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(24/01/2012 09:54:30)

Les budgets IT vont stagner en 2012 selon IDC

Pour 2012, l'heure est à la stagnation budgétaire. 43% des CIO interrogés sont sur ce registre, 40% optent quand même pour une hausse, ils ne sont que 17% à parler de baisse. Pas de catastrophisme donc, pas d'euphorie non plus, le quart de ceux qui prévoient une hausse la situent à 5% ou plus.

Si l'on regarde dans le rétroviseur, sur 2011, les CIO étaient 43% à augmenter leurs budgets IT (contre 40% à l'envisager pour 2012) et 20% à parler de baisse (contre 17% sur l'année à venir), c'est donc bien vers une stagnation que se dirige le monde IT, par rapport à 2011. Plus finement encore, IDC remarque que si 43% des CIO ont augmenté leurs budgets en 2011, 46% avaient prévu de le faire, une baisse de 3 points entre les intentions et la réalité. En revanche, si 20% ont réduit leurs dépenses, 14% avaient prévu de le faire, signe que la crise les a obligé à se serrer la ceinture, plus que prévu, sans que le phénomène ne prenne des proportions trop importantes.

Des augmentations très faibles

IDC s'interroge même sur l'importance des budgets à la hausse. Pour la relativiser : « ils peuvent paraître optimistes à première vue, étant donné l'environnement économique, mais en fait les augmentations sont très faibles par rapport aux budgets équivalents de 2011 », selon Douglas Hayward qui a piloté cette étude. « Ce sera une année conservatrice dans laquelle les dépenses discrétionnaires seront à minima. L'impact n'est pas nécessairement dramatique en termes réels ...2012 s'annonce comme le prolongement de 2011, en plus négatif ».

Selon un autre analyste d'IDC, Thomas Meyer, vice-président Europe chargé des solutions d'infrastructure, « notre interprétation est que les organisations estiment qu'elles ont  réduit leurs dépensent suffisamment au cours de 2011, en réponse à l'aggravation des conditions. Elles espèrent obtenir cette année des niveaux de dépenses relativement proches de celles de 2011. Il existe tout simplement moins de possibilités pour réduire les dépenses, les CIO peuvent être enfermés dans des contrats qui limitent leur marge de manoeuvre pour réduire leurs dépenses informatiques. Les budgets actuels pourraient, cependant, être considérablement revus à la baisse en 2012, si les conditions économiques devaient se détériorer de façon spectaculaire. »

(...)

(23/01/2012 17:14:29)

La World Wide Web Conference 2012 se tiendra à Lyon du 16 au 20 avril

C'est en 1994 qu'a eu lieu la première conférence de la série WWW, à Genève, quelques années après « l'invention » du World Wide Web par Tim Berners-Lee, au CERN. Les éditions qui ont suivi se sont alternativement déroulées en Amérique du Nord, en Europe et en Asie. En 2012, la manifestation se tiendra à Lyon, du 16 au 20 avril, organisée par l'IW3C2 et l'Université de Lyon, avec le soutien de la Ville de Lyon, du Département du Rhône, de la Région Rhône-Alpes, de la Chambre de commerce et d'industrie, du CNRS et du CERN.

Parmi les principaux intervenants sont attendus Tim Berners-Lee et Neelie Kroes, vice-présidente de la Commission européenne, responsable de la stratégie numérique, ainsi que Bernard Stiegler, directeur de l'IRI (Innovation and Research Institute), et Chris Welty, chercheur au centre de recherche T.J. Watson d'IBM, à New York.

La conférence s'est tenue l'an dernier à Hyderabad, en Inde. En 2010, elle fut accueillie à Raleigh, en Caroline du Nord (Etats-Unis) et en 2009 à Madrid.

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(23/01/2012 16:47:25)

L'UE prône le droit à l'oubli et la portabilité des données

La réforme de la directive de 1995 sur la protection des données est attendue depuis longtemps et elle fait l'objet de beaucoup de critiques. Ce week-end, lors d'un discours à Munich, la commissaire européenne, Viviane Reding, a donné plusieurs indices sur le contenu de la proposition de directive qui devrait être présentée mercredi prochain.

