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(22/06/2009 16:58:28)

Lefebvre Software poursuivra sa croissance externe

C'est la complémentarité qui guide la stratégie de croissance externe de Lefebvre Software. Viviane Ribeiro, présidente de l'éditeur français, l'a réaffirmé à ses clients accueillis vendredi 19 juin au Palais Brongniart pour la conférence annuelle « Interactives ». Parmi eux, des utilisateurs des logiciels Iris Finance et Iris Personnel, mais aussi ceux du produit Comptarel issu du rachat de Scod en 2007, et des solutions d'AS Group, acquis en novembre. L'objectif, pour Viviane Ribeiro, c'est que Lefebvre Software continue à être identifié comme un expert de la gestion financière et des ressources humaines et, désormais, de la consolidation et du reporting financier. « Etre un leader, c'est d'abord être reconnu comme un spécialiste ». Avec l'absorption d'AS Group, la société a doublé sa base installée. Elle compte actuellement 2 500 clients et 280 collaborateurs. Fin 2008, le chiffre d'affaires cumulé des deux éditeurs a atteint 31,7 M€ et fait grimper Lefebvre Software dans le top 20 des éditeurs français (16e place du Truffle 100). La présidente ne compte pas en rester là. « Nous voulons atteindre une taille qui nous permette de répondre à nos enjeux et suivre nos clients à l'international ». 10% du chiffre d'affaires est actuellement réalisé hors du marché français (Iris Finance existe en huit langues et se conforme à douze législations différentes). A l'horizon 2010, Viviane Ribeiro vise un chiffre d'affaires global de 50 M€ dont 20% réalisés à l'international. D'ici là, l'éditeur devrait procéder à une ou plusieurs acquisitions. Il porte ses recherches parmi les acteurs de la gestion des ressources humaines. D'autres pistes vont être aussi explorées, par exemple du côté des démarches liées pour partie au green IT, comme la dématérialisation. « Ces rachats se feront toujours par complémentarité avec nos offres, sans remettre en cause les produits rachetés », insiste la dirigeante. Les clients de Scod et AS Group soucieux de la garantie de service En ouverture de la journée utilisateurs, vendredi dernier, les clients d'AS Group et de Scod, soucieux de voir se maintenir la qualité de service sur l'assistance téléphonique autour des logiciels qu'ils exploitent, se sont vus confirmer le maintien des différentes équipes de hotline existantes. « L'avantage de la croissance complémentaire, c'est qu'elle ne génère pas de doublons », a commenté à ce sujet la présidente de Lefebvre Software. Viviane Ribeiro a aussi conforté les utilisateurs des produits pour les plateformes i (ex AS/400 et iSeries) d'IBM sur la pérennité des offres qu'ils ont choisies : « Nous nous tirerions une balle dans le pied dans le cas contraire : 80% de nos clients viennent du monde AS/400 ou utilisent cette plateforme. » Mieux, OpenIris, la gestion des immobilisations développée en J2EE, devrait elle aussi fonctionner prochainement sur AS/400. La présidente a par ailleurs présenté les prochaines améliorations d'Iris Personnel, en constante évolution, en raison notamment de la nécessité de suivre la législation. (...)

(22/06/2009 16:49:43)

Un jury de Parisiens plaide pour abaisser le seuil d'exposition aux ondes électromagnétiques

