plus crédible à MS Office, et peuvent favoriser Google dans sa campagne de promotion de ses applications en environnement Cloud dans l'entreprise, » ajoute t-elle. « Avec son modèle, l'objectif de Google est d'amener les gens à déplacer leur usage des applications bureautiques vers le cloud. Et plus ses outils seront attractifs, plus Google aura d'arguments pour convaincre les entreprises et les institutions, » poursuit Rebecca Wettemann. Google espère en effet que ses Apps, déjà principalement adoptées par les petites entreprises, gagneront en popularité auprès des grandes organisations. Notamment son édition Premier, dont la licence a été fixée à 50 dollars US par utilisateur et par an, qui, en matière de mode de gestion, de sécurité et de caractéristiques, apporte aux départements informatiques des entreprises ce dont ils ont besoin.
[[page]]Google soutient que ses Apps, développées depuis l'origine sur une architecture informatique Cloud, sont la meilleure alternative - la moins onéreuse aussi - aux plateformes collaboratives et bureautiques traditionnelles de Microsoft, IBM et Novell, d'abord conçues pour être installées chez sur les serveurs des clients. Mais ces fournisseurs réaménagent également leurs logiciels pour tirer parti du modèle Cloud. « Il est important et significatif de voir Google continuer à améliorer ses Docs, a déclaré Ted Schadler, analyste chez Forrester Research. « Google continue d'investir dans ce produit et n'a pas l'intention de le laisser en l'état. Le modèle Cloud lui permettra d'innover plus rapidement, » a-t-il dit. « Ces améliorations régulières vont se poursuivre et accompagner la volonté de faire entrer Docs et Apps dans l'environnement d'entreprise, même si Docs n'est pas encore au même niveau de fonctionnalités que Microsoft Office, » a t-il ajouté.
Les CIO ne cherchent pas forcément à lâcher Office
« Je ne vois pas cela comme une stratégie de remplacement, mais plus comme une stratégie d'augmentation, » précise encore Ted Schadler. « Les CIO et les responsables informatiques ne désirent pas forcément se débarrasser de Microsoft Office. Ils recherchent des solutions aux problèmes de leurs salariés/utilisateurs qui ne sont pas suffisamment bien résolues par Office. L'un d'entre eux, et il est de taille, concerne les fonctionnalités collaboratives au sein de l'entreprise. » En tant que tel, Docs procure aux entreprises une suite bureautique qui facilite la collaboration entre les salariés. « Ils remplacent les échanges par emails et le va-et-vient de multiples fichiers qui restent stockés sur leur PC. Docs offre donc une meilleure solution. »
« Le déménagement des données de leurs serveurs vers les machines de fournisseurs de services Cloud comme Google reste la grande préoccupation des entreprises », avance Rebecca Wettemann. La firme de Mountain View devra probablement répondre à cette question épineuse, lors de sa conférence Atmosphere cloud computing, à laquelle elle a convié près de 400 CIO. Au-delà de l'annonce des améliorations apportées à Docs, Google a prévu de mettre en avant quelques hauts responsables pour répondre à ses invités, y compris Bradley Horowitz, vice-président Gestion produits chez Google, Mario Queiroz, VP Gestion produits Android, Marissa Mayer, VP, chargée de la recherche Produits et Expérience utilisateurs, et Dave Girouard, président de Google Enterprise. Prendront également la parole, Alan Eustace, VP de l'ingénierie et de la recherche, Jeff Huber, VP senior de l'ingénierie et Vint Cerf, promoteur attitré de l'Internet chez Google. Enfin, ce panel sera complété par Marc Benioff, président-directeur général de Salesforce.com et de Vogels Werner, CTO d'Amazon.com.
(...)(13/04/2010 16:30:50)
Groupe Helice recherche des spécialistes systèmes
Après avoir intégré plus d'une centaine de collaborateurs en 2009, Groupe Helice poursuit sa politique de développement et maintient le rythme de ses recrutements. La SSII souhaite en effet embaucher 150 informaticiens dans toute la France, à Paris et en province (Nantes, Lyon, Strasbourg, Montpellier, Toulouse), pour ses activités de production et d'ingénierie applicative. La palette des postes à pourvoir est vaste : il s'agit de techniciens, d'analystes et d'ingénieurs d'exploitation, de techniciens micro et réseaux, d'administrateurs et
d'ingénieurs systèmes et réseaux, d'administrateurs de bases de données, ainsi que de chefs de projets sur les systèmes z/OS, Unix ou Windows.
