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(23/01/2012 12:48:46)
Megaupload: Les Anonymous enrôlent des internautes sans leur consentement
Est-ce que le groupe des Anonymous n'a pas recruté sans leur consentement des internautes pour participer aux attaques contre certains sites ? Cette question a été posée par Graham Clueley, consultant senior pour le fournisseur d'antivirus Sophos. En effet, en représailles à la fermeture des sites de Megaupload et à l'arrestation de plusieurs de ses membres, les Anonymous ont appelé sur Twitter à attaquer plusieurs sites dont ceux du FBI, mais aussi les ayants droits du secteur de la musique et du cinéma aux Etats-Unis mais également en Europe (Universal, Hadopi, l'Elysée...). L'arme choisit est l'attaque par déni de service (DDOS) via le logiciel des Anonymous nommé LOIC (Low Orbit Ion Cannon). Dans son post sur Twitter, le groupe de pirates a revendiqué la mobilisation de 5 600 personnes. Or selon Graham Clueley, ce recrutement n'aurait pas été fait sur la base du volontariat.
Des liens à déclenchement automatique
Le lien contenu dans les tweets des membres d'Anonymous aurait lancé automatiquement une version web de LOIC. Le lien renvoit vers une page PasteHTML.com, un site d'hébergement de code HTML, qui contient des javascript capables d'activer LOIC sur les cibles désignés sans le consentement de l'Internaute. Graham Clueley montre sur le blog de Sophos plusieurs exemples de tweets montrant le lien visé.
Les Anonymous sont toujours en phase de recrutement pour mener à bien leurs attaques. Une recherche rapide sur Twitter en utilisant la requête du lien Pastehtml montre qu'il a été partagé vendredi dernier entre 10 et 18 fois par minutes sur le site de micro-blogging. Graham Clueley indique sur son blog que la participation à des attaques DDOS est un délit et lance un avertissement aux Internautes de ne pas cliquer sur ce lien. (...)
RIM: les 2 fondateurs démissionnent, Thorsten Heins nouveau PDG
Pressés par les actionnaires, la direction bicéphale de Research In Motion vient de tirer sa révérence. Mike Laziridis et Jim Balsillie quittent leur poste de co-PDG et le conseil d'administration a nommé Thorsten Heins, qui était l'ancien COO (Chief Operating Officer) [équivalent de directeur général] du groupe. Les deux co-PDG quittent aussi la présidence du conseil d'administration de RIM au profit de Barbara Stymiest, qui fut directrice de la bourse de Toronto. Les deux hommes restent néanmoins présents au conseil d'administration. Mike Laziridis en devient vice-président, il sera également en charge d'un « comité de l'innovation » pour offrir des conseils stratégiques et assurer une transition en douceur. Jim Balsillie reste lui simple membre du conseil.
Thorsten Heins, ancien de Siemens Communications Group, a rejoint RIM en décembre 2007, en tant que vice-président senior de l'ingénierie matérielle. Il est devenu COO en charge des ventes et produits en août 2011. Le nouveau PDG n'a pas indiqué de changement immédiat sur la stratégie du constructeur canadien. « Mike et Jim ont toujours refusé de sacrifier de la valeur sur le long terme pour obtenir des gains sur le court terme. Je partage cette philosophie et je suis très confiant sur l'avenir de l'entreprise », explique-t-il dans un communiqué de presse. Il a salué ses prédécesseurs « pour l'acquisition il y a 18 mois de QNX, qui va permettre de transformer la plateforme de RIM dans le prochaine décennie ».
Des défis multiples
Les défis pour Thorsten Heins sont nombreux. RIM a vu sa part de marché fondre dans le domaine des smartphones en passant de 15,4% au 3ème trimestre 2010 à 11% au 3ème trimestre 2011, selon le cabinet Gartner. En octobre 2011, le constructeur avait été victime d'une panne générale de son service de messagerie dans plusieurs pays, ternissant son image de fiabilité. Par ailleurs, RIM a dévoilé en octobre 2011 sa plateforme BBX qui, pour des raisons de violation de marque, a été transformée en BlackBerry 10. Le lancement de cette dernière a été retardée.
L'entreprise devra se prononcer sur la poursuite ou non de la commercialisation des tablettes. Une actualisation de l'OS des Playbook a été retardée et devrait arriver au mois de février. RIM n'a vendu que 150 000 exemplaires de cette tablette sur le trimestre clos le 26 novembre et a indiqué avoir provisionné 485 millions de dollars pour les méventes de ce produit.