Elle a indiqué ainsi que les sociétés seront tenues de divulguer le vol des données dans les 24 heures. Cette règle est considérée comme une réaction à la décision de Sony, victime d'un piratage massif des comptes sur PSN, d'avertir ses clients une semaine après la découverte du vol. Cependant le Département américain du commerce a estimé que 24 heures étaient une durée « tout simplement trop courte ». Cela pourrait engendrer selon l'autorité américaine des amendes énormes pour les entreprises et semer la confusion chez les consommateurs en cas de fausses alertes. Les critiques provenant d'un pays tiers avant même que la proposition de directive soit publiée ont été considérées comme peu diplomatiques par Bruxelles.

Le projet de proposition suscite également des critiques au sein de la Commission, au point de revoir quelques positions dans les premiers jets du projet. Selon les versions qui ont fuité, seuls certains numéros d'identification, des données de localisation ou les identifiants en ligne seront considérés comme des données personnelles. Viviane Reding affirme que les sites Internet qui collectent et conservent des données sur leurs clients seront tenus d'expliquer pourquoi il est nécessaire de garder de telles informations sur leurs bases de données et que le consentement explicite doit être donné par l'utilisateur (principe de l'opt in).

Droit à l'oubli et portabilité des données

Le « droit à l'oubli », permettant aux utilisateurs de demander l'effacement des renseignements  les concernant et un « droit à la portabilité des données », donnant la possibilité aux utilisateurs de transférer leurs données personnelles d'une entreprise à une autre devraient également être inclus dans la proposition de directive.

Le montant de l'amende maximale pour les sociétés Internet qui enfreindront ces prochaines règles est susceptible d'être révisé. Les médias parlent de 1 à 4% du chiffre d'affaires global. Elle est actuellement de 5%.

Le projet de directive va être présenté mercredi prochain par Viviane Reding, mais avant le vote définitif, nul doute que les actions de lobbying vont être nombreuses, aussi bien auprès de la Commission que du Parlement européen.

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(23/01/2012 15:53:25)

Piston Computing sort son OS cloud OpenStack

Sous le nom de Piston Enterprise OS, ou « PentOS », la start-up Piston Cloud Computing, créée l'an dernier à San Francisco, vient de livrer le premier système d'exploitation pour cloud privé basé sur le framework IaaS (infrastructure as a service) Open Source OpenStack. Ce dernier a été originellement conçu par un groupe de chercheurs de la NASA parmi lesquels se trouvait Josh McKenty, le fondateur de Piston Cloud Computing.

Avec PentOS, Josh McKenty veut apporter aux clients un cloud privé qu'ils pourront vraiment utiliser. L'objectif est d'offrir aux responsables IT chargés de superviser le réseau une option alternative apportant sécurité, fiabilité et facilité d'utilisation. PentOS peut s'installer en moins de dix minutes, indique la start-up dans son communiqué de lancement. Il dispose de mises à jour de sécurité par abonnement et d'un support de niveau entreprise 24 x 7. Il repose sur une distribution Linux personnalisée. Son prix démarre à 3 500 dollars par serveur.

L'architecture « Null-Tier » développée par Piston Cloud Computing combine le stockage, le traitement et le réseau sur chaque noeud pour offrir une capacité d'évolution avec, estime la start-up « une efficacité sans précédent ». PentOS est par ailleurs la première mise en oeuvre de CloudAudit, un standard de sécurité pour le cloud et les environnements virtualisés. Le système d'exploitation est indépendant de l'environnement matériel. Son éditeur rappelle qu'OpenStack est le projet Open Source qui croît le plus vite avec plus de 2 320 contributeurs et 147 entreprises qui y participent, parmi lesquelles Rackspace, la NASA, Citrix, Intel, Cisco, AT&T, Arista Networks, Microsoft et Dell. Lui-même entend jouer un rôle clé en favorisant son développement.

Une offre qui trouve son origine dans Nebula

L'origine de la société en dit beaucoup sur ce qu'elle compte faire avec son OS, mettent en avant nos confrères de Network World. Ce qui a motivé le développement de PentOS trouve son origine dans le travail accompli par Josh McKenty avec la plateforme Nebula Cloud Computing de la NASA. C'est dans ce cadre qu'il a oeuvré comme architecte technique sur les composants originels d'OpenStack. Après avoir hésité à prendre ce poste à la NASA -eu égard à son esprit d'entreprise et aux limites connues des budgets fédéraux- il a rejoint un groupe de chercheurs qui a été capable d'apporter une innovation d'avant-garde dans un cadre improbable. Il considère que son équipe fonctionnait alors de façon assez surprenante comme une start-up au sein de cette structure fédérale, à un moment où c'était possible. « Il y avait beaucoup d'optimisme sur le rôle que le gouvernement pouvait jouer dans l'innovation technologique ».

