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(30/01/2012 10:45:46)

Selon le BCG, les revenus issus du Web vont doubler d'ici 2016

Les revenus liés à Internet dans les pays du G-20 devraient doubler d'ici 2016, pour atteindre la somme pharaonique de $4,2 billions. Moteur principal de cette croissance, l'augmentation fulgurante du nombre d'internautes à travers le monde, qui devraient passer de 1,9 milliards en 2010 à environ 3 milliards en 2016, soit 45% de la population mondiale. Voici en résumé les résultats d'un rapport présenté par le Boston Consulting Group sur mandat de Google à l'occasion du World Economic Forum qui se déroule actuellement à Davos.

Le centre de gravité du web se déplace

Le rapport établi par BCG exhorte les décideurs politiques et économiques à prendre conscience des grandes tendances de l'évolution du web, notamment par rapport à l'importance croissante des pays émergents - en 2016, environ 70% des internautes dans les pays du G-20 proviendront des marchés émergents, et la Chine comprendra 800 millions d'internautes, soit autant que la France, l'Allemagne, l'Inde, le Japon, la Grande-Bretagne et les Etats-Unis réunis. Autre tendance soulignée, le transfert du PC vers le mobile, avec des terminaux mobiles, surtout les smartphones, qui représenteront 80% de toutes les connections à large bande. Enfin le passage d'un web passif à un web participatif - dans des pays comme l'Argentine et le Brésil, plus de 90% des internautes sont actifs sur les réseaux sociaux, beaucoup plus utilisés que dans des marchés plus matures pour la création et le partage de contenus.

Etre actif sur le Web pour croître

En termes commerciaux, BCG souligne enfin que les entreprises qui sont actives sur Internet pour vendre et promouvoir leurs produits connaissent une croissance plus soutenue que les autres, une conclusion à laquelle il parvient après avoir interrogé plus de 15 000 PME au niveau mondial. A titre d'illustration, en Grande-Bretagne les ventes des entreprises actives sur le Web ont augmenté 7 fois plus rapidement que celles des entreprises absentes du réseau des réseaux.

ICTjournal.ch (...)

(30/01/2012 10:30:30)

Annuels Econocom : une forte croissance en 2011

Econocom publie ses résultats financiers préliminaires, avec un chiffre d'affaires de 1,58 milliard d'euros. La société se félicite de ce chiffre, elle prévoyait 1,4 milliard et avait réalisé 1,02 en 2010, mais depuis elle a intégré ECS. L'activité France qui représente 50% du chiffre d'affaires a été portée par les offres desktop on deman ou Mobileeasy. Le Benelux (24% du chiffre d'affaires consolidé) et le Royaume-Uni (4,5% du chiffre d'affaires consolidé) atteignent des croissances à deux chiffres. Les pays de l'Europe du Sud et de l'Est, quant à eux, résistent bien dans un contexte économique difficile.

En attendant, les résultats complets, publiés le 7 mars prochain, Econocom parle de dépasser son objectif de résultat opérationnel courant de 56 millions d'euros pour 2011

(...)

(30/01/2012 10:31:07)

Magirus référence Embotics, logiciel de gestion des clouds privés

Le VAD pan-européen Magirus signe avec la société canadienne Embotics, qu'il va représenter sur toute la zone EMEA. Ce contrat entre dans la stratégie cloud de Magirus, Embotics a conçu une solution logicielle (Embotics V-Commander) de gestion des clouds privés. Une solution qui positionne les revendeurs sur le conseil, en effet la solution de Embotics permet d'activer des machines virtuelles, de gérer les processus de demande et de validation de bout en bout, elle permet aussi l'analyse et l'affectation des coûts informatiques. (...)

(30/01/2012 10:08:26)

Annuels Acesi : forte croissance et des ambitions dans le cloud

Basée près de Strasbourg Acesi publie son chiffre d'affaires annuel 2011. L'intégrateur a réalisé 10 millions d'euros, en progression de 30% « et uniquement par croissance organique » nous précise l'un des trois fondateurs, Jean-Marc Patouret qui dirige le commercial et la France. En 2010, c'était 7,7 millions d'euros et déjà 30% de hausse par rapport aux 5,95 de 2009. Spectaculaire, pour une société fondée en 2004, avec un premier exercice annuel complet en 2005.