Sur ce même trimestre, RIM a publié des revenus en baisse de 6% par rapport au 3e trimestre de l'année précédente, à 5,2 milliards de dollars. Le bénéfice net est en chute de 71%, à 265 millions de dollars. Mike Laziridis s'est déclaré confiant dans l'entreprise et a annoncé son intention de racheter 50 millions de titres.
Les manuels scolaires s'invitent sur l'iPad d'Apple
Apple a présenté différentes solutions pour éditer et créer des ouvrages à destination du monde scolaire. D'abord, la version 2.0 de l'application iBooks, le lecteur de livres électroniques d'Apple, sur iPad intègre des contenus plus riches, notamment selon les propos d'Apple, des objet 3D interactifs, des diagrammes, des photos et des vidéos.
En outre, une section «Manuels Scolaires» a d'ores-et-déjà été ouverte sur la version américaine du magasin iBooks. Pour remplir cette section, Apple a signé des partenariats avec des éditeurs spécialisés dans l'édition de manuels scolaires Pearson, Mc Graw Hill et Houghton Mifflin Harcourt.Enfin, Apple propose gratuitement une application iBooks Author qui va permettre de créer simplement des livres électroniques et plus particulièrement des manuels.
De la haute résolution pour le successeur de l'iPad 2
En fouillant dans les différentes fonctionnalités des solutions d'Apple, des personnes ont trouvé des références à l'écran Rétina (« @x2 »), appliquées à l'iPad. De la rumeur à la certitude, il n'y a qu'un pas que certains franchissent en estimant que la prochaine tablette d'Apple sera doté d'un écran haute résolution.
ICTjournal.ch
Le marché du M2M en forte croissance selon ABI Research
Dans une étude récente, ABI Research affirme que le nombre de connexions mobiles de machine à machine M2M a augmenté de 26,2% en 2011, passant d'un total de 87,7 millions de connexions dans le monde en 2010 à 110,6 millions à la fin 2011. Ce chiffre devrait atteindre même atteindre 364,5 millions en 2016, soit une augmentation de 27% par an.
Les experts d'ABI estiment que le marché du M2M (ou internet des objets) environ 35 milliards de dollars de revenus provenant des services de connectivité en 2016. Les plus gros revenus seront générés par les secteurs de l'automobile (15,5 milliards de dollars) et de l'énergie intelligente (7,5 milliards de dollars).
ABI Research estime que les opérateurs mobiles vont maintenant développer des services facilitant la naissance d'applications d'Internet des objets. D'ailleurs, Swisscom a récemment annoncé qu'elle avait créé une division M2M.
ICTjournal.ch
Jean Paul Alibert est nommé DG de la division IPG de HP
L'activité imagerie et impression de HP France sera pilotée par Jean-Paul Alibert à compte du 1er février prochain. Il succédera à Antoine Vivien qui à cette date prendra ses fonctions de secrétaire général et vice-Président de HP France après avoir passé huit années à la tête de la division IPG.
Avant d'obtenir cette promotion, Jean-Paul Alibert occupait le poste de directeur général de la division Technology Services au sein de HP Enterprise Business France depuis 2008. Auparavant, il fut notamment à la tête de la division Energie et Industrie de Atos.
Recap IT : Megaupload désintégré, Free Mobile soupçonné, Yahoo orphelin
La première semaine suivant les annonces de Free Mobile a été l'occasion de recenser les répliques des différents acteurs de la téléphonie mobile (MVNO et opérateurs traditionnels). Mais la contre-attaque s'est déroulée aussi sur le plan juridique avec plusieurs huissiers diligentés par des opérateurs pour constater le non-allumage du réseau de Free Mobile. Ce dernier a nié ces allégations, mais constate que le recrutement d'abonnés était en avance par rapport à ses prévisions. Certains analystes tablent sur 1 million très prochainement et essayent de savoir quels sont les opérateurs les plus impactés. Bouygues Telecom a annoncé que 25 000 de ses abonnés ont migré. Suite à la mise en place des contres offres tarifaires, Free Mobile affine ses réponses en ajustant certains de ses tarifs notamment à l'international.
Megaupload fermé et défendu
La bombe de la semaine a été lâchée jeudi aux Etats-Unis où le FBI a fermé le site Megaupload qui comprend plusieurs filiales de téléchargement et a procédé à l'arrestation de 4 personnes. Dans les 15 minutes qui ont suivi l'annonce, le groupe des Anonymous a riposté en attaquant plusieurs sites, dont le FBI et le Département de la Justice américain, mais aussi les sites des ayants droits et des majors du cinéma et de la musique. Cette opération suit également le mouvement de protestation de plusieurs sites Internet comme Wikimedia, Craiglist, Google contre les projets de loi SOPA et PIPA, qui veulent lutter contre le téléchargement illégal.