L'équipe de Piston Cloud Computing
L'équipe de Piston Cloud Computing (sur le fauteuil, le fondateur Josh McKenty) - Crédit photo : Piston. Cliquer ici pour agrandir l'image.
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Mais cela ne pouvait guère aller au-delà. Sous l'égide fédérale, les budgets étaient fixés longtemps à l'avance et il y avait peu de flexibilité. « Je ne croyais pas qu'OpenStack offrirait la chance de réinventer. Je voulais faire quelque chose que chacun pouvait utiliser. Le plus grand défi que j'ai eu sur Nebula à la Nasa a été qu'une fois que nous l'avons annoncé et commencé à l'utiliser, nous avons eu des demandes de chaque agence fédérale, de gouvernements étrangers, ainsi que d'états et d'agences locales et nous n'étions pas autorisés, nous n'avions pas de mandat pour leur fournir un service. Ils voulaient tous ce cloud. Ils voulaient tous ce qui est devenu OpenStack. »

Selon Josh McKenty, cette demande serait la même, si ce n'est plus élevée, sur d'autres marchés. Donc quand Rackspace a acquis l'équipe de chercheurs de Nebula, il a dû faire un choix : continuer à travailler sur une infrastructure sur laquelle de nombreuses sociétés pourraient un jour poser leurs fondations. Ou bien bifurquer et fournir des produits qui aideraient ces sociétés à le faire. Il a opté pour la deuxième option, tenté par les opportunités et le potentiel qu'il y discernait.

« J'ai vraiment apprécié l'équipe de Rackspace », a confié Josh McKenty. « Ils ont fait un beau travail en bâtissant une communauté autour de ce projet. Mais il ne s'agit pas d'un fournisseur de produits. Ce n'est pas dans leur ADN et je pensais vraiment qu'il y avait des choses importantes qui devaient être faites avec OpenStack qui ne pouvaient pas avoir lieu en dehors d'une start-up. C'est ce qui a conduit au lancement de Piston Cloud. »

La clé du succès résidera dans le niveau de support fourni

Il reste à voir si la réalité du marché du cloud privé rejoindra les attentes de Josh McKenty pour PentOS. Pour Jay Lyman, analyste senior couvrant les logiciels d'entreprise pour le cabinet 451 Research, il y a une demande pour des outils alternatifs de gestion des clouds privés et des outils IaaS sont apparus pour y répondre. Il y a selon lui de l'intérêt pour des options comme OpenStack.

La clé du succès pour PentOS résidera dans le niveau de support que l'éditeur fournira pour son logiciel Open Source. « Cela correspond à ce que les entreprises ont l'air de vouloir, diversité, variété de choix, avec un fournisseur crédible et un support technique de haut niveau tel que le requièrent les entreprises », poursuit Jay Lyman. « Je pense que PentOS correspond assez bien à ce type de demande qui se présente, disons, comme le meilleur de deux mondes ».

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(23/01/2012 15:12:23)

Des réseaux WiFi et 3G mieux gérés dans Windows 8

Selon Microsoft, par rapport à ses prédécesseurs, la manière dont Windows 8 se comporte avec les réseaux a été améliorée pour permettre aux utilisateurs de mieux gérer leurs connexions aux réseaux WiFi et 3G. « Nous avons exploré les fondements de la connectivité sans fil et nous avons restructuré Windows 8 en conséquence. Ces modifications vont au-delà des améliorations que l'on peut apporter graduellement à une technologie et ouvre sur un autre futur mobile et sans-fil, » peut-on lire dans un article de blog publié vendredi.

Windows 8 a été conçu pour simplifier le processus de connexion aux réseaux très haut débit mobiles et la façon de gérer ces connexions - on note l'arrivée d'un mode avion - , y compris pour la surveillance des données échangées et le contrôle des coûts. « Pour offrir une vraie mobilité aux utilisateurs, nous savions que le WiFi seul ne serait pas suffisant. C'est pourquoi, pour Windows 8, nous avons entièrement développé et intégré la mobilité pour en faire une expérience de connectivité de premier ordre dans Windows, parallèlement au WiFi », a écrit Billy Anders, gestionnaire de programme réseau chez Microsoft et auteur de l'article.