Le trois associés fondateurs sont toujours aux commandes, l'un dirige la Suisse, l'autre la partie technique en transversal, le troisième, Jean-Marc Patouret, s'occupe donc du commercial et explique « nous n'avons jamais changé de principe, les trois fondateurs restent aux commandes, de manière équilibrée, la technique ne l'emporte pas sur le commercial et réciproquement. Nous sommes insensibles aux sollicitations des financiers, nous avons 80% du capital et des collaborateurs détiennent les 20% restants. La croissance externe nous est également étrangère, même si nous regardons des dossiers, mais marier deux cultures nous a toujours fait hésiter, nous tenons à nos principes ».

L'essentiel de l'activité reste dans les infrastructures

Le chiffre d'affaires est réalisé à 43% sur l'infrastructure, à 57% dans le négoce. L'infrastructure signifie du conseil, de l'intégration, de la co-gérance (offre nommée Vita), c'est-à-dire de l'infogérance mais chez Acesi on rebaptise l'activité pour bien montrer la proximité avec le client. Historiquement, la société a référencé de grands noms comme Citrix, Microsoft, VMware, c'est également un partenaire important de RES, de HP, et plus récemment de Jasper pour la BI et les bases de données. Mais l'essentiel de l'activité reste dans les infrastructures.

Acesi s'est aussi lancé dans le cloud computing. Sans effet de manche et sans référencer de grands partenaires, toujours pour rester plus proche des besoins du client. Acesi a même bâti son offre à elle avec quatre volets : du cloud privé chez le client, du cloud hébergé chez Acesi, de la sauvegarde avec engagement de réversibilité totale, enfin, du cloud public.  C'est de toute manière une évolution de ce qu'elle réalisait déjà.

En accompagnant ainsi ses clients, la société reste bien campée sur son ancrage régional. Historiquement, elle est également en Suisse. Et compte une agence au Canada, avec un manager qui est associé. D'autres formules de ce type pourraient voir le jour dans des régions françaises. Mais sans précipitation. Pour 2012, Acesi prévoit une croissance de 10%.

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(30/01/2012 10:06:24)

Distributique.com et Harley Davidson vous donnent rendez-vous sur IT Partners

Cela fait maintenant cinq ans que Distributique.com et IT Partners s'associent pour récompenser les meilleures marques et grossistes du marché IT. Nous vous remercions d'avoir été plus de 750 à voter dans le cadre de ces Trophées de la Distribution 2012, comme nous vous remercions d'être des milliers à lire Distributique depuis sa création il y a plus de 30 ans aujourd'hui.

Une fidélité que nous souhaitons célébrer au cours des deux jours du salon IT Partners (du 31 janvier au 1er février) en vous accueillant sur l'espace Distributique.com / Harley Davidson France. Toute l'équipe de Distributique.com vous y attend pour des essais motos et un tirage au sort qui vous permettra de gagner un week-end moto.

Télécharger votre bulletin de participation au jeu-concours. (...)

(30/01/2012 10:01:36)

Ventes de smartphone, Apple en tête des ventes au dernier trimestre

Pour la première fois, Apple est en tête de liste des constructeurs ayant vendu le plus de smartphones durant le dernier trimestre de l'année 2011, selon une étude de Strategy Analytics, publiée le vendredi 27 janvier. Avec 23,9% de parts de marché, Apple devance d'un souffle Samsung (23,5%). Loin derrière, Nokia (12,6%) complète le podium. Il s'est vendu au total 155 millions de smartphones sur cette période (+54% sur un an).

Sur l'année, Samsung conserve un léger avantage, avec 97,4 millions de smartphones vendus (19,9% de parts de marché) contre 93 millions à Apple (19%). Nokia a pour sa part vendu 77,3 millions d'unités (15,8%).

