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(24/01/2012 11:25:40)

Intégré à Google+, le service de retouche photo Picnik va disparaitre

Google s'apprête à fermer, le 19 avril prochain, son application de retouche d'image en ligne Picnik, annonce Dave Girouard, vice-président et responsable des applications chez Google, sur le blog officiel de la compagnie. D'autres services sont également condamnés, comme Sky Map (carte des étoiles) ou Urchin (analyse statistique).

Google a racheté Picnik en 2010, mais a depuis intégré une grande partie de ses outils d'édition d'images directement sur Google+ ("kit de création"). La disparition de Picnik est donc une façon comme une autre d'attirer un nouveau public vers son réseau social, via cette fonctionnalité. Durant ses dernières semaines d'existence, le service Picnik Premium sera accessible gratuitement. Quant aux abonnés, ils seront intégralement remboursés de leur dernière année de souscription (24,95$, soit 19€ environ).

Au mois d'octobre dernier, Google avait déjà annoncé la fin d'autres services, tels que son réseau Buzz ou son service de micro-blogging Jaiku.

(...)

(24/01/2012 11:17:52)

En Europe, les mobiles représentent 4,6% du trafic Internet


Les internautes européens (France, Allemagne, Italie, Espagne et Royaume-Uni) sont de plus en plus consommateurs de médias sur leurs terminaux mobiles, selon une étude rendue publique le lundi 23 janvier par comScore et Telefónica Allemagne. Les smartphones et tablettes représentent désormais 4,6% du trafic internet total (2,4% pour la France).

Dans les cinq pays étudiés, l'accès à internet via un ordinateur représente encore 95,1% des pages vues. Suivent les téléphones portables (3,2%) et les tablettes (1,4%). Au total, 75% de tous ceux qui possèdent un smartphone ont surfé sur le Web mobile en octobre 2011 (+62% en un an). Ils sont 13,6 millions à s'être rendu sur un site marchand sur cette même période. De nouveaux usages tels que l'utilisation du QR code (code-barres à deux dimensions) tendent ainsi à se démocratiser peu à peu.

Toujours selon cette enquête, c'est Apple avec son système d'exploitation iOS qui se taille la part du lion, avec 30% des connexions comptabilisées en combinant smartphones et tablettes, devant Android (27%) et Symbian (16%).

Pour consulter l'étude compléte chez comScore (...)

(24/01/2012 11:10:30)

4 milliards de vidéos regardées chaque jour sur YouTube

Les utilisateurs de YouTube enrichissent l'offre du site de 60 heures de vidéo supplémentaire chaque minute, soit une heure par seconde, annonce Google sur le blog officiel de YouTube. Cela représente une progression de 30% en huit mois. Le site affiche également le nombre impressionnant de quatre milliards de vidéos vues chaque jour.

Ces chiffres sont en constante augmentation, puisqu'au mois de mai 2011, YouTube annonçait trois milliards de vidéos vues chaque jour, pour 48 heures de chargement supplémentaire chaque minutes. Google a mis en ligne une animation spéciale, "Une heure par seconde", symbolisant quelques événements de la vie courante traduits en "secondes YouTube".

La version de YouTube, mise en ligne le 21 novembre dernier, dispose d'une nouvelle interface et intègre directement Google+ et Facebook, pour plus de souplesse d'utilisation.

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(24/01/2012 10:55:06)

L'AFAI incite à l'adoption du référentiel Risk IT

La gestion des risques IT va bien au-delà de la seule sécurité technique. Pourtant, jusqu'à il y a peu de temps, les référentiels de bonnes pratiques se concentraient quasi-exclusivement sur la seule sécurité. L'Isaca, dont le chapitre français est l'Afai (Association française de l'audit et du conseil informatique), a publié un référentiel inspiré de Cobit en 2009, Risk IT. L'AFAI a récemment publié ce référentiel en version française (une centaine de pages) et propose désormais des livrets (comme « Le guide utilisateur Risk IT », 140 pages) et des certifications dans la langue de Molière.

