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PC et portables
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(22/12/2006 17:18:46)
Les ventes de PC aux Etats-Unis ne progressent plus
Si le marché mondial des PC a affiché une croissance de 9,1% au troisième trimestre 2006 par rapport à la même période de l'année précédente, les performances réalisées aux Etats-Unis contrastent nettement avec les autres régions du monde où les ventes ont bondi de 13,5% sur le même intervalle. C'est la principale conclusion à tirer des chiffres publiés par le cabinet IDC ce 20 décembre. Les ventes de PC aux entreprises et consommateurs américains n'ont en effet pas progressé en un an. Les vendeurs ont donc dû compter sur les marchés dits mâtures et, surtout, les économies émergentes, pour voir leurs machines trouver davantage d'acquéreur qu'au troisième trimestre 2005. La contre performance du marché américain n'est qu'une demi-surprise. Les Etats-Unis donnent en effet des signes d'essoufflement depuis quelques années : la croissance annuelle des ventes atteignait 10% entre 2003 et 2005 et était retombée à seulement 5% au cours de la première moitié de 2006. Toutefois, personne ne s'attendait à ce qu'elle devienne nulle aussi rapidement, estime IDC. Si le lancement de Vista et les cycles de renouvellement de parc des entreprises devraient redonner des couleurs en 2007à un marché américain atone, les prévisions sur le long terme se cantonnent à une croissance qui ne dépassera pas 8% entre 2008 et 2010. En dépit des signes d'essoufflement des ventes aux Etats-Unis, de nombreux constructeurs n'ont pas senti le vent tourner. Dell et Intel ont ainsi adopté une stratégie peu appropriée aux circonstances en baissant leurs prix - et en affectant par conséquent leurs revenus - pour tenter de conserver leurs parts de marché. Les constructeurs de PC devraient avoir écoulé 66,1 millions de machines à la fin 2006 aux Etats-Unis. Dans le reste du monde, IDC table sur 163,3 millions de ventes. La plus grosse part de la croissance continue d'être issue des marchés émergents et des ventes de PC portables : l'Europe et le Japon affichent en effet des croissances qui marquent le pas depuis plusieurs trimestres, à la fois sur le segment des machines à destination des professionnels que des particuliers. IDC estime que les ventes aux Etats-Unis atteindront 70,7 millions d'unités en 2007, soit une croissance de 6,9%, avant de progresser de 7,7% en 2008. A titre de comparaison, les ventes mondiales devraient bondir de 11,3% l'an prochain et de 10,9% en 2008. (...)
(21/12/2006 17:19:33)Citrix rachète la technologie de diffusion temps réel d'Ardence
Le spécialiste du contrôle d'accès Citrix poursuit sereinement sa stratégie de croissance externe en se payant Ardence (100 employés, plus de 3000 clients), éditeur d'une technologie qui permet de diffuser en flux tendu (streaming) un OS et ses applications vers des clients légers, depuis un serveur central (concept du déport d'écran). Le montant de la transaction n'a pas été mentionné, mais l'opération devrait se finaliser au premier trimestre 2007. La technologie d'Ardence donnera la possibilité à Citrix de provisionner en temps réel un ensemble d'applicatifs, Windows ou Linux, vers des stations de travail sans disques durs. D'où, selon lui, une économie de coût d'administration et un environnement plus sécurisé. Couplé au produit-phare de la marque, Presentation Server, plate-forme de gestion d'applications centralisées, "les outils Ardence permettront aux administrateurs d'ajouter plus rapidement des serveurs à un ensemble de Presentation Server et favoriser la configuration dynamique des serveurs dans des centres de données". Pour construire son offre, Citrix s'est appuyé sur les rachats de notamment NetScaler en juin 2005 (optimisation des performances réseau) pour 300 M$, d'Orbital (optimisation WAN) pour 50 M$ et de Reflectent (supervision des performances) en mai 2006 pour 16,7 M$. (...)
(20/12/2006 17:43:13)Microsoft publie un premier brouillon des API de PatchGuard
Microsoft vient de publier le premier brouillon des interfaces de programmation (API) pour PatchGuard, la solution protégeant le noyau de Vista dans sa version 64 bits. Les éditeurs de logiciels de sécurité sont appelés à tester et commenter ce premier brouillon à d'ici la fin du mois de janvier. Cette annonce ne devrait cependant satisfaire qu'à moitié des éditeurs critiques à l'égard des choix de Microsoft pour la sécurité de Vista : en effet, la version définitive des API de PatchGuard n'est attendue que pour que le Service Pack 1 de Windows Vista qui ne devrait pas voir le jour avant... fin 2007 ou début 2008. Avec le premier brouillon des API de PatchGuard, Microsoft a commencé à diffuser un document baptisé Criteria Evaluation qui détaille les processus utilisés par le géant de Redmond pour évaluer les demandes d'API des éditeurs tiers pour le noyau de Vista. Microsoft souhaite aussi recevoir les commentaires des éditeurs sur ce document. L'ensemble de cette démarche se veut une réponse aux mécontentements des éditeurs de logiciels de sécurité et de Bruxelles, à l'égard des dispositifs de protection du noyau de Vista. (...)