En matière de sécurité, il ne s'agit pas de la seule information. Oracle a présenté une liste de 78 correctifs dont 27 qui concernent MySQL. Nos confrères d'InfoWorld ont par ailleurs découvert une faille critique sur la solution Database de l'éditeur. Même les éditeurs de solutions de sécurité ne sont pas épargnés, McAfee a annoncé que son produit cloud antivirus avait été détourné pour envoyer des spams. Dans le classement des pertes de données, une filiale d'Amazon gagne ses lettres de noblesse en demandant à 24 millions de ses membres de changer leur identifiant et mot de passe.
Les acteurs IT plus riches en 2011
Petit coup de tonnerre dans la sphère des grands patrons de l'IT, avec l'annonce de la démission de Jerry Yang de son poste de Chief Yahoo. Le géant de l'Internet perd son co-fondateur et laisse le champ libre au CEO, Scott Thompson, pour choisir la meilleure stratégie pour l'avenir. De son côté, Salesforce.com a annoncé le recrutement de Vivek Kundra, ancien DSI du gouvernement américain. Il sera en charge des pays émergents. La fin de la semaine a été marquée aussi par une ribambelle de résultats financiers des acteurs de l'IT: IBM, Google, Microsoft, SAP. Si pour l'ensemble, 2011 a été une très bonne année, le 4ème trimestre 2011 a été plus timide.
Sur le plan technologique, Lotusphere 2012 d'IBM à Orlando a fait la part belle aux réseaux sociaux. Microsoft adapte System Center 2012 aux clouds privés. Amazon Web Services a lancé un service de base de données, DynamoDB, mais aussi une offre gratuite de VM sous Windows Server.
(...)
R&D : Les États-Unis perdent des emplois, l'Asie se muscle
« Même si les États-Unis restent leader mondial en terme de ressources consacrées à la recherche et au développement dans les domaines de la science et de la technologie, cet avantage est en perte de vitesse, » affirme le NSB, un organisme chargé de définir la politique scientifique de la National Science Foundation (NSF). En particulier, 10 pays d'Asie - la Chine, l'Inde, l'Indonésie, le Japon, la Malaisie, les Philippines, Singapour, la Corée du Sud, Taiwan et la Thaïlande - gagnent du terrain sur les États-Unis et menacent son rôle de leadership dans la science et la technologie.
Selon le dernier rapport du NSB intitulé « Science and Engineering Indicators 2012 » (Indicateurs 2012 de la Science et de la Technologie), la part des dépenses consacrées par les Américains à la R&D au niveau mondial a chuté de 38 à 31% entre 1999 et 2009. Durant cette même période, celle des pays asiatiques a progressé, passant de 24 à 35%. Cette montée rapide de l'Asie a été largement tirée par la Chine, où le niveau de croissance des ressources consacrées à la recherche et au développement a atteint 28% de la part mondiale en 2008-2009, soit à la deuxième place derrière les États-Unis. L'Europe quant à elle se maintient et progresse même un peu grâce aux efforts des Allemands et des Français mais la bataille de l'innovation se joue clairement entre l'Amérique du Nord et l'Asie (voir illustration ci-dessous).
Cliquez sur l'illustration pour l'agrandir
« Ces éléments montrent clairement que nous devons revoir notre point de vue quant à la domination mondiale de la science et de la technologie américaine», a déclaré Subra Suresh, directeur de la NSF, dans un communiqué. « Nous devons sérieusement considérer de nouvelles stratégies dans les domaines de l'éducation, de la formation et de l'innovation si nous voulons que les États-Unis conservent leur position de leader international. »
Le pays a lancé un certain nombre d'initiatives pour rester compétitif dans la science et l'ingénierie mondiale. Pa exemple, en septembre 2009, l'Office of Science and Technology Policy publiait un Livre blanc intitulé « Strategy for American Innovation: Driving towards Sustainable Growth and Quality Jobs » (Stratégie de l'innovation aux États-Unis : vers une croissance durable et une qualité de l'emploi) traçant les grandes lignes des principales politiques en faveur de la science, de la technologie et de l'innovation. Plus récemment, le programme national « 2011 Advanced Manufacturing Partnership » (Partenariat pour une industrie manufacturière évoluée) destiné à promouvoir les partenariats industriels et évoqué par le président Obama en juin 2011, vise à améliorer la compétitivité et l'innovation industrielle des États-Unis. « Mais d'autres pays sont tout aussi motivés pour développer leurs infrastructures scientifiques et technologiques, développer leurs filières d'enseignement supérieur et stimuler leurs capacités de recherche locales, » indique le rapport du NSB.