Les ventes d'iPhone ont été dopées par l'arrivée sur le marché de l'iPhone 4S, au mois d'octobre. En 2012, Samsung doit présenter le Galaxy S3, le successeur du Galaxy S2. La marque propose en outre deux autres modèles haut de gamme : le Galaxy Nexus et le Note. De son côté, Apple travaille d'ores et déjà sur un iPhone 5.

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(30/01/2012 09:48:37)

Google Earth 6.2 affine ses images

La  version 6.2 de Google Earth, le logiciel qui permet de survoler le monde entier dans ses moindres détails à l'aide d'images satellites, propose des vues d'ensemble plus léchées, et intègre le partage d'information via le réseau social Google+. Le survol de certaines zones sera plus agréable à l'oeil, les développeurs de Google ayant réussi à retirer l'effet patchwork des photos satellites qui se chevauchent pour créer un ensemble plus harmonieux.

Cette version 6.2 de Google Earth inclut différents types d'itinéraires, pour piétons, à vélo ou en transports en commun. De son côté, la recherche a été améliorée et dispose désormais du complément automatique (à l'image de ce qui existe déjà pour Google Maps) afin de trouver rapidement le lieu recherché en tapant seulement les premières lettres.

Quant à l'intégration de Google+, elle permet de partager avec ses cercles d'amis des captures d'écrans des vues affichées sur Google Earth. Ces nouveautés sont valables sur toutes les déclinaisons de Google Earth (ordinateur et applications mobiles).

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(27/01/2012 17:17:09)

Recap IT : Anonymous acharnés, Protection des données malmenée, Apple au sommet

La fermeture des sites de Megaupload a déclenché une réaction violente de la part des Anonymous. Le groupe de pirates a mené plusieurs attaques pendant le week-end et la semaine. Si les sites du gouvernement français ont été particulièrement touchés, la méthode des Anonymous pour recruter des Internautes sans leur consentement pour lancer des attaques a été peu appréciée. Le groupe s'est aussi occupé du Parlement européen en représailles à la signature par l'UE du traité ACTA, qui renforce les règles anti-piratages sur le plan international.

Les réseaux sociaux ont été au centre de l'actualité en matière de sécurité. Twitter a annoncé qu'il allait censurer des messages dans les pays restreignant la liberté d'expression. Google a révisé et simplifier sa politique de confidentialité, lui permettant de combiner des données issues de différents services pour mieux cibler l'Internaute. Quant au FBI, il vient de passer une annonce pour se doter d'une application capable d'espionner les contenus sur les réseaux sociaux. Une petite lueur d'espoir provient du projet de révision de la directive sur la protection des données de la Commission européenne. Viviane Redding veut la mise en place d'un « oubli numérique » et promet des amendes en cas d'infraction.

Apple au sommet, RIM change de tête

La publication des résultats financiers s'est poursuivie cette semaine avec ceux d'Apple. La firme de Cupertino vole de record en record pour tutoyer les sommets boursiers. Même si pendant ce temps-là, des pirates ont enfin publié le jailbreak de l'iPhone 4S et l'iPad2. Les résultats d'Intel sont solides. Le fondeur en a profité pour annoncer l'acquisition des activités Infiniband de QLogic. Ces happening avec les investisseurs et les analystes sont aussi l'occasion de faire de la prospective. Joe Tucci, PDG d'EMC a dévoilé la feuille de route des produits pour 2012. Toujours dans le stockage, Hitachi Data System a aussi indiqué ses projets pour l'année en cours. De son côté, Orange Business Services a affiché ses ambitions dans le cloud et sa volonté de devenir numéro un.

Enfin, RIM a créé la surprise en annonçant la démission des deux co-fondateurs à leur poste de PDG. Le successeur, Thornsten Heins promet de donner un second souffle aux Blackberry pour revenir dans la course.  

(...)