Windows 7 permet aux utilisateurs de se connecter aux réseaux mobiles haut débit, mais c'est à eux de trouver et d'installer les pilotes et les logiciels nécessaires, et parfois de les rechercher sur Internet. Windows 8 est livré avec un pilote universel capable de prendre en charge les connexions haut débit, compatible avec les terminaux de nombreux opérateurs mobiles et de fabricants. Ainsi les utilisateurs n'ont plus besoin d'installer eux-mêmes le pilote adapté à leur périphérique. «Il suffit d'allumer son terminal et de se connecter. Grâce à Windows Update, le driver est toujours à jour, » écrit Billy Anders.

Un pilote générique désormais intégré à Windows 8

Windows 8 permet aussi de gérer en natif les fonctions de tous les dispositifs mobiles à large bande au sein d'une même console, comme activer ou fermer un signal et configurer les paramètres de connexion. Auparavant, les utilisateurs devaient effectuer ces tâches à partir d'une application différente pour chaque appareil. « Avant Windows 8, il fallait avoir recours à des applications tierces [GlobeTrotter 3G+, par exemple] pour compenser l'absence de cette fonctionnalité en natif dans Windows. Ce type de logiciel, souvent en conflit avec le gestionnaire de connexion de Windows, perturbait les utilisateurs, affichant différents réseaux, avec différents statuts, cela dans une interface utilisateur distincte, » écrit-il. « Windows 8 permet d'éliminer cette confusion en offrant une manière simple, intuitive et totalement intégrée de gérer les réseaux et les connexions. »

Les fonctions WiFi et Bluetooth de l'appareil peuvent également être gérées de manière centralisée à partir de Windows 8. La console qui sert à déterminer les préférences réseau du système d'exploitation permet également aux utilisateurs d'établir des priorités de connexion, et leur machine les appliquera automatiquement. Par exemple, l'appareil se connectera en priorité à un réseau WiFi, si cette première option est disponible, sinon, il recherchera une connexion haut débit mobile.

Reconnection réseau plus rapide

Windows 8 sait aussi «apprendre» en fonction des habitudes de connexion de l'utilisateur et de ses actions. Si bien que, après le passage en mode « veille », une machine sous Windows 8 pourra se reconnecter plus vite - en une seconde environ - que sous Windows 7. « Il n'y a rien à faire de spécial pour cela. Windows retient simplement le nom de vos réseaux préférés et les retrouve pour vous. Ces améliorations ont été une partie importante du travail que nous avons réalisé dans la pile réseau et avec les fabricants partenaires, » écrit encore Billy Anders. Windows 8 va également permettre aux utilisateurs de suivre l'usage qu'ils font de la bande passante via le gestionnaire de tâche et les coûts générés par ces échanges de données en mode haut débit mobile. « Jusqu'à Windows 8, nous avons fait en sorte d'adopter une attitude cohérente en matière d'usage de la bande passante quel que soit le type de réseaux. Avec Windows 8, le coût du réseau va être pris en considération : comparé au WiFi, nous partons du principe que les réseaux mobiles haut débit ont certaines limitations en terme de transfert de données et engendrent des coûts plus élevés. Windows 8 permet d'ajuster son comportement à l'usage de ces réseaux, » ajoute-t-il.

Par exemple, pour aider les utilisateurs à gérer leur consommation et leurs coûts en haut débit mobile, le gestionnaire des tâches de Windows 8 comptabilise la quantité de données spécifiques utilisées par telle ou telle application, afin que les utilisateurs sachent lesquelles consomment le plus de données.

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(23/01/2012 15:30:30)

Le jailbreak de l'iPhone 4S et de l'iPad 2 enfin disponible

Il y a quelques semaines, le hacker français Pod2G avait annoncé comme imminent le lancement d'une version stable d'un outil de jailbreak permanent (untethered) de l'iPhone 4S et l'iPad 2. Plusieurs difficultés avaient été levées notamment celles liées à la puce A5 équipant les deux terminaux. Les pirates ont passé plusieurs mois à trouver une faille permettant d'installer des applications tierces sur le smartphone et la tablette. Les pirates soulignent qu'il devient de plus en plus difficile de débrider les terminaux d'Apple. La firme comble progressivement les différentes failles et améliorent la sécurité de ses produits.

