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PC et portables
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(25/08/2010 14:39:19)
Un rapport se penche sur le bilan carbone des e-readers
Ainsi, selon ses analyses, un e-book génère à lui seul près de 7,5 kg en équivalent carbone. Ce chiffre est une estimation, qui prend en compte la production, le transport et le recyclage ou l'élimination de l'appareil. Cleantech a également évalué que le Kindle d'Amazon générait 168 kg d'équivalent de CO² au cours de son existence, contre 130 kg pour l'iPad d'Apple. « Si nous nous fions à ces chiffres, alors, l'iPad paiera pour ses émissions carbone quand vous en êtes au tiers de votre 18ème e-book, et le Kindle à la moitié du 23ème. » écrit Brian Palmer, du Washington Post. En se basant sur les prévisions de Forrester Research qui a établi qu'un utilisateur achète en moyenne trois livres par mois, il ajoute : « à ce rythme, en 6 mois d'utilisation de votre iPad, vous aurez consommé tout votre crédit carbone »
Une relative économie en eau
Pour ce qui est de la consommation d'eau, le New York Times rapporte qu'il faut en moyenne 27 litres pour réaliser un livre imprimé, contre « moins de deux tasses » pour créer un e-book. Toutefois, le journal a établi que 300 litres d'eau étaient nécessaires pour produire un lecteur e-book. Ce qui fait dire à Brian Palmer que « pour s'acquitter de la dépense en eau générée par son e-Reader, il faut avoir lu une douzaine de livres. »
Malgré les arguments vantant la qualité environnementale de leurs produits mis en avant par des entreprises comme Apple et Amazon, la production de livres traditionnels et de livres électroniques, qui fait appel dans les deux cas à des produits chimiques toxiques, n'est pas exempte de risques potentiels. A la différence que, selon le journaliste du Washington Post, la production d'e-readers suppose l'extraction de minéraux non renouvelables comme le coltan ou colombo-tantalite, et leurs batteries dépendent du lithium pour fonctionner, alors que le processus d'impression traditionnel peut au minimum libérer des composés organiques volatils. »
Crédit Photo: D.R
(...)(25/08/2010 14:00:22)Citrix associe hyperviseur bare-metal et cryptage
Les éditions Entreprises et Platinium de XenDekstop 4 Pack 2, qui seront dévoilées la dernière semaine de septembre, devraient intégrer XenClient, l'hyperviseur bare-metal et XenVault, le logiciel de cryptage en charge de la protection des données de l'entreprise pour les salariés qui utilisent leur propre notebook.
Citrix a une longueur d'avance sur VMware pour la commercialisation d'un hyperviseur bare-metal. Ce dernier s'installe directement sur l'ordinateur au-dessous de l'OS. Cette solution de virtualisation (aussi connu comme un hyperviseur de type 1) offre normalement une plus grande sécurité, en isolant l'usage professionnel des applications, de la navigation Internet privée. XenClient , en plaçant le poste de travail dans une machine virtuelle sécurisée installé directement sur un ordinateur portable, donne aux utilisateurs les avantages de l'accès en mode déconnecté. Cela procure aux responsables IT une gestion centralisée des ordinateurs des utilisateurs.
XenVault, quant à lui, renforce la sécurité des ordinateurs portables fonctionnant sous VMS en enregistrant automatiquement toutes les données créées par les applications d'entreprise dans un dossier chiffré sur l'ordinateur portable de l'utilisateur, explique Sumit Dhawan, vice-président de Citrix.
En attendant la stratégie de VMware
Ces annonces interviennent quelques jours avant VMworld, la conférence mondiale de VMware. Ce dernier devait sortir un hyperviseur bare-metal en 2009, mais depuis plus rien, en reconnaissant qu'il s'agit là d'un problème informatique pas facile à résoudre. Simon Crosby, CTO de Citrix a pris un malin plaisir à critiquer ce retard, « il est clair que le souhait de VMware a lancé un hyperviseur de type 1 a échoué » et d'ajouter « il est plus dur d'apporter un élément sur le matériel que d'ajouter un hyperviseur de type 2 sur un OS existant ». On peut néanmoins s'attendre à ce que VMware fournisse prochainement des éclairages sur sa stratégie en matière de VDI.
XenClient sera disponible comme élément de l'offre XenDekstop, mais devrait très bientôt accessible seul en version « express ». Cette solution disposera des mêmes fonctionnalités et pourra être utilisée gratuitement sur 10 postes de travail. Le support en ligne s'adresse aussi à la version Express, cependant un support plus étendu sera réservé aux utilisateurs de XenDekstop. Le prix pour ce dernier en version 4 était au mois de novembre dernier compris entre 75 et 350 dollars.
Crédit Photo: Citrix
(...)(24/08/2010 14:54:48)Entretien Jerry Kennelly, PDG de Riverbed Technology
Riverbed est un acteur dominant de l'optimisation du WAN mais le danger est de devenir une entreprise qui n'a qu'une corde à son arc. Comment pouvez-vous élargir la portée de votre entreprise ?
Jerry Kennelly : Ce que nous faisons réellement est l'accélération de la couche applicative 7 et ceci a des conséquences beaucoup plus profondes que le simple fait de rendre une ligne télécoms plus rapide et moins coûteuse qu'elle ne l'était. C'est quelque chose qui change la nature de l'infrastructure IT globale pour toutes les grandes entreprises mondiales. Tout le monde aime avoir des liens plus véloces, pour économiser de la bande passante. Cependant, il est moins coûteux de faire de l'optimisation et de la compression à travers le réseau que d'acheter des liens plus rapides. Cette solution a été utilisée aussi pour la consolidation de centres informatiques, ce qui aboutit à déménager tous les serveurs et l'infrastructure IT hors des bureaux distants des entreprises et des multiples centres informatiques, vers uniquement un ou deux centres globaux. Cette tendance a beaucoup contribué à notre croissance au cours des trois dernières années. Nos produits ont rendu cela possible car on ne peut pas faire de consolidation de datacenter à moins de délivrer des performances satisfaisantes.
Parlons de Cisco. Comment faites-vous pour concurrencer une entreprise qui a une si large gamme de produits et un très bon soutien de ses clients ?
Jerry Kennelly : Cisco est très présent sur la couche 2 et 3 du réseau, mais aujourd'hui l'action est moins sur ces couches mais beaucoup plus sur celles de 4 à 7 (transport, session, présentation et application). Cisco est le roi des niveaux 2 et 3 et nous sommes les rois des couches 4 à 7.
Au bout du compte, tout dépend du produit. Si vous avez le bon produit, vous avez une chance de réussir. Le fait que Riverbed existe et dispose d'une plus grande part de marcgé que Cisco, prouve seulement à quel point nos produits sont appréciés. Car si ce n'était pas le cas, nous aurions mordu la poussière il y a longtemps. Cisco n'a pas d'expertise dans la couche applicative. Personne ne peut tout faire, être bon dans tous les domaines, pour toujours. Après avoir concurrencé Cisco durant 9 ans, je peux vous dire que ce ne sont pas des surhommes.
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