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(17/04/2009 17:49:04)

NetApp, premier fournisseur officiel du stockage d'UCS de Cisco

Le spécialiste du stockage NetApp est le premier acteur de ce secteur à proposer son offre dans le cadre de l'architecture UCS de Cisco . Présenté mi-mars, celle-ci se différencie par un accès unifié au réseau et au stockage qui repose sur FCoE (Fiber Channel over Ethernet). Or, NetApp a aujourd'hui un peu d'avance sur la concurrence dans ce domaine. Il semble être le seul à soutenir nativement cette interface. Emulex, QLogic et Brocade n'ont pas encore de produits disponibles. Mais les choses devraient évoluer très rapidement. L'annonce la semaine prochaine de vSphere par VMware sera sans doute l'occasion de présenter de nouvelles offres. En particulier chez EMC, la maison mère de l'éditeur. En attendant, Cisco a validé l'offre de NetApp et les deux sociétés ont annoncé se lancer dans une vaste campagne promotionnelle commune sous le vocable « unified storage architecture ». NetApp met en avant les qualités de son offre, dont NetApp SnapManager et la gestion de la surallocation des capacités de stockage. Deux éléments importants en environnement virtualisé. (...)

(17/04/2009 17:32:24)

Deuxième bêta pour la plateforme de gestion d'identités du cloud de Microsoft

Une nouvelle bêta de Geneva, la plateforme de gestion d'identités destinée au cloud Azure de Microsoft, devrait arriver en mai en attendant une version définitive pour la fin 2008. Cet outil devrait être un des éléments phares du prochain TechEd organisé à Los Angeles par l'éditeur du 11 au 15 mai prochain. John Chirapurath, directeur du groupe « identité et sécurité » de Microsoft a confirmé que plusieurs séries d'annonces autour de Geneva auraient lieu à cette occasion. Le produit comprendra des outils de développement, des passerelles et le support du protocole SAML 2.0 (Security assertion markup language), un standard de Single Sign On sur le Web. La technologie de Geneva fait partie intégrante de la nouvelle stratégie de sécurité annoncée jeudi par Microsoft, avec Active Directory et Forefront. Elle s'appuie sur un modèle à base de règles et de rôles ainsi que sur la technologie STS (Security token service). Il comprend le Geneva Server, anciennement ADFS 2.0 (Active Directory Federation Services), le client CardSpace (une version plus rapide et plus légère de la gestion de l'identité client disponible dans Vista) et le framework Zermatt. La plateforme intègre aussi Microsoft Service Connector, la Microsoft Federation Gateway et le .Net Access Control Service, tous conçus pour bâtir une colonne vertébrale de gestion d'identité et de connexion au cloud. L'objectif est de créer un moyen standard de partager des "claims" (des demandes et des autorisations d'authentification) et de se connecter aux services de cloud de Microsoft et à ceux d'autres fournisseurs. Les « claims" sont un ensemble de déclarations qui identifient un utilisateur et fournissent des informations spécifiques sur son profil telles que le titre ou le pouvoir de décision sur les achats, par exemple. (...)

(17/04/2009 17:28:20)

Vente liée : Acer condamné à rembourser un consommateur

L'Association francophone des utilisateurs de logiciels libres (Aful) indique que le fabricant Acer a été condamné par le tribunal de Chinon (Indre-et-Loire) à rembourser un client pour les logiciels imposés à l'achat de son ordinateur. Le fabricant taïwanais devra lui verser la somme de 50 euros au titre des licences. Ce type de condamnation tend à se multiplier en France alors que les associations demandent au gouvernement de mettre fin à la vente liée matériel-logiciel. Toutefois, l'Aful considère qu'il existe "une disproportion manifeste entre l'indemnisation arrachée à l'assembleur dans le cadre du procès, et le prix réellement payé par le client lors de l'achat". Le recours aux juridictions de proximité pour obtenir le remboursement des licences logicielles inutilisées sont de plus en plus fréquentes en France. En décembre dernier, Dell avait dû rembourser 180 euros à un particulier français qui ne voulait pas utiliser les logiciels Windows pré-installés sur son nouvel ordinateur. En février 2008, c'est Asus qui avait été condamné pour les mêmes raisons à rembourser un consommateur. Toujours sur fond de vente liée, le tribunal de grande instance de Paris avait condamné Darty, en juin 2008, à afficher le prix des logiciels installés sur les ordinateurs qu'il commercialise. Le TGI avait ainsi réaffirmé une exigence du Code de la Consommation, sans toutefois accéder à la requête de l'UFC-Que Choisir. L'association reprochait à l'enseigne de vendre ses machines systématiquement équipées de Windows. Acheter un PC de marque sans système d'exploitation ou suite de logiciels Microsoft est quasi impossible en France. En revanche, un consommateur a la possibilité d'attaquer un fabricant auprès duquel il a acheté une machine avec un système d'exploitation et de nombreux logiciels imposés. La procédure de remboursement, qui peut être longue si elle est entreprise de manière individuelle, est exposée à travers un "Guide du remboursement" disponible sur Internet, sur le site Racketiciel.com. (...)