La Chronic Dev Team a publié sur son blog GreenPois0n, le 21 janvier dernier, la solution baptisée Absinthe A5 disponible pour Windows et pour Mac. L'équipe de hackers explique que les terminaux doivent être sous iOS en version 5.0.1 pour qu'Absinthe puisse fonctionner. Il demande par ailleurs aux utilisateurs de ne surtout pas migrer sur la version 5.0.2 actuellement en bêta.

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(23/01/2012 13:06:58)

A l'approche du Mobile World Congress 2012, les rumeurs se multiplient

L'édition 2012 du CES de Las Vegas est terminée mais les fabricants d'appareils mobiles se préparent à présenter leurs dernières innovations au GSMA Mobile World Congress (MWC) de Barcelone -- un événement de quatre jours dédié aux technologies mobiles de pointe. Une série d'annonces sur des appareils mobiles haut de gamme accompagne généralement le MWC, ce qui en fait l'événement le plus suivi de l'industrie du mobile.

Des rumeurs laissent entendre que le HTC Edge quad-core, le HTC Ville, le Samsung Galaxy S III, l'Asus Padfone, un appareil quad-core Fujitsu sous Android, une version améliorée du Lumia 900 avec un appareil photo de 12 MP et des nouveaux smartphones Sony Xperia seront au menu, de même que les premiers appareils fonctionnant sous Tizen, le système d'exploitation open source pour mobiles basé sur Linux, le lancement de BlackBerry 10 OS et de très nombreux téléphones et tablettes utilisant Ice Cream Sandwich, la dernière version du système d'exploitation Android de Google.

Les asiatiques en premières lignes

Après avoir dévoilé lors du CES de Las Vegas le Ascend, le smartphone le plus fin du monde, le fabricant chinois de mobiles Huawei prévoit d'emballer les consommateurs avec son "smartphone le plus perfectionné et le plus rapide jamais vu" lors d'une conférence de presse avant le début du MWC. Et alors que l'on peut s'attendre à voir les fabricants de produits électroniques se disputer les "premières mondiales" des spécificités techniques mobiles, l'utilisation du stockage en ligne (ou "cloud"), les applications et la connectivité mobile entre les différents appareils représenteront aussi une part très importante des discussions au MWC.

"Le mobile relie le monde de façons qui étaient jugées impossibles il y a encore quelques années", a déclaré Michael O'Hara, en charge du marketing à la GSM Association. "Plus qu'un simple moyen de communication, les mobiles servent aujourd'hui de livres, d'appareils de surveillance santé, de moyens de paiement, de liens sociaux et de guides touristiques. L'édition 2012 du Mobile World Congress célébrera l'état de santé actuel du mobile et offrira un aperçu du futur".

 

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(23/01/2012 13:01:30)

Numericable calque son forfait sur celui de Free Mobile

Pour répondre aux offres de Free Mobile, l'opérateur Numericable annonce un forfait sans engagement à 20 €, qui reprend les grandes lignes de celui proposé par son nouveau concurrent : appels en France (et vers 40 destinations) et SMS illimités, ainsi que l'accès Internet jusqu'à 3 Go. L'offre est disponible immédiatement, dans les 200 boutiques Numericable.

La différence avec Free Mobile concerne l'absence, pour l'instant, des MMS dans ce forfait. De plus, le tarif est le même pour tous, sans réduction pour les clients de Numericable. Il s'agit du deuxième opérateur, après Bouygues via sa marque B&You, à proposer une offre similaire à celle de Free.

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(23/01/2012 12:56:25)

Journée de mobilisation pour la sécurité des enfants sur Internet

La 7e édition de la Journée mondiale pour un internet plus sûr (Safer Internet Day - SID) aura lieu le 7 février prochain. Les Français seront sensibilisés à un bon usage de l'internet, au travers d'ateliers et d'animations. Pour cette année, les organisateurs de cet événement annuel ont élaboré un guide pratique pour les parents, ainsi qu'une application iPhone, pour les aider à mieux gérer la connexion à internet de leurs enfants.

Un jeu interactif, Vinz, a été développé pour les 7-12 ans, afin de les sensibiliser aux différents dangers de l'internet, qui peuvent être aussi bien les rencontres en ligne que l'addiction. Le programme de la Journée mondiale pour un internet plus sûr est accessible sur le site dédié Internetsanscrainte.fr.