Côté ingénierie applicative, Helice recrute également des ingénieurs d'études, des analystes programmeurs, des ingénieurs concepteurs et des chefs de projets sur les technologies Java/J2EE, .Net Les embauches concernent aussi bien des jeunes diplômés que des cadres expérimentés issus de formation Bac+2 à Bac+5. « Le recrutement sur les activités mainframe devient très complexe compte tenu du renouvellement des départs en retraite et de l'arrivée de la génération Y, souligne le groupe dans un communiqué. « Reste que nombreuses grandes sociétés utilisent encore ces systèmes qui évoluent aujourd'hui vers les technologies web. »
(...)
Attention aux fausses pubs sur Facebook
Selon Sandi Hardmeier, une chercheuse spécialisée dans la sécurité Internet, une publicité malveillante a été découverte dans une application pour Facebook qui redirigeait les utilisateurs vers un logiciel antivirus factice. La bannière en question, une publicité pour des cartes de voeux, apparaissait par intermittence dans Farm Town et a attiré, selon les informations publiées par Facebook, plus de 9 millions d'utilisateurs mensuels. « Lorsque la publicité au format Flash Shockwave était affichée, l'utilisateur était redirigé depuis Facebook vers un site web vendant de faux logiciels antivirus, après avoir traversé différents domaines, » a déclaré Sandi Hardmeier, qui s'intéresse aux publicités malveillantes et a rédigé un post sur ce sujet dans un blog.
Une note publiée sur le site Web de SlashKey, le développeur de Farm Town, informe qu'«à l'heure où nous écrivons, nous pensons que cette redirection entrainée par une ou plusieurs annonces sur le site est sans danger pour votre ordinateur, mais vous ne devez en aucun cas suivre les liens dirigeant vers un quelconque logiciel vous proposant de « nettoyer votre système. ». Ajoutant que « la plupart des « bons antivirus et des programmes antimalware sauront repérer ce logiciel malveillant et le neutraliser. » Pour sa part, Sandi Hardmeier ne croit pas que ce malware soit inoffensif. « Je suis déçu de voir que le développeur cherche à minimiser le risque, » dit-elle.
Matt Brummett, un des gérants de Adknowledge, le réseau de publicité en ligne propriétaire de Cubics.com, diffuseur de l'annonce a déclaré que « le faux placard avait été retiré du site. Quant a l'agence hollandaise AdSeven Media qui a relayé l'annonce à Cubics.com, « elle a été bannie de leur réseau, » a ajouté Matt Brummett. Selon lui, Adknowledge utilise différentes techniques pour contrôler et empêcher les fausses annonces et il est rare que ces vérifications soient contournées. « Nous avons identifié le problème sur cet accident, et nous allons le résoudre, » a t-il ajouté.
[[page]]
Les faux sites d'antivirus prétendent habituellement que les ordinateurs des visiteurs sont infectés et les pressent de télécharger un logiciel souvent totalement inefficace. Les consommateurs piégés payent jusqu'à 70 dollars US pour acheter leur logiciel, par ailleurs difficile à désinstaller de son ordinateur, sans compter qu'ils arrivent rarement à récupérer leur argent. Les experts en sécurité estiment que ce commerce de centaines de faux programmes antivirus représente une industrie de plusieurs millions de dollars. L'an dernier, un rapport de Panda Security avait montré que près de 35 millions d'ordinateurs dans le monde pouvaient être infectés chaque mois par de faux programmes antivirus.