Les normes et référentiels de gestion des risques au sens large sont, de toutes les façons, très récentes : le référentiel de la Fédération Européenne des Associations de Risk Managers (FERMA 2003) ou le COSO ERM (Entreprise Risk Management, 2004) par exemples, suivis des normes ISO 31000 (principes du management du risque) et ISO 31010 (techniques d'évaluation du management du risque). En matière de TIC, la norme de référence, ISO 27000, est centrée sur la seule sécurité.

Risk IT se veut être un référentiel complet intégrant non seulement la sécurité mais aussi le risque projet et le risque d'exploitation. Il repose sur trois piliers : la gouvernance, l'évaluation et le traitement des risques. Chaque pilier se divise en 150 activités.

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(24/01/2012 10:59:56)

Les autorités de santé franciliennes mutualisent l'imagerie médicale dans un cloud

« Devant le retard pris en France sur les déploiements de systèmes de gestion de l'imagerie médicale (les PACS), l'idée de mutualiser les PACS entre hôpitaux est née en 2002 » s'est souvenu Claude Evin, actuel directeur général de l'Agence Régionale de Santé d'Ile de France (ARS IDF). Cette mutualisation a finalement vu le jour sous la forme d'un SaaS dans le cadre du programme « Région Sans Film » (RSF, on parle ici des films radiographiques). 2011 a été l'année du déploiement de ce service en Ile de France.

Claude Evin a estimé, lors du colloque Région Sans Film du 18 janvier 2012, que « le cloud représente le sens de l'histoire informatique ». Celui destiné à accueillir l'imagerie des établissements hospitaliers d'Ile de France a été financé dans le cadre d'un PPP (Partenariat Public-Privé) et du Grand Emprunt. Malgré tout, l'ancien Ministre de la Santé a reconnu que, en matière de données médicales, par nature ultra-sensibles, le choix d'un cloud est tout sauf naturel : « la question se pose de savoir où est physiquement l'information sensible, même si des placards placés dans les couloirs sont sans doute moins sécurisés. »

Une mutualisation qui vise aussi au partage

La mutualisation des moyens au niveau régional pour créer un tel système d'imagerie répond à plusieurs objectifs. Le premier est bien sûr de mobiliser plus facilement des moyens à l'échelle régionale pour un moindre coût et une qualité des outils supérieure. Ensuite, un tel service permet incidemment de consulter des données à partir de n'importe où, quelque soit l'établissement voire le lieu où l'on se situe. Mais le but est aussi de partager l'information entre professionnels afin d'éviter des examens redondants (avec leurs coûts liés) tout en accroissant la qualité des soins apportés. Claude Evin tranche : « opter aujourd'hui pour des solutions locales de PACS est anachronique d'autant plus que la mobilisation budgétaire nécessaire met en péril les finances des centres hospitaliers ».

Pour porter le projet, le Groupement de Coopération Sanitaire pour le Développement des Systèmes d'Information en Santé partagé en Ile de France (GCS D-SISIF) a été créé sous la direction de Valère Dussaux, directeur de programme « Région Sans Fil ». Ce Groupement a mené un dialogue compétitif entre mars 2009 et mars 2010 auprès de quatre consortiums candidats avec 16 hôpitaux participant à 4 groupes de travail. Le 22 avril 2010, un accord cadre a été signé entre le Groupement et Orange, avec General Electric et EDL en sous-traitants.

Deux centres hospitaliers ont, à partir de novembre 2010, servi de pilote : le Centre d'Accueil et de Soins Hospitaliers Simone Veil d'Eaubonne-Montmorency et l'Institut Gustave Roussy, de Villejuif. En tout, 35 To de données sont actuellement stockés sur le SaaS par ces deux établissements.

Chaque établissement intéressé est désormais appelé à signer un marché dans le cadre du contrat cadre négocié par le Groupement. Vues les masses de données concernées, chacun dispose d'une liaison dédiée avec le service.