Un panel de Parisiens mandaté par la municipalité pour apporter un point de vue indépendant sur les questions relatives aux ondes électromagnétiques plaide pour une application large du principe de précaution. Imaginée en mars, cette conférence participative a réuni treize habitants de la capitale qui, après avoir été formés, ont remis leurs conclusions dans un rapport « ondes, santé, société ». Outre des remarques de bon sens sur une utilisation citoyenne des téléphones portables (limiter l'usage dans les transports en commun pour développer le « savoir-vivre ensemble », par exemple), c'est sur le terrain de l'émission des ondes que les réflexions des membres du « jury citoyen » sont les plus intéressantes. Ils préconisent ainsi, comme plusieurs associations l'avaient fait à l'occasion du Grenelle des antennes, « d'optimiser le réseau (technologie et implantation) pour atteindre un seuil de 0,6 volt/mètre », contre 2 V/m comme l'autorise la charte « antennes-relais » signée en 2005 par la Ville de Paris et les opérateurs. Soulignons que l'abaissement de ce seuil est d'ores et déjà expérimenté par plusieurs villes de l'Hexagone (dont Courbevoie et Pau), comme les conclusions du Grenelle des antennes les y ont autorisées. Les treize Parisiens consultés reconnaissent, certes, qu'il « n'y a pas de certitude au niveau de la santé » et que « le risque zéro n'existe pas ». Mais leur recommandation, qui se calque sur le seuil adopté par d'autres villes, « permettrait de réconcilier opérateurs, citoyens et associations ». Interrogée sur cette proposition par nos confrères du Parisien, Anne Hidalgo, première adjointe de Bertrand Delanoë, indique que des tests seront mis en place prochainement pour juger de la pertinence de ce niveau d'exposition. Le WiFi dans les bibliothèques à nouveau montré du doigt Dans un souci de faire de Paris « une ville numérique responsable », les Parisiens suggèrent, plus généralement, de modérer l'émission d'ondes, qu'elles émanent des équipements de téléphonie mobile ou de ceux liés à l'Internet sans fil. Ainsi, ils recommandent de substituer au WiFi une liaison filaire dans tous les bâtiments publics (administrations, bibliothèques, écoles, hôpitaux) ou, lorsque cela est impossible (par exemple dans les jardins publics), d'éloigner les sources des espaces destinés à accueillir les enfants. L'idée de remiser le WiFi au placard séduira à n'en pas douter certains employés municipaux, qui s'étaient battus pendant plusieurs mois pour que soient débranchés les points d'accès dans les bibliothèques. En arguant de troubles sanitaires, ils avaient obtenu le débranchement des installations en 2007 avant que la Ville ne décide, en octobre 2008, de les remettre en service. Sur ce sujet, Anne Hidalgo fait montre de moins d'enthousiasme qu'en ce qui concerne l'abaissement du seuil d'exposition à 0,6 V/m. « C'est une recommandation de bon sens. Nous examinerons les situations au cas par cas. Les discussions avec les opérateurs reprendront à la rentrée pour mettre au point une nouvelle charte d'ici à la fin de l'année », élude-t-elle. Enfin, le jury citoyen plaide pour une non implantation d'antennes relais près des établissements scolaires et la proscription de l'utilisation de téléphones mobiles dans ces mêmes établissements par les enfants (jusqu'au collège). Des mesures proches de celles avancées par la ministre de la Santé lors de l'ouverture du Grenelle des antennes, au mois d'avril. (...)

(22/06/2009 14:56:32)

SQLI muscle son pôle formation avec le rachat d'Aston Education

Le pôle formation de SQLI s'agrandit avec le rachat d'Aston Education, un spécialiste des technologies Microsoft basé à Bagneux et à Boulogne-Billancourt. Ce rachat, d'un montant de 1,8 M€, permet à la SSII française d'enrichir son catalogue de formations de 200 cours supplémentaires, qui recouvrent diverses technologies comme le décisionnel, le Web 2.0, les ERP, l'Open Source, le SaaS, le Cloud Computing, Java et Microsoft. « Nous avons sélectionné Aston Education pour son expertise dans la gestion des formations et aussi parce qu'elle est la seule société à être agréée par Microsoft en France pour délivrer des formations concernant l'ensemble de l'offre de l'éditeur, des logiciels les plus basiques aux solutions les plus pointues (comme Sharepoint) », explique Nicolas Rebours, directeur administratif et financier de SQLI. Les deux dirigeants d'Aston Education, Marc Augier et Jean-François Castelluccia, prennent la tête de SQLI Institut, le pôle formation du groupe. Cette entité compte désormais 200 consultants (dédiés, comme le veut le modèle économique de SQLI, ou occasionnels, comme le pratique Aston Education en faisant appel à des prestataires externes) et devrait réaliser un chiffre d'affaires supérieur à 7 M€ en 2009. La SSII possède désormais douze centres de formation en France et en Suisse. Malgré un contexte économique difficile (résultat net en recul de 40% en 2008), la SSII maintient sa politique de croissance externe et réalise sa treizième acquisition depuis 2005. D'ici à la fin de l'année, SQLI n'exclut pas la possibilité de procéder à d'autres opérations pour se renforcer sur des marchés verticaux comme SAP (un pôle que la SSII a récemment agrandi avec l'intégration de Naga Conseils), la santé (plus particulièrement l'informatisation des processus de soins en hôpital) et le MCO (maintien en conditions opérationnelles), qui s'adresse essentiellement aux secteurs militaire, de l'énergie et du nucléaire. Pour l'ensemble de l'année, la SSII table sur un léger repli de son chiffre d'affaires. Au premier trimestre 2009, le CA (qui n'inclut pas Naga Services) s'établit à 38,9 M€, en baisse de 2,7% sur un an. (...)

