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(20/04/2009 14:48:08)

Le spam pollue autant que 3,1 millions de voitures, selon un rapport commandé par McAfee

Non seulement les spams sont une perte de temps pour les internautes qui les reçoivent par dizaines, mais en plus leur envoi et leur filtrage contribuent à aggraver l'effet de serre, selon un rapport commandé par l'éditeur de logiciels antivirus McAfee à l'ICF International, un organisme de consultants spécialisés dans des thèmes comme l'énergie, les changements climatiques et la santé. L'ICF a calculé dans quelles proportions les spams encrassent la planète : chaque pourriel produirait 0,3 grammes de dioxyde de carbone (contre 4 grammes pour un mail légitime). Toujours selon cette étude (réalisée dans onze pays, dont la France), 62 milliards de spams circulent chaque année, ce qui correspond à 80% de l'ensemble des courriers électroniques. Plus de 17 000 tonnes de dioxyde de carbone seraient ainsi émises, l'équivalent produit par 3,1 millions de voitures en un an. De quoi faire le tour de la planète 1,6 million de fois. La création des spams, la récolte des adresses, l'envoi des messages via des serveurs zombis, le stockage, le traitement et l'élimination des spams sont extrêmement gourmands en énergie. Ces différentes étapes nécessitent en tout 33 milliards de kilowatts-heure chaque année, ce qui correspond à l'alimentation en électricité de 2,4 millions de foyers américains. Ces chiffres paraissent effrayants, mais l'étude de McAfee ne permet pas de les mettre en perspective. Quel est le coût énergétique de l'utilisation basique d'un PC, d'un serveur ou d'une application ? L'étude ne le précise pas, pas plus que la méthodologie employée pour arriver à ces conclusions. L'éditeur McAfee - qui a tout intérêt à encourager les entreprises à adopter des solutions de filtrage de spams - ne manque pas de préciser que 80% de la consommation en énergie provient de la recherche et de la suppression manuelles des spams par les utilisateurs, alors que le filtrage automatique ne représente « que » 16% de cette consommation. Et d'avancer que si chaque boîte de réception était correctement protégée (en entreprise comme chez les particuliers), on pourrait réduire l'empreinte carbone des pourriels de 75% - ce qui correspondrait au retrait de 2,3 millions de voitures. (...)

(20/04/2009 14:32:53)

Oracle acquiert Sun pour 7,4 milliards de dollars

Le Wall Street Journal et Bloomberg News avaient tout faux : c'est finalement Oracle, et non IBM, qui rachète Sun. Pour un montant de 9,50$ par action, soit environ 7,4 Md$. Déduction faite des immenses réserves de cash de Sun, l'acquisition coûtera en fait à Oracle 5,6 Md$. Dans une lettre aux clients, Charles Phillips, président d'Oracle, explique que la combinaison des deux acteurs constitue un grand atout. D'abord pour son offre middleware Java Fusion, dans la mesure où Oracle aura la paternité de Java - et pourra donc être à la pointe des évolutions en la matière. Ensuite parce qu'Oracle cherche depuis longtemps à être davantage présent dans les systèmes d'exploitation (des rumeurs de Linux Oracle resurgissaient régulièrement), et qu'il disposera désormais d'une offre éprouvée avec Solaris. Lequel, en outre, serait déjà l'OS numéro un pour le déploiement de la base de données Oracle. D'après Charles Phillips, les clients demandent à Oracle de « réduire la complexité, le risque et le coût en fournissant une pile hautement optimisée de produits basés sur les standards », d'où le choix, en rachetant Sun, d'être désormais présent dans les systèmes d'exploitation, les serveurs et la micro-électronique. Ce faisant, d'ailleurs, Oracle dépasse IBM en termes de couverture technologique, Big Blue ne proposant pas de progiciels de gestion intégré (ERP). Nul doute, du coup, que des clients qui choisissaient des acteurs indépendants pour échapper au « tout bleu » IBM, chercheront aujourd'hui des alternatives au « tout rouge » Oracle. La transaction, approuvée par le conseil d'administration de Sun, doit encore être acceptée par les actionnaires et les autorités de régulation. En attendant, les deux sociétés continueront d'évoluer de façon indépendante. Les plus importantes acquisitions d'Oracle : - le 16 janvier 2008 : BEA pour 8,5 Md$ - le 1er mars 2007 : Hyperion pour 3,3 Md$ - le 13 septembre 2005 : Siebel pour 5,85 Md$ - décembre 2004 : PeopleSoft pour 10,3 Md$.