(15/12/2006 17:17:11)L'UFC-Que Choisir repart en guerre contre les ventes liées PC/logiciel
L'UFC-Que Choisir vient d'assigner Hewlett-Packard, Auchan Bagnolet et Darty Les Halles devant les tribunaux de grande instance de Nanterre, Bobigny et Paris, respectivement, pour vente liée illicite. Dans un communiqué, l'association relève qu'il est "impossible pour le consommateur d'acheter un ordinateur nu et de choisir ensuite librement les logiciels qu'il souhaite installer sur son matériel". Elle demande en outre aux constructeurs et distributeurs de "permettre aux consommateurs qui le souhaitent de pouvoir acheter un ordinateur nu sans aucun logiciel d'exploitation et/ou d'application préinstallé [et de] faire le choix des logiciels qu'ils souhaitent installer en les achetant séparément ou en activant ou non les logiciels préinstallés via la remise ou non par le vendeur de leur clé d'activation". "Jusqu'à la Cour de cassation s'il le faut" Avec ces procédures, l'UFC-Que Choisir entend obtenir l'établissement d'une jurisprudence favorable aux consommateurs et sans ambiguïté, comme l'explique Gaëlle Patetta, directrice juridique de l'association : "Pour l'instant, il n'y a pas de jurisprudence sur ce sujet. Il y a uniquement des décisions de tribunaux qui ont soit donné raison au consommateur, soit lui ont donné tort. Si nous perdons en première instance, nous irons en appel et jusqu'à la Cour de cassation s'il le faut". Au cas où les procédures n'iraient pas jusqu'à la Cour de cassation, l'association a choisi d'attaquer devant des tribunaux de grande instance car, pour l'heure, les jugements sur le sujet n'ont été rendus que par "des juges de proximité ou des tribunaux d'instance : la décision d'un TGI aura plus de poids". Et Gaëlle Patetta de relever qu'à son sens, il y a assurément ventée liée illicite avec d'un côté, un bien, l'ordinateur, et, de l'autre, une prestation de service, les licences logicielles : celles-ci sont en effet assimilées "à une prestation de service par un arrêt de la cour de cassation datant de 2005". Le déclenchement de ces trois procédures survient après une première table ronde organisée par la Direction générale de la consommation, de la concurrence et de la répression des fraudes (DGCCRF), avec les organisations de consommateurs et des représentants du Logiciel Libre fin novembre dernier, et une seconde avec les principaux constructeurs informatiques présents en France, le 13 décembre dernier. L'UFC-Que Choisir assure qu'il ne s'agit là que d'un hasard du calendrier. Aucune information n'a filtré quant à la teneur des échanges entre la DGCCRF et les constructeurs informatiques. (...)
(08/12/2006 17:32:59)Open XML est officiellement une norme Ecma
20 voix contre 1. A l'unanimité, moins la voix d'IBM, l'assemblée générale de l'Ecma, organisme international de normalisation, réunie à Zurich jeudi 7 décembre après-midi, a élevé Open XML, format bureautique de Microsoft, au rang de standard international (Ecma 376). Ce très attendu résultat doit ouvrir les portes de l'ISO au désormais standard et positionner Open XML aux côtés de son plus grand rival OpenDocument (ODF), format ouvert de l'Oasis et standard ISO depuis mai. Cette normalisation joue en effet un rôle capital dans l'avenir du format auprès des entreprises, qui, voient un moyen pérenne et favorisant l'interopérabilité dans la gestion de leurs fichiers archivés. Les administrations, tant européennes qu'américaines (comme par exemple l'Etat du Massachusetts), ont été les précurseurs du mouvement, en mettant tout leur poids du côté d'ODF, de par son ouverture et sa standardisation. La normalisation d'Open XML pourrait ainsi relancer le débat. Une année de travaux aura été nécessaire pour le développement des spécifications. "Sans tension", précise Kader Yildirim, membre du comité technique représentant Essilor. "Un an de travail rythmé au son de deux heures de conf call par semaine et une réunion tous les deux ou trois mois". Le comité technique (TC45), en charge du chantier, avait publié les versions finales d'Open XML le 11 octobre dernier. "Un document d'une précision incroyable", commente un autre membre du comité. "Nous avons rédigé une documentation de 6 000 pages. Pour aider les développeurs à les digérer, nous avons rédigé un document récapitulatif d'une quinzaine de pages", renchérit Kader Yildirim. Le comité technique réunissait Apple, Barclays Capital, BP, The British Library, Essilor, Intel, NextPage, Novell, Statoil, Toshiba et enfin la bibliothèque du Congrès américain. IBM, seul contre tous "ODF est le futur. Open XML est du passé. Nous avons voté pour le futur". IBM, unique vote contre, estime, par