C'est le navigateur Chrome de Google qui a permis de détecter les domaines malveillants utilisés pour rediriger les utilisateurs et déjouer les parades. Google a en effet intégré à son navigateur une technologie de « navigation sécurisée » qui permet d'éviter aux utilisateurs d'être dirigés vers des sites Web potentiellement dangereux. « Ce qui n'est pas le cas d'Internet Explorer 8, » a déclaré Sandi Hardmeier encore en train de tester Firefox 3.6. On sait que les pirates ont trouvé des astuces pour faire entrer leurs publicités malveillantes dans les réseaux qui fournissent les innombrables placards s'affichant sur les sites Web. Et les sites de réseaux sociaux comme Facebook sont une cible de choix pour les fraudeurs en raison de leur nombre élevé d'utilisateurs et donc des victimes potentielles.
La plupart des régies ont pris des mesures pour faire en sorte que ces annonces nocives ne circulent pas. Mais les façons de contourner ces protections ne manquent pas. «Certains s'adressent directement aux propriétaires des sites pour leur offrir de la publicité, » a indiqué Sandi Hardmeier. «Les réseaux « responsables » surveillent les coups tordus, les bloquent et suspendent immédiatement les fausses campagnes. » La chercheuse qui a adressé une alerte à Cubics.com, l'agence responsable d'avoir relayé l'annonce sur Farm Town, est également sur le point de notifier Facebook, précisant qu'elle n'avait pu joindre ses responsables en urgence.
Entre Salesforce.com et VMware se profile VMForce
Sous le nom de VMForce, Salesforce et VMware s'apprêtent à dévoiler un partenariat dont on ne sait pour l'instant pas grand-chose. Comme il l'a déjà fait plusieurs fois, notamment pour ses collaborations avec Google, Marc Benioff, le PDG de Salesforce, cherche à éveiller la curiosité. En se rendant sur le site vmforce.com, on découvre le dirigeant en conversation avec Paul Maritz, le PDG de VMware, et l'on apprend simplement qu'une présentation commune y sera faite mardi prochain : « VMForce is coming. See it here live on April 27 ». L'annonce aura lieu à 10 h 30 du matin, PDT (Pacific Daylight time), soit à 19 h 30, à Paris.
On peut raisonnablement penser qu'il s'agira en partie d'une offre de services de virtualisation en ligne, mais il pourrait y avoir d'autres prolongements. VMware a récemment fait un pas vers le développement, avec l'acquisition de SpringSource, éditeur d'outils Java, et vers les applications, en rachetant à Yahoo, au début de l'année, la messagerie collaborative en ligne Zimbra.
De son côté, Salesforce.com a depuis longtemps élargi son champ d'action au-delà des applications de gestion de la relation client (CRM) avec l'ouverture de sa plateforme de développement en ligne Force.com et de sa place de marché de logiciels AppExchange. Plus récemment, il a complété son offre de solutions de comptabilité avec FinancialForce.com qui résulte d'un partenariat avec l'éditeur Coda (racheté en 2008 par le Néerlandais Unit 4 Agresso).
Illustration : site VMForce
Adobe lance Flash Catalyst CS5 (MAJ)
« Adobe s'est engagé à mener une politique innovante en matière d'Internet en fournissant aux concepteurs et aux développeurs les meilleurs outils possibles, » a déclaré John Loiacono, vice-président senior et directeur général du département Creative Solutions chez Adobe. « En associant les runtimes Flash à la puissance des outils Flash intégrés à Creative Suite 5, les concepteurs et les développeurs peuvent collaborer plus efficacement, afin de réduire le temps de réalisation des applications web et de contenus interactifs disponibles sur les postes fixes, mais également sur les appareils mobiles».
L'apport de Flash Catalyst se situe principalement au niveau des composants utilisés pour créer des contenus interactifs de type boutons, barres de défilement, curseurs, champs de texte, cases à cocher, qui permettent aux visiteurs d'une page web d'interagir avec un produit ou un service. Ces éléments utilisent des concepts de pages et d'états, à l'image des projets de mise en page traditionnels ou de design Internet. De plus, l'interface et l'environnement de Catalyst s'apparentent à ceux de Photoshop, d'Illustrator, de Flash Pro, ou de Fireworks. Le logiciel transforme aussi des créations issues de ces différentes solutions, en contenus fonctionnels ou en interfaces utilisateur. Ils serviront de base aux concepteurs pour ajouter du contenu Flash et des applications destinées aux sites Internet. In fine, les projets peuvent être enregistrés au format SWF ou AIR, pour être lus sur l'ordinateur ou en ligne, avec le prochain player Flash 10.1.