(27/01/2012 16:56:38)

Linux Mint 13 : retour à une interface classique avec Cinnamon

A contre-courant des interfaces expérimentales, les développeurs qui travaillent derrière Linux Mint adoptent un poste de travail plus simple pour leur distribution Linux. La version 13 présentera une interface utilisateur entièrement nouvelle, baptisée Cinnamon et livrée cette semaine en v.1.2. Les précédentes éditions de Linux Mint utilisaient une version standard de l'environnement Gnome. Clement Lefebvre, créateur et principal développeur de la distribution espère que Cinnamon plaira à une majorité d'utilisateurs de l'OS, qu'ils viennent de Gnome 2, Gnome Shell ou d'autres bureaux. Dans un monde où les interfaces sont de plus en plus rationalisées, Cinnamon apparait comme un design assez conservateur, ce qui n'est pas surprenant compte tenu des objectifs du projet Linux Mint.

Clément Lefebvre a d'abord imaginé sa distribution après avoir passé les autres en revue sur différents forums en ligne. Partant de là, il a développé des idées sur les fonctionnalités qui devraient se trouver dans la distribution idéale. Il a spécialement conçu Mint pour ceux qui veulent un bureau facile à utiliser et demandant peu de maintenance. « Nous attendons davantage de notre bureau que les autres distributions », affirme le créateur. Les cas d'utilisation les plus fréquents sont examinés et s'ils ne peuvent pas être mis en oeuvre directement ou s'ils se présentent de façon trop compliquée pour l'utilisateur, « nous identifions cela comme un problème qui doit être revu ».

Un énorme potentiel pour Linux sur le poste de travail

L'an dernier, Canonical a annoncé qu'il changeait le bureau d'Ubuntu, remplaçant Gnome par Unity. Cette surcouche pour la version 3 de Gnome rationalise l'interface pour qu'elle puisse être utilisée sur des terminaux de différentes tailles. L'éditeur prévoit de faire progresser encore son interface sur la prochaine version d'Ubuntu, avec une technologie dénommée Head-up Display (HuD) qui en finirait avec les menus d'application.

Alors que Canonical se projette ainsi dans le futur, Linux Mint s'accroche à ses convictions, fidèle à la tradition du desktop. Pour Clément Lefebvre, Windows et Mac OS dominent le poste de travail avec des produits moins bien conçus. « Il y a un énorme potentiel de croissance pour Linux sur ce marché », estime-t-il. « Notre principale expertise réside sur le desktop, nous ne sommes pas intéressés par les smartphones, tablettes et autres terminaux mobiles ».

Puisque Linux Mint repose sur la distribution Ubuntu (qui est elle-même basée sur Debian Linux), on aurait pu penser qu'il utiliserait également la surcouche Unity. Ce n'est pas le cas. « Jusqu'à présent, Unity est seulement utilisée par une autre distribution. Elle ne semble pas particulièrement intéressante et il n'y a pas de demande », note Clément Lefebvre.

Une barre d'icônes en haut ou en bas de l'écran
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De la même façon, l'équipe de Linux Mint ne veut pas continuer à utiliser Gnome 3, livré en août dernier et qui était utilisé sur Linux Mint 12. Il requiert de changer ses habitudes d'utilisation de l'ordinateur, a expliqué Clément Lefebvre en novembre dernier dans un billet. Il demande aux utilisateurs de réfléchir en termes d'applications qu'ils voudraient utiliser plutôt qu'en tâches qu'ils souhaiteraint accomplir. Et le multitâche ne fonctionne pas bien, pointe le créateur. Il n'est pas le seul à se plaindre. Linus Torvalds lui-même, à l'origine de Linux, a parlé d'incroyable pagaille.

Une barre d'icônes en haut ou en bas de l'écran

Cinnamon, à bien des égards, revient aux notions traditionnelles du fonctionnement des interfaces desktop. Par exemple, elle rassemble sur une étroite barre les icônes des applications, les statuts opérationnels et les commandes de base. Les utilisateurs peuvent placer cette barre en haut de l'écran ou en bas, ou encore choisir d'en afficher une en has et une en bas. Prochainement, ils pourront disposer ce panneau où ils veulent sur le bureau. Voilà qui diffère sensiblement d'Unity dont la palette d'icônes est affectée au côté gauche de l'écran.

Cinnamon
Une barre d'icônes en haut et en bas (cliquer ici pour agrandir l'image)

Avec Cinnamon, les utilisateurs peuvent personnaliser l'apparence du bureau, comme il était possible de le faire avec les précédentes versions de Gnome. A partir de l'outil de configuration (Cinnamon Settings, voir illustration ci-dessous), ils choisissent parmi différents thèmes à appliquer, ajoutent des applets ou des extensions.