Dans le rapport « Indicateurs 2012 de la Science et de la Technologie » du NSB on peut lire notamment :
* Les entreprises multinationales américaines font appel à davantage de compétences en R&D à l'étranger. Un indicateur est le pourcentage de multinationales américaines dont « la plus grande partie des dépenses en R&D est réalisée par leurs filiales à l'étranger : au cours de la dernière décennie, ce pourcentage a augmenté de 13 à 16%. En outre, le nombre de chercheurs étrangers employés par des multinationales américaines a presque doublé, passant de 138 000 personnes en 2004 à 267 000 en 2009. Durant cette même période, le nombre de personnes employées par les multinationales pour leur R&D aux États-Unis a augmenté plus modestement, passant de 716 000 à 739 000.
* Les dépenses globales en R&D ont grimpé de 522 milliards de dollars en 1996 (montant estimé) à environ 1.300 milliards de dollars en 2009. Même si, en pourcentage, le niveau des dépenses consacré par les États-Unis à la R&D au niveau mondial a baissé, ce budget reste de loin le plus important, puisque les Américains ont consacré 400 milliards de dollars à la recherche et au développement en 2009.
* Les États-Unis représentent seulement 4% des diplômes d'ingénieur décernés dans le monde, contre 34% pour la Chine, 5% pour le Japon, et 17% pour l'Inde, l'Indonésie, la Malaisie, les Philippines, Singapour, la Corée du Sud, Taïwan, la Thaïlande pris collectivement. « La faible proportion des diplômes d'ingénieur délivrés au États-Unis ces dernières années est frappante. Plus de la moitié des diplômes d'ingénieur délivrés au niveau mondial, le sont en Asie, » indique le rapport du NSB. Dans les universités chinoises, le nombre de doctorants en sciences naturelles et en ingénierie a plus que triplé depuis 2000, atteignant le nombre d'environ 26 000 doctorants en 2008, soit au-delà du nombre de diplômes de même niveau, délivrés aux États-Unis en sciences naturelles et en ingénierie.
* D'après le nombre d'articles de recherche scientifique et technique publiés dans une série de revues internationales, le NSB conclut que les chercheurs de l'UE et des États-Unis sont en train de perdre leur suprématie dans la production d'articles scientifiques dans le monde. La part des articles publiés par la communauté scientifique occidentale est passée de 69% en 1995 à 58% en 2009, alors que la part asiatique a augmenté, passant de 14% à 24%.
* La recherche collaborative devient la norme. Comptabilisant le nombre d'articles de recherche publiés avec des co-auteurs, le NSB a constaté que les collaborations dépassant les frontières nationales sont en augmentation. En 2009, 23% des articles scientifiques et d'ingénierie publiés dans le monde étaient écrits par plusieurs auteurs, contre seulement 8% en 1988. La tendance est encore plus prononcée dans les pays où la science et la technologie sont des enjeux majeurs : en 2009, 27% à 42% des articles étaient écrits par des co-auteurs de nationalité différente.
* Après le pic de 2000, le nombre d'emplois manufacturiers dans le secteur des hautes technologies aux États-Unis a diminué de 28%, le secteur perdant au total 687 000 emplois.
«Au cours de la dernière décennie, le monde a radicalement changé, » a déclaré José-Marie Griffiths, présidente du comité du NSB, qui a supervisé la réalisation de la version 2012 du rapport sur les indicateurs. « Les acteurs du monde actuel sont très différents. La promotion de la science et de la technologie est devenue la priorité absolue. Et un bon nombre des tendances que nous avons observé sont désormais très bien établies. »
Pour sa part, la National Science Foundation a lancé un certain nombre d'initiatives destinées à mieux positionner les États-Unis au niveau mondial grâce à une meilleure éducation et des collaborations internationales. La NSF a mis en place une nouvelle initiative dénommée « Science Across Virtual Institutes » (SAVI) qui a pour objectif de renforcer la « recherche translationelle » et les collaborations interdisciplinaires et internationales entre scientifiques, ingénieurs et enseignants. Elle a aussi annoncé la création d'une nouvelle initiative public-privé, dénommée « Innovation Corps » dont l'objectif est de faciliter l'éclosion de nouveaux produits ou services basés sur des technologies issues de la recherche publique (donc des laboratoires universitaires et fédéraux), ceci afin de « redynamiser l'écosystème d'innovation, en construisant des liens générateurs d'opportunités pour les chercheurs et les ingénieurs, » comme l'a précisé le directeur de la NSF.