(22/06/2009 14:44:43)

Oracle tue Virtual Iron un mois après l'avoir racheté

Oracle fait disparaître Virtual Iron un mois après l'avoir acheté. Dans un courrier adressé aux revendeurs des solutions de virtualisation de Virtual Iron, Oracle leur annonce qu'il arrête les développements, qu'il ne fournira plus aucun nouveau client et qu'il sera interdit de vendre des licences supplémentaires aux clients actuels d'ici la fin du mois de juin. Virtual Iron était le seul, avec Citrix et Oracle / Sun, à proposer d'une technologie de virtualisation qui repose sur Xen. L'offre de Virtual Iron sera remplacée par l'environnement maison Oracle VM. Une fusion technique qui devrait prendre une douzaine de mois. Pendant ce temps, les utilisateurs de Virtual Iron ne pourront plus acheter de licences. Oracle s'est séparé de tous les salariés de l'éditeur à l'exception de la quinzaine d'entre eux qui a la charge d'un support qu'il est légalement obligé d'assumer. La politique de la terre brulée Selon la presse américaine, Virtual Iron comptait 2000 à 3000 clients dans le monde, nombre d'entre eux ayant acheté 500 à 1000 licences. Parmi eux, figurent le FBI et plusieurs fournisseurs d'accès Internet (ISP) américains et britanniques. Fin mai, LeMondeInformatique.fr s'interrogeait sur les motivations qui avaient poussé Oracle à racheter Virtual Iron. Ce n'était certainement pas l'appât du gain, la société ayant perdu 15,3 M$ sur un CA de 3,4 M$ en 2008. Nous nous demandions alors si ces motivations étaient d'ordre technologique ou stratégique. Désormais, la réponse est claire, Oracle appliquait une stratégie, celle de la terre brûlée. Cette coupe sombre n'augure rien de bon pour Sun xVM, l'offre de virtualisation de Sun, en passe d'être racheté par Oracle. D'autant que ce dernier a déjà fait savoir qu'il estime sa propre technologie meilleure que celle de Sun. (...)

(22/06/2009 14:22:57)

Hadopi : vers un filtrage a priori des commentaires ?