la voix de Bob Sutor, vice-président Open Source et standard chez Big Blue, qu'ODF, format qu'il supporte fermement dans ses applications, "est bien supérieur, et qu'il représente ce dont l'industrie a besoin pour favoriser la compétitivité et abaisser les coûts". Et d'ajouter sans fioriture:"ODF est l'exemple d'un vrai format ouvert contre une spécification d'un éditeur qui documente des produits propriétaires en XML". Depuis une semaine, la bataille autour des deux formats bureautiques était montée d'un cran. Hasard du calendrier, mardi, l'ISO a enfin déclaré officiellement ODF en tant que standard, lui appliquant désormais l'étiquette ISO / IEC 26300:2006. Vendredi dernier, Corel, fidèle supporter d'ODF, annonçait que WordPerfect, son application bureautique, serait finalement douée du double-support, ODF et Open XML. Même son de cloche chez Novell, qui dans une ultime clause de l'accord qui le lie avec l'éditeur de Redmond, annonce développer un traducteur Open XML dans sa version d'OpenOffice. En route vers l'ISO La normalisation Ecma ne représente toutefois qu'une étape, certes importante, dans le processus d'adoption vers les entreprises. Car aux yeux des décideurs, la norme ISO compte davantage. "Les institutions publiques préfèrent les standards certifiés ISO", fait remarquer Jean Paoli, responsable des architectures XML chez Microsoft, et président du comité TC45, à nos confrères d'IDG News Service. Et Bernard Ourghanlian, directeur technique de Microsoft France, d'ajouter : "il est également important que la norme soit agréée par tous". Ce que la norme ISO, dont le vote d'approbation final est réalisé par les instances nationales -tel que l'Afnor pour la France- doit amener. Reste ainsi à passer cette prochaine étape, pas nécessairement acquise par avance. L'Ecma entend accélérer le processus de soumission auprès des instances nationales, en charge de statuer à l'ISO. Si sous 30 jours aucune objection n'est formulée, Open XML sera envoyé au Subcommittee 34 qui disposera de cinq à six mois pour examiner les commentaires des instances, avant d'être expédié au Joint Technical Committee 1, pour le vote final. (...)
(08/12/2006 14:56:36)Intel, à la peine, toujours en tête du marché mondial des semi-conducteurs
Trois trimestres de résultats en baisse ne suffiront pas à avoir raison de la suprématie d'Intel sur le marché des semi-conducteurs. Selon Gartner, le fondeur devrait en effet conserver la tête de ce marché en 2006, avec un chiffre d'affaires de 31,3 Md$, en recul de 9,5 % par rapport à 2005, mais sans les honneurs. En effet, alors qu'Intel mettait ses mauvais résultats du premier trimestre 2006 sur une prétendue lenteur du marché, les chiffres du Gartner indiquent tout le contraire, avec une croissance à deux chiffres pour tous ses concurrents : ainsi, à la seconde place, Samsung a enregistré une progression de 12,4 % de son chiffre d'affaires à 20,6 Md$, et Texas Instruments, en troisième position, a profité d'une croissance de 17,4 % à 11 Md$. Plus dur encore, iSuppli estime à 11,6 % le recul des ventes d'Intel en 2006 sur le marché des semi-conducteurs, dans un marché valorisé à 258,5 Md$ contre 237,3 Md$ en 2005. Et d'expliquer ce recul par une baisse des ventes de microprocesseurs et des mémoires flash NOR du fondeur. Le cabinet relève en outre l'entrée d'AMD, le concurrent d'Intel, dans le Top 10 des fondeurs, à la septième place, sous l'effet du rachat d'ATI. Globalement, le marché mondial des semi-conducteurs aurait enregistré une croissance de 11,3 % en 2006 à 261,4 Md$ selon Gartner. La contre-performance d'Intel ferait reculer sa part de marché de 14,7 % en 2005 à 12 %. (...)
(07/12/2006 17:45:48)La moitié des PC incapable de passer à Vista
Il y a les responsables IT qui souhaitent passer leur parc à Vista, ceux qui ne veulent pas en entendre parler, et d'autres qui ne le pourront tout simplement pas. Selon une étude Softchoice réalisée sur plus de 100 000 PC, la moitié des postes de travail équipant les bureaux d'Amérique du Nord ne possèdent pas les pré-requis pour l'installation du dernier OS estampillé Microsoft. Plus frappant encore : la quasi totalité des PC - 94% - sont trop obsolètes pour faire tourner la version Premium de Vista. Selon Softchoice, plus du dixième des PC installés en entreprise nécessiteront un changement de processeur pour utiliser Vista. Une manoeuvre pas toujours possible ou évidente, dans le cas des portables notamment. Plus de 40% des PC incapables de supporter le dernier né des OS de Microsoft devront par ailleurs être dopés en mémoire vive. Un rajout de RAM qui devrait coûter en moyenne un peu plus de 50E par machine. (...)