«Le soutien, par la National Science Foundation, de la recherche fondamentale, laquel suscite la curiosité intellectuelle dans chaque branche de la science et de l'ingénierie, et déclenche la passion nécessaire pour comprendre les rouages de la nature, est plus précieuse que jamais, » a déclaré Subra Suresh.
(...)(20/01/2012 15:34:53)Après la fermeture de Megaupload, la twittosphère s'enflamme
Anonymous a fait savoir que son attaque viserait des site Internet du Département de la Justice américain, du FBI, de Universal Music, de la Recording Industry Association of America (RIAA) et de la Motion Picture Association of America (MPAA), deux associations interprofessionnelles qui défendent les intérêts des industries du disque et du film.
"Ce qui est arrivé à #megaupload peut tout aussi bien arriver à n'importe quel autre grand site que vous aimez. C'est la fin de l'Internet libre", déclarent les twitternautes, violemment opposés aux propositions de lois anti-piratage américaines SOPA et PIPA.
"Megaupload est mort, quel sera le PROCHAIN? Mediafire? Rapidshare? Twitter? Facebook? Wikipédia? #SOPA #Megaupload", s'interrogent les microblogueurs.
Free Mobile réajuste certains de ses tarifs
Nos confrères de Capital ont recensé quelques petits ajustements tarifaires dans la grille des prix de Free Mobile. Cela concerne principalement l'international. Ainsi, le coût du roaming data en Angleterre et à Saint Pierre et Miquelon passe de 0,32 € le Ko (32 euros le Mo) à 0,05 € (5 euros le Mo). Pour le Qatar, ce tarif passe de 0,32€ le Ko (32 euros) à 0,13 € le Ko (13 euros le Mo).
Sur le plan des appels voix, les communications vers la Slovaquie sont maintenant incluses dans le forfait à 20 euros. Enfin, les appels vers des téléphones satellitaires voient leurs tarifs harmonisés à 17 euros la minute, sauf en Tunisie ou en Suisse (33 euros).
Il ne s'agit pas d'un grand bouleversement, mais cela montre que la grille tarifaire de Free Mobile sera amenée à évoluer au fil du temps.
(...)
SAP a amélioré sa marge opérationnelle IFRS en 2011
SAP annoncera la semaine prochaine, le 25 janvier, ses résultats détaillés pour l'exercice fiscal 2011 clos fin décembre. Ses résultats préliminaires font apparaître de bonnes performances. L'éditeur de solutions de gestion a enregistré un chiffre d'affaires (IFRS) de 4,5 milliards d'euros, en hausse de 10,8% sur son quatrième trimestre. Sur la période, il a plus que triplé son bénéfice opérationnel, à 1,67 Md€, ce qui lui permet d'obtenir une marge opérationnelle IFRS de 37% contre 13,4% au quatrième trimestre 2010. Les ventes de licences trimestrielles ont progressé de 16% à 1,74 Md€ et les revenus de la maintenance de 14%, à 3,72 Md€.
Pour l'ensemble de l'exercice fiscal 2011, SAP totalise un chiffre d'affaires (IFRS) de 14,23 Md€ en hausse de 14% et des ventes de licences en progression de 22% à 3,97 Md€. La marge opérationnelle atteint 34%, gagnant 13,5 points sur les 20,8% de l'exercice 2010. SAP a dépassé ses attentes sur les ventes de ses solutions mobiles et sur son appliance d'analyse en mémoire SAP HANA. Ces deux gammes de produits lui ont respectivement rapporté 100 M€ et 160 M€ sur l'année.
SAP prolonge son offre à SuccessFactors
L'éditeur allemand a par ailleurs indiqué avoir prolongé la date d'expiration de son offre de rachat de la société américaine SuccessFactors qui développe des solutions de gestion des ressources humaines en mode SaaS (software as a service). Les deux sociétés n'ont en effet pas encore reçu l'accord du CFIUS (Committee on Foreign Investment in the United States), le comité transverse à plusieurs ministères et agences gouvernementales qui est chargé d'examiner les investissements étrangers aux Etats-Unis.
SAP prolonge donc jusqu'au 25 janvier 2012 l'offre de rachat à 40 dollars pour toutes les actions ordinaires en circulation de SuccessFactors, offre qu'il a faite en date du 16 décembre dernier, en lien avec le plan de fusion révélé le 3 décembre.
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