Flash Builder 4 conçues pour les RIA
L'autre nouveauté de Creative Suite 5 s'appelle Flash Builder 4 Standard (anciennement Flex Builder). Conçu pour aider les développeurs à créer des Applications Internet riches (RIA), cet outil de développement, basé sur Eclipse, facilite le codage, le débogage et la conception visuelle d'interfaces utilisateur. Ce logiciel apporte également une meilleure coordination des travaux entre concepteurs et développeurs utilisant Catalyst pour construire des applications intégrant des interactions spécifiques. Cela donne aux premiers un contrôle accru sur les aspects créatifs d'un projet, tout en permettant aux seconds de se concentrer sur le coeur de l'application.[[page]]Très utilisés par les concepteurs pour la création d'objets multimédias interactifs, d'animations et autres contenus riches, Flash Professional CS5 offre une manière différente de travailler avec le cadre Texte, apportant des fonctions typographiques professionnelles et un traitement avancé du multilinguisme, en prenant en charge plus de 30 langues. L'autre innovation réside dans la présence d'un panneau de codes pré-construits, les Snippets, que les créateurs peuvent utiliser directement dans les projets, pour ajouter des fonctions dans la navigation, comme des actions, des animations, des éléments audio et vidéo.
Créer des contenus web pour les terminaux mobiles
Avec Flash Professional CS5, les auteurs peuvent créer, tester et diffuser du contenu web sur de nombreuses plates-formes et d'appareils mobiles de type smartphones, tablettes tactiles, netbooks, SmartBooks et autres produits électroniques grand public. Ces contenus, destinés à s'afficher dans les navigateurs internet, seront compatibles avec la version 10.1 du player Flash ou avec applications autonomes tournant sous AIR 2. Flash CS5 permet aussi d'accéder aux outils d'analyse Internet Omniture SiteCatalyst et Omniture Test & Target soit directement à partir du programme, soit via la plate-forme de services en ligne Adobe CS Live. L'application comprend également l'outil Packager pour iPhone capable de compiler le code ActionScript en code natif pour iPhone qui devait permettre aux développeurs Flash de créer des applications pour l'iPhone et l'iPad d'Apple, et d'autres appareils mobiles à venir. Mais le nouveau contrat de licence développeur iPhone 4.0, diffusé le 8 avril, interdit les applications qui n'ont pas été créé en C, C++ et Objective- C. Néanmoins, Adobe a déclaré qu'il continuerait à développer le Packager pour l'OS de l'iPhone et qu'il l'intègrerait à Flash CS5.
Nec Computers se fond dans Nec France
L'opération est le résultat d'une stratégie menée par le groupe Nec à l'échelon mondiale qui vise à « l'intégration de son savoir-faire » dans les domaines de l'informatique, des réseau et des télécoms. Elle permet à Nec France de se trouver en possession d'une offre assez complète comprenant donc le portefeuille de la division IT Platform Solutions (serveurs, stockage, logiciels et PC virtualisés) et ses gammes historiques de solutions d'infrastructures télécoms pour les opérateurs, de produits d'affichage et de projecteurs. « Les besoins des entreprises en solutions globales deviennent de plus en plus importants. Or, Nec est un des rares industriels dans le monde à disposer de toute la palette de solutions qui permettent d'aller vers la convergence », indique Michel Lignon, le président de Nec France.
IT platform Solutions reste axée sur la vente indirecte
En interne, on appelle cette stratégie de mise en place d'un guichet unique le « ONE NEC Business Model ». Pour la concrétiser complètement, Nec France doit encore former notamment ses commerciaux sur l'ensemble de ses offres. Des groupe de travail internes ont été constitués afin de définir la façon dont cette évolution doit être opérée. « Les équipes issues de Nec Computers poursuivront les efforts qu'elles ont déjà entrepris », tient à préciser Michel Lignon. Ce qui signifie concrètement que la politique de distribution mise en place par Nec Computers va perdurer et se renforcer au sein de Nec France.
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