Le déploiement est en cours depuis septembre 2011. D'ici 2013, une vingtaine d'établissements franciliens devraient être raccordée dont onze sont en cours sur l'année 2012. Comme tous les SaaS, Réseau Sans Frontière se facture à l'unité d'oeuvre.

(...)

(24/01/2012 10:35:54)

La journée IPv6 programmée le 6 juin 2012

IPv6 nous voilà! Sous la devise «Launch into the future»,  la journée mondiale de lancement d'IPv6, organisée par l'Internet Society, association qui se consacre aux avancés d'internet, se tiendra le 6 juin 2012 et sera l'occasion pour de nombreuses sociétés de passer sur IPv6. Parmi les sociétés qui ont déjà annoncé leur participation on dénombre notamment AT&T, Bing, Cisco, Comcast, D-Link, Facebook, Free Telecom, Google, Internode, KDDI, Time Warner Cable, XS4ALL et Yahoo. D'ici le mois de juin, d'autres entreprises devraient se joindre au mouvement.

Une transition nécessaire

La transition vers l'IPv6 est rendue nécessaire par le manque d'adresse en IPv4. Depuis le 3 février 2011, l'IANA (Internet Assigned Numbers Authority) a annoncée qu'elle avait épuisé son le stock d'adresses IPv4. Toutefois, certaines sociétés avaient prévues cette pénurie et acheté un stock d'adresses IPv4. Selon les prévisions des analystes, les adresses basées sur IPv4 seront totalement épuisées d'ici la fin 2012.

ICTjournal.ch (...)

(24/01/2012 10:31:48)

Le GIP-MDS optimise le traitement des déclarations sociales avec CA Technologies

Depuis l'an 2000, le GIP-MDS (Groupement d'Intérêt Public pour la Modernisation des Déclarations Sociales) réunit des organismes comme l'Acoss, l'Agirc-Arrco, la CNAM-TS, la CNAV, la MSA, etc. Au travers du service NetEntreprises.fr, elle mutualise les moyens et les compétences au bénéfice d'une part des organismes sociaux et d'autre part des entreprises. Son service permet de dématérialiser les déclarations sociales.

Or la dématérialisation, parfois obligatoire, permet de diminuer nettement le coût des traitements des déclarations effectuées par les entreprises et supportées par les organismes sociaux. La rendre toujours disponible et opérationnelle est un facteur essentiel de son succès.

Mais le GIP-MDS doit faire face d'une part à une très forte saisonnalité des volumes de traitements, en lien avec les dates butoirs des différentes déclarations obligatoires, d'autre part à une forte croissance des volumes globaux. Ainsi, le nombre de d'entreprises adhérentes s'est accru en moyenne de 40% et le nombre de déclarations enregistrées de 100% par an depuis 2003. L'objectif « politique » du service était de doubler de nouveau le nombre d'entreprises utilisant NetEntreprises.fr sur trois ans.

Il fallait donc adapter l'architecture en conséquence. A cela s'ajoute les refontes régulières de la législation impliquant des modifications dans les outils de déclarations en ligne.

Des prestataires à contrôler

La logique du GIP-MDS a toujours été d'externaliser autant le développement que l'exploitation. La maintenabilité du code produit par les sous-traitants, éventuellement dans le cadre d'une TMA, est surveillée par des outils comme Sonar (Open Source) ou Cast (propriétaire). Mais garantir la maintenabilité du code n'est pas suffisant. Il faut vérifier que le code s'exécute toujours correctement et, au cas où la performance chuterait, déterminer exactement d'où vient le problème afin d'éviter les renvois de balles entre fournisseurs.

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En 2009, le GIP-MDS a donc lancé un appel d'offre pour trouver une solution d'APM (Application Performance Management) dans les environnements très hétérogènes concernés : J2EE, Unix, Oracle, .Net, Windows, SQL Server... C'est Neoxia qui a remporté le contrat avec la solution CA APM de CA Technologies.