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(20/04/2009 12:40:35)

Gartner distingue 10 leaders dans la gouvernance SOA

La dernière livraison du carré magique de Gartner sur les suites technologiques de gouvernance SOA ressemble un peu à l'Ecole des fans, tant il semble que tout le monde ait gagné. Le cabinet d'études place pas moins de 10 éditeurs dans la catégorie reine, celle des « leaders ». Par ordre alphabétique : Amberpoint, HP, IBM, Layer 7 Technologies, Oracle, Progress Software, SOA Software, Software AG, Tibco Software et WebLayers. Pour le cabinet d'études, c'est à la fois le signe que le marché a mûri, tant du côté de l'offre que de celui des clients, qui n'hésitent plus à parler gouvernance dès le début d'un projet SOA, et comptent sur ce type d'outils pour mesurer le succès de leur stratégie. Avantage aux approches privilégiant l'hétérogénéité Dans le détail, HP (qui a racheté Mercury, lequel avait repris Systinet), Progress (qui a racheté Actional et Mindreef) et Software AG (qui a collaboré avec Fujitsu sur CentraSite et exploite en OEM la technologie Actional) dominent la catégorie. Il est d'ailleurs intéressant de constater que ces trois acteurs fondent leur discours sur la neutralité: HP n'offre que des outils de supervision, Progress se veut un fournisseur de composants technologiques, et Software AG explique à qui veut l'entendre que sa stratégie est de vendre du middleware SOA, et pas des machines (comme IBM) ou des progiciels (comme Oracle ou SAP). Dan Foody, ancien directeur technique d'Actional et toujours responsable de l'offre chez Progress, nous indiquait d'ailleurs récemment que plus de la moitié des clients Actional utilisent l'offre de gouvernance pour du middleware non-Progress : « Principalement pour du WebSphere [d'IBM], puis du Tibco, du BEA, de l'Oracle, du Microsoft... » L'avenir d'Amberpoint perpétuellement en question Les 'pure-players' du secteur sont plutôt bien placés, mais Gartner pointe les difficultés de WebLayers, SOA Software ou Layer 7 à bien faire entendre leur discours. Quant à Amberpoint, l'un des pionniers du secteur, il semble que ses accords OEM diminuent quelque peu, tandis que tout le monde s'interroge sur une éventuelle acquisition de l'éditeur par un acteur plus gros. CA, qui a disparu du carré magique de Gartner, pourrait ainsi revenir sur le devant de la scène. Oracle et Tibco désormais dans la catégorie des leaders [[page]] A noter aussi l'arrivée dans le quadrant des leaders d'Oracle, grâce à ses rachats (ClearApp et BEA, qui lui-même avait racheté Flashline), et auquel Gartner prédit une belle progression. Ancien « visionnaire », Tibco figure lui aussi désormais dans la catégorie des « leaders ». Gartner note que son partenariat avec HP lui laisse les coudées franches pour devenir un leader dans les catégories de la gouvernance des processus et de la médiation dans le cloud computing. Thierry Schang, qui dirige la R&D et l'offre gouvernance de Tibco, nous confirme en effet qu'une annonce liée au cloud computing devrait intervenir sous peu. Les offres SAP et IBM pas perçues pour des environnements hétérogènes Du côté des autres gros acteurs, Gartner pointe les difficultés de SAP et IBM à exister en dehors de leur environnement. Microsoft, classé dans les challengers à côté de SAP, bénéficie de partenariats solides (Amberpoint, SOA Software, HP), mais son offre est aujourd'hui essentiellement axée sur la gestion du cycle de vie d'objets déployés sur le Web, et extrêmement complexe à décrypter. Il faudra attendre les retombées de la stratégie Oslo et le déploiement finalisé de la plateforme de cloud Azure pour y voir plus clair. Sun, qui revend du Layer 7 et se classe de ce fait dans le quadrant des acteurs de niche, « semble avoir abandonné tout message et tout marketing en matière de gouvernance SOA », indique laconiquement Gartner. A noter enfin, la bonne prestation de MuleSource, pour ses outils de gouvernance axés sur les phases de conception. Gartner souligne l'importance de la communauté d'utilisateurs des technologies Open Source, et explique que l'offre peut très bien convenir à des entreprises inquiètes du coût et de la complexité des offres de gouvernance. Mais le cabinet d'études souligne aussi que les éditeurs classiques rivalisent d'ingéniosité pour attirer les clients avec des produits ou services gratuits. Progress vient ainsi de lancer un produit, Actional Diagnostics, combinant les technologies de Mindreef et d'Actional, en téléchargement gratuit. (...)