La loi Création et Internet pourrait avoir comme conséquence inattendue d'obliger les sites d'information à filtrer les commentaires de leurs lecteurs. Conçu comme le prolongement des promesses faites lors des Etats généraux de la presse écrite, le chapitre VI de la loi dite Hadopi définit notamment les conditions permettant à une publication d'obtenir le statut d'entreprise de presse en ligne. Parmi les critères retenus figure « la maîtrise éditoriale [du] contenu ». Sans trop entrer dans les détails, la loi renvoie à un décret qui précisera « les conditions dans lesquelles un service de presse en ligne peut être reconnu, en vue notamment de bénéficier des avantages qui s'y rattachent ». Le projet de décret que nos confrères d'Electronlibre.info ont pu se procurer, daté du 16 juin, réitère l'obligation de maîtrise éditoriale attaché au rôle d'éditeur du service de presse en ligne. Mais il s'aventure sur un terrain qui risque de faire se lever de nombreux boucliers en incluant dans le champ de ce qui soit être éditorialement maîtrisé les « messages postés diffusés sur les espaces de contribution personnelle ». Selon le projet de décret, l'éditeur est censé « mettre en oeuvre les dispositifs appropriés pour éviter la mise en ligne de contenus illicites » dans ces commentaires. En d'autres termes, c'est une obligation de modération a priori qui planerait sur les éditeurs de sites de presse. Ce dessein est d'autant plus surprenant - choquant, objecteront certains - qu'il s'inscrit en contradiction avec la teneur originelle de la loi Création et Internet. Dans son article 27-II, elle précise ainsi que « le direction ou le codirecteur de publication ne peut pas voir sa responsabilité pénale engagée comme auteur principal s'il est établi qu'il n'avait pas effectivement connaissance du message avant sa mise en ligne ou si, dès le moment où il en a eu connaissance, il a agi promptement pour retirer ce message ». D'un côté, donc, une loi prévoyant une modération a posteriori ; de l'autre, un décret d'application tablant sur un filtrage a priori. Cette seconde voie, si elle est retenue, serait inévitablement vue comme participant d'une volonté plus large de contrôle du Web manifestée à plusieurs reprises par le gouvernement avec Hadopi, le projet Loppsi 2, les poursuites intentées par Nadine Morano contre les commentateurs d'une vidéo la représentant sur Dailymotion, etc. Selon notre confrère Emmanuel Parody, le ministère de la Culture pourrait avoir décidé de faire machine arrière. Sur son fil Twitter, l'éditorialiste indique ainsi qu'un nouveau projet de décret introduit la possibilité de modération a posteriori. Il se calquerait donc sur la teneur de la loi qu'il est censé aider à appliquer. Nulle trace de ce nouveau texte n'est cependant visible, pour l'heure. (...)

(22/06/2009 12:45:52)

Bon trimestre pour RIM qui, craignant la concurrence, intensifie sa R&D

RIM (Research in Motion), l'inventeur du Blackberry, a clos fin mai son premier trimestre fiscal 2009 sur un CA en hausse de 52% à 3,4 Md$ et un bénéfice net en progression de 33% à 643 M$. Au cours de ces trois mois, RIM a augmenté de 72% son budget de R&D, à 219 M$, d'où un résultat opérationnel en faible hausse de 7%, à 690 M$. La marge brute s'établit à 43%. Au cours de ce trimestre, la société n'a enregistré que 3,8 millions de nouveaux abonnés, soit moins que les 3,9 millions du trimestre précédent. Au total, RIM revendique 28,5 millions d'abonnés. Difficile d'attribuer ce fléchissement de croissance séquentiel, le premier depuis trois ans, à la conjoncture économique ou au durcissement de la concurrence sur le marché des smartphones. En relançant sa R&D, RIM montre en tout cas qu'il prend très au sérieux la menace de ses concurrents. Lorsque l'on est crédité par IDC de plus de 55% du marché américain des smarthones, on doit prendre au sérieux l'arrivée du iPhone 3G d'Apple et le Pre de Palm. RIM a livré 7,8 millions d'unités au cours de ce trimestre, autant qu'au cours du précédent trimestre. Avec plus de 80% du CA, cette activité domine largement le service (13% du CA) et le logiciel (4%). Au prochain trimestre, les boursiers attendent de RIM qu'il écoule entre 8,1 et 8,7 millions d'unités et recrute entre 3,8 et 4,1 millions de nouveaux abonnés. (...)

(22/06/2009 12:39:31)