La solution a été déployée et paramétrée sur l'automne 2009, avant le pic d'activité de décembre-janvier. La montée en charge était un élément clé du projet. Même en l'absence de problème à un instant t, cette solution permet d'analyser la performance et d'anticiper la survenue de dysfonctionnements. Un critère majeur pour choisir cet outil a été sa capacité à analyser, détecter et diagnostiquer les situations problématiques ou potentiellement problématiques sans réduire la performance applicative du seul fait de sa propre présence. De plus, les tableaux de bords peuvent être agrégés avec une granularité de détails variable selon les spécialités de chacun, de la supervision globale des managers à l'analyse précise d'un problème par un spécialiste.

Des sondes discrètes permanentes

Selon l'éditeur, l'outil ne procède pas par échantillonnage mais bien par un contrôle permanent. Aucun incident ne peut donc passer entre les mailles du filet. De plus, sa logique est celle du ressenti utilisateurs : ce sont les performances réelles constatées par l'usage effectif des logiciels qui sont mesurées et non pas des performances de scénarios de tests.

En effet, l'outil procède par analyse des trames échangées entre les modules logiciels ou les matériels, y compris les trames cryptées (sous réserve de fournir la clé privée à la sonde concernée par un flux chiffré). Les sondes sont installées autant en production que sur les serveurs de qualification afin de vérifier sur tout le cycle du projet que le service restera performant.

Le taux de disponibilité du site NetEntreprises atteint aujourd'hui 99,59%, celui d'une déclaration sociale comme la DUCS le 99,89% et la DADSU les 100%.

Le coût du projet n'a pas été révélé mais il se répartit à 70% en licences et en matériels et à 30% en prestation.

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(24/01/2012 10:31:35)

Antipiratage : les projets de lois américaines Sopa et Pipa suspendus

Alors que les projets de loi destinés à lutter contre le piratage devaient être votés demain aux Etats-Unis, les deux chambres du Congrès ont reporté cette échéance, au moins temporairement. SOPA et PIPA devront être révisés avant de passer devant le Congrès. Le chef de la majorité démocrate du Sénat, Harry Reid, a déclaré, dans un communiqué paru vendredi, espérer trouver un compromis dans les prochaines semaines. Il reste toutefois convaincu que, au vu du coût du piratage pour l'économie américaine, tant en termes d'emplois qu'en dollars, le Congrès se devait de légiférer sur la question.  Cet ajournement intervient alors que plusieurs sénateurs des deux partis ont demandé à ce que leur nom ne soit plus associé à PIPA. Par ailleurs, la Maison blanche a également pris plus de distance avec le texte, estimant, par la voix de son porte parole,  que la lutte contre le piratage ne devait pas empêcher un accès ouvert et gratuit à Internet.

Un tour de force des Anonymous

En attendant, depuis la fermeture jeudi de Megaupload, les Anonymous ont continué de démontrer leur force d'action. Ils ont lancé une opération Megaupload "opMegaupload" qui rassemble quelques 27 000 internautes selon le site Soft Pedia. De nombreux sites ont été attaqués en déni de services. Ainsi, les sites du FBI, du ministère de la justice américain, des maisons de disques Universal, EMI et Warner, de Disney, de l'association professionnelle du disque RIAA et de l'association professionnelle du cinéma MPAA ont été rendus inaccessibles. En outre, Ceux de Vivendi, Sony et CBS ont vu leur page d'accueil modifiée : accussé de « censure et de haute trahison envers l'esprit d'internet [...] pour sa participation au lobbying culturel » pour Vivendi ; Le catalogue musical publié pour Sony...

Des représailles contre Nicolas Sarkozy

En France, en réponse au communiqué de l'Elysée qui saluait la fermeture de Megaupload, plusieurs sites de l'administration ont été attaqués. Outre celui de l'Elysée, pour lequel des messages ont été intégrés aux différentes URL (« Stop SOPA » ou encore « We are legion » la devise des Anonymous), ceux de Hadopi (Haute Autorité pour la diffusion des oeuvres et la protection des droits sur Internet) et du ministère de la Défense ont également connu leurs lots de désagréments.