Linux Mint 13 comportera un autre bureau, dénommé Mate, qui se posera sur Gnome 3 pour offrir une interface permettant de retrouver l'expérience de Gnome 2. Elle s'adressera à ceux qui ont l'habitude de l'ancienne interface et qui n'ont pas les ressources système pour faire tourner Cinnamon, a précisé Clément Lefebvre.

Cinnamon Settings
Cinnamon Settings (cliquer ici pour agrandir l'image)

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(27/01/2012 15:58:08)

L'inventeur de JavaScript donne son avis sur le langage Dart de Google

Le langage Dart de Google, censé remédier aux faiblesses de JavaScript, a été moyennement accueilli par Brendan Eich, l'inventeur du JavaScript. Selon lui, le langage de programmation structurée que Google a mis au point pour le Web ne sera pas supporté par les navigateurs Internet et, probablement, JavaScript lui-même ne sera pas transformé pour supporter le code natif.

Même s'il admire les efforts entrepris par Google pour faire en sorte que le Document Object Model soit plus utilisable à l'intérieur de Dart, l'inventeur s'est montré plus réservé sur les chances de Dart de gagner le support des navigateurs Internet. « Dart est un langage parmi un grand nombre d'autres qui compilent actuellement JavaScript. Il y a beaucoup de choses à dire à ce sujet, et comme pour Native Client de Google, je ne pense pas que Dart sera un jour supporté en natif par d'autres navigateurs. En tout cas pas par Safari, ni par Internet Explorer, » a déclaré Brendan Eich, par ailleurs CTO de Mozilla, lors du Node Summit de San Francisco (24-25 janvier 2012). JavaScript est pris en charge par les navigateurs les plus populaires, y compris par Firefox de Mozilla. Google a fait valoir que si JavaScript était un bon outil pour construire des applications Web simples, il présentait des faiblesses pour conserver la structure à partir du moment où un programme grandissait. Et Dart permettrait de résoudre ce problème.

Un soutien encore incomplet  sur les navigateurs

Brendan Eich pense également qu'il y a peu de chance que JavaScript soit étendu pour supporter le code natif. S'il reconnaît que ce type d'intégration pourrait bénéficier au portage de jeux C++ vers les navigateurs, l'inventeur doute cependant que les éditeurs de navigateurs lui apportent leur soutien. Pour lui, l'effort accompli par Google avec Native Client de Google est du même ordre. Il utilise un compilateur de vérification, exécute le code natif dans une sandbox, et tire parti « d'un runtime plein d'API. » Mais selon lui, ni Microsoft, ni Apple n'utiliseront ce compilateur. « L'autre problème, c'est que le set d'API en big fat est directement lié au navigateur Chrome de Google. » Autrement dit, ces API ne reposent pas sur des standards. « Certaines sont construites autour de WebKit, d'autres autour du code de Chrome. Il n'est pas possible de prendre ces API pour IE, ni pour Safari. » Brendan Eich rappelle aussi que « pour Mozilla, en particulier, l'objectif est d'améliorer le Web et de faire en sorte que JavaScript puisse être exécuté par tout type de matériel. » Celui-ci a également rappelé la nécessité de disposer d'outils de développement JavaScript et il voit que cela est en train d'arriver. A ce titre, l'adoption du HTML5 par Adobe va dans ce sens. « C'est un effort pour fournir un outil pour JavaScript. »

Enfin, le CTO de Mozilla a déclaré que l'amélioration de la prochaine version de ECMAScript 6, à la base de JavaScript, résoudrait un problème d'erreurs de programmation faites dans le mode ECMAScript 5 strict. « Dans la prochaine version, et dans certains contextes, ces erreurs seront déplacées dans le temps, si bien que lorsque l'on chargera le code, il ne sera même pas exécuté. On obtiendra une erreur brute. » Selon Brendan Eich, l'ECMAscript 6 sera prêt en 2013 pour être généralisé.

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