(17/04/2009 17:15:59)

Trimestriels Google : léger recul par rapport à fin 2008

En dépit d'un environnement économique toujours aussi morose, Google a publié pour son premier trimestre fiscal des résultats plutôt satisfaisants. Le chiffre d'affaires atteint les 5,2 Md$, en hausse de 6% par rapport à la même période en 2008. C'est toutefois moins bien que les 5,70 Md$ de chiffre d'affaires réalisés au trimestre précédent (-3%). Une première chez Google, grand abonné d'une augmentation des revenus trimestre après trimestre. Cette anicroche sur la courbe de croissance de Google n'a pas fait sourciller Eric Schmidt, son PDG, qui s'est déclaré « satisfait de ces résultats. » La popularité de Google n'est absolument pas remise en cause, le moteur de recherche continue à écraser toute concurrence sur son passage. Selon ComScore, Google remporte près de 64% des parts de marché de la recherche en ligne, loin devant Yahoo (20,5%) et Microsoft (8,3%). Les sites de Google sont également les plus consultés, toutes catégories confondues. Ce léger repli peut s'expliquer par le comportement des internautes, autrement dit des acheteurs potentiels. « Ils utilisent toujours autant Google mais ils passent moins facilement à l'acte d'achat », explique Eric Schmidt. Le taux de conversion des publicités en ventes concrètes étant en baisse, les annonceurs ont tendance à réduire leur budget de marketing afin de rééquilibrer leur ROI. Google tente d'ailleurs de multiplier ses sources de revenus. Il a par exemple récemment lancé sur YouTube un outil de publicité comportementale avant d'insérer des liens commerciaux directement sous les vidéos qui y sont diffusées. [[page]] Eric Schmidt a profité de l'annonce des résultats pour faire l'éloge de Twitter , qui a récemment fait l'objet de rumeurs d'un possible rachat par Google, des rumeurs rapidement démenties par ses fondateurs. « Twitter prouve que l'innovation est bel est bien vivante dans la Silicon Valley, a déclaré Eric Schmidt. La question est de savoir comment faire de l'argent [avec cet outil]. » Aussi bienveillant que lors de son intervention lors de la réunion de l'Association américaine des journaux à qui il a prodigué ses conseils avisés, Eric Schmidt n'a pas manqué de proposer à Twitter (et aux autres start-up ) de « les aider à rentabiliser leurs services par le biais de la publicité. » Google a également annoncé quelques remaniements au sein de son organisation. Omid Kordestani quitte son poste de directeur des ventes pour celui de conseiller. Il est remplacé par Nikesh Arora qui s'occupait jusqu'à présent des activités internationales du groupe. (...)

(17/04/2009 16:55:52)

Les salariés de FM Logistic, sous-traitant de HP, poursuivent les négociations

Des salariés du site de FM Logistic situé à Woippy en Moselle ont retenu hier cinq de leurs dirigeants pendant plusieurs heures, selon l'AFP. Cette implantation de l'entreprise réalise le conditionnement d'imprimantes laser et à jet d'encre destinées au marché européen exclusivement en tant que sous-traitant de HP. C'est à la suite de la décision de ce dernier de délocaliser l'activité en Malaisie que FM Logistic est contraint de procéder à des licenciements. 489 emplois doivent être supprimés d'ici 2010 sur cette plateforme logistique, selon le blog de l'actualité sociale de HP, animé par l'équipe CFTC HP. Les salariés de Woippy réclamaient hier que les négociations portant sur les conditions de départ soient poursuivies en présence de personnes ayant un pouvoir de décision. Une nouvelle réunion se tient aujourd'hui à la préfecture de Metz. (...)