ICTjournal.ch (...)

(24/01/2012 10:18:33)

Etude eAchat 360° : les investissement se poursuivent

Selon l'étude eAchats 360°, les grandes entreprises continuent d'investir dans les outils d'e-achat au sens large : gestion des référentiels fournisseurs, gestion des référentiels produits, enchères inversées, dématérialisation des factures, etc.

Le schéma ci-dessous reprend les grandes intentions d'investissements des directions achats par domaine à court, moyen et long terme.



Le petit effectif de l'échantillon interdit d'examiner en détail les répartitions chiffrées mais de grandes tendances se dessinent malgré tout.

Ainsi, la grande majorité des entreprises connaissent les différents outils d'e-achat. Si les outils « décisionnels » dédiés à l'achat sont largement déployés à l'heure actuelle, ce n'est pas le cas des solutions de gestion de la responsabilité sociétale des entreprises (développement durable...) ou la gestion des plans de progrès. La dématérialisation fiscale des factures est installée dans la moitié des firmes. La logique des directions achats est plutôt celle d'un enrichissement fonctionnel des systèmes d'information achats existants plutôt que des changements brutaux de l'existant.

Les fournisseurs restent optimistes

Les avantages d'un système d'information achats sont identifiés comme étant un outil d'harmonisation des pratiques, de productivité pour les équipes et de limitation du risque fournisseur. Mais la difficulté à chiffrer clairement son retour sur investissement ainsi que les réticences des utilisateurs sont les deux freins majeurs à une installation. Il est vrai que l'ergonomie semble être la principale limite actuelle des solutions installées.

Côté fournisseurs, l'optimisme est une règle. Le chiffre d'affaires 2011 a tendance à être supérieur aux prévisions de début d'année. Et selon eux, les ventes de solutions en 2012 se concentreront surtout sur les grands comptes privés, en second lieu sur le mid-market. PME et secteur public ne sont pas des cibles prioritaires même si la croissance devrait y être importante (à partir de pas grand'chose, il est vrai). (...)

(24/01/2012 10:59:25)

Annuels Cegid : Une fin d'année réussie et confiance pour 2012

Cegid finit l'année en trombe, avec 6,5% de progression au 4ème trimestre, ce qui lui permet d'afficher 3,1% de progression sur l'ensemble de l'exercice (à périmètre constant). Cegid a réalisé un chiffre d'affaire annuel de 263,9 millions d'euros (ME) en 2011 contre 249,6 en 2010. Le quatrième trimestre, et particulièrement le mois de décembre, rattrape les trois premiers trimestres : +2,3% au T1, +1,1% au T2, +1,5% au T3.

Par activités, les résultats de Cegid sont toujours marqués par  le dynamisme du SaaS, qui passe de 16,2 à 19,9 ME mais ne représente encore que 8% du CA total. La vente de licence représente 15%, elle baisse, passant de 40,7 ME à 39 ME, la maintenance est passée de 95,1 ME, en 2010, à 99,8 ME en 2011 et représente 38% du CA. L'édition représente ainsi 63% du CA, les services liés à l'édition 25% (en forte progression de 57,4 ME à 671 ME), la distribution et diverses activités 12% (en baisse, de 33,4 à 31,5 ME).

Par secteur, Cegid progresse fortement dans le secteur public, passant de 14,6 à 20,1 ME, dans les TPE-PME (de 98,6 à 101,3). Le groupe se montre confiant sur sa rentabilité, anticipant une progression de son EBE (excédent brut d'exploitation) et de son résultat opérationnel courant, « la rentabilité opérationnelle courante devrait ainsi ressortir au niveau supérieur à 10% du chiffre d'affaires consolidé », indique la société.

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