Des rumeurs de vente de Novell font bondir l'action de 10%

L'hebdomadaire Barron's rapporte des rumeurs de cession totale ou partielle de Novell. Ce média du groupe Dow Jones, tout comme le Wall Street journal, s'est fait l'écho des impressions de John DiFucci, analyste à la banque d'investissement JP Morgan. Selon ce dernier, la direction de Novell trouve sa société sous-évaluée en bourse et pourrait céder tout ou partie des activités pour valoriser des actifs à leur juste valeur. Si l'objectif était d'accroître la valeur en bourse du groupe, il a été atteint. L'action de Novell a bondi de plus de 10% pour atteindre une capitalisation totale de 1,62 Md$. La direction de Novell s'est aussi fendue d'un document officiel auprès de la SEC (la commission américaine des opérations en bourse) pour démentir tout projet de vente. Fin avril, Novell a clos son premier semestre 2009 sur des résultats mitigés. Le CA du groupe a baissé de plus de 8%, la progression de la division Open Platform Solution (Linux, etc.) ne parvenant pas à compenser la baisse des autres activités. Quant à la rentabilité, elle ne s'est maintenue qu'en raison de coupes sombres dans les dépenses consacrées au marketing et à la vente. (...)

(22/06/2009 12:14:43)

Tibco propose une plateforme applicative « élastique » dans le cloud

Tibco, éditeur spécialisé dans le middleware, a décidé de se lancer... dans le middleware en ligne. Et pas forcément de la façon dont on s'y attendait, puisque à la différence de certains éditeurs du domaine des architectures orientées services (SOA) et des échanges interapplicatifs, Tibco ne fournit pas un simple service d'intermédiation en mode Saas, mais une véritable plateforme applicative en ligne, qu'on peut ranger dans la catégorie Apaas (Application platform as a service), pour suivre la classification de Gartner sur les offres de cloud. L'offre Tibco Silver ressemble un peu à celle de Microsoft, Azure, ou à celle de Google avec AppEngine, dans la mesure où il est proposé aux développeurs d'y déposer leurs applications, pour un tarif qui variera en fonction de l'usage : nombre d'utilisateurs et/ou de bande passante consommée et/ou d'instances de l'application déployées, etc. La grande différence, assure Tibco, c'est qu'avec Silver la montée en charge et le retour à une consommation moindre des ressources s'effectueront de façon automatisée. C'est dans cette automatisation des choses que Tibco met son savoir-faire, en rendant l'offre EC2 (Elastic compute cloud) d'Amazon vraiment élastique. L'éditeur a en effet adapté son offre de CEP (Complex event processing) pour surveiller l'utilisation des ressources et prendre des mesures prédéfinies. « Notre moteur de règles Business Events donne à la plateforme son élasticité, explique Thierry Schang, directeur de la R&D de Tibco. Il analyse non seulement la charge de la CPU, mais aussi l'évolution du temps de réponse des requêtes et les contrats de niveau de service pour chaque requête. » Des applications conformes à SCA déployées « en quelques minutes » Au fur et à mesure, d'autres outils seront adaptés à cet usage en ligne, notamment, indique Thierry Schang, en ce qui concerne la gouvernance et la sécurité. Un moteur d'orchestration de processus devrait également être de la partie. Le but est de pouvoir déployer des applications conformes au standard SCA (Service component architecture), de façon à pouvoir relier simplement consommateurs et producteurs de services. Tibco destine cette offre à des grandes entreprises souhaitant déployer rapidement des applications pour le grand public sans présumer de leur succès, ou bien des applications destinées à un usage interne mais dont l'usage subit des variations saisonnières - « typiquement des applications de paie ou de comptabilité utilisées juste quelques jours dans le mois ». En revanche, l'infrastructure d'Amazon sur laquelle s'appuie Tibco ne garantit pas sa disponibilité au delà de 99,95% (A noter qu'aux Etats-Unis, Amazon propose une fonction d'autoscaling qui permet de voir évoluer l'infrastructure en fonction de la montée en charge). Thierry Schang minimise ce problème face aux gains attendus : « Je ne pense pas que ce soit dangereux, on voit ce que ça peut apporter en souplesse, en rapidité de déploiement : on supprime les phases de spécifications, d'achat de serveurs... passant ainsi de plusieurs mois à quelques minutes ! » Disponible dès aujourd'hui en bêta - sur dossier - Tibco Silver accepte des applications en Java, .Net, Ruby, Python et C++. D'autres langages suivront. De même, Tibco évalue d'autres plateformes qu'EC2, ainsi qu'une possibilité de donner aux clients la maîtrise de la localisation géographique de leurs données. Aucun tarif n'est encore fixé. (...)

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