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(23/01/2012 12:45:53)

Attention aux faux sites Megaupload et aux dangers de phishing

Les personnes derrière Megaupload travaillent peut-être dur pour rendre leurs serveurs à nouveau accessibles. Mais ce ne sont pas les seuls : depuis vendredi, soit un jour à peine après la mise hors ligne de Megaupload par le FBI, des sites prétendant être la réincarnation du site de téléchargement illégal ont fait leur apparition sur le Net. « Pour l'instant, la plupart de ces imposteurs ressemblent à des sites de phishing, » a déclaré Don Bowman, CTO de Sandvine, un vendeur d'équipement pour le trafic Internet. Un seul site qui s'est identifié par une adresse IP, plutôt que par un nom, prétend être l'adresse du nouveau Megaupload. « Nous travaillons pour être à nouveau pleinement opérationnels », affirme la page du site.

Il est peu probable, cependant, qu'un site aussi populaire que Megaupload ait recours à une adresse IP unique. Parce que cela voudrait dire que chaque visiteur accédant au site arriverait sur le même serveur. « Avant sa fermeture, Megaupload drainait près de 1% du trafic en Amérique du Nord, soit autant que Facebook, » a déclaré le CTO de Sanvine. « Les fautes d'orthographe, comme celle visible sur un site qui met en garde les utilisateurs contre les « pishers », laissent aussi deviner que cette page est probablement fausse, » a ajouté Don Bowman. « Une technique pour tester si un site est vrai ou non consiste à entrer un faux mot de passe lorsque vous vous connectez, » a-t-il expliqué. « Si le site accepte le faux mot de passe, cela signifie que les hameçonneurs qui ont mis le site en place espèrent récupérer les identifiants réels des utilisateurs et leurs mots de passe, » a-t-il ajouté.

Un retour n'est pas exclu

Vendredi dernier, un des avocats de Megaupload a déclaré à Reuters que ses clients espéraient remettre le site en ligne. Les serveurs de la société sont probablement répartis à plusieurs endroits à travers le monde. En fonction des modalités adoptées pour la sauvegarde de données, si une ou deux juridictions dont dépendent les serveurs où sont stockées les données n'ont pas effectué de raid contre l'organisation, le site pourrait revenir bientôt en ligne, » a déclaré le CTO. Mais la relance du site dépend aussi des personnes disponibles et si elles sont prêtes à prendre un tel risque, » fait remarquer Don Bowman. « Tout dépend si ces collaborateurs sont accros aux recettes générées par le site ou s'ils préfèrent rester à distance, » a-t-il ajouté. Jeudi, les autorités fédérales ont fait savoir qu'elles avaient arrêté quatre personnes affiliées avec le site accusées de distribuer illégalement des contenus protégés par le droit d'auteur, et qu'elles avaient des mandats d'arrêt contre trois autres personnes. L'une d'elles pourrait essayer de vendre le site et son contenu à « un autre personnage malintentionné, lequel pourrait racheter les actifs et le faire fonctionner, » a déclaré Don Bowman. « C'est ce qui s'est passé avec The Pirate Bay ».

Certaines des personnes impatientes de voir le site de retour en ligne ne cherchent pas forcément à accéder illégalement à des contenus protégés. C'est le cas de Kyle Goodwin. Celui-ci anime le site OhioSportsNet qui diffuse les vidéos des évènements sportifs des écoles de Cleveland, Ohio. Les vidéastes qui filment les rencontres sportives pour le compte du site, les téléchargent ensuite sur MegaUpload qui leur sert de plateforme pour transférer leurs vidéos à l'animateur. Celui-ci les récupère pour les monter et les mettre en ligne sur son site internet. Celui-ci sauvegardait une version de ses films sur MegaUpload, et en conservait une autre sur un disque dur externe. Mais la semaine dernière, son disque a rendu l'âme. « Ce qui me rend vraiment dingue, c'est que je n'ai reçu aucun avertissement, aucune alerte, sinon je me serais dépêché de récupérer tout ce que j'avais mis sur leurs serveurs, » a-t-il dit. « Maintenant, j'ai perdu toutes mes vidéos. » Les utilisateurs qui n'enfreignent pas les lois du copyright comme Kyle Goodwin ne sont pas les seuls à avoir perdu quelque chose. « L'hébergeur qui louait son espace et sa bande passante va probablement perdre quelques dizaines de millions de dollars, » a déclaré Don Bowman. Selon lui, plus le temps passe, plus les chances de revoir Megaupload en ligne diminuent. « Soit ils reviennent très vite, soit il faudra les oublier et aller voir ailleurs, » a-t-il dit.

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