(07/12/2006 17:47:06)Adobe livre Reader 8
Adobe rend disponible gratuitement et en téléchargement la version 8 de son lecteur de fichiers PDF, Adobe Reader (ex-Acrobat Reader). Cette mouture inaugure la première sortie (en test) de Connect, module de conférence en ligne intégrée au lecteur, et nouvelle orientation de la technologie de Macromedia Breeze. Connect entend greffer un service de visio-conférence, de partage de fichiers, de travail collaboratif et de réunion virtuelle au lecteur PDF. Adobe prévoit d'activer pleinement le service d'ici la fin du mois. Couplé à la plateforme Acrobat Professional, Adobe Reader 8 permet la création de formulaires sur lesquels l'utilisateur peut apposer une signature numérique, indique Adobe dans un communiqué. Il exploite en outre la gestion des droits et des accès délivrée par les outils de worlkflow et de gestion de cycle de vie des documents de LiveCycle Policy Server. L'interface a été, selon l'éditeur, été fluidifiée. Reader 8 renferme enfin des possibilités de visualiser des animations en 3D (réalisées avec Acrobat 3D) en intégrant un module d'accélération de traitement graphique. (...)
(07/12/2006 11:52:35)Sametime supporte les services IM d'AOL et Google
IBM ouvre officiellement les services d'interopérabilité de son client de messagerie instantanée Sametime aux clients d'AOL (AIM) et Google (GoogleTalk). Et promet une compatibilité avec le réseau de Yahoo Messenger pour courant décembre. Cette mise en service, annoncée au mois de septembre par Big Blue, inaugure par la même occasion Lotus Sametime Gateway, une passerelle de connecteurs qui permet ce tour de force, en interconnectant les protocoles de Google et d'AOL (XMPP, Extensible Messaging and Presence Protocol, et SIP, Simple Session Initiated Protocol) avec ceux de Sametime. "La passerelle agit comme un intermédiaire entre Lotus Sametime et chaque contact public des IM, en réceptionnant les messages instantanés pour les convertir dans le bon protocole et les renvoyer quelque soit la plateforme", explique IBM dans un communiqué. Notons toutefois que, pour l'heure, seul l'échange de messages texte sera autorisé, mais IBM souhaite étendre les fonctionnalités aux tâches habituelles des messageries instantanées, comme le partage de fichiers, la VoIP et la visioconférence. Grand absent, le client IM de Microsoft, Live Messenger. Rappelons que l'éditeur de Redmond commercialise Live Communication Server, une suite collaborative concurrente directe de Sametime. (...)
(06/12/2006 18:09:16)Radicati: Microsoft dominerait le marché de la messagerie d'entreprise face à IBM
Si l'on en croit la dernière étude du Radicati Group, la plate-forme de messagerie Exchange de Microsoft équiperait aujourd'hui près d'un tiers du parc mondial de boîtes aux lettres actives dans les entreprises, soit environ 125 millions de BAL dans le monde. Le numéro deux du secteur, IBM, détiendrait environ 21% du marché, soit environ 79 millions de BAL, avec ses plates-formes Lotus Domino et Workplace. L'un des enseignements de l'étude par rapport à l'an passé est que Microsoft aurait gagné près de 22 millions d'utilisateurs sur un an tandis qu'IBM en aurait perdu près de 2 millions. Il est à noter que les chiffres annuels de Radicati sont souvent fermement contestés par IBM. Déjà l'an passé, Big Blue avait accusé Radicati de ne pas mesurer le marché correctement. Big Blue, qui compte ses utilisateurs en tenant compte du nombre de licences client actives, estimait l'an passé à 118 millions d'utilisateurs sa base installée active. A l'époque, Thomas Coustenoble, le chef de produit Lotus chez IBM, nous avait d'ailleurs affirmé que le nombre d'utilisateurs de Domino/Notes et de Workplace poursuivait sa progression du fait de la croissance du marché et de l'extension de l'usage de l'e-mail dans les entreprises. Sur ce point au moins Radicati et IBM s'accordent. L'institut d'études estime ainsi que la base installée de boîtes aux lettres en entreprise devrait passer à 513 millions en 2010 contre 377 millions en 2006. En 2010, le revenu des éditeurs devrait ainsi passer à 3,6 Md$, contre 2,5 Md$ en 2006. De quoi alimenter la rivalité qui oppose IBM et Microsoft depuis près de 15 ans. (...)
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