(17/04/2009 15:13:55)

EDF/Greenpeace : le scandale d'espionnage fait tache d'huile

« Comment peut-on faire confiance à une entreprise publique qui consacre une partie de ses ressources à faire espionner ses détracteurs par des barbouzes ? » La question, posée par Pascal Husting, le président de Greenpeace, met en lumière l'embarrassante situation dans laquelle se trouve EDF depuis les révélations des opérations d'espionnage qui auraient été mises en place contre l'association écologiste. L'affaire serait même plus grave que ne le laissaient supposer les premiers éléments. Selon les informations relayées par nos confrères de Mediapart, la surveillance de Greenpeace aurait débuté dès 2004, et non deux ans plus tard. EDF aurait, par l'intermédiaire de deux responsables de sa sécurité, Pascal Durieux et Pierre François, mandaté la société Kargus Consultants pour des missions « d'appui opérationnel à la veille stratégique sur les modes d'action des organisations écologistes ». L'entreprise sous-traitante, spécialisée dans la protection de l'information et la sécurité industrielle, se serait alors tournée vers un informaticien, Alain Quiros, qui aurait piraté l'ordinateur du responsable des campagnes de Greenpeace. Le président d'EDF mis en cause Les informations recueillies par Mediapart, qui a pu consulter le dossier d'instruction, montrent que la sombre besogne de Kargus Consultants ne se serait pas arrêtée là. Il est en effet question de surveillance rapprochée de membres de Greenpeace, voire de l'infiltration de l'association par des agents de Kargus. Et ces barbouzeries ne s'arrêteraient pas aux frontières françaises, puisqu'elles pourraient également concerner les activités du groupement écologiste au Royaume-Uni, en Belgique et en Espagne. Si ces actes d'espionnage ont été réalisés par Kargus Consultants, il ne fait guère de doute, selon Greenpeace, qu'EDF en ait été tenu régulièrement informé : « Il apparaît qu'EDF était bien au courant, voire prescriptrice des opérations illégales de pénétration informatique », note Greenpeace. Le fournisseur d'électricité a beau avoir mis à pied les deux responsables de sa sécurité et clamé son rejet de « toute méthode visant à obtenir des informations de manière illicite », il n'en reste pas moins dans le collimateur de Greenpeace qui entend le voir mis en examen en tant que personne morale. L'association veut même aller plus loin et demande à Jean-Louis Borloo, à la tête du Meeddat*, « de suspendre de ses fonction le président d'EDF [et] de mettre en place une commission démocratique indépendante d'évaluation de l'industrie nucléaire en France. » Une décision qui serait insuffisante, aux yeux de Noël Mamère : l'élu réclame « une mise en examen du président d'EDF puisque c'est lui le patron de cette entreprise qui s'est livrée à des opérations de barbouzes ». Contacté par la rédaction du MondeInformatique.fr, EDF s'est refusé à commenter ce dossier, arguant de ce que « l'instruction judiciaire est en cours ». *Meeddat : ministère de l'Ecologie, l'Energie, du Développement durable et de l'Aménagement du territoire (...)

(17/04/2009 12:28:28)

Valtech Technology aide les entreprises à adopter le cloud

Valtech Technology étoffe ses activités en lançant une offre de conseil, d'intégration et de mesure du retour sur investissement (ROI) pour les entreprises qui décident de se lancer dans le cloud computing. Pour la SSII, il s'agit d'un prolongement logique de ses autres activités menées dans les domaines des architectures orientée services (SOA) ou des méthodes agiles. « Les problématiques et les enjeux du cloud sont similaires à ceux de la SOA, explique Pascal Ognibène, directeur technique chez Valtech. Le cloud contribue à lever des freins à la mise en production itérative de projets réalisés en cycles courts ». Valtech procède en deux étapes. Une vingtaine de consultants « urbanistes » aident les clients à établir une cartographie de leur système d'information afin d'identifier les données et les applications susceptibles d'être « envoyées dans le nuage » avant de procéder à l'intégration. « Il n'est pas pertinent, voire dangereux, de tout externaliser dans le cloud », précise Pascal Ognibène. En dehors d'Amazon, qui possède en Europe une ferme de serveurs consacrée au cloud, la plupart des données sont en effet hébergées aux Etats-Unis, ce qui peut entraîner des soucis techniques (rupture d'un câble, lenteur des échanges de données si le trafic est trop important) et légaux (certaines informations ne doivent pas quitter l'Union Européenne). Pour vaincre les dernières réticences des entreprises, Valtech leur propose d'évaluer avec précision les économies qu'elles peuvent réaliser (électricité, bande passante, infrastructure, flexibilité des ressources...). En décembre dernier, Valtech a également présenté une offre de tierce recette applicative déjà opérationnelle en Grande-Bretagne, en Allemagne et en Inde mais qui n'existait pas en France. Valtech Technology emploie 1 200 personnes dans le monde (dont 300 en France) et a réalisé un chiffre d'affaires de 100,6 M€ en 2008 dont 39 M€ en France. (...)

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