(20/04/2009 12:37:53)

Les projets Green IT sont liés à l'efficacité énergétique selon IDC et Gartner

Green IT rime d'abord avec efficacité énergétique. C'est en tout cas ce qui venait en premier à l'esprit de 68% des inscrits au forum Green IT d'IDC, le 2 avril dernier à New-York. La moitié d'entre eux confiaient également que leur approche du Green IT était directement liée aux économies que leur entreprise pourrait en retirer. Toutefois, si 85% déclarent encore que l'IT va jouer un rôle dans leurs efforts pour réduire l'impact environnemental de leur organisation, 78% admettent en revanche qu'ils n'ont pour l'instant aucun budget pour le Green IT ou pour d'autres initiatives de développement durable. Parmi les actions déjà engagées, 66% des personnes interrogées disent avoir déjà mis en place un programme de recyclage du matériel informatique. Dans 50% des cas, la gestion du recyclage est alors confiée en partie à des intervenants externes. A noter aussi qu'en cas de mise au rebut des matériels informatiques, les problèmes de sécurité viennent en tête des préoccupations de 68% des répondants. Certains projets Green moins pressés Sur le même sujet, Gartner vient lui-aussi de publier les résultats d'une enquête menée en décembre dernier auprès de 620 personnes concernées par les questions de Green IT dans leur entreprise. A la lumière des réponses, le cabinet d'études estime que l'accent continuera à être mis sur les projets permettant d'améliorer l'efficacité énergétique et de faire des économies. 60% des entreprises européennes sondées ont affirmé que la récession n'aurait pas d'impact sur leurs initiatives Green. Aux Etats-Unis, en revanche, un tiers des personnes interrogées ont reconnu accorder moins d'importance à ces initiatives depuis le début de la crise. « Ce sujet reste tout de même dans le top 10 de leurs préoccupations, précise Rakesh Kumar, vice-président de Gartner, mais pour le moment, à moins que ces projets ne délivrent un retour sur investissement rapide, le Green IT vient au second plan derrière les réductions de coûts et la gestion des budgets. » (...)

(17/04/2009 18:05:27)

L'éditeur de PLM Lascom devient membre de l'Afdel

L'éditeur Lascom, qui développe des solutions de PLM (product lifecycle management), vient de rejoindre l'Afdel, association française des éditeurs de logiciels qui prône une relance de l'économie par l'innovation. Présent en France et aux Etats-Unis, Lascom emploie 90 personnes. Ses solutions permettent aux entreprises de gérer les échanges de données techniques liés aux produits qu'elles conçoivent et de communiquer avec leurs sous-traitants et clients. L'éditeur verticalise ses logiciels de PLM sur trois secteurs d'activité : l'architecture et le bâtiment, les systèmes industriels complexes et les biens de grande consommation (CPG). (...)

(17/04/2009 17:50:46)

Sun reviendrait vers IBM pour se faire racheter

La mise en vente de Sun reste d'actualité. Cette fois, les rumeurs rapportées par Bloomberg News indiquent que la direction de Sun serait revenue vers IBM pour rouvrir les négociations. Mi-mars, le Wall Street Journal avait annoncé que les deux groupes étaient en pourparlers. Ni Sun ni IBM n'avaient, à l'époque, confirmé la véracité de cette information. Ensuite, début avril, IBM aurait effectivement proposé un rachat à Sun, mais sur des bases financières jugées insuffisantes par ce dernier (6 Md$ au lieu de 8 Md$). D'où un refus de Sun, rapporté encore une fois par le Wall Street Journal mais qui n'avait pas non plus été confirmé par les deux partis. Aujourd'hui, le suspens reprend... (...)

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